Harry Potter et les Horcruxes

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Chapitre 1: Le mariage de Bill et de Fleur

C'était une soirée qui débutait comme toute les autres dans la petite ville de Little Wihining. Tout était calme dans Privet Drive, toutes les personnes de cette rue mangeaient tranquillement sans se douter que dans la même rue qu'eux se trouvait un sorcier. En effet, domicilié au 4 Privet Drive se trouvait un jeune homme qui passait ses derniers jours chez son oncle et sa tante, les impitoyables Dursley. Ce jeune homme de 17 ans s'appellait Harry Potter. Il était grnad et mince pour son âge, du fait que les Dursley ne le nourrissaient pas correctement. Harry portait des lunettes rondes, avait les cheveux en bataille d'un noir de jais et sur son front, une cicatrice en forme d'éclair qui était la trace du mauvais sort que le mage noir lui avait lancé, il n'avait que un an. Tant de questions sans réponses pensait Harry. Comment avait il pu échapper à Voldemort, alors que ses parents, eux, étaient morts... Depuis ce jour, il avait été condamné a vivre chez son oncle et sa tante. Les Dursley avaient un fils du même age que Harry, Dudley.
Harry était allongé sur son lit avec une lettre qu'il tenait à la main:[/g]

Cher Mr Potter

Nous avons le plaisir de vous informer que le petit studioque vous voulez acheter serais libre à partir du 31 juillet à 17 heures.
Nous vous rappellons que le studio se trouve à Godric Hollow. Le prix d'acquisition de ce studion est de 1000 Gallions.

Nous vous souhaitons bon courage et veuillez accepter, Cher Mr Potter, l'expression de nos sentiment distingué

Jean Vinoiseau
Directeur de vente de studio pour sorciers

Soudain quelque chose toqua contre la fenêtre et Harry vit que c'était la chouette de Ron qui lui apportait des nouvelles. Harry ouvrit la fenêtre et la petite chouette entra dans la chambre et se posa sur le rebord de la chaise de Harry, puis tendit la patte. Harry prit alors la lettre de Ron.

Salut Harry!

Je t'avais dit avant qu'on parte en vacance que tu serais invité pour le mariage de Bill et de Fleur. J'espère que tu n'as pas oublier! Ce sera le 28 juillet à 13 heures 30. On passera te chercher le mation, à 9 heure 30, ma mère tient à te voir avant le mariage. Et puis tu pourras passer le reste de tes vacances chez nous. Hermione sera de la partie bien sûr!

A +

Ron

Harry était tellement content de revoir son ami, mais était beaucoup moins content de revoir Fleur et son accent français. Harry regarda alors son calendrier et vit que le 28 était le surlendemain. Puis il se concentra sur la lettre que lui avait envoyé Jean Vinoiseau. Il allait envoyé l'argent dès aujourd'hui comme ça le studion sera à lui. Il avait dore et déjà chercher les 1000 Gallions qui lui fallait. Il prit alors Hedwige et lui dit:
- J'ai une mission pour toi. Tu vas apporter cet argent à Mr Vinoiseau. Il y a une lettre dedans. C'est pour notre maison.
Hedwige hulula de joie et prit son envol. Harry la regarda s'éloigner dans la nuit, lorsque la voix stridente de sa tante l'appella:
- A table! Dépêche toi ça va refroidir!
Harry poussa un grognement puis descendit les escalier d'un pas lent. Arrivé dans la cuisine, tout le monde était déjà assis et avait commencé à manger.
- Pourquoi fais tu cette tête aussi excitée? demanda l'oncle Vernon.
- Oh! C'est juste qu'après demain je quitterais définitivement cette maison, répondit Harry.
- Ah! Enfin on va avoir la paix! Plus de gens bizzares sous mon toit, tonna l'oncle Vernon.
- Oui mais je me vengerais un de ses jours, murmura Harry, pour tout ce que vous mavez fait subir...
- Qu'est ce que tu as dit mon garçon? demanda l'oncle Vernon avec un regard mauvais
- Rien, rien...
Après avois fini de manger, Harry remonta dans sa chambre et prépara ses affaires pour le mariage du frère à Ron et toute la paperasse pour son future studio. Les deux jours suivants étaient relativement calme et on entendait des fois l'oncle Vernon dire "Ah, vivement que ce monstre parte de la maison!" ou bien des " On sera de nouveau bien tout les trois, rien que tous les trois, sans lui...". Le 28 juillet Harry se réveilla de bonne heure et regarda sa montre: 5 h 30. Il lui restait suffisament de temps pour voir s'il n'avait rien oublier et pour faire un tour. Il descendit ces affaires dans le hall d'entrée et alla grignoter quelque chose avant d'aller faire un tour, respirer l'air frais du matin. Durant son tour, il réfléchit à la façon dont il allait pouvoir se venger, mais surtout venger Dumbledore et son parrain, Sirius. Mais plus il y réféchissait, plus il pensait que le meilleur moyen de venger Sirius et Dumbledore était de tuer Rogue et Bellatrix Lestrange. Puis il vint à son tour. Comment pourrait il se venger...

Tout à coup il se rendit compte que Fred et Georges étaient pas mal du genre farceurs. Il allait leur parler dès qu'il les verrait. Il regarda alors sa montre et vis qu'il ne lui restait plus qu'une demi heure avant qu'il parte de son oncle et de sa tante. Il rentra à la maison, récupéra ses affaires et attendit des Weasley dehors. A 9 h 30, il entendit une voiture vrombir au coin de la rue et devina que c'était les Weasley.
- Salut Harry! dit Ron
- Salut! Ca va?
- Ouais, ça pourrait aller mieux... Allez on mets tes affaires dans le coffre et on en discuteras dans la voiture.
- D'accord.
- Euh... ajouta Ron en voyant la quantité de bagage que Harry avait, juste une question, c'est une impression ou tu as completement vidé ta chambre.
- Ce n'est pas une impression. Ma chambre a en effet été vidée. Je pars d'ici et pour toujours, ajouta Harry tandis que la voiture démarrait. J'ai acheté un petit studio à Godric Hollow.
Ils roulèrent pendant une heure jusqu'a ce qu'ils arrivent au Terrier. Harry n'avait jamais vu le Terrier décoré de cette façon. Il y avait une banderole à l'entrée du Terrier ou l'on pouvait lire "toutes nos félicitations à Bill et à Fleur!". D'un côté, on avait mis les armoiries de Poudlard et de l'autre les armoiries de Beauxbaton (petite parenthèse: j'ai rien trouvé de mieux). A l'intérieur de la maison, régnait l'agitation des derniers préparatifs du mariage: d'un côté, quelqu'un que Harry ne connaissait pas, coiffait Ginny et de l'autre Mrs Weasley rafistolait un costume qui devait être celui de Ron.
- Ah, bonjour Harry! Dit Mrs Weasley en relevant la tête.
- Bonjour Mrs Weasley, salut Ginny, Fred Georges, salut Hermione.
- Salut Harry!
Harry se dirigea vers les jumeaux et leur demanda s'il pouvait leur parler en privé.
- Mais bien sur mon cher monsieur, dit Fred en s'inclinant aussi bas qu'un elfe de maison
- Ecoutez j'ai besoin de me venger et j'ai décidé de faire un sale coup aux Dursley pour qu'ils se souviennent de moi, leur expliqua Harry.
- Mais rien ne peut nous faire plus plaisir que de te rendre un service mon bon monsieur! Dit Georges
- Nan, c'est très important! Il me faut certaines de vos meilleurs inventions.
- D'accord c'est pour quand?
- Le plus vite serais le mieux...
- Une question... commença Fred
- ... Est ce qu'on peut participer avec toi? termina Georges
- On s'est tellement amusés avec ton cousin quand on l'avais vu la dernière fois dit Fred
- Bien sûr! dit Harry en rigolant!
Harry et les jumeaux retournèrent dans la salle à manger et Mrs Weasley demanda à Harry:
- Est ce que tu es prêt pour le mariage de cet après midi mon chéri?
- Pas tout à fait. Je vais vite me préparer, dit alors Harry. Ou est Hermione?
- Elle est déjà montée se changée. Va dans la chambre de Ron pour te préparer.
Harry acquiesca et monta se changer. Une demi heure plus tard, Harry descendit les escaliers avec un super costume et très bien coiffé. Tous les Weasley présents dans la maison le regardèrent d'un air abasourdi. Soudain Mrs Weasley les sortis de leur rêverie et leur dit:
- Allez les enfants il faut y aller ou on va être en retard!

A 13 h 30, toute la famille Weasley, les Delacour ainsi que les amis des deux familles étaient présents pour célébrer le mariage de Bill Weasley et de Fleur Delacour. Le mariage se déroulait à merveille , les jumeaux faisaient de tant à autre exploser quelques pétards mouillés du Dr Flibuste et quelques unes de leurs inventions. Mais Harry était ailleurs. Il repensait sans cesse à ce qui c'était passé à la fin de sa sixième année. Dumbledore était mort et il n'avait rien pus faire pour le sauver. Et il repensait à ce que Ron et Hermione lui avaient dit. Qu'ils le suivraient partout ou il irait. Cela le fit légèrement sourire. Il n'imaginait pas Hermione manquer une année de cours. Tout à coup Ron et Hermione le sortirent de ses pensées.
- Ca ne va pas Harry? demanda Ron d'un air inquiet.
- Si, si, je vais bien. Je repensais juste à ce qui c'est passé, Dumbledore et tout ça, répondit Harry d'un air grave
- Allez Harry, viens t'amuser, tu as besoin de te changer les idées. Dit Hermione en l'aidant à se lever.
- Oui tu as sans doute raison.

Sur ce Harry, Ron et Hermione rejoignirent le banquet. On avait installer les tables de façon à ce que les nouveaux mariés soit visible par tout le monde, et tout autour, les table étaient disposées en demi cercle. Les mets étaient délicieux et personne ne voyait le temps passer. Le temps était merveilleux, rien de tel pour un mariage réussi. Dans l'après midi, les jumeaux organisèrent une partie de quidditch, les Delacour contre les Weasley et Harry ferais les commentaires. Finalement les Weasley l'emportèrent haut la main, 360 à 10.
- Vous avez fait un beau match, dit Harry à Ginny
- Merci, ça fait plaisir dit elle en rougissant.
Harry mit alors son bras autour du coup et rejoignirent les autres. En voyant les autres dancer, Harry regarda Ginny et lui dit:
- Tu danses?
- Bien sûr, allez viens! répondit Ginny en l'entrainant sur la piste de dance.
A ce moment là un slow commença et Harry serra Ginny contre ses bras. Harry sentait le soufle chaud de Ginny dans son cou et son parfum le fit tournoyer légerement. Au bout de quelques minutes, un morceau plus endiablé commença. Au début de la chanson, il n'y avait que Fleur et Bill sur la piste de dance. Le corset de la robe de Fleur était rouge bordeau et le reste de la robe était d'un blanc neige avec quelques rose parsemées sur la robe. Quant à Bill, il portait une chemise blanche, un veston rouge bordeau et un pantalon noir, sans oubler l'habituelle cravate! Ron dansait comme un pied avec Hermione, qui le regardait dancer, secouée d'un fou rire, quant à Harry, il dançait encore avec Ginny. De temps à autre, Ginny, Fred et Georges se moquaient de Fleur, ils avaient remplacer le nom de Fleur par Phlegm sur la banderole qui devait être présenté le mariage. Et de temps à autre, quand ils la croisaient, ils ne rataient pas l'occasion de l'appeler Phlegm. La fête dura jusqu'à tard dans la nuit quand Mrs Weasley décréta qu'il était l'heure d'aller se coucher. Malgré les railleries des jumeaux et de Ginny, Bill et Fleur étaient très content qu'ils soient enfin mariés. Harry, Ron et Hermione étaient tellement content de c'être retrouvés qu'ils ne discutèrent pas de ce qu'il c'était passé à la fin de leur année scolaire, et surtout, Ron et Hermione ne voulaient pas blesser Harry. Ils savaient que ça lui faisait de la peine que Dumbledore soit mort.
Le lendemain matin, tout le monde se réveilla très tard du fait du mariage da la veille. Lorsque les Weasley, Harry, Hermione, Fleur et les Delacour se levèrent une bonne odeur de bacon et d'oeuf leur parvint aux narines. Ils descendirent tous d'un pas lourd et les yeux encore embrumés pour prendre leur petit déjeuner préparé par Mrs Weasley.
- Bonjour tout le monde! Bien dormi? Demanda t-elle
- Oui très bien, répondirent ils tous en coeur.
- Bien... Asseyez vous et mabgez tant que c'est chaud.
Peu à peu tout le monde se mit à parler du mariage, quand tout à coup, un vieux hibou fonça droit sur la fenêtre de la cuisine. C'était Errol, le vieil hibou de la famille Weasley.
- Oh non, soupira Mr Weasley. Ron va chercher le courrier.
- Ok... Errol, viens, dit alors lentement Ron, d'une voix ensommeillée.
Un hululement lui répondit et Errol se percha sur le rebord de la fenêtre
- C'est une lettre de Perçy, dit sombrement Ron. Tenez.
Mr Weasley ouvrit la lettre, puis au bout de quelques minutes, son expression n'avait toujours pas changer.Tous les regards étaient fixés sur lui. Ce fut Bill qui rompit le silence:
- Qu'est ce qu'il dit? Lit nous la lettre!
- Non. Lis la toi.
- D'accord

Père, mère

J'ai appris que Bill s'était marié avec une française du nom de Fleur. C'est une demi vélane, paraît il. Que lui as t'il prit de ce marier avec une personne pareil. Elle a sûrement dû utiliser son charme pour le forcer à se marier avec elle. Tout le monde sait que les français ne sont pas corrects.

J'espère qu'ils accepterons mes plus plates félicitations.

Perçy Weasley

- Comment ose t'il critiquer les français tonna Fleur, sous les rires des jumeaux, de Ron et de Ginny. Il va voir de quel bois je me chauffe! Ah non mais vraiment!

A côté d'elle ses parents qui ne comprenaient pas pourquoi leur fille la regardèrent d'un air quelque peu surpris. Ils lui avaient demander ce qu'il ce passait, pourquoi elle criait tellement fort, explication qu'elle refusa de donner, tellement elle était énervée. Sur ce elle partie en courant le visage en larme. Bill qui était devenu tout rouge suivit Fleur et on ne les revit pas jusque tard dans la soirée, enfin calmés. Mrs Weasley son fils dans ses bras et hésita longuement avant de se jeter dans les bras de Fleur.
- Ah, mes chéris, j'avais tellement peur, vous savez, avec tout ce qu'il se passe en ce moment, c'est pas très rassurant, dit elle en leur lançant des regards inquiets.
- Tout c'est bien passé,maman, dit Bill pour la rassurer. On est juste allé se promener un peu.
- Un peu ? Vous appelez une journée un peu? Qui aurait su ce qu'il aurait pu vous arriver! Vous auriez pu tomber sur des mangemorts! beugla Mrs Weasley
- Mais nous sommes sain et sauf, c'est l'essentiel, dit Fleur avec un anglais quelque peu malhabile
Sur ce Mrs Weasley sortit du salon et rejoignit la cuisine pour préparer le repas du soir. Le reste des vacances se passait relativement bien et Harry, Fred et Georges planifiaient déjà la farce qui était réservée aux Dursley

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Chapitre 2: Une vengeance bien réussie

Trois semaines après le mariage, Bill et Fleur étaient retournés à Londres, ou les nouveaux mariés travaillaient. Quant aux Delacour ils étaient retournés en France deux jours après le mariage de leur fille et de leur nouveau gendre. Ginny, Ron, les jumeaux, Harry et Hermione étaient bien content que Fleur soit enfin partie, ils ne supportaient plus de l'avoir sans arrêt dans les pattes.
- Est ce que tu es sur que tu ne veux pas retourner à Poudlard cette année? demanda Hermione
- Oui j'en suis sûr. Je vais habiter à Godric Hollow et poursuivre ma chasse aux Horcurxes.
- Dans ce cas, je viens avec toi, dit Hermione sur un ton de défi.
Harry la regarda en souriant et ajouta:
- Est ce que tu serais capable de manquer une année de cours, la plus importante, juste pour me suivre?
- Euh... s'empressa d'ajouter Hermione... Oui, après tout, il faut toujours des amis dans les moments difficiles non? conclua t'elle
- Bon dans ce cas, c'est d'accord... Mais... commença Harry lorsque un phénix entra dans la pièce. Fumseck!... C'est une lettre de Dumbledore!
- Ouvre la, c'est surement important!

Harry

Si Fumseck t'apporte cette lettre c'est que je suis déjà mort. Mais il y a une chose qu'il faut que tu sache Harry. Tu DOIS retourner à Poudlard cette année et continuer ta chasse contre les Horcruxes, c'est ton destin.
En attendant, je te lègue tous mes biens y compris Fumseck.
Avance toujours la tête haute Harry. Il ne faut pas revivre dans le passé, ça te fais mal, il faut regarder vers le futur, c'est ce qui compte le plus dans ces moments sombres.

Albus Dumbledore

- Qu'est ce qu'il dit? demanda Hermione d'un air curieux.
- Il me dit que je dois retourner à Poudlard cette année. Il me lègue tous ces bien même Fumseck, dit Harry d'un air triste.
Hermione le serra alors dans ces bras et lui dit à l'oreille:
- Harry, il faut que tu sois prudent, je ne supporterais pas de te perdre, de perdre celui que je considère comme mon frère!
- Toi aussi promet moi d'être prudente! Toi tu supporterais pas de perdre celui que tu considère comme ton frère, moi je supporterais pas de perdre celle que je considère comme ma soeur, dit lentement Harry... Bon, il faut que j'y aille. J'ai quelque chose à faire.
Hermione le regarda d'un air soupsonneur et inquiet mais elle ne dit rien. Harry lui sourit et alla rejoindre les jumeaux.
- Bon vous êtes prêts? demanda Harry
- Bien sûr dit Fred
- C'est quand tu veux! continua Georges
- Alors on est partis!... conclua Harry. Mrs Weasley, je vous emprunte vite vos fils pour quelques heures. J'ai quelques comptes à règler.
- Bien sûr, mais ne faites pas de bêtises!
- Promis maman, dit Fred. On te ramenera la cuvette des toilettes de Dursley!
- On pourra l'accrocher dans les toilettes, dit Georges sous les rires de Fred et Harry.
Ils prirent alors leur balais et s'envolèrent en direction de Little Whining, sans laisser le temps à Mrs Weasley de répliquer. Au bout d'une heure de vol, les jumeaux et Harry arrivèrent devant la maison des Dursley. Ils laissèrent leur balais volants bien en vu pour que les Dursley soient effrayés. Harry sonna à la porte et Fred et Georges, n'ayant jamais vu une sonnette moldue appuyèrent plusieurs fois dessus. A l'intérieur, on entendait l'oncle Vernon grogner en maudissant les personnes qui ne savent pas se tenir correctement. Il ouvrit la porte et resta bouche bée devant le spéctacle qui s'offrait à lui. Il n'arrivait plus à parler.
- Eh bien bonjour la politesse! On ne fait même plus entrer son neveu dans la maison de son gros nononcle? demanda Harry d'un ton ironique. Et arrête d'ouvrir et de fermer la bouche on dirait un gros poisson rouge!

- Bonjour Mr Dursley, dit Fred d'un air joyeux
Sans dire un mot, l'oncle Vernon les laissa entrer, ne sachant que faire. Dans la cuisine, on entendait la tante Pétunia qui disait:
- C'est qui?
- Viens... voir... tu ne me croiras pas, dit l'oncle Vernon terrorisé.
La tante Pétunia arriva dans le hall d'entrée, quand soudain:
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH! Qu'est ce que tu viens faire ici avec ses deux zouaves? dit la tante Pétunia, d'un air tout aussi terrorisé que son mari.
- Et bien... commença Harry
- ...Il est venu... continua Fred
- ... Se venger pour tout ce que vous lui avez fait subir renréchit Georges
- Pendant 11 ans et 6 étés, termina Harry. D'ailleurs la voilà ma vengeance. Petrificus Totalus!
L'oncle et la tante de Harry tombèrent sur le sol d'un bruit sourd. Dudley, attiré par le bruit,descendit les escaliers lorsqu'il ne put se retenir d'un cri de terreur.
- Et bien, le petit Dudlinouchet à sa maman est descendu voir ce qu'il se passait?
- Qu'est ce que tu fous là Potter? dit Dudley, d'un air dégouté. Je croyais que tu devais partir d'ici pour toujours!
- C'est ce qui était prévu à la base, Popkins. Mais j'avais quelques petits trucs à règler pour que je me sente bien! répondit Harry.
- Tiens on a quelque chose pour toi. dit Fred, ravi de revoir le cousin à Harry.
- C'est nous qui l'avons fait, faut pas avoir peur, c'est pas dangereux, termina Georges.
Après quelques instant d'hésitation, Dudley prit le bonbon de la main de fred et le mangea. Dudley n'avait pas oublié la fois ou sa langue avait poussé de quelques mètrre, il n'avait que 12 ans. Au début rien ne se passa. Au bout d'une minute, les trouvant à son goût, il en demanda un autre, puis un autre, puis un autre. Au bout d'une demi heure, Dudley se sentit bizarre.Quelque chose voulait sortir de sa bouche. Dudley, qui avait comprit ce qu'il se passait, fut prit de panique. Soudain, on entendit un gros rot et une langue d';au moins un mètre de long sortit de la bouche de Dudley. Harry réanima l'oncle Vernon et la tante Pétunia, histoire qu'ils sachent ce qui arrive à leur fils.
- Arrête ça tout de suite! tonna l'oncle Vernon. Son visage était passé du rouge au violet en très peu de secondes.
- Non dit Harry très calmement. Il faut que vous payez pour tout ce que vous m'avez fait subir pendant toutes ses années!
- On leur lançe un sort, Georges? dit Fred le sourire jusqu'aux oreilles
- Bien sur!
A ce moment là, un hibou moyen duc entra à toute vitesse dans la maison des Dursley. Harry prit alors la lettre qui lui était destinée puis le hibou repartit sans demander son reste.
- QU'EST CE QUE CES SATANEE BETES FOUTENT DANS MA MAISON!!!! rugit l'oncle Vernon
- C'est une lettre du ministère, dit Harry à l'intention des jumeaux.

Cher Mr Potter,

Etant donné que vous êtes majeurs, le charme qui vous interdisait d'utilisé la magie en dehors de Poudlard à été rompu. Vous pouvez donc utiliser la magie comme bon vous semble, mais n'en abusez pas trop.

Veuillez agréer, Mr Potter, l'expression de mes sentiments distingués.

Bernard Vieilledent
Service des sortilèges abusifs

- Qu'est ce qu'il y a écrit dans cette lettre? demanda la tante Pétunia d'un air mauvais.
- Et bien... On m'autorise à faire de la magie en dehors de mon école de fous.
- Non ce n'est pas possible, dit l'oncle Vernon, commençant à être légèrement paniqué.
- Tu ne me crois pas? Alors lis la lettre par toi même, ajouta Harry en lui tendant la lettre.
L'oncle Vernon la lui arracha des main et la lut à toute vitesse. La tante Pétunia lisait en même temps par dessus l'épaule de son mari. Tout était calme pendant un certain moment. On entendait parfois les gémissement de Dudley qui crachait toujour sa langue. Soudain leurs visages devinrent livides et tentèrent de s'enfuir mais Harry les interpella.

- Hep, pas si vite! J'en ai pas fini avec vous!
Harry bloqua la porte qui donnait accès à la cuisine. Les Dursley étaient donc contraints de rester avec Harry. Harry chuchota quelque chose à l'oreille des jumeaux qui partirent d'un air ravi.
- Bon, dit Harry en pointant sa baguette vers son oncle et sa tante. Revenons à vous.
- Qu'est ce que tu nous veux encore, dit l'oncle Vernon sur un ton de défi.
- Oh, rien de bien méchant. Vous verrez bien. Serpensortilla!
Un énorme serpent sortit de la baguette de Harry et regarda les Dursley d'un air surpris. Les Dursley, quant à eux, étaient littéralement pétrifiés, ils ne pouvaient plus parler.
- Fais leur peur, dit Harry en fourchelangue.
- Qu'est ce que tu lui as dit? demanda la tante Pétunia
- Tu verras.
Le serpent se glissa tout doucement le long des jambes de la tante Pétunia, et fit semblant de la mordiller un peu. La tante Pétunia tentait de se débattre tout en ayant des cris de terreur et on l'entendait dire que le serpent devait la laisser tranquille du fait qu'elle avait la phobie des serpents. Ayant enroulé un peu de la jambe à la tante Pétunia, le serpent s'attaqua alors à l'oncle Vernon, sous l'oeil amusé de Harry. Peu après, Fred et Georges rejoignirent Harry et lui dirent qu'ils avaient fini.
- Bon, je crois que je vous ai fais assez souffrir pour aujourd'hui. Finite Incantatem! dit Harry. On va vous laisser.
- Les deux zouaves et Harry partons de votre humble maison, dit Fred
- L'accueil y a été très convenable n'est ce pas Harry? continua Georgs
- Très convenable, j'ai adoré, termina Harry d'un ton ironique.
Les jumeaux et Harry partirent laissant les Dursley à leur propre sort. Ils restèrent quelques moment dehors pour savoir ou les Dursley pouvait bien aller, parce que les trois amis savaient que les Dursley ne pouvait pas laisser leur fils avec une longue langue toute sa vie. Cinq minutes plus tard, les Dursley sortirent de la maison avec Dudley dont la langue devait sans doute atteindre une dizaine de mètre. Il n'était pas difficile de savoir ou ils allaient: à l'hôpital. Les trois amis attendirent quelques minutes pour être sur que les Dursley soient bien hors de vue pour qu'ils puissen de nouveau entrer dans la maison. Fred et Harry se chargèrent de mettre des gnomes dans la maison et dans le jardin, tandis que Georges visitait la maison pour trouver quelque chose de bon à manger. Puis quelques minutes plus tard, ils partirent et laissèrent derrière eux un sable mouvant derrière la porte d'entrée. Ils montèrent sur leurs balai et prirent la direction du Terrier.Durant leur trajet ils mangèrent les délicieuses choses que Georges avait trouver.
- Mais ou à tu trouvé cette nourriture? demanda Harry
- Dans la chambre à ton cousin. Lui aussi cache des trucs dans sa chambre! répondit Georges.
Harry et Fred rigolèrent et continuèrent leur route. Une heure plus tard, ils arrivèrent au Terrier. Dès qu'ils posèrent le pied par terre, Mrs Wealsey accoura et serra ses fils et Harry dans ses bras.
- Arrête maman tu vas nous étouffer! dit Georges
- Oh, mes chéris vous êtes sain et sauf! dit Mrs Weasley. Venez à l'intérieur, tout le monde vous attendais avec impatience.
Dès que les jumeaux et Harry pénétrèrent dans la maison, ils furent assaillis de questions. La plupart des question venait de Ron, avide de savoir ce qu'il s'était passé chez les Dursley. Harry leur raconta l'histoire dans tous ces détails avec l'aide de Fred et de Georges. De temps en temps, on entendait des éclat de rires mais tout fut interrompu lorsque Mrs Weasley leur ordonna d'aller se coucher. Le lendemain, ils devaient aller au chemin de traverse pour acheter les fournitures scolaires. Harry s'endormit très vite cette nuit là, satisfait de ce qu'il avait fait subir aux Dursley un peu plus tôt dans l'après midi

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Chapitre 3: Godric's Hollow

Le lendemain matin, Mrs Weasley réveilla tout le monde de très bonne heure. Tout le monde decendit les escaliers, les cheveux ébourriffés et de tout petit yeux, symbole d'une nuit beaucoup trop courte. Tout le monde se sentit mieux quand une bonne odeur de bacon grillé et d'oeufs brouillés leur parvint aux narines. C'est là qu'il se redirent compte à quel point leur estomac criait famine.
- Allez, allez, on se dépêche, on n'a pas qu ça à faire! dit Mrs Weasley d´un air surexcité
Pour toute réponse, on entendait un long grognement général.
- Pourquoi tu nous à reveillé si tôt? demanda Ginny d'une voix de souris.
- Parce qu'on va voir la maison à Harry et faire un petit bonjour à ses parents! répondit Mrs Weasley, tout en rougissant. Et puis de toute façon on doit d'abord aller au chemin de traverse pour acheter vos manuels scolaires!
Harry, qui devait être encore sur son petit nuage, sursauta en entendant son nom et qu'ils iraient voir ses parents. Tout le monde se dépêcha alors de manger, sans doute parce qu'ils avaient hâte de voir la tombe de Lily et James Potter. Un dizaine de minutes plus tard, tout le monde était prêt et Harry avait déjà prit quelques affaires qu'il pouvait mettre dans sa maison. Ils prirent la poudre de cheminette pour se rendre au chemin de traverse afin d'y faire acquisitions de leur matériel scolaires. Chez Fleury et Botts, ils rencontèrent les personnes qu'ils aimaient le moins à Poudlard: Malefoy et ses deux acolytes Crabbe et Goyle. Ces deux derniers avaient grossis durant l'été, ils avait pratiquement la taille de Dudley, quant à Malefoy, il était plus pâle et plus maigre que jamais.
- Ah, tiens, c'est le petit Popotter, les Weasmoches et la miss je-sais-tout! ricana Malefoy.
- TRAITRE! ASSASSIN! beugla Harry. C'EST A CAUSE DE TOI QUE DUMBLEDORE EST MORT! Tu vas me le payer très cher espèce de sale petit crétin bouseux!
- Comment tu m'appelé? demanda Malefoy, avec le regard mauvais
- T'as très bien entendu comment je t'ai appelé, répliqua Harry
- Les oreilles c'est comme tout, ça se lave, intervient alors Hermione
- Toi je ne t'ai pas demandé ton avis, espèce de sang de bourbe! dit Malefoy
Entre temps, toute la clientèle de la librairie s'était rassemblée autour du groupe de jeunes. Le terme que Malefoy avait employé enver Hermione avait fait hurler toute l'assemblée. Mais Hermione quant à elle, elle était restée comme un bloc de glace devant cette injure, mais elle continuait sans cesse de lancer des regards noirs à son ennemi.
- Allez, les gars, on s'en va, ordonna Malefoy. J'ai honte de parler avec ça.
Crabbe et Goyle ricanèrent et suivirent Malefoy en dohors de la librairie. Peu à peu, la foule se dispersa, mais tout en lançant des fois des regards inquiets vers le petit groupe. A midi, ils allèrent tous au chaudron baveur pour manger quelque chose pour oublier la querelle su matin. L'après midi serait consacré à aller à Godric Hollow pour la maison et la visite des parents à Harry. Ce dernier éprouvait une immense joie de voir enfin ses parents, qu'il avait vu pour la dernière fois, il y a 16 ans déjà. Tout le monde comprenait cette joie, ils savient tous à quel point leur parents leur manqueraient s'ils étaient morts. Ils prirent de nouveau la poudre de cheminette et atterrirent dans le petit studio que Harry avait acheté. Il lui fallut un certain moment pour comprendre qu'il était chez lui. Quelques instant plus tard, Ron, Ginny, Hermione et Mrs Weasley l'avaient rejoint et tous furent ravis de l'endroit que Harry avait acheté. Tout le monde se mit alors à visité le studion c'était un ravissant quatre pièces. Il y avait une chambre avec double lit, une salle de bain, une chambre d'ami, et accoudé à la maison, un petit garage.
- Ravissant dit alors Harry.
Il se tourna alors vers Mrs Weasley et lui demanda:
- Est ce que pendant les vacances de cette année scolaire, Ron et Ginny pourraient venir chez moi? demanda t'il le regard plein d'espoir.
- Bien sur mon chéri, répondit Mrs Weasley, ravie que Harry ait enfin son chez lui
Harry git alors un énorme sourire, puis demanda à Hermione si elle voulait venir chez luipendant le vacances. Hermione luis sourit et lui répondit qu'elle serait ravi de venir chez lui, si ces parents lui en donnait l'autorisation. Il était tellement conten d'avoir une maison, qu'il commença déjà à poser toutes le affaires qu'il avait emmené. Puis tout à coup, il lui vint une idée. Il courra alors vers Mrs Weasley et lui demanda:
- Mrs Weasley est ce que ça vous dirait de venir manger chez moi un de ces jours?
- Mais oui pourquoi pas! repondit Mrs Weasley.
- Bon d'accord est ce qu ça vous dit après demain?
- D'accord, dit elle.
Vers 16 heures, il allèrent au cimetière, On voyait bien que Harry était anxieux, il ne savait pas ou se trouvait la tombe de ses parents. Comme personne ne savit ou se trouvait la tombe, ils se divisèrent en un groupe de deux et un groupe de trois. Mrs Weasley était avec Ginny et Hermione, et Harry avec Ron. Au bout d'une demi heure, Ginny rejoignit Harry et Ron et leur dit qu'elles avaient trouvé la tombe de Lily et James Potter. Harry courut presque pour voir la tombe de ses parents, mais Ginny le retint juste avant qu'il n'y parvienne. Quand il fut arrivé devant la pierre tombale, il vit à son grand désespoir, que la tombe de ses parents n'avait pas été entretenue depuis des années. Quand Harry se retourna, il ne vit personne derrière lui. Il pensait que sans doute ils voulaient le laisser seuls pendant un moment, mais ils revinrent avec plusieurs seaux et plusieurs éponges.
- Pourquoi ces seaux et se épongs? chuchota Harry
- Mais pour nettoyer la tombe de tes parents bougre d'idiot! répondit Ron
Puis ils se mirent à nettoyer la tombe et deux heures plus tard, elle avait l'air d'être plus neuve que jamais.
Bon il ne manque plus que les fleurs, dit Mrs Weasley en examinant la tombe. Je reviens tout de suite.

Pendant que Mrs Weasley partait chercher des fleurs, Harry, Ron, Ginny et Hermione regardèrent la tombe des Potter. Au bout de quelques minutes de silence, Hermione demanda à Harry:
- Alors Harry,ça te fais quoi de revoir tes parents?
- C'est bizarre, répondit Harry. Tout aurait pu être différent, si Voldemort - Ron et Ginny tressaillirent- ne serait pas venu cette nuit là. Vous avez de la chance vous d'avoir encore vos parents.
Hermione, Ron et Ginny baissèrent les yeux honteux. Il avait raison, eux avait encore leur parents, alors que lui en avait été privé dès l'âge de 1 ans, et qu´il vient à peine de les retrouver, mais au cimetière. A ce moment là, Mrs Weasley revint avec une belle compostion de fleur et un petit vase.
- Tiens Harry. A toi l'honneur de les déposer sur la tombe de tes parents.
Harry prit le vase et les fleurs et déposa le tout sur la tombe puis déclara:
- Demain, j'aimerais bien aller au chemin de traverse. J'ai quelques petits trucs à acheter. Et puis après j'aimerais bien retourner au cimetière.
- Bien sur mon chéri, répondit Mrs Weasley
- Est ce qu'on peu venir avec lui? demandèrent en coeur Ron, Ginny et Hermione
- Shhhhhhhhhhht! dit Mrs Weasley. On est dans un cimetière, il faut respecter les morts!
- Ah désolé,dit Ron d'un air tout à fait stupide.
- Est ce qu'on peut aller avec Harry demain au chemin de traverse? reprit Ginny plus bas
Mrs Weasley acquiesça, après un long moment d'hésitation. Vers 19 heures, Mrs Weasley décida qu'il était temps de rentrer, parce que l'estomac de Ron criait famine et que les autres Weasley seraient sûrement rentrés de leur travail, et qu'ils devaient s'inquiéter. Cinq minutes plus tard, toute la famille était au complet et Mrs Weasley prépara quelque chose de bon et de rapide pour ne plus entendre son plus jeune fils se plaindre parce qu'il avait faim. Hermione lui disait de temps en temps qu'il pensait trop à son estomac et qu'un jour il allait exploser. Mais Ron comme d'habitude ne l'écoutait pas. Il trouvait qu'elle était complètement hors sujet. Lui trouvait que manger était bon pour la santé ( bien qu'il n'ai pas précisé ce qui était bon pour la santé). Une fois Hermione lui avait dit qu'il fallait manger pour vivre et non vivre pour manger. Ron ne savait plus quoi répondre et la regardait d'un air complètement stupide, avant de comprendre ce qu'elle voulait dire.

A 22 heures tout le monde alla se coucher. Harry n'arraivait pas à fermer l'oeil pendant un moment. Il repensait à ce qu'il s'était passé l'après midi même, quand il était dans sa maison puis dans le cimetière. Il pensait à ses parents, la dernière fois qu'il les avait vu dans le miroir du risèd, quand il était en première année. Il savait à présent à quoi ils ressemblaient. Puis il sombra dans un sommeil sans rêve. Le lendemain matin, Harry se réveilla le premier et en attendant que les autres Weasley soient réveillés, il descendit dans le salon. A sa grande surprise, Mrs Weasley était déjà réveillée, mais elle paraissait encore dans les choux: elle mettait pratiquement tout à côté, les oeufs, le bacon, et elle cassa même une assiette.
- Mrs Weasley est ce que ça va? demanda Harry d'un air inquiet
- Ah, Harry chéri, tu es déjà réveillé? répondit elle
- Est ce que ça va? redemanda t'il
- Oui, oui, regarde plutôt qui est dans le salon, dit elle d'un ton angoissé.
Harry trouvait bizarre que les Weasley aient de la visite si tôt le matin. Harry se dirigea alors vers le salon et ne pu se retenir d'une expression de profond dégoût en voyant la personne qui se dressait devant lui: Perçy Weasley. Harry n'avait certes pas oublier quand Perçy avait recommendé à Ron de s'éloigner de Harry, quand ils étaient en cinquième année. Perçy quand à lui n'avait pas beaucoup changé depuis la dernière fois que Harry l'avait vu. Il s'était juste coupé les cheveux. Les deux hommes se dévisagèrent mutuellement jusqu'a ce que Perçy prenne la parole.
- Je vois que Père et Mère tiennent encore beaucoup à toi, sinon ils ne t'auraient pas invité ici.
- Et alors ça te gêne? Moi en revanche, je constate que tu n'as pas changé d'opinion à mon égard répondit Harry
- Je ne vois pas en quoi je devrais changer d'opinion à ton égard. Je pense toujours que tu devais t'éloigner de mon frère Ron.
- C'est nous que ça regarde si on veux encore être amis, rétorqua Harry
Perçy eut un petit sourire narquois quand Mrs Weasley apporta les oeufs et le bacon devant le nez à Perçy. Il prit l'assiette sans un regard à sa mère, ni un remerciement.
- Tu pourrais au moins regarder ta mère et lui dire merci, rétorqua Harry
Perçy lança un regard dégoûté à Harry puis murmura un vague "merci" à sa mère. Harry était dégoûté de la scène qui s'offrait à lui, il décida donc de remonter se coucher. Sans s'en rendre compte il faisait un véritable raffut. Harry s'enroula dans sa couette et regarda le mur d'un air féroce. Il ne voulait pas croire au retour de Perçy. Ron se réveilla quelques instants plus tard et regarda Harry d'un air ensommeillé.
- Ca va Harry?
- Mouais. Ton crétin de frère Perçy est de retour. Il est en bas dans le salon.
- Quoi ce crétin bouseux est de retour? cria Ron en sautant hors de son lit. Attends moi là, je vais voir Fred et Georges.
Ron sortit de la chambre en trombe et se rendit dans la chambre de ses frères. En deux temps trois mouvement Ron leur expliqua la situation et Fred et Georges sortirent de leur chambre avec quelques pralines longue langue. Perçy serait ravi de prendre de ces bonbon lui avait dit Fred.

Ron retourna dans sa chambre et dit à Harry de le suivre dans le salon. Il voulait absolument voir l'accueil que Fred et Georges allaient réserver à Perçy. Les deux garçon s'arrêtèrent sur le seuil de la porte du salon et regardèrent la scène qui s'offrait à eux. Les jumeaux se tenaient devant Perçy, l'air de vouloir le défoncer. Perçy quant à lui restait confit, il n'avait pas bougé d'un poil depuis l'instant où Harry l'avais quitté.
- Tiens regarde Georges, y a le PeC qui est la! dit Fred
- Ouais, on se demande pourquoi le Prétentieux et Craneur est revenu, continua Georges
- Tiens on a quelque chose pour toi, dit Fred en lui tendant un bonbon à l'allure appétissante
Perçy prit le bonbon d'un air méfiant, hésita quelques instant puis le mis en bouche. Fred et Georges se regardèrent en souriant puis regardèrent Ron et Harry du coin de l'oeil, tout en leur faisant un clin d'oeil. Perçy les regarda d'un air méfiant, puis, fit un grot rot qui se fit entendre dans toute la maison. Quelques instants plus tard, tous les Weasley et Hermione s'étaient retrouvés dans le salon. Tout le monde rigola quand ils virent la langue de Perçy qui s'allongeait de plus en plus.
- Encore un petit cadeau, Furunculus! dit Georges qui avait pointé sa baguette sur son frère aîné.
Peu à peu, de gros boutons remplis de pus commencèrent à s'installer sur le visage de Perçy. Ce qui ne pouvait qu'augmenter le fou rire de Fred, Georges, Ron, Ginny, Harry et Hermione. Mr et Mrs Weasley, quant à eux, avaient le sourire jusqu'aux oreilles. Perçy commencait à avoir peur,et par dessus tout, il détestait qu'on le prenne pour un gros débile ambulant. Il jeta un dernier regard assassin à sa famille et s'enfuia en courant.
- Eh! Le bouseux! On en a pas fini encore avec toi! cria Fred qui avait commencé à lui courir après.
Mais c'était trop tard, Perçy avait déjà transplané. Les jumeaux renvinrent dans la maison et avaient l'air fier d'eux. Ron prit alors la parole.
- Super l'accueil! C'était top!
- Merci, frérot, dit Fred.C'était un honneur pour nous de faire du mal à ce petit prétentieux et craneur, conclua Georges.
- Allez, tout le monde à table, appela Mrs Weasley
En même pas trente secondes, tout le monde était à table et attendait qu'il soit servit. A ce moment là, Errol entra dans la cuisine et se cracha sur la table. Ron prit alors les trois lettres qui étaient accroché à la patte du hibou assomé.
- Ce sont des lettres du ministère, dit Ron en tendant à Harry et à Hermione leur lettres.

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Chacun prit leur lettres et commencèrent à les lire. Fred lisait pr dessus l'épaule à Ron, Georges par dessus celle d'Hermione et Ginny par dessus celle de Harry.
- Ce sont des lettres pour le transplanage, dit Harry à l'attention de Mr et Mrs Weasley, après avoir lu sa lettre. Je passe demain, à 14 heures. Et vous?
- Pareil, dit Ron l'air anxieux
- Pareil, répondit Hermione, qui parassait toute excitée.
- Maintenant espérons que Malefoy ne passe pas demain aussi! dit Harry la mine sinistre. Bon on y va?
- Où? demanda Ron qui semblait déjà avoir oublier
- Au chemin de traverse et à la tombe de mes parents, bougre d'idiot, répondit Harry en levant les yeux vers le plafond.
- Ah... d'accord, répondit Ron
- Ne rentrez pas trop tard, dit Mrs Weasley
- Oui, madame, dit Harry en souriant.
Cinq minutes plus tard, Harry, Ginny, Ron et Hermione partirent au chemin de traverse.
- Au fait, qu'est ce que tu veux faire au chemin de traverse? demanda Ginny
Je comptais acheter quelque chose pour mes parents, tu verras bien, je peux pas très bien te l'expliquer maintenant.
Ginny ne posa pas d'autre question, confiante dans ce que son ami voulait faire. Les quatre amis traînèrent un peu sur le chemin de traverse, s'arrêtant de temps en temps pour regarder des accessoires de Quidditch ou bien pour acheter quelque chose à grignoter. Au bout d'une heure, ils arrivèrent devant un magasin à l'allure sinistre où il y avait de petites plaque de marbres où l'on pouvait lire " a mes parents", ou bien, " a mon frère". Harry s'arrêta quelques instant devant cette boutique, puis entra, suivit de ses amis. Tout était si lugubre dans ce magasin, qu'on avait l'impression qu'on allait mourir dans cet endroit. Il faisait froid, malgré qu'on était en été, et tout était mal entretenu, comme si c'était délaissé depuis des années. A première vue il n'y avait personne, mais quelques minutes plus tard, un vieil homme, le cheveux grisonnants, arriva à l'avant du magasin.
- Ah, Mr Potter
Harry vit que l'homme faisait le même regard que tous les autres, le même regard machinal vers son front, à l'endroit précis où se trouvait sa cicatrice.
- Que puis je fair pour vous? demanda t'il d'une voix cassée
Je voudrais avoir une de ces petites plaques de marbre que l'on pose sur les tombes.
- Puis je me permettre de vous demander pour qui cette pierre est déstinée?
- C'est pour la tombe de mes parents.
- Je comprends, je comprends, dit le vieil homme en partant vers l'arrière de la boutique.
Harry et ses amis attendirent, patiemment d'un air mal à l'aise. Au bout de quelques minutes, l'homme revint avec une magnifique pierre de marbre où l'on pouvait lire " A mes chers parents."
- Merci Monsieur, combien je vous dois?
- 50 Gallions Mr Potter.
Harry sortit 50 Gallions de sa poche et les donna au vieil homme, puis partit. Ron, Hermione et Ginny se sentaient soulagés d'avoir quitté cet endroit, qui leur donnait la chair de poule. Ils allèrent donc chez Florian Fortarôme pour manger une glace bien froide. Ils décidèrent aussi d'aller faire un tour du côté du magasin "Weasley, magasin de Farce et Attrapes" parce qu'ils en avaient souvent entendus parler chez les Weasley. Une demi heure plus tard, les quatre amis se rendirent donc dans le magasin de jumeaux pour voir ce qu'ils y vendaient. Harry était impressioné par le nombre d'article qui s'y trouvait. Il se demandait comment ils pouvaient mettre autant d'article dans un endroit aussi petit que celui là. Il y avaait de tout: des pralines longues langues, des parchemins qui insultent, des pillules qui rendent malades et qui guérissent en même temps etc... Harry fut tenté d'acheté plusieurs articles mais il fut contraint de ne pas les acheter en voyant le regard assassin que lui lançait Hermione ( le regard qu'elle lui lançait lui rappelait vaguement de Mrs Weasley qui interdisait ses enfant d'acheter n'importe quelles conneries du genre). Finalement au bout d'une heure, tout le monde repartit les mains vide et un énorme creux dans l'estomac. Il allèrent donc au chaudron baveur où ils rencontrèrent quelques uns de leur camarades de Gryffondor, Dean Thomas et Seamus Finnigan respectivement accompagnés de Lavande Brown ( elle avait définitivement quitté Ron pour aller avec Dean) et Pavarti Patil. Tous les quatre avaient bien grandit durant l'été, et Harry, Ron, Ginny et Hermione apprirent que leurs amis passaient aussi leur permis de transplanage le lendemain. Après avoir rempli convenablement leur estomac, ils se rendirent donc à Godric Hollow, pour voir la tombe des Potter.

Les quatres amis remirent donc tout en place sur la tombe des Potter. Quelques instants plus tards, Harry posa la plaque de marbre sur la tombe de ses parents puis resta silencieux pendant un long moment. De temps à autre, il croyait apercevoir la visage de ses parents flotter dans les airs, mais il pensait que s'était le fruit de son imagination. Il ne voulais pas en parler à ses amis, de peur qu'ils le prennent pour un fou. Après un long moment de reccueillement, Harry, Ron, Ginny et Hermione reprirent la direction du Terrier. Après avoir fait un dernier passage dans la boutique de Fred et Georges, malgré le refus catégorique d'Hermione qui préférait rester dehors. Ayant fait leurs acahts de farces et attrapes pour la journée, Harry constata qu'il lui fallait acheter de la nourriture pour le lendemain. Il n'avait jamais cuit de sa vie, mais il allait tout de même essayer. Hermione, Mrs Weasley et Ginny allaient sûrement l'aider. Ils se rendirent donc dans le supermarché le plus proche pour acheter les ingrédients nécessaires. Après avoir déposer les affaires chez Harry tout le monde retourna au Terrier. Il fallait qu'il se repose, car le lendemain, Harry et Ron passaient leur examen de transplanage.
Le lendemain matin, les trois amis se rendirent donc au ministère de la magie accompagnés de Mr Weasley. A leur plus grand désespoir, Malefoy s'y trouvait aussi, couvert de cicatrice, ce que Hagrid qualifirait de lui même de "petite blessures"
- Tiens Potter et ses chiens-chiens
Les trois amis le regardèrent d'un air rempli de haine.
- Crétin... Alors Voldemort te torture tout doucement jusqu'à ce que tu meurs pour ne pas avoir réussi à tuer Dumbledore de ta propre main? dit Harry
- Tu n'as pas le droit de parler du Seigneur des ténèbres comme ça! répondit Malefoy en sortant sa baguette.
Harry, Ron et Hermione sortirent en même temps leurs baguette, mais Mr Weasley arriva à ce moment là, ce qui leur gachait leur plaisir de faire souffrir Malefoy.
- Je t'attendrais à la sortie, dit Malefoy en rangeant sa baguette.
- D'accord. On verra bien lequel de nous deux est le meilleur.
Malefoy partit de son côté pour son examen de transplanage et Harry, Ron et Hermione partirent du leur.
L'examen de transplanage se passa mal pour Ron. Il avait perdu son nez en cours de route. Le regard des examinateurs lui avait fait comprendre qu'il devait retenter une prochaine fois. Il sortit de la salle d'un air sinistre. Puis ce fut le tour de Harry. Harry avait réussi son permi malgré son manque d'expérience. Il sortit de la salle d'un air satisfait. Les trois amis cherchèrent alors Malefoy des yeux, jusqu'au moment ou quelqu'un atteri derrière eux: Malefoy.
- A ce que je vois, tu as réussi ton examen, lança Harry
- Eh, oui, le mioche. Finnissons en maintenant. Petrificus totalus!
- Protego! dit Harry. Impero!
On voyait Malefoy se prendre pour un cochon. Hermione sortit alors de sa poche une potion et la fit boire à Malefoy. Harry et Ron la regardèrent d'un air ahuri et lui demandèrent ce que c'était comme potion. Elle leur répondit tout simplement du véritaserum, pour savoir si il savait ou non, ce que le mage noir magoullait.

Mais à ce moment là, quatre mangemorts arrivèrent et stupéfixièrent les trois amis et partirent avec Malefoy. Quelques instants plus tards, Mr weasley arriva et les découvrit dans cet état. Il les réanima et les emmena dans son bureau. Il tendit une lettre à son fils et, quand il eut finit de la lire, semblait plus ravi que jamais. Il avait quand même eut son examen de transplanage. Mr Weasley leur ordonna alors de rentrer au Terrier, ils y seraient plus en sécurité là bas. Dans la soirée, tout le monde s'était réuni chez Harry et mangeaient joyeusement lorsque quelqu'un sonna à la porte. Tout le monde regarda Harry, qui lui ne savait pas qui ça pouvait être. Il n'avait pourtant donné son adresse à personne. Il s'avança vers la porte , l'ouvrit et resta ébahi devant les personnes qui se tenaient devant lui. La femme avait des cheveux bruns et était très belle. Elle avait également des yeux verts. Comme ceux de Harry. A côté d'elle, un homme, qui lui avait des cheveux noirs jais et portait des lunettes. Ils lui souriaient tous les deux, mais Harry ne semblait pas les reconnaître. Dans la salle à manger, tout le monde se regardait et ne comprenait rien à ce qu'il se passait. Quand tout à coup:
- Lily! James! lança Mrs Weasley
L'homme et la femme se tournèrent alors vers Mrs Weasley et lui lancèrent un sourire.
- Molly! répondit le dénommé James
- Harry, je te présente tes parents, lui dit Mrs Weasley en souriant.
- Venez entrez, dit Harry en s'ôtant du passage pour qu'ils puissent passer. Pourquoi êtes vous là? Je vous croyais mort!
- Oui, mais on a eu un petit arrangement avec lui, dit sa mère en pointant son doigt vers le ciel.
- On lui as demander de nous faire revivre quelques heures pour qu'on puisse enfin te connaître, maintenant que tu es un homme, répondit son père en prenant Harry par l'épaule. A ce que je vois, il y a quelque chose à manger. On peut?
- Bien sûr! répondit Harry
Harry était tellement content de voir ses parents, qu'il en oublia presque de manger. Sa mère prit alors la parole.
- Alors, c'était comment chez ma soeur?
- Horrible. Ils ne me donnaient pratiquement rien à manger et jusqu'à 11 ans, jai du dormir dans le placard, sous l'escalier
- C'est pour ça que tu es tellement maigre! Allez, mange! lui dit sa mère en remplissant son assiette de poulet et de patates.
- Mais j'ai tout de même survécu grâce aux gâteaux que me préparaient Hermione et Mrs Weasley.
- Et toutes ses personnes sont tes amis? demanda son père
- Oui, il y a Ginny, Fred et Georges, les jumeaux farceurs, Ron et Hermione. Ron et Hermione sont les personnes avec qui je suis le plus souvent quand je suis à Poudlard. Les parents à Hermione sont moldus.
- Et ton ami Ron, est ce qu'il mange toujours comme un cochon? demanda Lily
Tout le monde éclata de rire en voyant Ron s'empiffrer de poulet et de patates. Mais, lui ne semblait pas se rendre compte qu'il mangeait comme un cochon. Il regarda autour de lui d'un air surpris et stupide et se contenta d'un simple "quoi?". Puis les conversations reprirent lentement. Harry raconta en détail ce qu'il avait fait chez son oncle et sa tante, ce qu'il avait fait à Poudlard, puis Voldemort. La conversation dura jusqu'a tard dans la nuit, au rythme des fous rires et des petites anecdotes, jusqu'au moment ou les parents de Harry devaient partir. Pour toujours cette fois ci. Harry pourrait toujours les voir au cimetière. Après qu'ils soient partis, le Weasley, Harry et Hermione repartirent en direction du Terrier.

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Chapitre 4: Poudlard Express

Harry se réveilla le lendemain matin dans la chambre de Ron et se demanda s'il n'avait pas rêvé le retour de ses parents. Ce rêve lui avait parut tellement réel. Il demanda alors à son meilleur ami s'il se souvenait avoir vu ses parents la veille.Ron le regarda pendant de longues minutes d'un air stupide avant de lui répondre qu'il avait du rêver. Le reste de la journée se passa relativement bien malgré l'angoisse des ASPIC qui aurait lieu en fin d'année. Deux jours plus tard, Harry, Ron, Ginny et Hermione se rendirent à la gare King's Cross, voix 9 3/4. A 11 heures, le train partit de la gare de Londres pour se rendre à Poudlard. La première partie du voyage se passa bien. On ne voyait pas Malefoy trainer dans les couloirs, ce qui signifiait qu'il avait préféré rejoindre Voldemort plutôt que de retourner à Poudlard. Les quatre amis discutèrent de tout et de rien, lorsque la porte de luer compartiment s'ouvrit. Neville se tenait à l'entrée du compartiment accompagné d'une jeune fille extrèment ravissante qui se tenait à son bras.
- LUNA! crièrent les quatre amis en la voyant
Elle avait définitivement quitté ses habits ringards pour porter quelque chose de plus naturel. Elle était devenue très belle, maintenant qu'elle était propre et qu'elle avait changer de style. Ses yeux étaient d'un bleu et son sourire révélait toute la beauté de son visage, jusqu'ici caché par un autre style d'habillement. Luna donna alors un bec à Neville ce qui avait valu la surprise générale.
- Depuis quand êtes vous ensemble? demanda Ginny
- Ca fait depuis la fin de l'année dernière, dit Luna en lui adressant un sourire.
- Fallait que j' aille franchement. J'avais très peur mais finallement ça à marché, dit alors Neville. On peut?
- Bien sûr, dit Harry en se poussant un peut pour qu'ils aient de la place.
Ils discutèrent pendant un long moment ensemble, mais à un moment, le train s'arrêta brusquement. Tout devint alors froid, et tout le monde éprouva un étrange sensation, celle de ne plus jamais être heureux de leur vies. Les détraqueurs arrivèrent droit sur le poudlard express. Ils étaient au moins une cinquantaine. Puis vint un bruit lointain d'un duel. Il y avait des mangemorts aussi. Malefoy se trouvait certainement parmi eux. Harry, Ron, Luna, Hermione, Ginny et Neville sortirent dans le couloir et réussirent à éviter de justesse un sortilège de stupéfiction. Le sort foudroya en plein coeur un élève de Poufsouffle. Harry fut bientôt rejoint par les autres membres de l'AD (créer en 5ème année) et ils combattirent tous ensemble les détraqueurset les mangemorts. Neville maîtrisait à perfection le sortilège du détraqueur, ce qui lui à valut d'en chasser plus d'une dizaine. Mais il fut malheureusement touché par un sortilège de pétrification. Les mangemorts étaient sur le point de gagner lorsque les membres de l'ordre du Phoenix arrivèrent et anéentirent le reste des troupes ennemis. Certains, comme Malefoy avaient préféré s'enfuirent en transplanant. Il fallut un certain moment pour que le calme soit enfin rétablit dans le train et qu'il reparte. Tout le monde était à bout de force, mais Harry trouva tout de même assez de force pour parler en priver avec Ginny. Celle-ci le suivit docilement dans les couloirset l'écoutait en silence.
- Ecoute Ginny, je crois que j'ai fait une énorme connerie en n'étant plus avec toi. J'ai dit ça pour que tu sois en sécurité. Je voulais juste que tu sache que je t'aime et que tout ce qu'il y a de plus cher pour moi. Alors je voulais savoir, si on pouvait ressortir ensemble, demanda Harry timidement.
Ginny le regarda et un sourire entendu se dessina sur son visage. Elle sauta alors au cou de Harry, qui le prit pour un oui. Ils s'embrassèrent tendrement pendant plusieurs minutes.
- Oh, Harry, je suis tellement contente! dit Ginny. J'étais tellement triste cet été parce qu'on était plus ensemble!
- Mais sache que tu pourrais être en danger. Je ne tiens pas à te perdre, dit Harry en la tenant dans ses bras.
- Le danger ne me fait pas peur quand je suis avec toi, lui répondit Ginny avec le sourire.
Harry lui rendit son sourire puis l'embrassa longuement avant de retourner dans le compartiment. Le reste du voyage se passa en silence. Tout le monde était sur ses gardes de peur d'une nouvelle attaque de mangemorts et de détraqueurs. Mais par chance plus rien ne se passa jusqu'à leur arrivée à Poudlard.
A Poudlard, Hagrid venait comme d'habitude accueillir les premières années et les escortait avec l'aide des préfets de chaques maison. Harry, Ginny, Neville et Luna se rendirent donc dans la grande salle. Le professeur Mc Gonnagal aavait prit la place de Dumbledore en tant que directrice de Poudlard. Le regard de Harry s'arrêta sur la chaise vide à côté de celle de la nouvelle directrice. Harry se demanda alors qui pouvait bien être le directeur adjoint.

A ce moment là, la porte de la grande salle s'ouvrit et Hagrid se dirigea vers l'avant de la grande salle, de façon à être en face de la directrice, accompagné des nouveaux élèves trempés jusqu'aux os. Harry fut surpris de voir à quel point les premières années étaient petits. Le professeur Mc Gonagal se leva et demanda le silence de la part de ses élèves.
- Tout d'abord, je souhaite la bienvenue à tous les premières années et je leur souhaite beaucoup de courage pour affronter cette nouvelle année qui sera sûrement pleine de joies et de surprises. Je voulais ensuite rendre un hommage à mon prédécesseur, le professeur Dumbledore, qui est mort en juin dernier. Je vous demande à tous une minute de silence.
Tout le monde imita le professeur Mc Gonagall et se reccueilli à la mémoire de l'ancien directeur. Au bout d'une minute de silence, le professeur Mc Gonagall reprit la parole:
- Merci de lui avoir rendu hommage. Maintenant avant que la cérémonie de répartition ne commence, je tiens à vous rappeler que tout objet magique non identifiés plus couremment appelé OMNI, sont à rapporter à notre concièrge, Mr Rusard. J'ai aussi le plaisir de vous annoncer que le poste de directeur adjoint sera à présent occupé par le gardien des clés de Poudlard, le professeur Rubeus Hagrid.
L'assemblée se leva une fois de plus, mais cette fois ci avec des cris de joies. Un sorcier qui passait par là, se demanderais pourquoi il y a tant de bruit dans cette école. Le sourire aux lèvres, la nouvelle directrice fit un geste pour les inciter au silence.
- Cette année, le professeur de Défence Contre Les Forces du Mal sera repris par le professeur Lupin - un sourire se dessina sur le visage de Harry - qui sera aussi chargé de la sécurité de Poudlard et de ses élèves. La cérémonie peut maintenant commencer.
La directrice se rassit sur sa chaise et attendit en silence le début de la répartition...

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Chapitre 5: Le retour de Lupin

Sur un petit tabouret, un vieux chapeau rapriécé semblait réfléchir. Soudain une fente s´ouvrit du choixpeau magique qui commença à chanter :

Je le sais
Je suis laid
Mais mes conseils sont précieux.
Il y a mille ans déjà, en ces lieux
Poudlard fut construit
Par quatre magiciens très instruits :
Godric Gryffondor
Le courageux lion d´or,
Rowena Serdaigle
Elle, recrutait les intellectuels
Salazard Serpentard
Qui adorait la magie noire.
Helga Poufsouffle
Pour ceux qui jamais de son choix ne souffrent.
Peu après commençèrent conflits,
C´est alors que Salazard Serpentard, tout déconfit
Quitta cette école, son travail accompli.
On m´a donc doté d´un cerveau
Capable de placer chaque nouveau
Dans la maison à laquelle il appartient,
Celle qui le mieux lui convient :
Gryffondor
Pour les grands trompe-la-mort,
Serdaigle
Pour les plus espiègles,
Serpentard
Pour les vantards ("connards", ça marche aussi)
Poufsouffle, ma foie, elle prenait
Tous ceux qui restaient

Quand le choixpeau se tut, un énorme brouhaha avait rempli la salle. Les nouveaux élèves, eux, étaient moins terrifés qu´au début, soulagés de ne pas avoir attéri dans une école de fous.

Puis Hagrid prit alors la parole:
- Quand j´appellerais votre nom, vous viendrez devant et je vous metterais le choipeaux qui vous répartira dans la maison qui vous convient le mieux. La maison dans laquelle vous serez envoyer, sera comme votre deuxième famille. Si vous faites des bêtises, vous ferez perdre des points à votre maison. Si votre comportement et votre travail est satisfaisant, vous ferez gagner des points à votre maison. BOND Erika
La jeune fille s´avança timidement vers le tabouret puis enfila le chapeau. Après quelques instant de reflexion, le choixpeau s´écria:
- POUFSOUFFLE
Des acclamations de joies si fit entendre de la table des Poufsouffle.
- BARGE Cyril
- SERPENTARD!
La répartition se déroula sans grand problème majeur, à part que l´estomac de Ron criait famine, et Ron n´arrêtais pas de se plaindre que la répartition était dix fois trop lente. A la fin de la répartition, le professeur Mc Gonnagall se leva et dit:
- Maintenant que les nouveaux élèves ont été placés dans leur maison respective, il ne me reste plus qu´a vous souhaiter bon appétit.
- Ah! enfin! s´écria Ron en ragrdant son assiette remplie.
Puis il s´y attaqua sous le regard accusateur de sa soeur et d´Hermione. Le banquet de début d´année se déroula parfaitement au rythme de fou rires et de différentes anecdotes. Seul Ron ne participait pas vraiment à l´euphorie générale. Il était trop prépoccupé par sa nourriture. A la fin du banquet, le professeur Mc Gonnagall reprit la parole:
- Maintenant que nous avons remplis notre estomac et étanché notre soif, je vous suggère de tous aller vous coucher. Demain commencent les cours, et il faut que vous soyez en pleine forme. Vous serez accompagnés a vos dortoir par les préfets de chaque maisons. Sur ce... Bonne nuit.
- Gryffondor, suivez moi! cria Hermione
Les nouveaux élèves suivirent Hermione qui leur expliquait les différents enchantements de Poudlard, et de ne pas se laisser piéger par Peeves, l´esprit frappeur de l´école. Arrivés dans la salle commune de Gryffonor, la jeune fille leur expliqua où étaient les dortoirs des filles, puis ceux des garçons, et qu´ils trouveraient leur uniformes au pied de leur lit. Voyant que les "jeunes recrues" étaient fatigués, Hermione n´en rajouta pas plus puis les laissa aller se coucher. Peu après, elle rejoignit ses deux amis qui l´attendaient impatiemment.
- franchement Ron, tu devrais plus assumer ton rôle de préfet. Ce n´est pas étonnant que le professeur Mc Gonnagall ne t´ait pas nommé Prefet en Chef, dit elle en montrant son insigne de préfet en chef
- Je trouve que tu te débrouille très bien sans moi, répliqua Ron
Harry souriait en voyant ses amis se chamailler de nouveau pour un rien. Ron, cependant, faisait la grimace. Harry en avait marre que ses amis se chamaillent pour un rien, il décida alors d´aller se coucher. Ce qui arrangea Ron, pensa Harry, en voyant la tête satisfaite de son ami. Ron le rejoignit dix minutes plus tard, la mine réjouie. Croyant que Harry dormait, Ron ne voulais pas le réveiller. Il lui dirait le lendemain.
Le lendemain matin, Harry et Ron se réveillèrent en même temps, puis rejoignirent Hermione dans la salle commune. Ron lui donna un baiser, malgré le regard quelque peu réticent d´Hermione qui tentait plutôt de fuir le baiser de Ron. Harry sourit, content de savoir que ses deux meilleurs amis sortaient ensemble. Ron prit alors la parole:
- Eh, oui, on sort ensemble. Depuis Hier soir.
- Je suis content pour vous, dit alors Harry sincèrement.
Quelques instant plus tard, ils furent rejoints par une Ginny encore ensommeillée qui tomba dans les bras de Harry. Harry la réveilla tendrement en lui donnant un baiser sur son front.

Quelques instants plus tard, les quatres amis descendirent dans la grande salle prendre leur petit déjeuner. Ils s´assirent à la table des Gryffondor et attendirent que les plats apparaissent deavant eux. Pedant le temps où ils mangaient, Hagrid passa dans les différentes allées pour distribuer les emplois du temps des élèves. Harry survola son emploi du temps et fit une grimace en voyant que le mercredi matin, ils commençaient par un double cours de potions magiques avec les serpentards. Harry savait que Slughorn allait le favoriser, du fait que l´an passé, Harry était devenu bon en potion, grâce au livre de potion de son ancien professeur, le professeur Rogue. La perspective que Slughorn allait le favorisé le fit sourire. Il imaginait déjà la tête des serpentards, en voyant que l´actuel maître des potions favorisait un élève de Gryffondor. Surtout pour quelqu´un qui a été à Serpentard, durant sa scolarité à Poudlard. Eux, étaient toujours favorisé pendant le temps ou Rogue était professeur. Il regarda par dessu l´épaule de sa petite copine et vit qu´elle commençait par divination. Avec les Poufsouffles. Ron, quant à lui paraissait complètement démoralisé à l´idée d´avoir un double cours de potion avec les serpentards, le mercredi matin. Mais autre chose le fit sourire. Les 7èmes années commençaient avec un double cours de défence contre les forces du mal, avec le professeur Lupin. Harry en jubilait presque, il ne tenait pratiquement plus en place à l´idée de revoir son prof préféré. Le seul ami de ses parents qui soit encore en vie, et que Harry connaisse. Hermione, quant à elle, paraissait inquiète et voulait dire quelque chose, mais que cette chose la mettait mal à l´aise puisqu´elle savait qu´elle deavait restée secrète le plus souvent possible. De ce fait, elle gesticulait dans tous les sens, et renversa moitié de sa nourriture sur la table et se dépêcha de la ramasser, avant que les autres ne remarquent ce qu´elle venait de faire. Ginny prenait tout son temps pour manger et Harrydût la secouer pour la réveiller. Après avoir pris un excellent petit déjeuner, Harry donna un tendre baiser à Ginny puis partit en direction de la salle où avit lieu les cours de défense contre les force du mal, accompagné de ses amis. ROn et Hermione se tenaient par la main et Harry n´était pas encore habitué à les voir ensemble. Eux qui se disputaient tout le temps pour un rien. Quelques intants plus tard, les trois amis arrivèrent devant la salle de classe du professeur Lupin, qui leur fit signe d´entrer et de s´installer. Harry, Ron et Hermione prirent les places de devant, pour mieux suivre le cours, qui allait sans doute se révélé passionnant. Ron était plutôt obligé de suivre ses amis, lui, qui aurait préféré rester derrière. Le professeur Lupin prit alors la parole après un long moment de silence:
- Bonjour à tous, je suis là pour vous enseigner les défenses contre les force du mal. Par les temps qui cours, ce qui vous sera appris dans cette salle doit vous servir pour vous battre contre les forces du mal. Autrement dit, les mangemorts et Vous savez qui. Mais vous, votre tache consistera sans doute à battre les mangemort. D´après ce qu´on dit, une seule personne dans le monde sorcier PEUT détruire Vous Savez Qui. Et cette personne se trouve juste devant moi. Harry Potter.

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Harry baissa les yeux et se sentit rougir. Il sentait également tous les regard de la classe se poser sur lui. Pourquoi était t´il tellement célèbre? Il aurait tant voulu être un adolescent comme les autres. Mais il a fallu que Voldemort vienne chez lui, le soir d´halloween, tuer ses parents, puis tenter de le tuer aussi. Cette lumière verte aveuglante dont il rêvait des fois la nuit, c´était ça. Le sort que Voldemort lui avait lancé. Tout était réduit en un seul soir, tout une vie, une vie de famille qui aurait pu être heureuse avec ses parents. Harry releva la tête et vu que le professeur Lupin avais déjà recommencé à parler.
- ...Impardonnables. Qui peut me les citer?
Harry savait tout de suite de quoi il en retournait. La main d´Hermione s´était levé à la vitesse d´un boulet de canon, comme d´habitude et Harry leva également la sienne. A la surprise générale, les mains de Ron et de Neville se levèrent, timidement.
- Oui, Hermione, cite moi en un? dit le professeur Lupin en montrant la jeune fille du doigt.
- Il y a le sortilège Doloris. Il sert à infliger une douleur abominable à son adversaire, récita Hermione
- Bien, 10 points pour Gryffondor.
Hermione sourit et s´adossa contre le dossier de sa chaise. Pendant ce temps, Lupin avait interrogé Neville qui répondit lentement:
- Le sortilège de l´Impérium. Je crois qu´il sert à contrôler entièrement son adversaire, pour qu´il devienne le pantin du sorcier qui a lancé le sort.
- Bien, Neville. 10 points pour Gryffondor. A toi Harry.
- Le sortilège de la mort, dit il d´un ton plein de haine. Celui qui a tué mes parents... celui qui était censé me tuer...
Son regard se perdit dans le vide. Tout le monde savait sans doute à quoi il pensait. Il désirait sans doute tuer celui qui avait tué ses parents. Entre temps, Lupin avit mis dix autres pooints supplémentaires à Gryffondor. A ce moment là, la cloche sonna et les élèves sortirent de leurs cours, ravi d´avoir pus se rafraîchir la mémoire de cette façon.

Harry, Ron et Hermione se rendirent donc dans le parc ou avait lieu leur premier cours de Soins aux Créatures Magiques avec Hagrid. Ron et Hermione regardaient Harry d'un air inquiet, soucieux de ce que leur ami pouvait ruminer dans sa cervelle. Il fut alors tiré de ses pensées par la voix tonitruante de Hagrid qui leur disait de se rapprocher. Il leur fit d'abord un discours, digne d'un directeur adjoint :
- Tout d'abord, je tiens à vous dire que cette année est très importante pour vous. Comme vous le savez tous , cette année est l'année de vos ASPIC. C'est ces diplômes qui vous permettrons soit de poursuivre vos études ou soit de rentrer directement dans la vie active. A vous de choisir. Mais vous aurez un plus ample discussion avec le directeur ou la directrice de votre propre maison. Ils passerons chacun dans votre salle commune afin de se renseigner des souhaits de chacun.
Les pensées de Harry se tournèrent vers le professeur Mc Gonagall et pensait à ce qu'elle avait dit une fois, quand elle était avec lui et le professeur Rogue. « Je vous aiderais à devenir Auror, Potter, même si ce serait la dernière chose de ma vie que je ferait ». Cette pensée ne cessait pas de faire le tour de sa tête. Puis il reporta son attention sur ce que Hagrid disait. Celui ci avait décidé de leur faire part d'une nouvelle espèce qui était particulièrement répugnante. Cette bête était couramment appelés chatosaure. Le chatosaure était petit, vert, gluant et n'arrêtais pas de gesticuler dans tous les sens (dans un enclos) en laissant derrière eux des longues traînées vertes et gluantes. Ils avaient également la particularité d'avoir de longues dents (si on peut appeler ça une particularité) qui leur servait à transpercer n'importe quel objet plus ou moins dure. Donc ils valait mieux ne jamais s'en approcher, pensa Harry quand Hagrid leur avait dit ce que pouvait faire leurs dents. Leur premier travail étant donc d'essayer de les apprivoiser. Un bon nombre d'élève étaient apeurés à l'idée d'approcher des ces chatosaures. Harry, Ron et Hermione se demandaient, quant à eux, comment Hagrid avait réussi à s'en procurer. Les trois amis savaient très bien que Hagrid avait un faible pour les créatures magiques. Ils se souvenaient bien de leur première année avec le chien à trois têtes, le dénommé Touffu, et bien sur le norvégien à crête, un dragon, qu'il avait décidé d'appeler Norbert. A la fin du cours, les trois amis se rendirent donc dans la grande salle, rejoints ensuite par Ginny. Ron et Hermione n'arrêtaient pas de s'embrasser et Harry et Ginny ne pouvaient s'empêcher de se lancer des regards furtifs tout en essayant de ne pas éclater de rire. La façon dont Ron s'y prenait avec Hermione était épouvantable et ils se demandaient tous les deux comment il avait réussi à sortir avec Lavande Brown, une fille de la même année que Harry, Ron et Hermione mais également leur camarade Gryffondor. Dès que les plats furent servis Ron se jeta sur son repas et prêta plus d'attention à son assiette qu'à Hermione. Les quatre amis rirent de bon cœur, pendant leur repas, mais ne remarquèrent que à la fin de leur repas qu'il manquait quelqu'un à la table des professeurs. En effet le professeur Lupin n'était pas là. Peut être était il parti avant qu'on ne le voie ou bien il avait tenu à manger dans son bureau. Inutile de s'inquiéter avait dit Hermione. Tout à coup, leurs regards se levèrent vers le plafond enchanté : le courrier venait. Un hibou moyen duc fonçait droit sur Hermione, qui eut juste le temps avant que ce dernier n'atterrisse sur la table en un vol plané. Hermione prit alors la lettre de la patte du hibou inanimé et l'ouvrit avec hâte. Ron quand à lui regardait par dessus l'épaule de sa petite amie. Quand il vit la signature il ne put se retenir d'une moue de déception. Harry paraissait inquiet et demanda à Hermione :
- C'est qui ?
- C'est Viktor, dit la jeune fille d'une voix indifférente.
- Krum ?
La jeune fille acquieça et rangea la lettre dans la poche de sa robe.
- Qu'est ce qu'il dit ? Si c'est pas trop indiscret ? poursuivit Harry en jetant un regard oblique à son ami.
- Oh, rien de spécial. Il me parle souvent de Quidditch. Il est aussi déçu que je ne sois plus sa petite amie.
Quand Hermione avait dit ces mots, elle avait rougie, avant de secouer la tête pour penser à autre chose. Ensuite les quatre amis se remirent en route pour aller en cours. Ron et Harry allait en divination, quant à Hermione, elle allait en cours d'arithmancie et Ginny, à son cours de potions.
Les cours de divination était ceux que Harry aimait le moins. Il faisait toujours une chaleur étouffante dans la salle du professeur Trelawney et cette dernière n'arrêtais pas de lui prédire une mort atroce. Elle aurait pu être plus impressionnante si elle ne lui avait pas fais le coup plus de cent fois. Elle prenait toujours un air tragique, quand elle lui annonçait sa mort mais paraissait ravie quand elle voyait que Harry se sentait mal et qu'il devait aller à l'infirmerie. Il passèrent donc leur deux heures de divination à faire des calculs tout aussi bizarre les uns que les autres et Harry et Ron trouvaient les deux heures interminables. Ils faisaient toujours semblant de travailler quand Trelawney passait, mais s'assoupissaient tout de suite après. Vers quatre heures, les deux amis rejoignirent les deux filles dans la salle commune et discutèrent de leur premier jour de cours. Ron, comme d'habitude se plaignait qu'à la fin de leur année, ils devaient passer leurs ASPIC. Hermione avait déjà préparer un programme de révisions pour ses deux amis. Harry lui était très reconnaissant de ce que Hermione faisait pour lui, mais Ron était plutôt boudeux, quand il lut qu'il devait commencer à réviser dès la fin de la troisième semaine d'octobre.

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Chapitre 6: A la recherche des Horcruxes

Les semaines se suivirent et les quatre amis rendaient de temps à autre visite à leur amis de longue date, Hagrid. Souvent, lors de leur discussion, ils parlaient de Malefoy, que ça les arrangeait tous qu'il soit parti, comme ça il y aura moins d'embrouille à Poudlard. Ce qu'ils aimaient le moins chez Hagrid, c'est ces gâteaux maison qu'il faisait. Ils étaient durs comme du béton et à chaque fois qu'on en mangeait, on manquait presque de perdre une dent. Ils se contentaient simplement de prendre du thé.
Mais malgré les différents cours, les entraînements de Quidditch, les visites chez Hagrid, et leur sorties à Pré au Lard, les quatre amis n'avaient pas beaucoup de temps pour eux.
Ce jour là, quand les quatre amis se rendirent dans la grande salle, ils sentirent une atmosphère d'attente. Tous les regards étaient fixés à la table des professeurs. Après de longues minutes d'attentes, qui leur avait parus interminable, le professeur Mc Gonagall se leva. Le silence se fit immédiatement et tous les élèves étaient suspendus aux lèvres de la directrice. Le professeur Mc Gonagall regarda ses élèves d'un air attentif et commença à parler :
- Cette année, j'ai l'immense plaisir de vous annoncer qu'il y aura plusieurs bals. Il y en aura un pour Halloween, c'est à dire la semaine prochaine, un pour noël, un pour la saint Valentin et un en fin d'année, après les examens, pour que vous puissiez vous vider la tête, parce que je suppose que vous aurez beaucoup réviser –son regard se posa sur Ron- pour vous examens. Maintenant, je vous laisse manger à votre guise, mais pas trop quand même. Bon appétit !
Hermione et Ginny se regardèrent d'un air ravi, quant à Harry et Ron, ils gardaient un mauvais souvenir du bal de noël lors de leur quatrième année. Mais ils se dirent que maintenant ils seraient capable de s'occuper mieux de leur cavalières. Il mangèrent de bon cœur puis retournèrent à la salle commune. Ron et Hermione, prétendant qu'ils avaient autre chose à faire laissèrent Harry et Ginny remonter tous seul à la salle commune. Tout à coup, comme frappé par la foudre, une idée traversa la tête de Harry. Il se tourna alors vers Ginny :
- Est ce que ça te dirait d'aller à la salle sur demande ? demanda Harry, le regard pétillant
Ginny lui sourit, l'embrassa longuement puis acquiesça. Harry alla chercher sa cape d'invisibilité qu'il avait hérité de son père. C'était son cadeau de noël lorsqu'il était en première année.
Après quelques minutes de marches, ils se trouvèrent Après quelques minutes de marches, ils se trouvèrent devant la salle sur demande. Lorsqu'ils ouvrirent la porte, une immense pièce s'offrit à eux, avec un lit deux places, une fenêtre de laquelle on pouvait voir la lune dans toute sa splendeur. La salle était éclairé à la bougie et lui donnait une allure romantique. Ginny regarda la salle d'un air enchanté et marcha dans la salle pour examiner les moindres recoins.
Harry s'avança alors vers sa petite amie, et, elle qui ne semblait plus se souvenir qu'il était là, sursauta en se retournant. Quand elle vit de qui il s'agissait, elle lui sourit, et se décontracta.
- Alors, ça te plait ? demanda Harry en la regarda dans les yeux
- Bien sûr que ça me plait ! Lui dit Ginny
Harry la serra dans ses bras lorsqu'elle reprit la parole :
- Franchement, jamais je n'aurais cru que je serais la petite amie du célèbre Harry Potter, celui qui a détruit Celui – Dont – On – Ne – Doit – Pas – Prononcer – Le – Nom, dit elle en souriant. Et celui qui m'a sauvé des griffes de Tom Jedusor et du Basilic alors qu'il n'était qu'en deuxième année. Ce qui n'a pu qu'accentuer mon admiration pour toi.
Harry sourit, mais ne dit rien. Lui qui n'avait jamais connu ses parents, il avait enfin trouver l'amour d'une jeune fille de 16 ans, celle qui allait peut être, devenir la future Mrs Potter. Cette pensée fit sourire Harry un peu plus. Mais il y avait une chose qu'il ne savait pas (mais vous le saurez qu'à la fin du livre héhéhé)
Harry et Ginny se dirigèrent alors vers la fenêtre pour admirer le clair de lune, lorsque Ginny se blotti contre Harry. Harry la prit alors dans ses bras et lui donna un baiser sur le front. Comme Ginny commençait à avoir froid, ils se mirent au lit tout en se donnant de tendres baisers. Puis il s'endormirent tout doucement bras dans les bras.
Le lendemain matin, Harry et Ginny se levèrent, l'esprit encore embrumé, puis se rappelant où ils étaient se hâtèrent de se rendre dans la salle commune pour mettre leur uniforme puis se rendirent dans la grande salle prendre leur petit déjeuner. Ron et Hermione étaient déjà là et quand ils virent Harry et Ginny arriver ils ne purent s'empêcher de sourire. Lorsque Harry et Ginny furent assis près de leurs amis, Ron prit la parole :
- Alors, qu'est ce que vous avez fait cette nuit ? demanda Ron avec un regard qui en disait long sur ce qu'il pensait
- Oh, rien de spécial, dit Harry en regardant son assiette remplie d'œuf et de bacon.
Pendant ce temps, Ginny rougissait et se cachait dans sa robe.
- Tu sais Harry tu peut me le dire ! Je suis ton meilleur ami après tout !
- Et tu risques d'être mon beau frère aussi marmonna Harry.
- Qu'est ce que tu as dit ?
- J'ai dit que je te le raconterais plus tard.
Visiblement Ron ne le croyait pas mais n'ajouta rien de plus et se concentra de nouveau sur son assiette. Plus tard, les quatre amis se rendirent en cours. Tous leur professeurs les avaient submergés de devoirs, pour que les élèves réussissent leur ASPIC et Hermione qui insistait pour qu'ils utilisent les horaires personnels qu'elle leur avait fait pour mieux répartir leur temps de travail et de révision. Le midi, lorsqu'ils se rendirent à la Grande Salle, Ron se plaignait :
- Ahlalala, les profs veulent nous tuer !
- Les profs veulent simplement qu'on réussisse nos examens ! expliqua Hermione
- Et bien ça ne m'étonnerais même pas que la moitié des élèves de 7ème année se suicident avant la fin de l'année.
Hermione leva les yeux vers le plafond magique et marmonna quelque chose que personne ne pouvait comprendre. Harry soupçonnait qu'elle disait « Ah ! pourquoi je suis tombée amoureuse de ce gars là ! ». Harry sourit, il avait l'habitude que Ron et Hermione se chamaillaient sans arrêt. Mais il se disait que « l'amour commence toujours par la guerre » et c'était le cas pour ses deux amis. Il savait qu'au fond ils s'aimaient.
Le week end qui suivait avait lieu une sortie à Pré au Lard. Harry, Ginny, Ron et Hermione avaient décidés de s'acheter leur robe pour le bal de la semaine d'après. Pour Harry, il avait acheté un costume noir avec une cravate noire et pour Ginny il avait acheté une robe bleu foncé qui lui allait à merveille. Ron quand à lui s'était acheté le même costume noir que Harry. Ron était tellement fier d'avoir une robe qui ne fasse pas vieux jeu et surtout ringard. Quand à Hermione, elle s'était achetée une robe bleu vert qui était en parfait accord avec ses beaux yeux et son beau sourire.
Le bal se rapprochait à toute vitesse et de nombreuses filles gloussaient à chaque fois qu'elles croisaient Harry. Il les soupçonnait qu'elles voulaient aller au bal d'Halloween avec lui. Mais il ne voulait pas aller avec elles, puisqu'il y allait avec Ginny. Souvent il croisait Romilda Vane qui lui lançait des regards noirs, parce que Harry n'était pas tombé amoureux d'elle mais que c'était Ron qui avait mangé les chocogrenouilles au philtre d'amour, et qui était tombé amoureux d'elle, laissant derrière lui Lavande Brown, la fille avec qui il sortait auparavant. Mais Romilda Vane ne lâchait pas prise. Elle voulait toujours que Harry tombe amoureux d'elle. Harry refusait tout simplement tous les cadeaux qu'elle lui offrait.

Le soir, arrivés dans la salle commune, Harry et Ron discutait vivement des match de Quidditch en attendant l'arrivée de leur petites amies. Harry tenait un bout de parchemin qui était probablement destiné à Ginny. Ron voulait absolument savoir ce qu'il y avait de marquer sur ce « vulgaire bout de parchemin ».
- Tu verras après. Et puis arrête de me poser des question sur moi et Ginny sinon je pourrais très bien commencer avec toi et Hermione. Lança Harry.
Après les paroles de Harry, Ron rougit à un tel point qu'on n'arrivait plus a voir où étaient ses tâches de rousseur. Tout à coup, le portrait de la grosse dame pivota, laissant place à deux jeunes filles de 16 et 17 ans. Ginny et Hermione entrèrent dans la salle commune et se dirigèrent vers leur petits amis pour les embrasser. Le regard de Ginny se posa alors sur le bout de parchemin que tenait Harry, puis lui demanda ce que c'était. Harry commença à sentir une boule dans son estomac. Et si ce qu'il avait écrit pour elle ne lui plaisait pas ? Et si.... ? le reste de la question ne vint pas quand il vit le regard pénétrant que lui lançait Ginny (le regard qu'elle lui lançait lui rappelait le regard du professeur Dumbledore). Puis il commença à dire :
- J'ai fait un poème pour toi, dit finalement Harry
- Ah. Et il dit quoi ton poème ? demanda Ginny tout en commençant à rougir

Ginny
Tes yeux sont comme des diamant
Qui brillent dans la nuit
Ton sourire
Me fait chavirer
Ton visage
Me rappelle celui
D'un petit chiot
Auquel on lui aurait refuser de faire un câlin
Tous ces mots tendres
C'est pour te dire
Que je t'aime de tout mon cœur
Et que tu es le femme de ma vie.

En lisant son poème, Harry était devenu tout rouge et n'osait pas regarder Ginny dans les yeux. Tout à coup, il sentit quelque chose le serrer. Il releva la tête et vit que c'était Ginny qui lui souriait. Elle lui chuchota alors à l'oreille :
- C'était très beau comme poème, j'ai bien aimé. Merci.
Harry rougit et embrassa Ginny. Ron les regardait d'un regard vidé d'expression, tandis qu'Hermione regardait Ron, les bras croisés, le regard méchant et elle tapait du pied par terre. Il fallu un certain temps à Ron pour remarquer la présence d'Hermione dans la salle commune.
- J'imagine que tu n'a rien fait pour moi ? demanda Hermione à Ron tout en le regardant bizarrement.
- Je t'accompagne déjà au bal, c'est déjà ça !
- Oui, mais je te ferais remarque que JE suis ta petite amie DONC, j'estime que TU devrais plus t'occuper de la personne que tu aimes.
Ron ouvrit la bouche pour répliquer, mais il savait très bien qu'il allait perdre de toute manière. Ron se renfrogna un peu plus et s'enfonça dans le fauteuil et regardait danser les flammes, sous les fous rires de sa sœur et de Harry. Ils avaient tellement l'habitude de les voir se chicaner, qu'ils ne pouvaient qu'en rire. Ron leur lançait de temps à autre des regards noirs. Il ne supportait pas de voir ses amis se foutre de lui dans la manière dont il se comportait avec sa petite amie.
Pour détendre l'atmosphère, Harry proposa alors d'aller à la Grande Salle pour manger, ce qu'ils acceptèrent tous. Dans la Grande Salle, une étrange atmosphère de joie et d'attente régnait. En effet à la fin de la semaine il y avait les vacances. Mais Harry se réjouissait moins à l'idée des vacances d'Halloween. Deux mois étaient déjà passé et il n'était pas encore partit à la recherche d'un seul Horcruxes. Il se pencha alors vers ses amis et leur dit de manière à ce que ce ne soit que Ron, Hermione et Ginny qui l'entendent :
- A la fin de la semaine je vais chez moi pour les vacances. Je dois partir à la recherche des Horcruxes.
- Alors on vient avec toi, dit Ginny d'un ton déterminé, en tapant la table du poing, tellement fort à attirer les regards curieux de ses camarades Gryffondor.
Ron et Hermione acquiescèrent tout aussi déterminer que l'était Ginny.
- Bon. Il faudra encore demander l'autorisation à tes parents, dit-il en regardant Ginny.
Les quatre amis se hâtèrent donc de manger et se rendirent à la volière et écrirent un courte lettre avec le informations essentielles à Mrs Weasley puis chargèrent Hedwige, la chouette de Harry, d'apporter la lettre à bon port.
Puis après avoir regarder Hedwige s'éloigner dans le ciel les quatre amis se rendirent dans la salle commune, tout en traînant sur le chemin du retour. Durant le trajet, ils rencontrèrent Peeves, l'esprit frappeur de l'école. Ron avait fait, une fois de plus, l'erreur de dire à Peeves de s'enlever de leur passage. Peeves les avait regarder d'un air mauvais puis avait crié « ELEVES HORS DU DORTOIR ! ! ! ». Les quatre amis avaient alors prit leur jambes à leur cou avant que Rusard n'arrive. Ils savaient très bien si Rusard les voyait traîner dans les couloirs, il ne se serait pas gêner pour les amener chez la directrice. Ils savaient s'il se faisaient prendre, ils risqueraient l'expulsion.
Ils arrivèrent donc à la salle commune de Gryffondor, couvert de sueur et Ginny leur dit, en s'effondrant sur un fauteuil :
- Je crois que j'ai jamais couru aussi vite de toute ma vie, dit elle en reprenant des fois son souffle.
Les autres vinrent s'asseoir à côté d'elle le temps qu'ils reprennent leur souffle. Ils était tellement essoufflés qu'ils ne parlèrent pas pendant un certain moment.

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Le reste de la semaine se passa sans encombres, les quatre amis n´attendaient juste que Hedwige leur apporte la réponse de Mrs Weasley. Un matin, lors de la distribution de courrier, la chouette au plumage blanc comme la neige vint se percher sur l´épaule de Harry, puis tendit sa patte. Harry détacha alors la lettre de Mrs Weasley et la tendit à Ginny. Il donna un morceau de toast à Hedwige, qui, après l´avoir mangé (le toast) mordilla affectueusement le doigt de Harry, avant de reprendre son vol vers le volière.
Ginny semblait ravie et tendait la lettre à Harry, qui la lut, de façon à ce que seul Ron et Hermione puissent l´entendre:

Chère Ginny,

Je suis ravie que tu passe tes vacances avec Harry, Ron et Hermione à Godric´s Hollow.
Surtout ne fais pas de bêtise.

Bisous

Maman

P.S: Passe le bonjour à Harry et Hermione. Je compte sur toi pour surveiller ton frère.

Harry releva la tête vers Ron, sourit, puis lui dit:
- Yeu... le petit Ronnie à sa maman doit être surveillé par sa petite soeur! dit Harry qui commençait à rigoler.
- Arrête, c´est pas drôle, dit Ron, dont la mine commençait à se renfrogner.
- Bon il faut y aller, sinon on va être retard en cours, lança Hermione pour couper court à leur conversation.
Le vendredi qui suivait, les quatre amis étaient prêts pour se rendre chez Harry. Ron aurait voulu y aller en transplanant, mais comme Hermione ne ratait pas une occasion de leur rappeller, qu´on ne pouvait pas transplaner à l´intérieur de Poudlard.
Au Pré au Lard, le magicobus les attendait depuis un certain moment. A l´intérieur, ce n´étais pas Stan Rocade, l´habituel contrôleur au visage boutonneux, mais un vieil homme avec une moustache blanche, et la mine fatiguée et ennuyée, comme si le métier de contrôleur avait quelque chose de dévalorisant. Ginny ne semblait pas très rassurée quand elle le vit et alla se serrer dans les bras de Harry. Le contrôleur leur demanda leur destination, la monnaie, puis alla se rassoir dans un coin, à lire la Gazette du Sorcier.
Les quatre amis s´installèrent confortablement, malgré les seccousses fréquentes que provoquait Ernie, le conducteur. Il ne semblait pas avoir eu son permis pour pouvoir rouler avec cet engin pensa Harry. Mais maintenant, il s´y étais habitué, il l´avait déjà utilisé lorsqu'il avait 13 ans.

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Chapitre 7: Le retour de Voldemort

Arrivés à Godric's Hollow, Harry et ses amis s'installèrent confortablement dans le petit studio, acheté il y a quelques mois par Harry. Ron regarda autour de lui et ne vit qu'un lit de place et un lit une place (ou quelque chose comme ça, je sais plus ce que j'ai marqué au début) et se tourna vers Harry.
- Euh, Harry, il y aura pas assez de place pour nous quatre. Il n'y a qu'un lit deux places et un lit une place. La personne qui n'aura pas de lit, elle dort où ?
- Euh...ouais, c'est une bonne question. Et bien la personne qui n'aura pas de lit dormira sur le canapé. Le premier qui arrive à avoir un lit a gagner.
Puis avant qu'il ait pu terminer sa phrase, il était déjà parti et avait pris le lit deux places. Ginny s'étais couchée à côté de lui et Hermione avait pris le lit une place. Puis voyant que Ron n'avait pas de lit ( quelle coïncidence, n'est-il pas ?) , Harry se leva et lui dit :
- Désolé, vieux, ce sera toi qui dormira dans le canapé, lui dit poliment Harry en posant sa main sur l'épaule à son ami.
Ron eut une mine déçue, mais partit installer le canapé comme ça lui convenait. Soudain, un hibou toqua à la fenêtre et Harry, surpris d'avoir du courrier à cette heure là, alla lui ouvrir. Le hibou grand duc entra dans la pièce et déposa quelque chose de lourd dans les bras de Hermione. Harry la regardait bizarrement et lui demanda ce que c'étais.
- Ca doit être la chaîne hi-fi et les quelques CD que j'avais demander à mes parents, dit Hermione ( c'est incohérent, je sais, une chaîne hi-fi dans le monde des sorciers...)
- Une chaîne quoi ? demanda Ginny étonnée
- Une chaîne fi- fi ? demanda Ron
- Non ! dit Harry qui commençait à rigoler devant l'ignorance de Ginny et Ron en matière d'inventions moldue. C'est une chaîne HI-FI !
- Et ça sert à quoi ? demanda Ron, qui commençait de plus en plus à être intéressé par cette invention moldue.
- Ca sert à écouter de la musique, dit Hermione, en pouffant de rire.
- Ah. Ils sont drôlement intelligents, ces moldus, dit Ron, ce qui lui valu un regard noir de la part d'Hermione.
- Bon, dit Harry pour couper la conversation, on devrait plutôt faire un emploi du temps pour savoir comment on va procéder pour détruire ces horcruxes.
Les quatre amis s'installèrent dans la petite salle à manger et sortirent des parchemins et des plumes. Ron ne participait pas vraiment, il était plus préoccupé par le bruit que faisait son estomac que par les horcruxes. Finalement au bout d'une heure, Harry décida qu'il serait peut être temps de manger quelque chose, mais à la grande déception de Ron et des autres, le frigo étais vide...Ils décidèrent donc d'aller au petit restaurant du coin, pour grignoter quelque chose. Mais Hermione semblait ailleurs. Elle semblait déjà dormir sur place, et Harry la sorti de son sommeil :
- Hermione ?... ..
- Hummmmm, dit Hermione d'un ton rêveur en regardant Harry.
- Y quelque chose qu'il ne va pas ? Tu n'as pas dit un mot depuis qu'on est arrivé au restaurant ?
- Oui, oui, je vais bien. Dit elle tranquillement en remuant des jambes.
- Pourquoi tu gigotes comme ça ? demanda Ron, qui commençait à être inquiet.
- Non, rien. Finit elle par dire en tournant sa tête vers la fenêtre.
Harry regarda Ron, qui haussa les épaules puis recommença à manger. Puis après s'être bien remplis l'estomac, ils rentrèrent tous se coucher. Quand tous le monde fût dans le lit, Harry se tourna vers Ginny et lui demanda :
- Ginny ?
- Oui...
- Est ce que tu sais pourquoi Hermione rêve tellement en ce moment ?
- Non... Je sais pas. Pourquoi cette question ?
- Oh, non, c'est juste pour savoir. Je me disait que peut être elle t'aurais dit la raison pourquoi elle est tellement rêveuse en ce moment.
Puis plus rien. Harry semblait avoir aperçu un haussement d'épaule de la part de Ginny, qui après l'avoir embrassé se retourna pour dormir. Elle étais tellement belle quand elle dormait. Il la regarda un instant puis il lui vint une question qui lui brûlait aux lèvres. Il voulait absolument la lui poser. Mais elle semblait dormir tellement profondément qu'il n'osait pas la réveiller. Mais il voulait savoir quelle serait sa réponse. Il voulait savoir. Puis tout à coup comme un force invisible, il l'appela tout doucement :
- Ginny ?
- Quoi encore ? demanda t'elle en se tournant vers son petit ami.
- Je voulais savoir.... C'est peut être un peu tôt pour te le demander, mais....
- Qu'est ce que tu voulais savoir ?
- Je voulais savoir si....
Harry s'interrompit en plein milieu de sa phrase, ne sachant comment le lui dire. Il voyait le regard pénétrant de Ginny, qui attendait patiemment la suite de la phrase. Puis en une seconde qui lui avait parue indéterminable il lui dit :
- Escequetuveumépouser ? dit Harry, qui n'avais pas fait de pause en lui posant la question.
- Quoi ? demanda Ginny. Tu peux répéter plus lentement ?
- Euh... Est ce que tu veux m'épouser. Bien sûr, je comprendrais si tu ne veux pas. Et puis si tu veux on attendra que tu ais 17 ans pour qu'on puisse...
- J'accepte, dit Ginny qui voulait que Harry arrête de parler.
- C'est vrai ? dit alors Harry, tout étonné
- Bien sûr espèce de troll rabougri !l ui lança Ginny avec un rire cristallin. Mais il faudra rien dire au deux autres. On leur dira plus tard.
(Je sais, c'est un peu prématuré tout ça, mais voilà, je trouve que ça fais très romantique tout ça, lol).
Puis après s'être donnés leur dose de baiser, ils s'endormirent blottis l'un contre l'autre. Durant la nuit, Harry se trouvait dans un long couloir. Il ne savait pas ou ça pouvait être. Il était dans une grande pièce ovale. Il ne voyait pratiquement rien, il dû donc utiliser sa baguette. Lumos dit il lentement, en avança dans le noir. Dans la pièce c'était brumeux, et quelques cris lui parvinrent à l'oreille. Les cri d'une jeune fille. Comme si elle était en train de pleurer. Il entendit aussi des rires persans. Des rires qui fendait la tête à Harry. Il avait mal à sa cicatrice, comme si quelqu'un lui avait couper la tête en deux. Il se réveilla alors en sueur, la respiration haletante. Il regardait alors Ginny dormir paisiblement. Puis il se rendormit en ce demandant si ce n'était qu'un simple rêve ou un rêve prémonitoire. Un rêve qui concernait peut être l'une des deux filles qui était avec lui. Le lendemain matin, Harry s'était réveillé de bonne heure pour aller acheter quelque chose. Quand il passa devant le canapé, il ne put s'empêcher d'esquisser un sourire, en voyant Ron dormir sur le dos, la bouche ouverte comme s'il trouvait le plafond absolument sublime. Il passa aussi à côté de la chambre où dormait Hermione et il vit qu'elle était en train de tomber de son it. Il se dépêcha alors de la remettre correctement sur le lit et de la laisser continuer de dormir. Au bout d'une demi heure, Harry revint avec quelques œufs, du bacon, des toast, un peu de jus de citrouille et du café, si il y avait des amateurs. Il retourna alors dans sa chambre et contempla Ginny en train de dormir. Un mince fil de bave ( je sais c'est un peu crade, mais c'est pour l'ambiance) fraîche coulait le long de sa joue, puis d'un mouvement de tête presque automatique l'essuya sur l'oreiller.
Soudain, un hibou toqua à la minuscule fenêtre de leur chambre. Harry alla lui ouvrir, et le hibou faisait un tel raffut que Ginny fût réveillée. On ne voyait que sa tête et de minuscules yeux encore tout en dormis sortir du lit et elle demanda alors ce qu'il se passait. Harry lui répondit que c'étais juste un hibou qui leur apportait le courrier. Après avoir été payé, le minuscule hibou reparti dans la direction dont il était venu. Harry ouvrit alors la lettre. Elle était de Poudlard. De la directrice. Il était écrit que :

Mr Potter,

Je vous pris ainsi que Hermione Granger de vous rendre au collège de Poudlard immédiatement dès la réception de ce présent courrier. Veillez à ne pas être suivi par les mangemorts.

Je vous attends dès lors, et partez dès que vous aurez reçu ce courrier.

Veuillez accepter, Mr Potter, l'expression de mes salutations distinguées.

Minerva Mc Gonagall
Directrice de Poudlard

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

- Qui c'est ? demanda Ginny d'une voix ensommeillé
- C'est une lettre de Mc Gonagall. Elle veut me parler, à moi et à Hermione. Je vous laisse le studio pour la journée. Je t'expliquerais plus tard la raison de cette lettre, en voyant la tête de sa petite amie. Elle n'a pas mis de raison pourquoi je dois venir.
Harry s'approcha alors de Ginny puis l'embrassa longuement, puis alla réveiller Hermione. Il entra dans la chambre de celle ci et s'assit sur le rebord du lit. Puis il dit lentement :
- Hermione.... Hermione, réveille toi !
Pour toute réponse il reçut un grognement puis Hermione se tourna de façon à ce qu'elle puisse voir Harry.
- Qu'est qui a ?d emanda t'elle encore ensommeillé.
- J'ai reçu une lettre de la directrice. Elle veut nous voir tous les deux. Si on veut être de retour ce soir, il faut partir maintenant. Allez, habille toi, je vais t'apporter quelque chose à manger.

Harry partit alors dans la cuisine, prit quelques toast et un peu de jus de citrouille, puis alla les apporter à Hermione, qui s'étais rendormie. Harry la réveilla alors de nouveau et lui donna à manger.
- Allez habille toi et on y va.
Cinq minutes plus tard, Harry et Hermione étaient près et prirent leur envol sur l'éclair de feu de Harry. Après quelques heures de vols, ils purent enfin apercevoir Poudlard. Ils atterrirent dans le par et ce dirigèrent vers le bureau de la directrice.
Arrivés devant la gargouille qui donnait accès au bureau, ils furent coincé parce qu'ils n'avaient pas le mots de passe. La directrice avait oublier de le leur donner. Tout à coup, comme par miracle, la gargouille commença à pivoter sur elle même pour laisser place à un escalier en colimaçon. Ils l'empreintèrent puis toquèrent à l'immense porte de bois. Une fois à l'intérieur, le professeur Mc Gonagall leva la tête et commença à parler :
- Ah, Mr Potter et Miss Granger. Asseyez vous, je vous en pris, dit elle en leur montra deux chaises devant son bureau.
Apparemment elle ne voulait pas les gronder, pensa Harry. Son ton avait quelque chose d'amical, même. Ce qui était très inhabituel chez elle.
- D'abord je vous remercie à tous les deux de vous être déplacer. Vous n'avez pas eu d'encombres pour venir, j'espère ?
- Non, professeur, dit alors Hermione d'un ton neutre et ensommeillé.
- Bien. Alors, je vous ait fait venir, par ce qu'il faut que nous vous révélions une partie de votre existence, Mr Potter.
- Comment ça une partie de mon existence ? Je ne comprends pas très bien professeur, demanda alors Harry
- Une partie de votre existence dont vous ignorez totalement, et cette partie, qui nous était défendue de vous en parler. Seul, le professeur Dumbledore, Miss Granger, vos parents les Granger et moi même étions au courant, de ce lourd secret, continua la directrice.
- Quel secret ? demanda Harry, en regardant alternativement la directrice et Hermione. Je ne comprends pas !
- Ca devait être très lourd à porter, ce secret, n'est ce pas Miss Granger. Je suppose que vous aviez voulu le lui dire à plusieurs reprises.
Hermione hocha brièvement la tête.
- Je vous laisse l'honneur de le lui dire. Je complèterais votre récit, Miss Granger.
Harry regarda alors Hermione sans comprendre, puis elle commença :
- Harry.... Je suis ta sœur, dit finalement Hermione après un petit temps de réflexion
- Quoi ? dit alors Harry, qui ne réalisait pas encore ce qu'elle lui avait dit.
- Je suis ta sœur. Quand V-Voldemort est venu à la maison, ce soir là, papa était resté en bas pour nous défendre, pendant que maman nous emmenait quelque part en sécurité. J'ai donc été placé chez les Granger. Mais elle n'a pas eu assez de temps pour te mettre toi en sécurité aussi. Elle t'a protégée, jusqu'au dernier instant, jusqu'à ce qu'elle meurt. Puis, il a essayer de te tuer, et tu t'en es sorti avec une simple cicatrice en forme d'éclair sur le front. Je suppose que c'est grâce à la protection de maman que tu as survécu. Et tant que tu étais à Poudlard, avec moi, V-Voldemort ne pouvait pas t'atteindre, grâce à cette protection, tu es en sécurité.
Puis il eu un énorme vide, ou pendant un moment personne ne parlait. Harry commençait à peine à réaliser qu'il avait une sœur. Il voulait poser des questions, mais il ne savait pas par où commencer. Puis tout à coup, il brisa le silence :
- Comment ce fait il que je n'ai pas vu Hermione dans le miroir du risèd, en première année ?
- Tu te souviens ce que le professeur Dumbledore t'a dit, Harry, dit alors la directrice
- Euh, non professeur, j'ai oublié, avoua honteusement Harry, en regardant ses pieds, comme s'il y avait quelque chose d'intéressant à savoir.
- Le miroir n'apportait pas la connaissance ni la sagesse. C'est pour ça que tu n'a pas vu ta sœur dans le miroir. Dit alors le professeur McGonagall en esquissant l'un de ses rares sourires.
- Mais.... Mais pourquoi ne m'a t'on rien dit depuis que je suis rentré à Poudlard ? demanda Harry
- C'étais pour te protéger, dit alors Hermione. Et puis tu ne devais pas le savoir avant la fin de l'année scolaire. Mais le professeur McGonagall a jugé bon qu'il fallait te le dire maintenant.
- Donc tu serais ma grande sœur ? demanda timidement Harry
- Oui, dit Hermione. Dès la première fois que je t'ai vu, en première année, je savais ce que je devais faire. Te protéger contre Voldemort. Continuer la protection qui t'avais été donnée.
- Le soir où vos parents sont morts, le professeur Dumbledore avait reçu un hibou, écrit à la va vite par votre mère en disant qu'elle avait réussi à mettre Hermione en sécurité chez des amis de confiances, en l'occurrence, les Granger, mais qu'elle n'aurait pas le temps de s'enfuir avec Harry. Avant l'entrée à Poudlard de votre sœur, nous lui avons envoyé un hibou en lui expliquant qui vous étiez réellement, que vous étiez frère et sœur. Et qu'elle devait garder un œil sur vous, et surtout, surtout garder le secret jusqu'à ce que vous compreniez, expliqua le professeur Mc Gonagall
Harry semblait sur la lune quand soudain la directrice reprit la parole :
- Oh, mais vous avez vu l'heure ? Il serait peut être temps de manger quelques chose !
- D'accord, mais après nous devons partir, Ginny et Ron nous attendent à Godric's Hollow
- Mr Weasley et Miss Weasley sont avec vous en vacances ? demanda la directrice d'un air étonné
Harry acquieça puis suivit Hermione et le professeur McGonagall vers la Grande Salle pour manger quelque chose. Puis après avoir manger, ils repartirent en direction de Godric's Hollow. Durant le trajet, Harry et Hermione discutèrent de l'effet que ça leur faisait d'être frère et sœur. Arrivés à destination, ils prirent le soin de ne pas être vu par les moldus parce qu'ils avaient un balais volant.
Dès qu'ils ouvrirent la porte, Ginny et Ron étais assis à la table de la salle à manger, en train de jouer une partie d'échec version sorcier. Dès que Ginny vit Harry entrer, elle lui sauta dans les bras et l'embrassa, en lui disant qu'il lui avait manqué. Ron et Hermione s'embrassèrent aussi (faut bien qu'ils s'embrassent de temps en temps, sinon mes lecteurs sont tristes parce qu'ils ne s'embrassent pas assez). Puis Ginny prit la parole :
- Alors pourquoi est ce que Mc Gonagall voulait vous voir tous les deux ? Vous avez pas fait de conneries j'espère ?
- Oh, non, c'est juste pour nous dire quelque chose, avoua Harry
Puis, à l'aide d'Hermione il leur raconta ce que la directrice leur avait dit, où plutôt ce que Hermione lui avait dit. A la fin de son récit, Ron resta bouche bée et regardait alternativement Harry et Hermione.
- Alors comme ça vous êtes frère et sœur. Pourquoi tu ne me l'as pas dit plus tôt Hermione ?
- Parce que c'était un secret entre le professeur Dumbledore, le professeur Mc Gonagall, mes parents adoptifs et moi. Personne d'autre ne devais être au courant, lui dit gentiment Hermione dans un ton sans reproche.
Tout comme Ron, Ginny les regardait alternativement la bouche ouverte, comme si elle attendait qu'on lui donne quelque chose à manger. Harry la regardait et commençait à rigoler. Il lui passa alors sa main devant ses yeux, jusqu'à ce qu'elle se réveille. Enfin, au bout d'un moment, elle se réveilla de sa « transe », et sourit. Elle pensait sûrement que au moins, Harry ne sortirais pas avec Hermione, vu qu'elle était sa sœur. Soudain, Ron reprit la parole :
- Et le bal ? On y va ou pas ?
- Tu crois qu'on a envie de manquer ça ? lui dit Harry, en le regardant bizarrement, comme si c'était un alien
- Ben, je sais pas, je demandais juste !
- Bien sûr qu'on y va ! dit Hermione gentiment en le prenant par la main. On a pas acheter nos robes pour rien !
Puis d'un commun accord, ils mangèrent un peu puis allèrent s coucher. Le lendemain matin, quand Harry se réveilla, Ginny n'était pas à côté de lui dans le lit. Sur l'oreiller, un simple petit mot, écrit avec des lettres de papier journal. Sur ce mot, il y avait une photo de Ginny et quelques mots étaient inscrit sous cette photo :

Si tu veux la revoir, abandonne la recherche des horcruxes. Sinon elle mourra.

Lord Voldemort.

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Dès qu'il avait lu ce mot, il y eut comme un électrochoc, il se leva d'un bond et alla réveiller Ron et Hermione, en les tirant du lit de force. Hermione, consciente que quelque chose ne tournait pas rond, se leva tout de suite, mais Ron fut plus long à la détente. Harry, à l'aide d'Hermione le tirèrent du lit, autant de fois qu'il le fallait, pour qu'il ne se rendorme pas. Finalement au bout d'un certain moment, Ron, qui en avait tellement marre qu'on le secoue, se leva et regarda alternativement Hermione et Harry, puis demanda d'une voix pâteuse et ensommeillée :
- Qu'est ce qu'il y a ? Pourquoi on est obliger de se lever si tôt.
- Regardez ! dit Harry, qui n'arrivait plus à contenir sa colère.
Ron prit alors le bout de papier, et le lut. Sa réaction fut la même que Harry. Le papier tomba par terre et Hermione le ramassa. Après l'avoir lu, elle ne pu s'empêcher de pousser un cri de terreur. Quand à Harry et Ron, ils fulminaient de rage. Le garçons n'aimaient pas que l'on touche à un cheveux de Ginny. Ron avait déjà du supporter que sa sœur ait été enlevée par Jedusor, quand il était en deuxième année. Harry prit alors la parole :
- Il faut aller la récupérer ! Je ne veux pas rester ici à pleurer sur mon sort.
- Mais Tu- sais- qui risque de la tuer ! dit Hermione d'une petite voix.
- NON ! Il ne faut pas qu'elle meurt ! Je ne pourrais pas me résigner à vivre sans elle ! J'ai besoin d'elle ! Dit Harry, dont quelques larmes commençait à couler sur ces joues.
- Je viens t'aider. C'est ma sœur après tout. Je veux pas qu'elle meurt. Je vais me sentir coupable de sa mort après, dit lentement Ron dont sa colère ne s'était pas atténuée depuis qu'il avait lu le mot.
- Dans ce cas, je viens aussi avec. Dit Hermione en relevant la tête, d'un air fier, et déterminé.
- Bon, on commence par quoi ? On as pas le moindre indice ! dit Ron
- Si, on en as. Dit Harry en feignant l'air du poing, comme pour frapper une table imaginaire.
- Les quelles ? demanda Hermione.
- Rien de concret. C'est un de mes rêves. Ca à commencer la nuit avant qu'on aille chez Mc Gonagall, dit lentement Harry, en essayant de se souvenir
- Vas y racontes, dit alors Ron.
- J'étais dans un couloir qui menait dans une salle ovale, ou ronde, je sais plus vraiment. Et puis j'entendais des pleurs, des gémissements. Et j'entendais aussi un rire. Ce rire, je le connais, je l'ai déjà entendu. C'est celui de Voldemort. Le seul truc, c'est que je ne sais pas où se trouve cette salle. Ron ! Est ce qu'au ministère il y a une salle ovale !
- Euh, je sais pas... Je vais demander à papa.
D'accord, mais ne lui dit rien à propos de l'enlèvement de Ginny. Il faut que cette affaire reste entre nous.
Ron acquieça puis alla puis alla écrire la lettre.

Quelques minutes plus tard, la lettre était écrite et ils regardèrent tous les trois, Hedwige s'envoler vers le Terrier. Harry était devenu de plus en plus nerveux et tournait en rond. Hermione était assise sur le canapé et se rongeait les ongles, quand à Ron, lui n'arrêtais pas de regarder par la fenêtre pour essayer d'apercevoir le moindre signe du retour d'Hedwige avec la lettre de son père. Ils avaient tous une énorme boule au ventre, ils en avaient marre d'attendre. Ils voulaient agir. Surtout Harry et Ron. Hermione les suivait, elle avait la même ambition de sauver Ginny, car elle était son amie. Pendant ce temps, qui lui paraissait interminable, Harry s'imaginait les pires situations dans lesquelles Ginny pouvait se trouver. Il imaginait ce qu'elle était en train de subir. Il alla s'asseoir et s'assoupit pendant un long moment. Il se retrouvait de nouveau dans cette pièce ovale. Toujours aussi lugubre. Toujours les mêmes rires atroces, qui lui transperçait la tête. Et toujours ces pleurs et ses gémissements, qui lui paraissaient tellement lointain. Il avait toujours sa baguette à la main, prêt à l'utiliser. Soudain il entendit des voix plus distinctes. Une voix grave qui émettais quelques sifflements de temps à autre. Cette voix disait « Jamais il ne viendra te chercher ! C'est un lâche ! » Puis une autre voix. Une toute petite voix qui ne faisait aucun doute sur ce que cette personne avait subi. Elle disait « Il viendra ! Je le sais. Je le sais. Il m'aime, et je l'aime. Mais vous pouvez pas comprendre ça ! » l'autre voix se fit plus aiguë et lui disait « oh, si je comprends très bien, et maintenant tais toi espèce de petite sotte ! Endoloris ! » Puis des cris de douleur parvinrent aux oreilles de Harry.
Soudain, quelqu'un le secoua. Très fort, pour qu'il se réveille. Hermione le regardait, et était inquiète, Ron aussi. Hermione avait des traces d'ongles sur ses bras, et elle lui dit d'une voix douce :
- Alors ? Tu as de nouveau rêvé de cette salle !
- Oui, dit Harry en se massant le front.
- Tu nous as fait une de ses peur ! dit Ron, qui semblait terrorisé. A un moment, tu t'es tenu le front et tu as commencé à crier, crier et tu es tombé de la chaise. Qu'est ce qu'il s'est passé.
- Voldemort lui a lancé un des sortilège impardonnable, dit Harry qui commençait à sentir qu'il commençait à s'énerver.
Hermione poussa un cri de terreur et plaqua ses mains devant la bouche. Ron, quand à lui craignait le pire. On voyait déjà que des larmes commençaient à couler sur ses joues.
- Quel sortilège Tu - sais - qui lui a lancé ? demanda alors Ron
- Le sortilège Doloris, dit Harry alors en se relevant lentement, à l'aide de Ron et d'Hermione.
Soudain, un hibou toqua à la fenêtre et Harry s'écria :
- Hedwige !
Harry alla alors lui ouvrir la fenêtre et après avoir pris la lettre lui donna un peu de miamhibou et un peu d'eau. Harry alla alors chez Ron qui avait alors déjà ouvert la lettre et commença à la lire (Harry commençait à lire la lettre., au cas où)

Cher Ron

En effet, il existe bien une salle ovale au ministère de la magie. Bien sûr elle est interdite au public, personne ne peux y accéder sans autorisation du ministre de la magie, à part ceux qui travail dans ce département. Ce que contient cette salle est très dangereux. Personne n'y va vraiment sans l'aide d'un des gars qui travaille dans ce département.

Pourquoi veux tu savoir s'il existe une salle comme celle ci au ministère ?

Fais attention à toi et à Ginny, et passe le bonjour à Harry et Hermione.

A + de tes nouvelles

Papa

Après avoir lu la lettre, Ron fit une grimace. Quant à Harry fonça directement dans sa chambre et chercha son blouson. Hermione et Ron le regardait et lui demandèrent ce qui se passait.
- On va transplaner jusqu'au ministère. Maintenant qu'on a notre permis pour transplaner, on peut le faire. Allez, remuez vous, on a pas beaucoup le temps ! ! Hop hop hop hop hop !
Ron et Hermione s'exécutèrent alors puis suivirent Harry. On avait entendu un simple POP sonore et les voilà partis (pour de nouvelles aventures lol) pour le ministère.
Arrivés devant les portes du ministère, une voix les fis sursauter.
- Bonjour bienvenue au ministère. Veuillez dire votre nom et l'objet de votre visite.
Harry fit alors un clin d'œil à sa sœur et à Ron et dit dans le magnétophone :
- Harry Potter, mission de sauvetage
Puis Ron dit :
- Ronald Weasley, mission de sauvetage
Puis vint le tour d'Hermione :
- Hermione Granger mission de sauvetage
Puis les badges atterrirent dans un petit bac, et sur chacun des badges, on pouvait lire le nom de chacun et en dessous « Mission de sauvetage ». Puis la voix leur dit mielleusement :
Bonne visite !
Puis les trois amis partirent en courant et Ron murmura un vague « merci ». Ils firent bien attention de ne pas ce faire voir par les gens du ministère. Ils passèrent devant la fontaine, dont tous les gains qui auront été déposé dedans, seront versés à l'hôpital pour blessures et maladies magique de Sainte Mangouste. Harry se promis alors que s'il arrivait à sauver Ginny il y mettrais quelques pièces.

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Chapitre 8:

Ils se trouvèrent alors dans le même couloir, froid et on ne pouvait pratiquement rien voir. Le même couloir que Harry avait fait en rêve. Il était beaucoup plus long qu'il ne le pensait. Harry leur avait recommander de n'utiliser leur baguette qu'en dernier recours. Dans ce couloir, ils pouvaient avancer à tâtons en essayant de faire le moins de bruit possible et de ne pas se faire remarquer. Soudain ils furent arrivés à cette porte qui donnait accès à cette salle. Elle était verrouillée. Puis Hermione murmura :
- Alohomora !
La porte s'ouvrit en un bruit sourd, et les trois amis se faufilèrent à l'intérieur et refermèrent lentement la porte. A l'intérieur, il faisait un peu froid. Il y avait des étagères, que auparavant Harry n'avait pas vu dans son rêve. Là ils entendirent ces pleurs et ces gémissements. Ron voulait courir rejoindre sa sœur, mais Harry et Hermione le retinrent juste à temps. Ils savaient tous les deux qu'il était impatient de retrouver sa sœur. Mais il ne fallait pas qu'ils soient vus par qui que ce soit. Il s'approchèrent tous doucement sans faire de bruit, espérant de toutes leurs forces que Voldemort ne sente pas leur présence.
Entre deux étagères, un corps gisait et semblait inconscient. C'était Ginny. Il y avait beaucoup de trace de lutte sur son corps, ses habits étaient déchirés de partout. Ces cheveux étaient en bataille. Elle avait souffert. Il ne fallait plus qu'elle souffre, se dit Harry pour lui même. Il s'apprêtais à prendre le corps de Ginny, lorsqu'une voix glaciale s'éleva derrière lui (ça aurait été trop facile de venir, prendre ce qu'il lui fallait et partir, faut un peu d'action) :
- Alors Potter. On est venu avec ses amis pour récupérer la petite Weaslibar ? C'est une sale gosse celle là ! Elle a réussi à m'échapper une fois, mais cette fois ci elle ne m'échapperais pas ! Hahahahahahahahahahahahahahahahhahahahahahaha !
Harry sursauta et vit Voldemort se tenir juste devant lui. Il avait énormément mal à la tête, quand il était devant lui. Il se releva alors péniblement, près à faire face à celui qui lui avait enlever sa petite amie. Il tenait sa baguette d'une main ferme. Il éprouvait une certaine rage envers lui.
- Tu veux te battre Potter. Je vois, je vois. Alors battons nous. Si je te tue, je tuerait tes amis aussi. Tu ne me battras jamais Potter. JAMAIS ! tu entends ?
Harry chuchota alors quelque chose à Ron et à Hermione puis s'avança vers Voldemort. Voldemort s'inclina et Harry fit de même. Soudain Voldemort cria :
- Endoloris !
Harry tomba par terre se tortillant de douleur et dans tous les sens.
- Allez, lève toi Potter. On a pas encore fini de s'amuser.
- Vous appelez ça vous amuser murmura Harry
- Qu'est ce que tu as dit mon garçon ?
- RIEN !
- Vraiment tu ne veux pas me le dire ? Impero !
Harry se sentit alors vidé de toute pensées. Il était content. Il entendit alors une voix dans sa tête qui lui disait « Vas y dit moi ce que tu as dit ! ». Une autre petite voix s'éveilla et dit « Non, j'ai pas envie de le dire. Ca à pas d'importance. ». L'autre voix lui dit plus fermement « DIS ! ». Puis soudain, comme une énorme tempête, Harry dit :
- Je ne dirais rien du tout ! ! !
- Bien si tu ne eux rien dire, tu vas me le payer. Très cher. Avada Kedavra !
- Expelliarmus ! Cria Harry en même temps que Voldemort.
Puis les deux sort se fusionnèrent. ( si on peut appeler ça comme ça). C'était la remontée des sortilèges. Il vit alors le buste Lucius Malefoy, puis celui de Cédric, qui lui disait de ne pas lâcher prise, puis celui de Bertha Jorkins, puis celui d'un vieil homme, qui devait être Frank Bryce, puis vint les bustes de ses parents. Ces parents lui parlait et parlaient aussi à Hermione. Ils leur disait qu'à leur signal, il devait transplaner avec les autres. (Je sais c'est un peu emprunter du tome 4 mais c'est pas grave). Deux secondes plus tard, Harry, Ron, Hermione et Ginny s'étaient retrouvés à Godric's Hollow. Harry, Ron et Hermione étaient affalés sur le canapé et reprenaient leur respiration. Quand à Ginny, elle était étendue devant eux. Elle était pâle et était froide, comme si on avait puiser de son énergie. Harry la porta alors jusque dans le lit et essaya de la réchauffer, avec la couverture et un peu d'eau chaude. Elle était toujours inconsciente. Hermione et Ron l'aidaient aussi à la réchauffer. Finalement au bout de deux heures de réchauffage intensif, Ginny remua un peu. De faibles bruits sortaient de sa bouche. Elle ouvrit légèrement les yeux et sourit en voyant Harry à côté d'elle, ainsi que Ron et Hermione.

Ginny tourna alors la tête vers Harry, puis ouvrit la bouche, comme si elle voulait parler :
- Harry... commença t'elle d'une faible voix
- Qu'est ce qu'il y a ma chérie ?
- J'ai faim, continua t'elle tout aussi faiblement.
Tout à coup un gros bruit résonna dans toute la chambre. Tout le monde s'effraya, sauf Ginny. Harry demanda alors ce que pouvait bien être ce bruit :
- C'est mon ventre, Harry... Je meurs de faim, dit Ginny qui rigolait péniblement.
Harry partit alors dans la cuisine et apporta un plateau remplit de bonne chose, un plateau rempli digne d'un festin de roi. Les trois amis regardèrent Ginny dévorer tout le plateau en souriant. Ils étaient contents que leur amie soit de nouveau parmi eux. Ginny recommençait à prendre des forces. Etre avec Voldemort avait dû être un supplice pour elle. Il l'avait beaucoup affaiblit. Mais il ne l'avait pas tuer. Harry était tellement content que Ginny soit vivante. Il la regardait pendant tout le temps qu'elle mangeait. Soudain, en voyant qu'ils la regardait, elle dit, avec un morceau de pomme dans la bouche :
- Ben quoi ? Vous avez jamais vu quelqu'un manger autant ? demanda t'elle avec un voix bien posée
- Si, justement, dit Hermione en rigolant. Suivez mon regard, continua t'elle en regardant Ron
- Où ça ? Dit alors Ron en tournant la tête vers le mur. Ron t'es où ?
Tout le monde pouffa de rire en voyant Ron se dérober d'Hermione. Hermione le prit alors dans ses bras et l'embrassa. Tout à coup, Harry brisa le silence :
- Demain, c'est le bal, vous vous sentez prêt ?
- Bien sûr ! dirent en cœur Ron et Hermione.
- Ginny ? Est ce que tu sera en état de danser demain ?
- Bien sûr ! Tu crois que je n'ai pas envie d'aller au bal avec l'homme que j'aime, même si je viens de passer une nuit et une journée à recevoir des Doloris de la part de Tu - sais - Qui ? dit Ginny en un ton où l'on pouvait entrevoir un peu de reproche.

- Bien sûr que non dit Harry en l'embrassant
Harry resta avec Ginny le reste de la soirée tandis que Ron et Hermione avait prétendu faire autre chose à ce moment là. (On se demande quoi, mais vous le saurez plus tard). Ils parlèrent donc de ce qui c'était passé, Ginny lui raconta comment elle avait vécu son « séjour » avec Voldemort, Harry lui raconta comment il avait su ou elle se trouvait, tout ce qui s'était passé durant le moment où elle était inconsciente. De temps en temps ils entendaient des bruits bizarres, mais il en avaient déduit que c'était des bêtes dehors qui faisait leur cirque. Ils finirent donc la nuit à parler de tout et de rien, puis, jugeant qu'il commençait à ce faire tard, s'endormirent dans un sommeil sans rêve. Enfin si, Ginny, elle revivait ce qu'elle avait vécu durant la nuit et la journée précédente.
Le lendemain matin, lorsque Harry se réveilla et voulu aller préparer le petit déjeuner, il ne vit pas Ron, allongé comme d'habitude dans le canapé. Il alla donc regarder dans la chambre de sa sœur et vit Ron et Hermione dans le même lit, collés l'un contre l'autre. Des habits traînaient un peu partout dans la chambre et Harry imagina qu'ils avaient fait l'amour.... Harry reparti donc dans la cuisine, pour préparer le petit déjeuner, le sourire au lèvre. Il était tellement cotent pour sa sœur et Ron, qu'il avait décider qu'il ne leur dirait rien. Mais il allait le dire à Ginny. (héhéhé sale gosse). Quelques minutes plus tard, il fut rejoint par Ginny et Harry lui montra Hermione et Ron dans leur chambre. Ginny regarda la chambre et commença à pouffer de rire silencieusement, puis reparti dans la cuisine pour rigoler à son aise. Elle fut ensuite rejoint par Harry qui lui dit à son oreille :
- Faudra rien leur dire. On a rien vu, on a rien entendu. Sinon, je sens qu'on va encore se foutre de leur gueule et ce serait méchant.
Ginny acquiça en silence puis s'affaira à faire cuire le bacon. Une heure plus tard, Hermione et Ron se réveillèrent, les cheveux ébouriffés, Et ils n'arrêtaient pas de bailler. Quand il furent dans la salle à manger, ils s'assiérent à table et commencèrent à manger. Ginny les regarda et ne put s'empêcher de rigoler. Harry lui donnait des coups de coudes pour qu'elle se calme, mais ça ne faisait qu'intensifier son fou rire. Ron qui avait remarqué que Ginny rigolait et Harry qui essayait de la calmer, il leur demanda alors :
Qu'est ce qu'il y a' pourquoi tu rigoles comme ça ?

- Oh, non, c'est juste pour une connerie que Harry m'a dit hier soir, avant qu'on s'endorme, dit Ginny, qui commençait à tomber par terre tellement elle rigolait
- Et c'est quoi cette connerie ? demanda alors Hermione
- Non, rien c'est sans importance. Allez, Ginny relève toi, et arrête de rigoler c'est pas drôle. C'est leur vie après tout ! dit alors Harry
Soudain tout était devenu calme. Hermione rougissait de plus en plus à un tel point qu'elle se cachait dans sa chemise de nuit. Ron quand à lui, c'était l'opposé d'Hermione, il était devenu très pâle et dit lentement :
- Vous nous avez entendus, c'est ça ?
- Oui, dit Ginny, qui avait recommencé à rigoler. Et on vous à vu, ce matin, quand on s'est levé ! hahahahahahahahaha !
- C'était drôle, dit Ron en faisant la tête.
- Mais Ron, ça n'a rien de tragique tout ça ! dit Harry, pour le rassurer. C'est naturel !
Hermione sortit alors sa tête de sa chemise de nuit et dit :
- Oui, et à ce qu'il paraît on pête et on rote au moins 15 fois par jours (je sais c'est HS, mais je le dis quand même. C'est la prof d'histoire que j'avais en 4ème qui nous l'as dit), dit Hermione
Puis tout le monde rigola, et s'était réconcilié, après cette petite querelle matinale. Quelques heures plus tard, les quatre amis préparèrent leur affaires pour aller à Poudlard pour le bal. Ils transplanèrent jusqu'au Pré au Lard ( Hermione leur avait prévenus qu'on ne pouvait pas transplaner à l'intérieur même de Poudlard). Un fois arrivé au Pré au lard, les quatre amis se rendirent à pied à Poudlard, avec leur valises. Une fois arrivé à leur salle commune, les filles allèrent se changer pour le bal. Les garçons de leur côté, étaient restés dans la salle commune et regardaient le feu danser. Puis Ron prit la parole.
- Harry, je sais pas si tu sais, mais Hermione et moi on s'aime.
- Non ! c'est vrai ! Je savais pas ! Tu m'apprends quelque chose là ! dit Harry sur un ton blagueur.
- Non, sérieusement. Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est vrai. Et avec Hermione on a décider de se marier, dès que notre scolarité sera terminée, dit Ron en fixant les flammes.
- Je suis content pour vous ! Félicitation !, dit Harry le plus sincèrement du monde
Et puis vu que maintenant que t'es le seul gars Potter, je voulais savoir si je pouvait me marier avec ta sœur.
- Pourquoi tu n'aurais pas le droit ? Moi je veux bien que tu te marie avec ma sœur. Pourquoi tu me pose cette question.
- Chez nous on demande toujours aux parents de celle avec qui on veut se marier, la permission. Et dans ce cas là, vu que vos parents sont morts, je me suis dit qu'il fallait que je te demande.
- Ma réponse est oui. Je suis vraiment content pour vous. Dit Harry.
- Et encore une question. Est ce que tu voudrais être mon témoin à mon mariage ?
- Et bien... Que dire avec tant de noblesse, blagua Harry. Non, sérieusement j'accepte.
Ron souriait et serra la main de son meilleur ami. Puis après un moment de silence Harry dit à Ron :
- Ginny et moi on va se marier aussi. On attendra qu'elle aura 17 ans, avant que je puisse demander à tes parents si je peux me marier avec elle. Normalement c'était un secret entre Ginny et moi, mais je me suis dit que ce serait peut être bien que tu saches au moins avec qui ta sœur est. Et puis je voulais aussi te demander si tu voulais savoir si tu voulais être mon témoin.
- Bien sûr que j'accepte d'être ton témoin, dit Ron. Je suis content aussi pour vous deux.
Puis après avoir longtemps regarder le feu, les deux amis se dirigèrent lentement vers le dortoir des garçons pour se changer pour le bal.

Dans le dortoir, ils rencontrèrent Dean, et Seamus, qui avaient commencé à faire une bataille d'oreiller. Dès que Ron avait ouvert la porte du dortoir, il avait reçu un oreiller en pleine figure. Après un petit temps de réaction, Harry et Ron s'étaient précipités sur leur oreiller et s'étaient mêlés à la bataille. Après quelques minutes de bataille acharnée, la porte se rouvrit laissant place à Ginny.
Faudrait peut être que vous vous prépariez ! Le bal commence dans une demi heure, dit elle en refermant la porte derrière elle.
Les quatre garçons se regardèrent et allèrent se changer pour le bal. Cinq minutes plus tard, Harry et Ron étaient prêts et attendaient leur petites amies dans la salle commune. Finalement à 17 h57 (précision suisse, je précise) Hermione et Ginny descendirent de leur dortoir. Elles étaient tellement magnifiques dans leur robes qu'on ne voyait qu'elles. Hermione y était déjà un peu habituée, à ce que tous les regards se tournent vers, mais elle paraissait encore gênée. Quant à Ginny, on ne faisait plus de différence entre sa peau et ses tâches de rousseur. Elle était tellement rouge, qu'on était même pas sûr qu'elle ait des taches de rousseur. Les deux filles rejoignirent donc leur petit ami respectif se dirigèrent vers la Grande Salle, qui avait totalement été décorée pour le bal d'halloween. Des citrouilles illuminée étaient la décoration du plafond magique, les tables étaient décorées de glace des couleurs des différentes maisons. Les citrouilles du plafond magique avaient aussi les différentes couleurs des différentes maisons de Poudlard, mais il y avait également les armoiries de Poudlard. Harry, Ginny, Ron et Hermione regardèrent la Grande Salle d'un air émerveillé, comme si on venait de leur offrir quelque chose qui leur tenait vraiment à cœur.

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La plupart de élèves de Poudlard étaient déjà là. Lorsque les quatre amis passèrent devant la table des Serpentards, les Serpentards leur lançaient des regards noirs, jaloux que Harry et Ron aient put trouver une cavalière, mais surtout ils pensaient que c'était à cause de Harry qui Malefoy n'était pas à Poudlard cette année. Harry, Ginny, Ron et Hermione rejoignirent la table des Gryffondors où la plupart de leur amis les attendaient. Dean était avec Lavande, Seamus était avec Parvati, Neville avait rejoint Luna à la table des Serdaigles. Les Bizarr's Sisters étaient déjà là et jouaient un morceau entraînant, en attendant que les autres élèves arrivent et que le professeur Mc Gonagall fasse son discours, comme c'était la tradition avant chaque bal. Après de longues minutes d'attentes, le professeur Mc Gonagall se leva, et demanda le silence. Dès que le silence fût, toutes les têtes étaient tournées vers la directrice.
- Déjà, je vous souhaite la bienvenue au premier bal de l'année. Je voudrais vous dire, et ces personnes je suppose ne m'en voudront pas si je le dit aux autres, de toute façon ils seront bien au courant un jour, je voudrais donc vous dire que Harry Potter à une sœur...
Un cri d'exclamation parcoura la salle et regarda Harry. Puis leur attention se reporta sur le professeur Mc Gonagall.
- Je suppose que vous voulez savoir qui est cette sœur dont je vous ait parler. C'est une élève brillante, sans nul doute l'une des meilleure élève que j'ai jamais connu. Aussi intelligente que ça mère. Mais aussi une légère tendance à ne pas obéir au règlement quand la vie des ses amis est en danger. Ca c'est le caractère de son père. Cette jeune fille là, dont je vous ait parler, n'est nul autre que....
La tension dans la salle se fit sentir, tout le monde voulait savoir qui était la sœur du célèbre Harry Potter, celui qui à survécu à Voldemort. Tout le monde avait retenu sa respiration, pour entendre le nom. Puis le professeur Mc Gonagall reprit la parole :
- ... Hermione Granger !
Tout le monde fut surpris que Hermione soit la sœur de Harry. Pendant le temps où la directrice avait prononcer son discours, sur Harry, les Bizarr's Sisters avaient fais des roulements de tambour, pour garder le suspens entier. Il n'y eut plus un bruit dans la Grande Salle et tout le monde regardait Harry et Hermione. Puis peu à peu, les conversations reprirent et Seamus leur demanda :
- Pourquoi tu ne nous a jamais dit que tu avais une sœur Harry !
- Je ne suis au courant que depuis avant hier : La directrice nous avait convoqué tous les deux et Hermione m'a tout raconter avec le professeur Mc Gonagall. Sinon, il n'y avait que Ron et Ginny qui étaient au courant. Expliqua Harry.
- Ah, d'accord, répondit Seamus en reportant toute son attention sur le professeur Mc Gonagall, comme s'il attendait qu'elle dise quelque chose.
Après que le silence fut revenu, la directrice annonça que le bal pouvait commencer. Les Bizarr's Sisters avaient commencer à jouer un air endiablé et la piste de danse commençait à ce remplir tout doucement. Neville faisait d'énormes progrès en danse, sans les dancing shoes qu'il avait une fois acheté au jumeaux, quand il était en quatrième année. Luna, qui dansait très bien, lui apprenait comment faire. Dès que la piste fut un peu plus remplie, Harry et Ginny allèrent danser. Les Bizarr's Sisters avaient commencer un morceau plus lent. Harry et Ginny furent bientôt rejoints par Hermione et Ron. Harry se serra contre Ginny pour se laisser aller au rythme de la musique. Il sentait le souffle chaud de Ginny, et le doux parfum qui se dégageait de la jeune fille. Ce doux parfum l'enivrait, et lui procura une étrange sensation, une sensation de tournis. Il aimait la jeune fille. En même temps qu'il dansait, il regardait le autres couples danser. Pansy Parkinson était assise à la table des Serpentards et regardait les couples danser d'un air dégoûté. Maintenant que Malefoy était parti, elle n'avait pas réussi à trouver de partenaire qui lui convenait pour le bal. Ron et Hermione dansaient et semblaient à fond dedans, ils ne semblaient pas voir que Harry les regardait. Ils vont bien ensemble malgré tout pensa Harry. Puis il lentement à Ginny :
- Tu sais que Ron va se marier avec Hermione ?
- Ah, bon ? Et quand ? demanda Ginny en le regardant dans les yeux
- A la fin de l'année, il a dit. Je suis son témoin. Je me demande s'il l'a déjà demander en mariage.
- Oh, le connaissant, pas encore. Il a sans doute préférer en parler à son meilleur ami, le célèbre Harry Potter avant de demander à ta sœur.
- Sûrement dit Harry en les regardant danser.
Soudain, il les vit quitter la piste de danse et se diriger vers la Grande Porte. Harry fit un signe de tête en direction de la Grande Porte à Ginny et ils les suivirent en toute discrétion. Ils voulaient savoir ce qu'ils faisaient. Ron et Hermione s'était arrêtés près du lac, et étaient en train de regarder la surface du lac. Harry et Ginny, se cachèrent dans la forêt interdite, mais assez proche de Ron et d'Hermione de façon à ce qu'ils puissent les entendre. Puis le voix lointaine de Ron s'éleva :
- Hermione, j'ai une question à te poser.
- Vas y pose là ! C'est quoi ta question, demanda alors la voix d'Hermione
- Est ce que tu veux m'épouser ?
Il y eu un silence puis plus rien. Harry regarda alors ce qu'il se passait, et il vit Hermione dans les bras de Ron, le visage rayonnant. Apparemment elle avait accepté. Harry se tourna vers Ginny et fit un signe de tête pour lui dire que Hermione avait accepter. Ginny était contente, pour eux, parce qu'un sourire se dessina sur son visage. Puis la conversation reprit entre Ron et Hermione.
- Et ton ventre, il va un peu mieux, demanda Ron alors, dont sa voix lançait échapper de l'inquiétude.
- Oui, ça va mieux. Ca va, ça vient, c'est rien de grave.
Derrière les arbres, Harry regardait la scène attentivement, puis son regard se posa sur Ginny. Finalement il décidèrent de retourner à la grande Salle, avant que Ron et Hermione ne remarque leur absence quand ils rentrerons à la Grande Salle. Une fois qu'ils furent hors de portée de voix, Harry dit alors à Ginny :
- Qu'est ce qu'elle a d'après toi Hermione ? Pourquoi est ce que Ron lui as demander si son ventre allait mieux ?
- Je sais pas, dit Ginny qui paraissait désolée parce qu'elle n'avait pas la réponse.
Il continuèrent à marcher tout doucement, lorsque le professeur Slughorn apparu devant eux.
- Ah ! Harry, Ginny ! Comment allez vous tous les deux ?, dit Slughorn, le sourire aux lèvres.
- Très bien merci, dit Harry.
- Bien je suppose que vous vous amusez bien au bal ? Bon, je vais vous laisser vous amuser tranquillement.
Slughorn partit alors dans la direction opposée dont il était venu, laissant Harry et Ginny devant la porte de la Grande Salle. Tout à coup, Ginny tapa sur le bras de Harry, et plaqua son autre main sur la bouche.
- Qu'est ce qu'il y a ? demanda alors Harry en la regardant bizarrement.
- Tu te souviens avant, quand Ron avait demander si le ventre d'Hermione allait mieux, dit elle à voix basse de façon à ce que seul Harry puisse l'entendre
- Bien sûr, dit Harry sans comprendre.
- t tu en déduis quoi ? continua t'elle toujours aussi silencieusement
- Est ce que lui et elle ? Ca bien sûr, on les entendu l'autre soir. Tu veux dire, qu'ils vont avoir un gosse ? dit finalement Harry, à voix basse
Ginny acquieça avec un sourire, puis ils entrèrent dans la Grande Salle. Les Bizarr's Sisters jouaient de nouveau un air endiablé, Harry demanda à Ginny si elle voulait danser avec lui. Mais Ginny lui demanda s'ils pouvaient d'abord manger quelque chose, ce que Harry accepta tout de suite.
Quelques minutes plus tard, Ron et Hermione entrèrent dans la Grande Salle et rejoignirent Harry et Ginny, qui avaient déjà commencer à manger. Puis Harry leur demanda sur un ton tout à fait innocent :
- Vous étiez ou ?
- On était allé faire un tour dehors. Rien e spécial, dit alors Ron, comme si la question paraissait anodine. Vous avez fait quoi ?
- Rien. On a danser, et après on a manger. On a aussi vu Slughorn, dit Ginny.
- Qu'est ce qu'il vous voulait ? demanda Ron
- Rien. Juste savoir ce qu'on faisait, dit alors Harry en mordant dans un morceau de poulet.
Ils se remplirent donc l'estomac, et burent, beaucoup de jus de citrouille, tellement beaucoup qu'ils devaient souvent aller aux toilettes. De temps en temps, ils allaient danser, sur différents airs que jouaient les Bizarr's Sisters. Puis vers une heure du matin, le professeur Mc Gonagall se leva et demanda le silence.
- Chers élèves, c'est ainsi que s'achève le bal d'Halloween. Mais..... Mais....
Le reste de sa phrase fut étouffée par le désespoir des élèves. Elle demanda de nouveau le silence.
- Mais il y en aura un autre à Noël, comme je vous l'ai dit en début d'année. Maintenant, je vous souhaite à tous une bonne nuit et profitez bien du reste de vos vacances.
Peu à peu, les élèves quittèrent la Grande Salle pour rejoindre leur salle commune respective. Harry et Ron restèrent un peu dans la salle commune à bavarder de tout et de rien, tandis que les filles étaient allées monter se coucher. Puis après avoir échangé quelques mots, Harry et Ron montèrent dans leur dortoir.
Harry n'avait pas sommeil. Il voulait aller à la volière. Il prit alors sa cape d'invisibilité et se rendit à la volière avec une plume et un parchemin. Quand il fut arrivé à destination, il écrivit :

Mr Weasley,

Je ne sais pas si vous le saviez, mais Ginny et moi on s'aime. Donc je voulais savoir si je pourrais avoir la permission de me marier avec elle. Bien sûr, on attendrais qu'elle est 17 ans pour qu'on puisse se marier, je ne veux pas faire l'objet de poursuite si je me mariais avec une mineur.

J'espère que vous comprendrez.

Au revoir

Harry Potter

P.S : Et Ron voudrait se marier avec ma sœur, Hermione Granger. (Je vous expliquerais plus tard comment ça ce fait que Hermione soit ma sœur)

Harry prit alors le petit hibou appelé Scotthibou, attacha la lettre et dit au hibou :
- Le terrier. Si tu as une réponse, essaye de venir la nuit à Godric's Hollow.
Le hibou hulula, puis s'envola dans la nuit. Puis entendant que quelqu'un venait, il mit rapidement sa cape d'invisibilité et descendit les escaliers en essayant de ne pas ce faire entendre par la personne qui montait. C'était simplement Neville qui montait à la volière avec Luna.
Harry retourna alors dans la salle commune et s'enroula dans son lit à baldaquin bien chaud et bien douillet. Il pensait à Ginny, à Hermione qui allait sans doute avoir un enfant, Ron qui allait sans doute être père. Cette pensée le fit sourire. Il était content que Ron ne voit pas ce qu'il était en train de penser. Il ne voulait pas que son ami soit vexé. Le lendemain matin, les quatre amis retournèrent à Godric's Hollow, en transplanant. Ils n'avaient toujours aucun indices sur les horcruxes. Ils ne savait pas où les trouver. Un d'entre eux se trouvait sans doute à Poudlard.

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Chapitre 9: Le retour de Rogue et de Malefoy

Quand ils entrèrent dans le petit studio, une lettre traînait sur la table. Harry la lut à haute voix :
- Si tu tiens à ta vie et à celle de ses amis, arrête la recherche des horcruxes. Sinon, vous allez tous mourir, et je me ferais un immense plaisir de le faire.
- Et c'est qui qui as signer ? demanda Ron inquiet
- Voldemort, dit Harry en froissant le papier.
Ron, Hermione et Ginny haussèrent les épaules, puis Harry décida qu´il ne fallait pas trop prêter attention à ces mots. Ils se dirigèrent donc vers la salle à manger, pour prendre leur petit déjeuner. Il parlèrent de tout et de rien, mais surtout des hrocruxes.
- Comment on va faire pour les horcruxes, demanda Ginny. On a aucun indice
- Non, pas vraiment. Mais j´ai fait une petite liste. Il y a un objet de Poufsouffle, la bague de sepentard, une coupe de Gryffondor, c´est tout ce que je sais, dit Harry
- Bon, au moins, il y en a deux qui sont sûrement à Poudlard, dit Hermione, qui demeurait pensive.
- Mais le dernier, ou se trouve t´il? demanda Ron
- Je sais pas... avoua Harry, en continuant à remuer son bacon de sa fourchette.
Soudain quelqu´un sonna à la porte. Les quatre amis se dévisagèrent les uns les autres et Harry alla ouvrir. Il s´agissait de Mrs Weasley. Elle parraissait essouflée et avait des traces de larmes sechées sur son visage. Elle se dirigea dans la maison et se jeta dans les bras de sa fille.
- Oh, Ginny, tu es en vie! dit Mrs Weasley qui commençait de nouveau à pleurer de plus belle
Ginny, qui était dans les bras de sa mère faisait de temps à autre des grimaces pour faire genre qu´elle étouffait, mais elle restait tout de même dans les bras de sa mère. Puis Harry brisa le silence:
- Mais comment avez vous su que Ginny à été enlevée? demanda Harry qui demeurait perplexe.
- J´avais reçu le même mots que vous, mais je ne l´ai pas montré à Arthur. Je ne voulais pas l´inquiété. Avec tout ce qu´il se passe au ministère en ce moment!
- Mais quand l´avez vous reçu?
- Un matin lorsque Arthur était déjà parti au ministère. Le mot était bien mis en évidence sur la table, mais il ne l´a pas vu, il était déjà très en retard. Plus tard, quand je me suis levée, j´ai vu le mot, mais je n´ai rien fait, j´avais trop peur. J´essayait de ne pas montrer mon anxiété à Arthur afin qu´il ne se doute pas que sa fille à été de nouveau enlevée par Vous savez qui. Puis vous lui avez envoyer une lettre. C´est là que j´ai compris que Harry savait sans doute où se trouvait Ginny.
Pendant que Mrs Weasley racontait son récit, Harry l´imaginait mal cacher son anxiété à son mari. Puis elle pris Harry à part.
- Je compte sur toi pour veiller sur Ginny, dit Mrs Weasley d´un ton que seul Harry pouvait entendre.
- Je vous le promets, je vous donne ma parole d´honneur, dit Harry.
- Elle t´aime énormément. Elle n´arrête pas de parler de toi pendant les vacances d´été. Et puis j´ai appris, par la lettre que tu avais envoyé à Arthur que vous vouliez vous marier tous les deux. Félicitation, dit Mrs Weasley en le prenant dans ses bras.

Harry pensait que Ginny et les autres n´avaient pas tort en disant qu´ils allaient étouffés quand leur mère les prenait dans ses bras.
- Vous pensez vous marier quand? continua Mrs Weasley
- Quand elle aura 17 ans, madame, dit Harry avec le sourire.
- Je t´en pris appelle moi Molly. Après tout, tu sera mon futur gendre!!!
Et hermione votre future belle fille, lui dit Harry. Hermione est ma soeur, et elle veut se
marier avec Ronald.

- Ta soeur? répéta Mrs Weasley avec un regard interrogateur. Comment ça ce fait?
- Et bien on a été séparé avant que Voldemort -Mrs Weasley frissonna- ne vienne dans notre maison. Je ne l´ai appris que récemment, en étant convoqué chez le professeur Mc Gonagall. C´est Hermione, avec l´aide du professeur Mc Gonagall qui m´ont révélé qui était Hermione en réalité.
Mrs Weasley le regardait d´un air surpris, comme si on venait de lui apprendre que quelque chose de sympa lui était adressé par surprise. Après l´avoir longuement regardé, Mrs Weasley reprit la parole.
- Et eux, c´est pour quand?
- J´ai entendu dire que c´était pour la fin de l´année ou quelque chose comme ça. Ron m´a choisi comme son témoin, et je suppose que Ginny sera le témoin de Hermione. Mais je ne suis pas sûr de la date exacte, il faudra que vous voyez ça avec votre fils.
- Je t´en pris, tutoye moi!
- Désolé, Mrs... Molly, dit Harry qui n´était pas encore habitué à appeller Mr et Mrs Weasley par leur prénom.
Harry et Mrs weasley retournèrent vers les autres qui avaient déjà débarrasser la table et s´étaient déjà changer dans des habit moldus. Puis le regard de Mrs Weasley se posa sur la chaine hi-fi.
- Qu´est ce que c´est que ça? demanda t´elle en pointant la chaine hi-fi du doigt
- C´est une chaine fi-fi, dit Ron content de dire à sa mère ce que c´était. C´est un appareil moldu, que les moldus utilisent pour écouter de la musique.
- C´est une chaine HI-FI, Ron! Dit Hermione qui commençait éclater de rire.
Mrs Weasley ne posa pas d´autres question, mais n´était pas très rassuré à cause de la grande forme que l´objet avait. Harry était sûr que Mr Weasley aurait était totalement sous le charme de la chaine hi-fi. Il aurait poser beaucoup poser de questions quand au fonctionnement de la chaine. Lui qui adorait les prises.
Quelques instants plus tard, Mrs Weasley dût les quitter, pour aller s´occuper de son mari, qu´elle disait, le surveiller ( bien qu´il ne fasse pas vraiment de connerie avait précisé Mrs Weasley, dans un ton plein de sous entendu). Tout le monde se rappellait de la voiture volante qu´il avait fabriqué lorsque Harry, Hermione et Ron étaient en deuxième année, et la même voiture qui avait aidé Harry à s´échapper des Dursley, une nuit, quand Fred, Georges et Ron étaient venus le "sauver" des griffes des Dursley.
Une fois Mrs Weasley partie, ne sachant que faire et surtout par où commencer la recherche des horcruxes, Harry proposa de faire quelque chose en attendant la fin des vacances qui étaient de plus en plus proches. Ron proposa d´aller ssur le chemin de traverse, pour se balader un peu, durant la journée, ce qu´ils acceptèrent tous. Ils transplanèrent tous (Ginny était accrochée à Harry, vu qu´elle n´avait pas son permis) au chemin de traverse. Une fois la bas, Ron proposa de faire sa journée chacun de son côté, en couple. Harry et Ginny partirent d´un côté, et Ron et Hermione partirent du leur. Mais avant qu´ils ne se quittent Harry avait prévenu Ron et Hermione de l´heure à laquelle ils devaient rentrer à Godric´s Hollow. On avait entendu Ron dire qu´on aurait cru que c´était sa mère qui parlait, mais Harry lui avait fait la réflexion qu´il n´était pas sa mère et surtout qu´il n´était pas une femme, parce qu´il ne saurait pas comment il aurait fait pour sortir avec Ginny!
Une fois les deux autres partis, Harry se tourna vers Ginny et lui demanda:
- Bon qu´est ce qu´on va bien pouvoir faire, maintenant qu´on est tous les deux?
- Je sais pas, dit Ginny en lui souriant et en prenant Harry par la taille. A toi l´honneur de choisir, dit Ginny dans un regard plein de sous entendus...
- Bon, si c´est moi qui choisi, alors je crois savoir ouù on pourrais aller. Suis moi, dit Haarry en prenant Ginny par la main.

Harry et Ginny se dirigèrent alors vers le Chaudron Baveur, main dans la main. Le soleil brillait, mais l´air était froid, presque glacial, et les deux amoureuxavaient les joues rosies par le vent. Après quelques minutes de marches, ils se retrouvèrent devant le vieux pub à l´allure miteuse. Ils entrèrent dedans et s´assirent à une table et attendirent en se regardant dans les yeux. Tout doucement leurs visages se rapprochaient et leur bouches se collèrent l´une contre l´autre en un baiser aussi tendre que passionel. Ils n´entendirent pas Tom qui était arrivé à leur table et qui les regardait, légèrement choqué.
- Hum hum...
Harry et Ginny se décollèrent rapidement et regardèrent Tom avec des yeux ronds. Ils n´aimaient pasle "hum hum" qu´avait fait Tom pour les "réveiller". Ca leur rappellait Ombrage, la vieille pie qui c´était nommée "Grabde Inquisitrice de Poudlard" quand Harry était en cinquième année. Harry savait très bien que Ombrage ne pouvait pas le voir et ils se haïssaient mutuellement. Tom les regardait avec le sourire, un bloc note et une plume à la main.
- Qu´est ce que ce sera pour nos jeunes tourteraux?
- Un émincé de veau à la crème avec des champignons, des patates et une bierreaubeurre, dit Harry, pendant que Tom prenait sa commande.
Puis Tom se tourna vers Ginny:
- Pareil
Avant que Tom ne rejoigne son comptoir, Harry l´interpella:
- Tom?
Tom se retourna et se redirigea vers la table qu´il venait de quitter.
- Autre chose? demanda t´il
- Est ce qu´il vous reste une chambre, pour quelques heures?
- Quelques heures? demanda Tom qui trouvait bizarre de louer une chambre juste pour quelques heures. Je crois bien qu´il me reste une chambre en effet, finit il par dire après avoir longuement réfléchi.
- Alors on la prend, dit Harry d´un ton convaincu.
Tom se dirigea vers le comptoir en marmonnant qu´il ne comprenait pas les gens qui louent des chambres juste pour quelques heures. Ginny regarda alors Harry dans les yeux et lui prit la main en souriant, puis elle lui demanda:
- Pourquoi avoir louer une chambre juste pour quelques heures?
- Tu verras bien quand tu seras dans la chambre.
Quelques minutes plus tard, quand Tom leur apporta le plat qu´ils avaient commandés, Harry chuchota quelque chose à Tom, qui reparti d´un air qui voulait dire "n´importe quoi".
Harry et Ginny mangèrent leur plat tranquillement en parlant de tout et de rien, en planifiant ce qu´ils pourraient faire après e Chaudron Baveur. Après avoir fini leur plat, Harry jeta un coup d´oeil à Tom, qui l´avait regardé à ce moment là, et qui avait levé le pouce en signe que tout était près. Harry récupéra la clé puis monta dans la chambre avec Ginny, main dans la main.
La chambre qu´ils avaient pris était une ravissante petite chambre aux allures romantiques. Il y avait des bougies un peu partout dans la chambre et, sur un mur, un coucher de soleil artificiel longue durée. Quand Ginny entra dans la chambre, elle la regardait d´un air émerveillé. Elle demanda alors à Harry:
- Pourquoi est ce que t´as fait ça? demanda t´elle toujours aussi émerveillée
- Je me suis dit que je pourrais faire plaisir à la femme que j´aime en l´emmenant dans une chambre à l´allure romantique dans le célèbre pub le Chaudron Baveur!
- C´est tellement... C´est tellement... commença Ginny qui n´était toujours pas remise de ses émotions.
Puis elle sauta dans les bras de Harry en l´embrassant tendrement. Ensuite les deux amoureux s´assirent sur le lit et comtemplèrent le coucher de soleil artificiel longue durée. De temps à autre ils se donnaient de tendres baisers qui se faisaient de plus en plus fréquents, puis Ginny dit:
- Tu sais quoi?
- Non je sais pas, mais je vais le savoir, répondit Harry.
Je crois que je passe l´un de mes plus beaux jours de ma vie et puis...
Harry sourit et regarda de nouveau Ginny pour qu´elle puisse terminer sa phrase:
- C´est quoi la suite de ta phrase, mon poussin?
- J´AI CHAUD!!!
- Aha! ça devient sérieux tout ça! lui dit Harry en souriant.
Ginny lui sourit à son tour puis enleva son pull mode Weasley et enleva par la même occasion celui de Harry. Sous le pull de Harry, il y avait un T-shirt de Quidditch des Canons de Chudley et sous le pull de Ginny un T-shirt bleu marine moulant qui révélait toutes ses formes. Harry allongea alors Ginny sur le lit, tout en l´embrassant tendrement. Ginny se laissait faire et ses main se baladaient sur le corps de Harry. Harry quand à lui baladait aussi ses main sur le corps de Ginny, jusqu´à enlever son T-shirt moulant. Ginny enleva alors le T-shirt de Harry et le balança par terre tout en continuant d´embrasser Harry. Puis ils s´arrêtèrent un moment à se contempler et Harry dit alors à Ginny:
- Dire que j´avais jamais fait ça de ma vie!
- Mais je trouve que tu fait ça très bien, affirma Ginny avant recommencer à l´embrasser.
Puis il continuèrent à se déshabiller mutuellement, tout en s´embrassant. Leur mains se baladaient sur le corps de l´autre et de temps à autre Ginny poussait quelques cris de douleur (je vous laisse imaginer pour quoi...)

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Deux heures plus tard, Ginny et Harry avaient finis etredescendirent rendre les clés à Tom en le remerciant infiniment. Après être sortis du Chaudron Baveur, ils se dirigèrent vers la boutique de Fred et Georges. Ils se tenaient, main dans la main, et marchaient lentement vers la voutique des jumeaux Weasley.
Quand ils entrèrent dans la boutique, Fred leur sauta dessus:
- Harry! Ginny! Qu´est ce que vous faites là? Sortie en amoureux?
- Oh, c´est bon Fred! dit Ginnx en rigolant.
- Que puis je faire pour vous? demanda Fred en s´inclinant aussi bas qu´un elfe de maison
- La boutique Weasley est à votre service, continua Georges tout en s´inclinant aussi bas que son frère.
- Relevez vous! On passait juste vous voir! dit alors Harry.
- Ah, d´accord. Même pas de petites fusebombes portatives? demanda Fred, le regard plaintif
- Non, plus tard peut être, dit Harry en faisant un clin d´oeil à Ginny.
Ginny lui sourit et regarda les différentes inventions de ses frères, ce qui pouvait l´intéresser. Une demi heure plus tard, ils quittèrent les jumeaux et partirent dans le magasin d´accessoires de Quidditch. Dès qu´ils entrèrent dans le magasin de Quiddith, une énorme explosion retentit dans la rue. Harry et Ginny sortirent en vitesse du magasin, pour voir ce qu´il se passait. Au dessus de leur tête, des hommes en cagoules volaient et lançaient des sortilèges de stupefixion à tout bout de champs. Harry mit un certain temps à comprendre ce qu´il se passait. Ils étaient restés devant la porte du magasin et empêchaent la sortie de toutes les personnes qui étaient à l´intérieur de ce magasin. Quabd Harry réalisa ce qu´il se passait, il ne put que serrer Ginny dans ses bras, pour la protéger des sortilèges de stupéfixions. Un sortilège d´un des mangemorts frôla la joue de Ginny et alla s´échouer sur une personne qui était resté dans le magasin.Soudain un mangemort se posa à côté de Harry et une voix s´éleva du masque.
- Alors Potter, on est de sorti avec sa petite amie? C´était torride dans la chambre du Chaudron Baveur... Je vous ai vu! dit la voix de Bellatrix Lestrange, avec un rire glacial.
"Alors pourquoi vous nous avez pas attaquer à ce moment là" pensa Harry qui serrait toujours Ginny dans ses bras.
- Tu te demandes pourquoi on vous a pas attaquer à ce moment là, n´est ce pas? La réponse est très simple! On voulas que tout le chemin de traverse assiste à la mort du célèbre Harry Potter et de sa petite amie, qui a échappé deux fois au Seigneur des Ténèbres, Ginny Weasley.
- NON! dit une voix qui venait de derrière les mangemorts.
Les mangemorts se retournèrent et firent place à une jeune fille. C´était Hermione. Elle avait sorti sa baguette et la fureur déformait son visage qui était si jolie d´habitude.
- Stupefix! lança Bellatrix Lestrange avant que Hermione ne puisse lui lancer un sort.
Hermione tomba par terre, inconsciente. Puis Lestrange stupéfixia Ron, et il tomba à côté du corp inerte de Hermione. Harry commença à s´énerver de plus en plus et sortit sa baguette.
- Aha, Potter, on veut se battre en duel, lança la mangemort, avec un sourire narquois. Allez, incline toi, comme dans les vrais duels...
Lestrange et Harry s´inclinèrent et se tenaient près à combattre. Ginny se tenait toujours devant la porte du magasin et se rongeait les ongles. Elle s´inquiétait de la façon dont Harry ällait s´y prendre pour échapper à une mort ceraine.
Harry et la mangemort se dévisagèrent mutuellement et Harry lança:
- Rictusempra!
-Protego! lança Bellatrix Lestrange. Endoloris!
Harry évita de justesse le sort de la mangemort, qui alla s´écraser dans le mur d´un magasin.
- Expelliarmus!
Cette fois ci, le sort de Harry frôla les cheveux de Bellatrix et ils commençaient à bruler. Elle éteignit le feu grâce à un sort et se retourna vers Harry.
- Tu as osé toucher à mes cheveux? Tu as osé toucher à mes magnifiques cheveux? Tu va me le payer très cher, petite mauviette! AVADA KEDAVRA!!!
- Protego! lança Harry, espérant de toute ses forces pouvoir échapper à la mort.
Une protection se forma autour de Harry et le sort de la mort qu´avait lancé son adversaire ne pouvait pas passer la protections de Harry. Le sort de Lestrange devenait de plus en plus puissant. Mais Harry résistait. Il pensait à Ginny. Il ne voulait pas la perdre. Ce fut une protection en plus, et ça lui redonnait espoir. La protection qui s´était formé autour de lui se faisait de plus en plus puissante.
Puis une voix venait dans sa tête et se faisait de plus en plus puissante. C´était une oix d´homme, une voix que Harry semblait connaitre. Une voix bizarre de quelqu´un qui était censé le haïr. C´était son ancien professeur de potion et de défences contre les forces du mal, l´ex professeur Rogue. Cette voix lui disait de ne pas lacher la protection, que bientôt le sort de Bellatrix Lestrange n´allait plus avoir d´effet, qu´elle allait être affaiblie et qu´il pouvait en faire ce qu´il en voulait.
En effet, plus le temps passait, plus Bellatrix Lestrange s´affaiblissait. La puissance de son sort puisait toute son énergie. Quelques secondes plus tard, la mangemort s´effondra par terre. Tous les mangemorts transplanèrent, sauf un. Un mangemort était resté (l´autre idiote de Lestrange, c´est logique, mais y en a un autre). Ce dernier s´avança vers Harry et enleva se cagoule. C´était Rogue. POur la première fois depuis que Harry le connaissait, il ne l´avait jamais vu evec ce sourire.. Ce n´était pas ce sourire douceruex qu´il lui résevait du temps où il était professeur, mais un autre. C´était un sourire chaleureux. Rogue posa alors sa main sur l´épaule de Harry.
- C´était du beau travail. Je savais que tu pouvais le faire. Ton père aurait été fier de toi.
C´était la première fois que Rogue lui faisait un compliment. De ce fait, Harry était un peu méfiant et regardait Rogue de travers.
- Que comptes tu faire maintenant? Avec Lestrange?
- L´envoyer aux détraqueurs, pour qu´elle recoive le baiser du détraqueur. Et vous! Vous, je devrais vous tue! Vous avez tuer Dumbledore! dit Harry dont la colère ne s´était pas atténué
- Ecoute Harry. Dumbledore savait ce que j´avais fait. La nuit de sa mort, il m´a persuader de la tuer. C´était ainsi. Comme ça je remplissait le contrat que j´avais fait avec la mère de Drago. Malgré cela, il m´a dit aussi de veiller sur toi, même s´il savait que tu me haissait. Il savait que j´ai haïs ton père, mais maintenant tout est différent..
- Malefoy est dans le coup aussi! dit Harry
- Oui, nous avons longuement parlé ensembleet j´ai réussi à le rammener à la raison. A partir d´aujourd´hui, tu as deux nouveaux alliés. Moi et Malefoy.
- Je ne vous croirais que si vous et Malefoy aurez fait vos preuves.
- Très bien j´accepte. Je vais chercher Drago.
Rogue transplana immédiatement avec le corp de Lestrange pour l´emmener à Askaban. La foule s´était lentement dispersée. laissant les corps inertes de Ron et d´Hermione derrière eux. Ginny sauta alors dans les bras de Harry. Durant le combat de Harry et Lestrange, elle ´était enfoncée les ongles dans la peau et son visage en visage en portait encore les marques. Ils restèrent longuement dans les bras de chacun avant de se rendre compte que Ron et Hermione étaient toujours en plein milieu de la rue, stupefixiés. Harry s´approcha d´eux et dit:
- Enervatum.
Ron et Hermione se réveillèrent lentement et regardèent autour d´eux.
- Il s´est passé quoi? demanda Ron en se massant la tête.
- Je me suis battu en duel avec Lestrange après qu´elle vous ait stupefixié. J´avais lancé un "expelliarmus" qui a "malheureusement" touché ses cheveux. Elle m´a lancé un "Avada Kedavra", j´ai fait un "protego", elle est tombé dans les pommes et Rogue et Malefoy viennent de notre côtö. Ca c´est le gros de l´histoire. Maintenant, je parie que ça va faire le une des journeaux: "Le célèbre Harry Potter rééchappe à la mort"
Les quatres amis éclatèrent de rire quand un pop sonore retentit derrière eux. C´était Malefoy et Rogue. Malefoy s´approcha de Harry et lui tendit la main.
- Salut Harry. Ravi de te revoir, dit Malefoy avec un sourire entendu.
Harry serra la main de Malefoy avec méfiance , mais seul ses mots sortirent de sa bouche.
- Alors finalement t´es revenu du bon côté!

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Chapitre 10: Le test

- Comme tu peux le voir. J´ai changé. Je ne suis plus le gars arrogant que j´était avant. Je vais revenir à Poudlard et demander à me faire répartir à nouveau. Serpentard, n´est pas fait pour moi.
Harry sourit en entendant Malefoy dire que serpentard n´était pas fait pour lui. Mais l´essentiel, c´est qu´il soit du bon côté. Puis Malefoy se tourna vers Hermione.
- Déslé pour les fois ou je t´ai appellée sang de bourbe. Mais c´était mon éducation.
- C´était ton éducation, dit Hermione en accentuant bien sur "c´était"
Elle serra alors la main que lui tendait Malefoy et lui sourit. Puis Malefoy se tourna vers Ron et Ginny.
- Je crois qu´il est temps d´oublier les querelles entre les Malefoy et les Weasley, dit Malefoy en tendant la main à Ron puis à Ginny.
- Bon...dit le professeur Rogue. Après des retrouvailles très émouvante, on pourrait peu être aller manger quelque chose?
- Oh, oui! Je meurs de faim! lança Ron
- Tu ne penses vraiment qu´à ton estomac! dit Hermione en rigolant.
Tout le monde rigola de coeur joie, puis Harry dit:
- D´abord je voudrais acheter pour nos entrainement de Quidditch. J´ai vu quelque chose de très interressant dans le magasin d´accessoire de Quidditch. Je revien tout de suite, dit Harry en entrant dans le magasin.
Après avoir acheté ce qu´il lui fallait, le petit groupe se dirigea vers le chaudron baveur pour manger quelque chose. Les conversations allaient bon train.
- Alors Drago, tu pense être envoyé dans quelle maison?
- Je sais pas. Poufouffle ou Serdaigle. Ou pourquoi pas Gryffondor! Mais pitié pas Serpentard!!!
Vers 22 heures, Rogue et Malfoy aalèrent se coucher dans la chambre qu´il avaient loué, tandis que le quattuor rentrait à Godric´s Hollow. Le surlendemain allait être la rentrée.
Deux jours plus tard, Harry, Ron, Drago, Hermione et Ginny transplanèrent jusqu´ä Pré au Lard et se rendirent à pied à Poudlard. Sur leur trajet, ils rencontrèrent le professeur Mc Gonagall qui était très surprise de revoir Drago. Ce dernier lui demanda alors s´il pouvait de nouveau être réparti par le choixpeau magique, ce qu´elle accepta tout de suite.
Lorsqu´ils pénétrèrent dans la Grande Salle, pour le repas du soir, tous les regards étaient posés sur Malefoy et se demandaient pourquoi le choiypeau magique était sorti. Le professeur Mc Gonagall se leva et demanda le silence. Pansy Parkinson était prête à se lever pour rejoindre son chéri, mais on l´en avait empêché. La directrice prit alors la parole.
- Aujourd´hui, après un moment d´absence, nous revient un élève qui se dit changé. Cet élève, c´est Drago Malefoy. Il a été un partisant de Vous Savez Qui et maintenant il est de notre côté. C´est pour ça, qu´aujourd´hui, il va de nouveau se faire répartir.
Le professeur Mc Gonagall se rassit et Malefoy s´approcha du tabouret ou se trouvait le vieux chapeaux rapiécé. Il le mit sur sa tête et attendit.
- Aha, je voit du courage, de la volonté et de l´acharnement. Je sais ou t´envoyer... GRYFFONDOR!!!
La table des Gryffondor applaudit l´arrivée de Malefoy à leur table. Quant à la table des Serpentards, ils étaient plus énervés que jamais. Pansy Parkinson s´était levée, avait lancé un regard noir à Malefoy et sorti de la salle sans avoir manger.

Les Gryffondors n´avaient pas réservé un accueil chaleureux à Malefoy. Ils étaient tous persuadés qu´il n´avait pas changé, qu´il était toujours le même, depuis la fois où il est allé rejoindre les rangs de Voldemort.
Malefoy s´assied donc à côté de Harry, Ron, Ginny et Hermione, mais ne se sentait pas très à l´aise à cette table. Il avait l´impression de ne pas être le bienvenue. En effet, tous les Gryffondor, à part Harry, Ginny, Ron et Hermione dévisageaient le nouveau venu. Malefoy se dépêcha de manger et souffla à Harry.
- Je vous attends dehors. Je ne sais pas ou se trouve la salle commune, dit Drago en faisant un clin d´oeil à Harry.
Harry lui sourit et regarda Malefoy sortir de la salle. Puis Seamus regarda Harry et lui demanda:
- Tu penses vraiment qu´il a changé?
- Je pense, oui. Il a reussi à sortir des rangs de Voldemort sans trop de dommages, à ses risques et périls, est revenu à Poudlard tout sachant qu´il n´allait pas être très bien acccepté. Il a eu le courage de se refaire répartir par le choixpeau magique. Je pense que pas beaucoup de gens seraient capable de se refaire répartir en sachant que le choixpeau ne ment jamais...
- Il as raison tu sais... dit Hermione
- Surprenant, pour une fois que j´ai raison, murmura Harry
Puis soudain une sorte d´explosion retentit dans le hall. Toute la grande salle se pressa pour voir ce qu´il se passait. Harry se fraya un passage pour qu´il ait une vue de ce qu´il se passait. Devant lui se tenait Pansy Parkinson et un peu plus loin Drago Malefoy. Pansy devait l´avoir provoqué en duel parce que sa baguette était tendue vers Drago. La fureur déformait son visage et on aurait cru qu´elle ressemblait de plus en plus à un bulledog, plus elle était en colère, ce qui ne faisait qu´accroître le fou rire des Gryffondors, des Pouffsouffles et des Serdaigles. Quand aux Serpentards , ils n´attendaient plus que Pansy attaque Drago. Drago essayait de calmer le jeu de façon à ce que ça ne dégénère pas.
- Calme Pansy... Tu savais très bien qu´entre nous ça ne pouvais pas marcher, et puis je ne suis plus des vôtres. Je fais partie des Gryffondors. DOnc si tu veux pas que je me foute de ta geule, dit Drago, qui commençait à rire de plus en plus en voyant le regard de Pansy qui était mélangé entre la fureur, le choc et l´angoisse.
Soudain, n´en pouvant plus, Drago se mit à pouffer de rire, en pointant Pansy du doigt. Tout le monde se mit à rigoler avec Drago, tout le monde sauf les Serpentards (logique). Soudain, Pansy dit:
- Allez, venez les gars, je veux pas trainer avec ce tas de mauviette.
- C´est ça, vas t´en face de Bulldog! lança Drago en voyant Pansy partir.
Soudain les Serpentards croisèrent Rogue. Pansy lui sauta dessus et lui dit:
- Professeur, professeur! J´ai été provoquée par Malefoy, mentit elle
- De un, je ne suis plus professeur, dit Rogue en repoussant Pansy. De deux, je ne suis plus le directeur de Serpentard, et de trois, ça m´étonnerais que Drago vous ait provoqué. Il a changé.
Pansy le regarda d´un air ahuri et regarda Drago. Drago le regarda avec un sourire qui voulait dire "Ah, t´es cassé là!!!". Pansy, toujours ahurie, s´apprêtais à s´en aller en courant, quand Rogue l´interpella:
- Ceci dit...
Pansy s´arrêta croyant qu´une sanction allait tomber en faveur de Malefoy. Elle se retourna donc et lança un regard de travers à Malefoy, voulant lui dire "Ehe, tu va le payer mon cher! Et c´est ti qui sera cassé"
- Ceci dit, tu as vraiment une face de Bulldog (je sais, c´est poussé, mais je le mets quand même) dit Rogue en souriant.
Tout le monde rigola et Pansy et son club de Serpentards partirent tous en courant. Pansy quand à elle était partie en pleurant.
Puis après que tout le monde se soit dispersé, Harry et les autres étaient resté avec Drago et lui demandèrent s´il voulait allé dans la salle commune, ce qu´il accepta tout de suite. Arrivé devant le portrait de la grosse dame, elle était avec son amie Violette et elles parlaient de l´arrivée de Malefoy dans Poudlard. Harry poussa un "hum hum" pour attirer l´attention des deux femmes. Elles sursautèrent tous les deux et regardèrent qui pouvait les perturber dans leur conversation. Puis la grosse dame vit Malefoy.
- A ce que je vois tu fais parti des Gryffondors. Pas de conneries! Bon, le mot de pass?
- Steak frite dit Harry.
Puis le portrait pivota faisant apparaitre une salle aux couleurs rouges et or. Malefoy était enchanté qu´il n´arriveait plus à parler.
- Ca change de la salle commune des Serpentards.
- Quoi, ce truc glacial? lacha Ron
- T´y était? demanda Drago avec un regard soupçonneux.
- Ben euh ouais... En seconde année. J´y était avec Harry... Crabbe et Goyle s´était nous, la fois ou tu as demander pourquoi Goyle portait des lunettes.
- Ah, cette fois là, dit Drago en haussant les épaules. C´est pas grave... C´était déjà oublier...
Les 5 amis s´assirent près du feu et discutèrent de tout et de rien. Drago racontait comment c´était avec Voldemort, les moindres détails, comment les mangemorts étaient traités. Puis tard dans la nuit, ils décidèrent d´aller se coucher. Harry embrassa Ginny, Ron embrassa Hermione et Drago se sentait embarassé de voir que les deux garçons avaient chacun une petite amie. Drago avait unlit à baldaquin à côté de celui de Harry et un nouvel uniforme de Gryffondor était posé à côté de son lit.

Le lendemain matin, vêtu de son nouvel uniforme flambant neuf, Drago alla attendre Harry, Ginny, Ron et Hermione dans la salle commune. Quelques minutes plus tard, les quatre amis avaient rejoints Drago dans le salon de la salle commune, d'un air ensommeillé. Puis ils se dirigèrent vers la Grande Salle où ils trouvèrent un troupeau d'élève qui bloquaient l'entrée dans la Grande Salle. C'était des élèves de différentes maison, puis plusieurs regards se tournèrent vers Drago. Celui-ci ne comprenant pas très bien ce qui se passait, se fraya un chemin jusqu'à l'entrée de la salle pour voir ce qu'il s'y passait. Après s'être frayé un chemin à travers la foule, tous les élèves de Serpentards lui faisait face. En tête, se trouvait... Pansy Parkinson. Tous les Serpentards regardèrent Drago d'un air dégoûté, comme s'il faisait parti d'un espèce particulièrement répugnante de Scroutt à Pétards. Puis Pansy s'avança vers Drago, le même regard dégoûté que ses camarades.
- Pourquoi tu nous a fait ça ? Pourquoi tu m'a fait ça à moi ? Il fallait que tu aille rejoindre ses andouilles de Gryffondor ?
- Ce ne sont pas des andouilles au cas où ! Et puis, c'est ma vie, j'en fait ce que je veux ! C'était mon choix de d'abord rejoindre le Seigneur des Ténèbres. Mais je me suis rendu compte que la vie n'était pas aussi rose que mon père le prétendait ! Lui était mangemort, et regarde ou ça l'a mené ! A la mort ! On ne sort jamais indemne quand on a servi Voldemort. Je le sais. Il va essayer de me retrouver, et il va me tuer, parce que j'ai déserté ! Je ne l'ai pas suivit ! Mais je préfère revenir du bon côté que de servir jusqu'à y perdre ma vie, un prétentieux, tout ça pour du pouvoir. Je me suis rendu compte qu'il suffisait d'un rien pour être heureux. Il suffit d'avoir de la volonté pour croquer la vie à pleine dents et de ne pas se laisser embobiner dans des choses tout à fait farfelues.
Durant le discours de Drago, tout le monde s'était tu pour écouter ses paroles. Les Serpentards le dévisageaient toujours de la même manière qu'au début et n'éprouvaient pas l'ombre d'un sentiment. Puis Drago ajouta :
- Chacun à sa vie. Il en fait ce qu'il veut. Moi j'ai choisi de revenir du bon côté, et je dis ceux qui veulent rester du mauvais côté et qui ont de la bouse dans les yeux et puis qu'ils y restent dans leur mauvais côté...
Puis une voix s'éleva derrière eux :
- Ceux qui sont du bon côté, ceux là sont biens. Mais ceux qui ont servi le mal et qui sont revenus du bon côté, ceux là sont grand...
Le troupeau s'écarta, laissant place à un jeune homme qui avait une certaine corpulence. Cet homme était encapuchonné et, arrivé à la hauteur de Drago, enleva son capuchon. C'était Viktor Krum.
- Vous ? s'étonna Drago
- Krum ? murmura Ron
- Oui, moi... Je reviens de loin.
- Pour faire quoi exactement si ce n'est pas trop indiscret ? demanda Drago
Pour te mettre à l'épreuve. Pour voir si tu as réellement changé...

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Drago le regardait bizarrement, comme s´il n´était pas sur de tout comprendre. Puis après un moment il reprit la parole:
– Et dans quelle épreuve voulez vous me tester?
– Tu vas bien voir, lança Krum dont la voix n´avait pas changer depuis tout à l´heure. Samdi, 10 heures près du lac. T´a intérêt à y être sinon, gare à toi...
Puis Krum reparti dans l´autre direction, puis s´arreta devant Hermione et la prit par le bras, l´arrachant ainsi de Ron. Il l´avais entraîné dans un endroit discret, là où personne ne pouvait ni les voir, ni les entendre. Drago rejoignit alors Harry, Ginny et Ron et leur demanda en quoi pourrait consister son épreuve contre Krum. Puis il constata que Hermione n´était pas avec eux.
– Où est Hermione? Demanda Drago
– D´après toi! Krum l´a emmener, il voulais parler avec elle. J´ai essayer de la retenir mais Krum me l´a arraché comme ça... dit Ron d´un air dégouté
Puis quelques minutes plus tard, Hermione était revenue et paraissait scandalisée. Ronla prit dans ses bras et essaya de la consoler.
– Qu´est ce qui ne va pas? Qu´est ce qu´il te voulai? Demanda Ron
– Rien... Il ne voulais rien me dire, mentit Hermione essayant de ravaler ses larmes.
Puis tout doucement la foule commençait à se dispercer et entrer dans la Grande Salle pour prendre le petit déjeuner. Le petit déjeuner des cinq amis se passait en silence. Drago pensait à quelle genre d´épreuve il pourrait bien être confronté, Harry, Ginny et Ron, s´inquiétais sur l´état de Hermione. Puis ils se rendirent à leur cour de potions avec Slughorn. Cours commun avec les Serpentards. Arrivés devant les cachots, les Serpentards étaient déjà là et attendaient l´arrivée du professeur. Quand Drago arrivea, avec Harry, Hermione, Ginny et Ron, ils dut subir les railleries des Serpentards.
– Alors Malefoy, on ramasse les ordures, maintenant? Lança Pansy Parkinson, le regard froid
– Je préfère ramasser les ordures comme tu dis, que de rester aux côtés de Voldemort! Répondit Drago en essayant de garder son calme.
– Allons, allons que se passe t´il encore, dit une voix suave derrière eux.
Le professeur Slughorn venait d´arriver et regardait alternativement Drago et Pansy.
– Ah, Mr Malefoy, vous êtes de retour parmis nous! Et vous avez été réparti à... Gryffondor! Bienvenue! Dit alors le professeur de potion en lui accordant un sourire gracieux. Allez, maintenant entrez en classe et ne discutez pas sinon, j´enlèverais des points!
Pendant que Drago et les autres entraient en classe, il tira la langue à Pansy. Visiblement personne n´aimait plus vraiment les Serpentards à part les Serpentards eux même.
– Bon, aujourd´hui, nous allons étudier le Véritasérum. Bien que le ministère nous interdise complètement de vous enseigner cette potion, je suppose qu´il y aura des questions à ce sujets lors de vos examens de fin d´année.
Le cours se passa tranquillement et des fois les Serpentards faisaaient des boulettes de papier et les lançaient à la table où était assis Drago.
Le samedi matin, Drago était très angoissé et attendait Harry et les autre près du feu. Il regardait les flammes dancer en essayant de se rappeller de tous les sorts qu´il savait, sur le moyen dont allait faire ses preuves. Harry et Ron descendirent quelques minutes plus tars, d´un air ensommeillés et s´assirent près de Draog et attendirent les filles. Parvati descendit les escaliers du dortoirs des filles et alla rejoiundre Harry, Ron et Drago. Ron leva le regard vers la jeune fille et lui demanda:
– Qu´est ce qu´il y a? Il y a quelque chose qui ne va pas?
– C´est Hermione et Ginny qui ne vont pas bien. Elles disent qu´elles ont toujours envie de vomir et ont terriblement mal au ventre.
Harry et Ron se regardèrent sans comprendre. Puis ils se levèrent et dirent à Parvati qu´il fallait emmener Hermione et Ginny à l´infirmerie de suite. Parvati s´excuta et deux brancards apparurent pour emmener les deux jeunes filles momentanément indisposées.

Drago ne prêtais pas vraiment attention à l'agitation qui régnait dans la salle commune. C'était un vrai brouhaha pour faire descendre Hermione et Ginny de leur lit, et leur brancard n'arrêtais pas de se foncer dedans ce qui ne faisait qu'accroître leur gémissements. Drago continuait de regarder le feu en attendant ce qui allait l'attendre, quelques heures plus tard.
Une fois que Harry, Ron et Parvati se soient rendue à l'infirmerie, avec les deux malades, ils tombèrent sur Mme Pomfresh, l'infirmière de l'école qui soignait toutes blessures en un rien de temps.
- Madame Pomfresh, est ce que vous pouvez les examiner s'il vous plait ? demanda Harry le regard plaintif
- Bon d'accord, dit elle après un moment d'hésitation. Posez les la sur un lit
Harry et Ron posèrent donc les deux filles sur les lits que l'infirmière leur avait montrer. Pendant ce temps, Ginny et Hermione gémissaient en se tenant le ventre. Puis, Mme Pomfresh, qui les avait entendu se plaindre leur dit d'un ton sec.
- Arrêtez de vous plaindre ! Vous n'êtes pas dans un hôpital moldu !
Puis elle s'approcha des deux filles les obligeant ainsi à enlever leur main du ventre. Elle posa alors sa main sur le ventre d'Hermione puis l'enleva après un temps de réflexion. Elle fit de même pour Ginny et même moment d'attente. Puis elle se leva et se dirigea vers l'arrière de l'infirmerie. Elle revint avec une petite fiole pour chacune des filles et le leur fit boire.
- Qu'est ce que c'était ? demanda Ron, l'air incrédule
- C'est une potion qui apaise les maux de ventre pendant un certain moment.
- Pourquoi qu'est ce qu'elles ont ? demanda Harry, avide de savoir ce qu'elles avaient
L'infirmière esquissa un sourire et leur dit tranquillement.
- Je dois avouer que vous avez fait du bon travail. Vous pouvez être fiers de ce que vous avez fait... Elles sont enceintes...
Harry, Ron et Parvati se regardèrent, l'air choqué, mais Ron l'était encore plus. Sans doute angoissait il par rapport à la réaction de ses parents à cause de la grossesse d'Hermione. Harry se tourna alors vers Parvati et lui dit.
- S'il te plait, fait en sorte que ça reste entre nous. Je ne tiens pas à ce que toute l'école soit au courant de ça.
- Il n'y a pas de problème. Je serais aussi muette qu'une tombe. Dit Parvati
Puis elle parti. Harry s'assied alors près de Ginny et lui prit la main et lui sourit. Ils restèrent un moment silencieux et Harry demanda à Ginny.
- Alors, comment tu te sens après cette nouvelle
- Ca peux aller... Au moins toi tu n'as pas le souci d'être enceinte ou sinon il y a vraiment un bug dans ta programmation interne ! lui répondit Ginny ironiquement
Ils rigolèrent de bon cœur et madame Pomfresh leur autorisa à quitter l'infirmerie.

Puis ils se dirigèrent vers la salle commune avant de se remémorer que Drago avait une épreuve pour voir s'il avait réellement changer. On entendait les dix coups de 10 heures sonner et les quatre amis se dirigèrent vers le lac, là où se déroulait l'épreuve.
Arrivé sur place, un troupeau d'élève de première année stationnait derrière les autres élève des autres années. Harry, Hermione, Ginny et Ron se frayèrent un chemin parmi la foule, de façon à voir ce qui se passait. Une fois devant ils virent Drago en face de Krum, en maillot de bain et leur baguettes tendues. Ils se lançaient des regard furieux puis Krum prit la parole.
- Si tu as assez de courage, va à la rencontre du calamar géant et bats le avant que je ne le fasse. Ce sera une épreuve chronométrée. Celui qui est arrivé auprès du calamar et qui l'aura battu avant l'autre aura gagner. Si tu y arrives avant moi, ça prouveras que tu aura changer, si tu n'y arrive pas, tu ne mériteras pas ta place ici.
- J'accepte ce défi, dit Drago, avec un ton qui trahissait son angoisse.
Puis Krum hocha la tête et se dirigea vers Hermione. Mais cette fois ci, Ron s'interposa et lui demanda.
- Qu'est ce que tu lui veut encore ? dit Ron avec le regard méchant.
- Lui demander quelque chose. Tu peux rester de toute façon, ce n'est pas confidentiel. Ecarte toi maintenant.
Ron s'écarta résigné et observait chacun des gestes de Krum.
- Hermione, je vais te demander de chronométrer cette épreuve. Tu l'arrêtera dès que le premier de nous deux sera revenu sur la rive et tu enverras une étincelle rouge dans l'eau pour dire que l'épreuve est fini.
Hermione prit le chronomètre, mais ne dit rien. Puis Krum lança un dernier regard à Ron, Ginny, Harry et Hermione. Puis il retourna vers Drago et lui dit d'un ton tout à fait innocent.
- Au fait, il y a des sortilèges qu'il faudra lancer. On n'arrive pas tellement facilement près du calamar.
Puis après un ultime regard assassin, les deux jeunes hommes plongèrent dans le lac, dont l'eau ne devait pas faire plus de 1 où 2 degrés. Hermione lança le chronomètre, l'épreuve était lancée. Mais au moment ou Krum avait plongé dans l'eau il avait lancer un sort dans les airs, où à présent on pouvait voir un immense toile qui retranscrivait tout ce qui se passait dans le lac, de façon à ce que tout le monde puisse profiter du spectacle. Tous les regards se levèrent dans les airs, direction la toile géante. Drago avait l'air d'avoir quelques difficulté pour nager, mais il s'était lancé un sortilège de métamorphose pour finalement devenir un requin. Krum, lui avait décider de prendre un branchiflor et avançait comme un poisson dans l'eau.
Les premières difficultés de Krum se firent ressentir après une demi heure. Il était prisonnier de quelques strangulots qui refusaient tout net de le laisser passer. Drago, quand à lui poursuivait son bonhomme de chemin, en lançant des sortilèges à tort et à travers et la plupart atteignait ses adversaires. Puis tout à coup il fonça dans une grande masse informe et qui semblait dure à rêche. La peau de la chose était noir et cette chose était très grande. Puis elle commença à remuer. Le requin – Drago recula et tendit sa baguette, vers la créature. C'était le calamar géant. Au dessus du lac des petites vagues se formaient à cause du mouvement du calamar.

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Chapitre 11:

Mais Drago fut bientôt confronter à un autre problème. Krum venait d'arriver, il avait réussit à se libérer de la bande de strangulots qui l'avaient empêcher de continuer. A eux deux, ils lancèrent des sortilèges de stupéfixion au calamar géant et au bout d'un quart d'heure d'acharnement, l'animal tomba par terre, stupefixié. Puis les deux jeunes hommes commencèrent à ce lancer des sorts dont la moitié allait s'échouer sur des créatures sans défenses. Puis une fois que Drago était assez près de Krum, il lui donna un coup de poing dans sa tête et Krum tomba par terre. Pendant le temps où Krum tombait par terre, Drago prit la fuite, se dirigeant le plus vite qu'il pouvait vers la rive. Krum, qui s'était relevé, tentait de le rattraper, mais Drago était trop loin. Krum tenta alors un sortilège de stupéfixion qui évita de justesse Drago. L rive était proche. Plus que quelques mètres et l'épreuve serait finie. Puis en un élan, Drago fit un saut et atterri, sous sa forme originale sur le sol froid. A ce moment là Hermione arrêta le chronomètre et avant qu'elle ait put lancer un étincelle dans l'eau, Krum sorti à son tour de l'eau, l'air essoufflé. Les deux garçons étaient étendus par terre et respiraient avec difficulté. Madame Pomfresh arriva en courant et en marmonnant qu'elle ne comprendrait jamais les jeunes. Ils ont toujours des conneries en tête, disait t'elle.
Puis après avoir eu les soin de l'infirmière, Drago et Krum se relevèrent et se regardèrent en face.
- C'est bien. Je pense que tu as changé. Maintenant laissons les autres dirent que tu a changer. Dit Krum à Drago.
Puis il s'adressa aux autres élèves.
- Qui pense que Drago a vraiment changer ?
Toutes les mains se levèrent pour dire oui, mais les Serpentards en signe de colère, ne levèrent pas la main.
Puis à ce moment, là, le lac commença à geler, comme si les détraqueurs arrivaient. Toutes les têtes se levèrent vers le ciel, pour voir ce qui se passait et virent des détraqueurs. A ce moment là, Drago regarda Harry, Ginny, Hermione et Ron et leur dit.
- Ils viennent sûrement me chercher. Ca doit être un ordre de Vous- Savez – Qui...
Puis il prit fermement sa baguette et la tendit vers les détraqueurs. Mais ils étaient trop nombreux et la plupart des élèves ne savaient pas se défendre contre les détraqueurs. Harry ordonna à Ginny et à Hermione de rentrer à l'intérieur de l'école et d'aller prévenir les professeurs. Elles devaient également accompagner tous ceux qui n'étaient pas capable de se battre contre les détraqueurs. Les deux jeunes filles s'exécutèrent et emmenèrent tous ceux qui n'étaient pas aptes à se défendre contre les détraqueurs, puis allèrent prévenir tous les professeurs qu'elles rencontraient.
En attendant, la résistance se formait. Il ne restait plus que ceux qui avaient participés aux cours de l'AD, Krum et Drago. Harry essayait de donner des conseils à Drago pour qu'il réussisse son patronus, mais Krum écoutait aussi, malgré qu'il savait très bien le faire. Ils avaient réussit à anéantir pratiquement tous les détraqueurs lorsque les professeurs arrivèrent, mais une nouvelle vague de détraqueurs arrivait, mais cette fois ci, ils n'étaient pas seuls. Ils étaient accompagnés de mangemorts. Ils devaient être au moins une cinquantaine de mangemorts et une centaine de détraqueurs. Ils formèrent un cercle autour du groupe de résistant et la voix d'un mangemort s'éleva.
- Allez Malefoy, viens, le Seigneur des Ténèbres veux te récompenser ! Tu ne vas pas te dérober, quand même. Ca nous fera un peu de spectacle ! dit le mangemort en éclatant de rire.
Tous les autres mangemorts le suivèrent puis Drago cria de façon à couvrir les rires des adversaires.
- Jamais je ne le rejoindrais !
- Alors tu va mourir, comme ton père est mort, dit le mangemort qui avait parlé
- STUPEFIX ! lança le professeur Lupin
Le sort qu'il avait lancé toucha de plein fouet le mangemort qui fit une descente piquée d'une dizaine de mètre avant de s'écraser comme une blatte dans le sol humide et gadoueux.

Les autres mangemorts, énervés, lancèrent eux aussi des sorts de mort et de stupéfixion, enfin bref, tous les sorts possibles. Le professeur Lupin tenta de s'enfuir pour prévenir tous les membres de l'ordre du phénix, mais il fut toucher par un sort de stupéfixion et tomba lourdement par terre. Le professeur dit à Harry entre deux sort :
- Allez à Pré au Lard et transplaner là bas au QG de l'ordre pour prévenir tout le monde, lui dit la directrice, mais de façon à ce que seul Harry l'entende.
Harry se faufila discrètement vers Pré au Lard et transplana au QG de l'ordre. Tout le monde était là et discutais de tout et de rien. Ils ne semblaient pas avoir remarquer la présence de Harry dans la même pièce que eux. Puis Mrs Weasley entra dans le salon et vit Harry, planter à l'encadrement de la porte.
- Viens entre Harry chéri !
- Molly, c'est urgent. Il y a des mangemorts à Poudlard et nous avons besoin de renfort... Maintenant !
Puis Mrs Weasley entra en trombe dans la salle où étaient les autres cria :
- ALERTE GENERALE ! ! ! ! MANGEMORTS A POUDLARD ! ! ! BESOIN DE RENFORT IMMEDIATEMENT ! ! !
Tout le monde se leva d'un bond et chacun transplana à Pré au Lard. Quand ils arrivèrent sur place, il ne restait plus que quelques résistants dont Drago, le professeur Mc Gonagall, le professeur Slughorn, Ron et Krum. Quand au mangemorts il en restait encore une trentaine de mangemorts dans les airs. Maugrey arriva telle une furie et lança tout plein de sort compliqué que Harry n'avait encore jamais entendu de sa vie. Puis une autre voix retentit parmi les mangemorts et dit à un autre mangemort.
- C'est quand même marrant de se battre contre nous avec des maillots de bain !
Tous les autres mangemorts éclatèrent de rire et ce petit moment d'inattention avait permis au membres de l'ordre d'anéantir presque tous les mangemorts jusqu'à ce qu'il en reste une dizaine. Puis l'un deux dit.
- Fuyons ! Ils sont en trop grand nombre ! On n'y arrivera jamais !
Puis tous les autres mangemorts s'envolèrent vers le sud, et Drago cria.
- Bande de lâche ! C'est vous qui méritez d'être tués par cet idiot de VOLDEMORT ! ! !
Mais les mangemorts étaient trop loin pour l'entendre. Les résistants qui n'avaient pas été touché durant l'attaque, firent apparaître des brancards et y mirent les blessés et les emmenèrent à l'infirmerie. Quand la grande porte s'ouvrit, Hermione et Ginny sautèrent l'une et l'autre dans les bras de leur compagnons. Krum qui avait vu ça, paraissait très déçu et parti directement se faire soigner son bras droit.

- On était tellement inquiète ! dit Ginny à Harry, soulagée qu'il soit bel et bien vivant.
Puis son regard se tourna vers son frère et lui sauta dans les bras une fois que Hermione s'en soit séparée. Quand à Hermione elle regardait son frère, lui sourit et l'étreignit, un peu à la façon Mrs Weasley et lui murmura à l'oreille.
- Bien joué petit frère. Je suis fière de toi ! Dommage qu'on ait pas été avec vous !
- Mais il y a plus important que de se battre, tu sais.
Hermione lui sourit et lui donna un bisou sur la joue. Puis elle rejoignit Ron et lui prit la main. Ron proposa alors d'aller à l'infirmerie voir dans quel état était leur compagnons de combat.
Arrivé à l'infirmerie, tous les lits, qui étaient habituellement vide, étaient à présent occupé par les différents membres de l'ordre, ainsi que des professeurs et des élèves. Ils marchèrent dans l'allée principale, quand le professeur Mc Gonagall interpella les quatre amis.
- Potter ! Weasley !
- Oui, professeur ? demanda Hermione en s'approchant du lit ou se trouvait la directrice.
- Dumbledore souhaiterais vous voir tous les quatre ainsi que Mr Malefoy.
Il aquiescèrent et, accompagné de Drago, ils se rendirent dans le bureau de la directrice.
- En passant le mot de passe est « sorbet à la fraise »
Hermione fit signe qu'elle avait comprit et rejoignit les autres. Une fois arrivé devant la gargouille qui donnait accès au bureau de la directrice, Ron dit.
- Crotte alors, on est coincé. Elle ne nous a pas donné le mots de passe !
- Mais non espèce d'andouille ! T'écoute jamais de toute façon ! lança Hermione.
Puis elle se plaça devant le gargouille et dit « sorbet à la fraise ». Puis la gargouille se mit en mouvement laissant place à un escalier. Harry aimait bien cette escalier en colimaçon parce que quand la gargouille était en mouvement, on pouvait monter en même temps que les escaliers sans faire d'efforts. Une fois arrivée devant la porte du bureau, Ginny ouvrit la porte, laissant place à une pièce circulaire. Les cinq personnes regardèrent autour d'eux pour voir ou se trouvait le portrait du professeur Dumbledore.
- C'est sans doute moi que vous cherchez, dit une voix grave qui se trouvait en haut de la porte.
Harry se retourna et dit d'un air heureux.
- Professeur Dumbledore !
- Bonjour Harry, Hermione, Ginny, Ron et Drago. J'ai eu des écho de ce qu'il s'est passé en bas dans le parc.
- Oh, mais nous n'avons pas fait grand chose dit Ginny
- Si justement Miss Weasley. Vous avez amener les plus jeunes dans leur dortoirs respectifs, sans paniquer, et ça c'est bien. Au fait Miss Weasley, l'actuelle directrice n'a pas eu le temps de le faire, mais elle vous a nommé préfète de Gryffondor. Quand à vous Mr Weasley nous vous retirons votre titre de préfet, mais rassurez vous il n'ira pas loin. Ce sera Mr Potter qui a le poste de préfet en chef, poursuivit il en voyant la tête déçue de Ron. Vous trouverez vos insignes sur le bureau du professeur Mc Gonagall. Bon revenons à nos moutons. Ce qui c'est passé dans le parc. Je suppose que c'était pour venir vous récupérer, Mr Malefoy.
- Tout à fait professeur, dit Drago, d'un ton tout à fait respectueux.
- Bon, puisque vous êtes sain et sauf, je suppose que vous avez vraiment changé, et puisque je vois aussi que vous avez été envoyé à Gryffondor.
Drago fit un sourire en entendant que l'ancien directeur admettait qu'il avait changé. Au moins maintenant il pouvait avoir la conscience tranquille.
- Donc je pense qu'il est normal que vous receviez un récompense pour service rendu à l'école. Tous les cinq. J'en toucherais deux mots au professeur Mc Gonagall. Allez y maintenant. Je suis sûr que vos camarades de Gryffondor vous attendent impatiemment. Dit le professeur Dumbledore en leur faisant un clin d'œil.
Les cinq lui sourirent et Harry et Ginny prirent leur insignes et Ron déposa désespérément son insigne de préfet sur le bureau de la directrice. Puis les cinq amis sortirent du bureau en saluant le professeur Dumbledore en lui faisant un sourire, sauf Ron qui était totalement désespéré. Mais le professeur Dumbledore l'interpella avant qu'il sorte. Personne ne savait ce qu'il lui disait parce qu'il avait fermé la porte. Quelques minutes plus tard, Ron ressorti, le sourire aux lèvres et son insigne de préfet accroché à son uniforme. Hermione lui sourit et lui prit la main, puis les cinq amis se dirigèrent vers la salle commune des Gryffondors. Une fois qu'ils avaient traversé le portrait de la grosse dame, une grosse exclamation retentit à l'intérieur de la salle. En effet, comme l'avait dit le portrait du professeur Dumbledore dans le bureau de la directrice, les Gryffondors les avait attendus pour faire la fête. Les frères Crivey avaient chercher de la nourriture dans les cuisines de Poudlard, et à la grande surprise de tout le monde, Hermione ne leur demanda pas où ils avaient trouver toute cette nourriture. Elle en avait gardé un souvenir cuisant quand elle était allée rendre visite aux elfes lorsqu'elle était en quatrième année. Elle ne voulais plus faire l'objet de lettres empoisonnées. Au contraire, elle leur souriait et était heureuse qu'il y ait au moins quelques trucs de positifs dans la journée.

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Plus tard, ayant quitté le bureau de la directrice, il se rendirent dans la salle commune, avec leur livres à la main. Le cours de métamorphose avait pris fin et Ron et Drago les attendaient devant le feu, en train de discuter de tout et de rien. Ron leva alors la tête et vit Harry et Hermione entrer dans la salle commune, plongés dans leur lecture. Ron sauta du fauteuil et alla prendre Hermione dans ses bras, l'étouffant à moitié.
- Ouf ! laissa échapper Hermione le cognant le livre qu'elle lisait contre sa tête
- Tu lit quoi ? demanda Ron.
- Je pourrais peut être te répondre si tu me lâchait...
Ron la lâcha à contre cœur.
- Alors, c'est quoi ?
- C'est le journal intime de notre mère, à Harry et à moi.
- Ah... laissa échapper Ron, ne sachant que dire d'autre. Et qu'est ce que ça dit ?
- Plus tard, Ron, plus tard. J'ai pas encore terminer de le lire...
- Mmmmph, c'est pas juste, dit Ron en faisant mine d'être déçu.
Puis il se tourna vers Harry.
- Et toi tu lis quoi ?
- « Comment devenir un animagus. ». Livre très passionnant si tu veux mon avis. Dit Harry toujours plongé dans sa lecture.
- Je pourrais le lire après toi ?
- Après qu'Hermione l'ait lu, OK ?
- C'est pas juste...
- Eh, vieux frère ! Je te le passerais aussi, ne t'inquiète pas ! dit Harry avec un sourire.
Quelques minutes plus tard, sur le coup de 11 heures, Ginny arriva dans la salle commune et s'affala sur un fauteuil, à côté de Drago. Elle laissa échapper un soupir, comme si les cours étaient très épuisants.
- Bonjour, ma puce ! comment ça va ? dit Harry en s'approchant de Ginny
- Epuisant de monter les marches...dit Ginny, qui toussait légèrement en mettant sa main sur le ventre.
- Tellement épuisant que ça ? dit Harry, ironiquement !
Ginny prit un coussin et tapa sur Harry en commençant à rigoler.
- Ah, tu veux jouer à ce petit jeu là ! dit Harry qui lui aussi avait prit un coussin.
Puis un bataille d'oreiller commença, longue et sanguinaire (pas dans le sens ou y a du sang) Drago s'était mis de la partie, ainsi que Ron et Hermione. Puis au fur et à mesure toute la salle commune s'en mêla. Il avait fallu l'intervention du directeur de la maison, à savoir Krum (et oui, Mc Gonagall ne peux pas tout assurer et je pense que directrice de Poudlard lui suffit -cf. : Dumbledore)
- CA SUFFIT MAINTENANT ! cria Krum. Qu'est ce que c'est tout ce raffut ! Aller, quelqu'un pour expliquer... Tout de suite ! lança t'il en dévisageant toutes les personnes présentes dans la salle commune.
Puis Ginny s'avança.
- Vous devez être Miss Weasley, c'est bien ça ?
- Oui, professeur. Je voulais vous dire, qu'un peut de défoulement ça faisait pas de mal à personne, non ?
- Bon, on va laisser passer pour cette fois ci, dit il en posant un regard sur Ginny puis sur les autres. Mais plus de conneries de ce genres à présent. Sinon, c'est la colle assurée pour tout le monde, comprit ?
- Oui Professeur, s'égosilla la salle commune comme si c'était des petits enfants de maternelle.
Puis Krum reparti vers son bureau.
- Ouf, on l'a échappé belle ! dit Drago en s'essuyant le front du revers de sa manche.
- Ca tu peux le dire. Dit Harry. Bon un peu de sérieux les jeunes.. On retourne tous à nos postes comme si on avait rien fait.
Les jeunes sorciers se dispersèrent peu à peu et Harry, à l'aide de ses amis, répara la salle. Une fois réparée, on aurait cru que rien ne s'était passé. Puis peu à peu, les conversations reprirent, chacun dans son coin.

Le lendemain matin, étant un samedi, Harry se réveilla de bonne heure, bien décidé à commencer la recherche des Horcruxes. Avant de réveiller Ron et Drago, il prit un parchemin et une plume de son sac. Il se remit dans on lit et commença à écrire :
« Horcruxes restants :
- le serpent, Nagini
- le médaillon
- la coupe de Poufsouffle
- un objet de Gryffondor ou de Serdaigle

7ème Horcruxes -> Voldemort. »

Il mit le parchemin dans sa poche et sauta de son lit pour réveiller Ron.
- Allez Ron ! On se réveille ! On a du boulot !
Ron émit un grognement et se retourna dans son lit. Il leva les yeux vers Harry. Ses yeux étaient encore collé et demanda à Harry :
- Quesquia ?
- On va partir à la recherche des horcruxes... Aujourd'hui, dit Harry silencieusement pour ne pas réveiller les autres, mais à la fois tout excité, et en s'éloignant du lit de Ron pour se rendre à celui de Drago.
Ron et Drago s'expatrièrent de leur lit à contrecœur et s'habillèrent lentement dans leur habits moldus. Arrivé en bas, près du feu, Drago prit la parole.
- Mais tu ne crois que si je viens avec vous, j'aurais des problèmes avec Tu – sais – qui ? Il me cherche et il veut me tuer, pour avoir déserté.
- Oui, tu as sans doute raison, pensa Harry, l'air pensif.
- Au fait tu attends quoi ? demanda Ron
- J'aimerais dire au revoir aux filles. Elles ne pourront pas venir avec nous.
Ron acquiesça et attendit en regardant le feu. Quelques instants plus tard, Hermione et Ginny descendirent du dortoir des filles, l'air ensommeillé et les cheveux ébouriffés. Quand elles étaient en train de descendre les escaliers, Harry était en train d'écrire sur un parchemin qu'il y aurait prochainement une sélection pour un poste de poursuiveur, étant donné que Katie Bell était partie de Poudlard.
Ginny s'assied à côté de Harry et posa sa tête sur l'épaule de Harry.
- Qu'est ce que tu écris ? demanda t'elle d'un air ensommeillé
- Qu'il y aura une sélection pour un poste de poursuiveurs, samedi prochain. Dit Harry en déposant un baiser sur le front de Ginny. Au fait on va devoir aller à la recherche des horcruxes, aujourd'hui Ron et moi. Ce serait trop dangereux si vous veniez avec.
- Pourquoi ? demanda Hermione qui était assise à côté de Ron.
- Pour votre sécurité. Et j'imagine que vous n'avez pas envie de les perdre. Dit il en posant sa main su r le ventre de Ginny.
Hermione et Ginny hochèrent simplement la tête, en signe qu'elles avaient compris.
- Bon, on va devoir y aller. dit Harry après avoir afficher l'annonce. Vous venez manger le petit déjeuner avec nous ?
Ce qu'ils approuvèrent tous. Ils descendirent donc dans la grande salle qui était peu remplie du fait que la plupart des élèves dormaient encore. Ils y rencontrèrent le professeur Mc Gonagall et Harry alla directement la voir.
- Bonjour professeur, je souhaiterais vous poser deux questions
- Et bien allez y Potter, dit elle en relevant la tête et son chapeau pour mieux voir Harry.
- Je voulais savoir si je pouvais avoir le terrain de Quidditch pour samedi prochain. Il nous manque un poursuiveur.
- Bien sûr Potter. Le terrain sera à vous samedi prochain.
- Et puis je voulais savoir, continua Harry en baissant la voix de façon à ce que seul la directrice puisse l'entendre, si Ron et moi pourrions partir pour une journée. C'est au sujet des... horcruxes.
- Bien, si cela peut vous aider à détruire Vous savez qui, vous pouvez y aller.
- Merci professeur dit Harry d'un ton reconnaissant.
Puis il reparti s'asseoir avec ses amis à la table des Gryffondor.
- C'est bon on a l'autorisation de Mc Gonagall pour le terrain et pour la sortie, dit Harry à l'intention de Ron.
Puis il se tourna vers Drago.
- Je compte sur toi pour prendre soin des deux filles, pendant notre absence. Je te les confie jusqu'à ce soir. Et fais gaffe, t'a une préfète et une préfète en chef ! dit Harry en ironisant la dernière partie de sa phrase en laissant libre cours à l'imagination de Drago d'imaginer ce qui se passerais s'il ne faisait pas ce que Harry disait.
Ils mangèrent en silence et cinq minutes plus tard Harry et Ron partirent à Pré au Lard après de long adieux avec Hermione et Ginny.

Arrivés à Pré au Lard, Ron demanda à Harry:
- Tu sais au moins où trouver les horcruxes?
- Je crois avoir une piste. Dumbledore m´a parler d´un endroit dans les montagnes. A mon avis Voldemort doit avoir cacher un horcruxes là bas.
Harry regarda le parchemin sur lequel il avait marquer les horcruxes restants. Ron regarda par dessus son épaule et ne put s´empêcher de remarquer que la plupart des horcruxes étaient des objets de valeur.
- Pourquoi tous ces objets ont de la valeur? Il aurait pu prendre plus de précaution et transformer des objets plus banalisés en horcruxes!
- Jedusor aimait les objets de valeur. Il collectionnait les trophées.
- Comment tu le sait?
- Il me l´a dit.
- Qui?
- Dumbledore!
- Et c´est où l´endroit dans la montagne? demanda Ron pour reposer son attention sur le parchemin.
- Dans une grotte au sud de l´Angleterre. Dans les falaises. On va déjà transplaner sur les plages et ensuites on verra.
Ron acquieça et se concentra sur les trois D. Harry se concentra également et fut emporté jusqu´aux plages au sud de l´Angleterre. Ron le rejoignit quelques instants plus tard, un peu secoué par le transplanage.
- Je crois que je ne m´habiturais pas à ce moyen de transport.
Harry sourit et porta son attention sur les falaises. Il y avait plein de trous qui semblaient plus ou moins profonds.
- Euh... Ouais... Et comment on va savoir où se cache l´horcruxes? demanda Ron qui semblait perdu par toutes les fissures dans la roche.
- Je crois qu´on va devoir les tester les uns après les autres.
- QUOI? Mais on en a pour 10 ans! s´insurgea Ron. C´est comme chercher une aiguille dans une botte de foin! On a aucune chance!
- T´a un autre moyen de trouver les horcruxes et de détruire Voldemort? demanda Harry qui commençait à s´énerver.
- T´a qu´a essayer un sortilège d´attraction?
- Ca ne marche pas. J´ai déjà essayer l´année dernière avec Dumbledore. Bon, fin de la discussion, allons y. On va essayer la grotte qui est juste en face de nous, d´accord?
Ron fit une moue de déception mais transplana quand même dans la grotte que Harry avait indiqué. La grotte était petite, juste pour que deux personnes puisse s´y tenir debout. Harry examina les murs avec précision et Ron dit:
- Bon je crois que ce n´est pas là. On fait la prochaine?
- Non attends. Il faut que je regarde quelque chose. Peut être qu´il y a une porte cachée ou quelque chose.
Harry sortit sa baguette et prononca une formule pour que les inscriptions qui soient cachées soient révélées (même s´il n´y en a pas).
- Bon, là il n´y a rien. La prochaine maintenant. Elle est juste à côté. On ne va pas transplaner, pour quelques mètres, dit Harry.
Puis ils sortirent de la petite grotte et escaladèrent jusqu´à la prochaine grotte. Cette fois - ci, elle était plus grande, aussi grande que le salon des Dursley. Mais dès qu´ils eurent pénétrer dedans, des branchages bloquèrent la sortie et ils se retrouvèrent bloqués dedans.
- Bon, je crois qu´on est fait comme des rats. dit Ron, qui s´assied sur une pierre.
- Mais non. Faut être optimiste. Aide moi à chercher une sorte de porte invisible. Peu être qu´il y en a une dans celle là, sinon, on ne serait pas bloqué dans cette foutue grotte. Et puis pense à Hermione! T´a envie de la retrouver?
- Bien sûr!
- Alors pense à quel point ça lui ferait plaisir que le gars avec qui elle va se marier soit une sorte de héros!
Ron rougit à cette idée, à un tel point qu´on ne faisait plus la différence entre sa peau (couleur tomate) et ses tâches de rousseur.
- Au moins toi tu sais remonter le moral. Bon on la cherche cette foutue "porte"?
Harry sourit devant l´entousimasme de Ron et lança un sort contre la paroi humide de la grotte. Puis après plusieur minutes de recherches, une phrase apparue sur le mur: "Prononcer l´allocution habituelle des situations désastreuses"
- Ron, viens voir. dit Harry en fixant la phrase.
Ron arriva et lut la phrase.
- Prononcer l´allocution habituelle des situations désastreuses. Crotte.
- On est foutu on y arrivera jamais, essaya Harry.
- Mais quel horreur!
- Mince alors!
- Ah! merde. dit Ron en se laissant tomber sur la même pierre dans laquelle il était assis avant.
Puis un bruit sourd se fit entendre et un long couloir se fit voir.
- Bravo Ron. Viens. Lumos.
Harry s´avança dans le long couloir humide, tout en s´appuyant contre la paroi.
- Il mène ou ce couloir d´après toi? demanda Ron à voix basse
- J´en sais rien. Viens.
Il y avait des bruits derrières eux, comme des araignées qui descendaient le long des parois. Ron paraissait inquiet et tirait la manche de Harry, qui lui ne faisait comme si de rien était. Ron tirait de plus en plus la manche de Harry pour attirer son attention.
- Quoi? demanda Harry qui s´était un peu emporté.
Ron montra les parois du doigt d´un air horrifié.
- Des... araignées! dit Ron qui devenait de plus en plus blème.
- Tu te souviens de la formule que j´avais lancé quand on était en deuxième année?
Ron acquiesça, l´air terrorisé.
- Courage Ron. Arenia eximé!
- Are... Arenia Eximé!
Les araignées volèrent par ci par là et les autres araignées commençaient à courir après Harry et Ron.
- COURS! hurla Harry.
Harry et Ron comencèrent à courir et se trouvèrent devant une porte, mais celle ci était verrouillée.
- Alohomora! dit Harry
La porte se déverrouilla et Harry et Ron y entrèrent en quatrième vitesse et fermèrent la porte avant que les araignées ne puisse y entrer. Les deux amis étaient essouflés et se trouvaient à présent dans une petite salle rectangulaire pleine d´objet.
- Qu´est ce que c´est cette pièce? demanda Ron d´un incrédule
- J´en sais rien, dit Harry en haussant les épaules. On fouille? Il doit bien y avoir l´un des horcruxes ici.
Harry et Ron commencèrent à fouiller la pièce, chacun de leur côté. Après quelques minutes de fouille, Harry trouva un livre et appela Ron.
- Qu´est ce que c´est? demanda Ron
- C´est un runstaff of curse.
- Ca sert à quoi? demanda Ron qui commençait à s´impatienter, parce que les araignées tapaient contre la porte.
- J´en sais rien. T´a trouver quelque chose qui ressemblerait à un médaillon, ou bien une coupe avec un blason de Poufsouffle dessus?
- Non. Et toi?
- Rien non plus. Viens on continue. Il doit bien y avoir une porte pour aller plus loin.
Dès qu´ils eurent fait un pas un trou se forma et Harry et Ron furent attirés vers le bas. Au fond, se trouvait un lac avec plein de corps morts qui flottaient sur la surface du lac. Harry observa les environs et se releva pour se mettre sur un bord pour ne pas toucher l´eau du lac.
Ron se leva à son tour et se massa les côtes et la tête et regarda à son tour la pièce avec le lac. Puis il se tourna vers Harry et vit son air inquiet.
- Qu´est ce qui va pas Harry?
- J´ai déjà l´impression d´être venu ici. L´an dernier avec Dumbledore. Tiens une barque. Accio Barque.
La barque s´approcha lentement du bord ou les deux jeunes hommes se trouvait. Harry et Ron montèrent à l´intérieur et se laissèrent porter jusqu´à l´autre bout du lac.

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Chapitre 12: Surprise!

Un fois arrivé de l'autre côté du lac, Harry et Ron descendirent de la barque et à peine eurent il posé le pied sur le rivage, la barque fut attirée vers le fond du lac.
- Comment on va faire pour sortir de là maintenant ? On est bloqué ici, on a plus de barque. Dit Ron d'un air déçu
- Ne sois pas défaitiste à ce point Ron ! On va bien trouver un moyen de sortir d'ici.
- Comment ? On a plus de barque !
- Et le transplanage, on a notre permis non ?
- Et si ça marche pas ?
- Ben, on verra à se moment là, dit Harry qui n'avait aucune idée de ce qu'il feraient si le transplanage ne marchait pas. Viens on continue.
Puis il continuèrent à marcher en silence, dans le noir Tout à coup, ils entendirent un « ouch ». Harry s'arrêta net et Ron lui fonça dedans et fit un « ouch »
- Quoi ? demanda Ron en se massant la tête
- T'as pas entendu quelqu'un dire ouch ?
- Si c'était moi. Je me suis pris un rocher en pleine face. Et ça fait bobo.
- T'a mal ou ?
- J'ai bobo là. dit Ron en montrant son front.
Viens on continue, dit Harry

Les deux jeunes hommes continuèrent leur chemin, en rencontrant des fois des araignées géantes à l'odeur nauséabonde et quelques scroutts à pétard. Harry savait maintenant ou Hagrid avec chercher ces horribles créatures. Mais il ne savait juste pas comment Hagrid avait réussi à rentrer dans un grotte aussi étroite pour les récupérer. Après plusieurs heures de marches, ils s'arrêtèrent un moment pour manger quelque chose. Personne ne disait quelque chose durant le repas. Les pensées de Harry étaient tournées vers Ginny. Il espérait qu'elle allait bien, là bas au château avec Drago et Hermione. Quand à Ron, lui pensait à Hermione... Après c'être accordé une pause de 1 heure, les deux amis reprirent la route sans être trop bavard. Ils voulaient tous les deux trouver ce horcruxe et le détruire. Après deux heures de marche, et de nombreuses bifurcations, ils arrivèrent à une porte. Le couloir c'était élargi et laissait place à une grande porte en bois du XV ème siècle. La porte était verrouillé et Ron l'ouvra d'un “ Alohomora ” La pièce était relativement grande et rectangulaire avec des armoires sur tous les murs. Ils fouillèrent alors chacun de leur côté et soudain un bruit sourd se fit entendre du côté ou Ron faisait ses fouilles.
- Harry, vient voir... dit il d'une voix quelque peux hasardeuse
- Quoi ? répondit Harry en se dirigeant vers la mini pièce que Ron venait de découvrir.
- Regarde. Là, y a un truc qui pourrait ressembler à un médaillon.
Harry s'approcha de l'objet le toucha et à peine l'eut il frôler, qu'il eut comme un éclair. Il se revoyait quand il avait un an, lors du meurtre de ses parents. En effet, avant que Voldemort ne monte dans la chambre de Lily Potter Harry vit une petite fille à peine plus âgée que lui. Il voyait sa mère partir avec Hermione et revenir quelques secondes plus tard. Pendant ce temps, en bas, il entendait son père et Voldemort se battre jusqu'à ce que le mage noir ne tue James Potter. Puis Voldemort monta les marches. Ils entendaient des bruits de pas. Puis tout se passa si vite. Voldemort ordonna à Lily de le laisser passer pour qu'il puisse tuer Harry...
Quelqu'un derrière lui (dans la réalité) le tirait, de façon à ce qu'il puisse se séparer du médaillon. Harry tomba à la renverse, ses mains sur son front et se tordant de douleur. Des larmes commençaient à couler sur ces joues tellement il avait mal. Ron essaya de le remettre sur ses pieds, mais il avait du mal. Le seul moyen qu'il avait trouver c'était d'attendre et de lui verser un peu d'eau sur sa tête pour qu'il se rafraîchisse un peu. Finalement au bout d'un certain moment, Harry reprit ses esprits et dit à Ron d'un voix faible :
- Je confirme, c'est bien un horcruxes. Maintenant il faut le détruire et sortir d'ici.
- Tu veux pas un petit remontant ?
- Du quoi comme ?
- Genre de l'eau...
- D'accord. dit Harry
Harry prit la bouteille et commença à boire de la bouteille et commença à se sentir mieux. Après c'être relevé, Harry se mit face au médaillon et dit bien distinctement :
- Destructum !
Mais le sort rebondit et alla s'écraser contre le mur. Ron regardait autour de lui et trouva par hasard une hache à double tranchant. Il alla la chercher et la tendit à Harry.
- Tiens, avec ça, ça devrait aller.
- Merci, dit Harry en prenant la hache.
Harry se replaça devant le médaillon et donna un grand coup de hache. Tellement fort que l'objet se brisa en deux.
- C'est bon, c'est fini. Un horcruxes de plus détruit.
Harry sortit le parchemin de sa poche et raya le médaillon. Puis il prit les morceaux les mis dans sa poche et dit à Ron, d'un air content.
- C'est bon on peut retourner au château.
Ils se concentrèrent alors et se retrouvèrent à Pré au Lard, avec beaucoup d'égratignures et quelques blessures. Ils se rendirent lentement au château pour se diriger à la salle commune.

Dans le château, tous les élèves des autres maisons qu´ils croisaient les regardaient d´un air ahuri devant leur nombreuses blessures, croyant qu´ils avaient du faire face à une créature absolument abominable, et qu´ils avaient eu beaucoup de chance de s´en être sorti vivant. Malgré leur blessures et leur fatigue qui se ressentait, ils sourirent de bon coeur, ravi de retrouver un bon fauteuil au coin du feu au bras de leur petites amies. Ils marchèrent tout doucement, et enfin arrivèrent devant le portrait de la grosse dame.
- Le mot de passe? demanda la grosse dame
- Tagazok dit Harry
La grosse dame fit un geste de la main pour les laisser entrer et le portrait pivota. A l´intérieur, régnait une chaleur agréable et un bruit pas possible de bavardage. Près du feu, se trouvaient Hermione, Gnny et Drago qui bavardaient de tout et de rien en attendant le retour des deux autres hommes. Au bout d´un moment, Ginny leva la tête et vit Harry, se leva et fonça droit sur lui comme un chien fou de joie. Elle lui sauta alors dans les bras, l´obligeant ainsi à la porter. Harry la prit dans ses bras et la fit tournoyer sur lui même comme s´ils ne s´étaient pas revus depuis des années. Quand à Ron et Hermione ils se serrèrent dans les bras, l´un contre l´autre, heureux de s´être retrouver. Après quelques instant de retrouvailles, Ginny regarda Harry dans ses yeux.
- Mais t´es blessé! T´as des égratinures partout! Faut aller voir Mme Pomfresh! Aller, viens.
- D´accord. dit Harry en prenant la main de Ginny dans sa main. Tu viens Ron? Hermione? Drago?
Le quattuor se rendit à l´infirmerie voir Madame Pomfresh qui était en train de soigner un élève d´un mal de ventre chronique. Quand elles vit Harry et Ron couvert de blessures, elle ne put s´empêcher de lever ses yeux vers le ciel. Dès qu´elle eut terminé avec l´élève, elle se dirigea vers Harry et Ron et les regarda l´un après l´autre.
- Ah, les jeunes de nos jours, ils ne savent plus quoi faire! Ils ne pensent plus qu´à faire les idiots. Comment ça ce fait que vous ayez toutes ces égratinures?
- C´est un secret madame. Il n´y a que le professeur Mc Gonagall qui est au courant.
- Bon, venez avec moi, je vais vous donner une pommade et dans deux minutes tout aura disparu.
Ron et Harry suivirent l´infirmière dans une petite salle derrière l´infirmerie. L´infirmière fouilla dans une armire en hauteur et prit un tube à la couleur violette et leur tendit.
- Tenez, mettez ça sur vos plaies et ensuite ça ira mieux.

Le lendemain étant un lundi, les cinq amis se rendirent en cours, chacun de leur côté. Ginny avait un double cours de métamorphose ave Krum, quant à Harry, Ron, Hermione et Drago avaient un double cours de potions avec le professeur Slughorn. Dans la salle de classe des septièmes années, il faisait une chaleur épouvantable, malgré que la salle se situait dans les sous sols de Poudlard. Ce jour là les élèves de septièmes années devaient être capable de créer un potion très complexe qui était la potion du mort vivant. Harry, Ron, Hermione et Drago s'étaient mis avec Ernie Mc Millan, un élève de Poufsouffle, puisqu'il était tout seul à une table, en train de s'ennuyer. Ernie était un peu sur ses gardes en ce qui concernait Drago puisqu'il n'était pas tout à fait certain qu'il ait vraiment changer. Drago et Ernie s'étaient mis ensemble pour préparer leur potions et ainsi échanger des conseils pour la fabrication de leur potion. Soudain, la porte s'ouvrit à la volée. Un homme se tenait au pas de la porte et balayait la salle de classe d'un regard terrifiant, qui ne trahissait aucunement la colère de cette personne. Cette personne était grande, toute vêtue de noir et avait de long cheveux blonds. Il se tenait à son habituelle canne, pour ne pas tomber. Il avait un visage d'une pâleur étonnante, comme s'il n'avait pas manger depuis longtemps, resté enfermé dans une pièce dont aucune lumière n'y entrait. Toute la classe s'était retourné en même temps, pour regarder qui était le nouveau venu. Ron avait même réussit à faire tomber son chaudron et une couleur verdâtre s'écoulait par terre. Mais personne n'y avait prêté attention. Puis le professeur Slughorn brisa le silence.
- Lucius ! Qu'est ce que tu fait ici ? demanda t'il sans aucune joie dans sa voix. Au contraire, celle ci paraissait lointaine et froide.
Malefoy père lança un regard glacial à Slughorn. Apparemment ils ne s'appréciaient pas vraiment pour une raison que personne ne connaissait.
- Je récupère mon fils, Drago dit il froidement.
Puis il se dirigea rapidement vers son fils et le prit par son bras, avant de remarquer quelque chose qui n'était pas normal chez Drago. En effet, il avait l'uniforme de Gryffondor et il était assied avec Hermione, Harry, Ron et Ernie. On voyait que le visage de Lucius Malefoy était en train de bouillonner de rage. Il en était même devenu violet.
- QU'EST CE QUE TU FAIS DANS UN UNIFORME COMME CELUI LA ! ! ! ! rugit il
- Et vous comment avez vous fait pour sortir d'Askaban ? demanda Drago
- DEJA TU ME TUTOIE ! JE SUIS TON PERE ! ET JE T'AI POSER UNE QUESTION ! !
- Je n'ai plus de père. Je le considère comme mort, dit Drago en ne cillant pas du regard
Lucius Malefoy prit Drago par le col et lui colla une baffe.

Drago fut projeté à terre, tellement la gifle de son père était forte. Drago le regardait d'un air furieux, la joue en feu. Il se releva d'un bond, prêt à affronter celui qu'il ne considérait plus comme son propre père. L'ancien détenu d'Askaban reprit la parole, dans un ton ou la fureur était encore très présente.
- Qu'est ce que tu fais dans un uniforme comme celui là ? Ne devrais tu pas être du côté du Seigneur des Ténèbres ? demanda t'il d'un ton qui ressemblait assez à celui de l'oncle Vernon quand il était en colère.
- Je suis revenu du bon côté. On m'a de nouveau réparti et je suis maintenant à Gryffondor. Et si ça ne vous plait pas que je suis avec Harry, Hermione, Ron, sa sœur et Ernie, alors partez. Mais je voudrais savoir une chose. Comment avez vous fait pour sortir d'Askaban ?
- Et comment ce fait il que vous soyez vivant alors que je vous ait vu dans la remontée des sortilèges, quand j'ai affronté Voldemort il y a quelques semaines en arrière ? demanda Harry qui n'y comprenait plus rien.
- Déjà, Drago ! TU ME TUTOIE !
- NON ! JE NE VOUS TUTOIRAIS PAS ! dit Drago qui commençait à s'énerver. REPONDEZ A MA QUESTION !
Lucius Malefoy commençait à perdre patience et commença à lever la main sur Drago, mais finalement se ravisa préférant répondre aux questions qui lui étaient posée.
- On m'a aider à sortir d'Askaban. C'est les détraqueurs eux même qui m'ont fait sortir de cet enfer et qui m'ont conduit jusqu'au Seigneur des Ténèbres. Il était très furieux et voulais que je te retrouve et que je te tue. Ce que je vais faire bien sûr. Et pour répondre à ta question Potlibar, c'est une manœuvre du Seigneur des Ténèbres pour faire croire aux gens que certaines personnes sont mortes.
Pendant qu'il avait parlé, Malefoy père avait sorti sa baguette de sa canne et l'avait tendue vers son fils. Au coin de ses lèvres se formaient un petit sourire.
- Maintenant, je vais pouvoir te tuer. Non, j'ai une meilleure idée. Je vais d'abord commencer par la sang de bourbe, puis le traître à son sang puis Saint Potter. Ensuite, je le tue lui, dit il en faisant un signe de tête vers Ernie. Juste pour que tu les vois souffrir. Puis je te tuerait toi. Le bouquet final.
- NON ! dit Harry qui lui aussi avait sorti sa baguette.
Toute la classe l'avait suivit. A présent, tout le monde se trouvait face à Malefoy père, baguette tendue. Le professeur Slughorn, lui n'avait pas sorti sa baguette. Il essayait simplement de calmer ses élèves.
- Allons, allons les enfants, calmez vous !
- Non, professeur, dit la fine voix de Hermione.
- Comment ça non, Miss Granger ?
- Voulez vous être le responsable de la mort de cinq de vos élèves ? expliqua Harry. Qu'auriez vous fait sa ma mère était en danger de mort ?
Le professeur Slughorn sorti également sa baguette et la tendit vers Lucius.
- Oh ! Comme c'est charmant ! Toute la classe se rebelle contre moi ! Avada...
- Expelliarmus ! lança Harry
D'autres sorts fusèrent de partout et certain atteignirent Malefoy père et d'autre allèrent s'effondrer contre les mur ou des armoires, saccageant ainsi toute le salle de classe. Finalement Lucius tomba lentement à terre, à la fois pétrifié, stupéfixié, couvert de bouton. Il fallut quelques minutes pour remarquer que le mangemort était a terre parce que certains élèves continuaient de lancer des sort partout. Après ce mini duel, on ne reconnaissait plus du tout la salle de potions. Soudain, des bruits lointains de pas se firent entendre. Ils se rapprochaient. La personnes a qui appartenait ses pas était en train de courir parce que les pas étaient beaucoup trop rapide pour que la personne ne marche. Le porte s'ouvrit d'un coup et toute la classe tendit sa baguette vers la personne qui venait d'entrer. C'était le professeur Mc Gonagall.
- Qu'est ce.... ?c ommença la directrice
Puis elle poussa un petit cri en voyant Lucius par terre. Elle leva le tête et regarda la salle complètement saccagée.
- Qui ? Expliquez moi ? Professeur Slughorn ? Que c'est il passé ? Répondez !
Le professeur Slughorn s'avança vers la directrice et lui expliqua tous les détails du combat, pourquoi la salle était saccagée à ce point. Il fallut un certain moment au professeur McGonagall pour comprendre ce que le professeur Slughorn venait de lui apprendre. Puis elle dit.
Il est fou ! Il faut l'envoyer à l'asile ! Je vais prévenir Madame Pomfresh pour qu'elle l'envoie immédiatement à l'asile.

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Le professeur McGonagall sorti de la classe en le faisant léviter jusqu'à l'infirmerie. Pendant ce temps là, les élèves du professeur Slughorn se dévisageaient mutuellement, se demandant pourquoi le père à Drago était revenu à Poudlard pour le tuer. Voldemort lui avait sans doute fait parvenir que Drago avait renier le statut de mangemort, refusant ainsi la « gloire d'être un mangemort » avait il dit au père à Drago. La joue de Drago était en feu et on voyait encore les traces de doigts sur sa joue.
La classe était dans un désordre tel que l'on ne pouvait plus aller nul part. Le professeur Slughorn lança une formule pour ranger la salle de classe et lui redonner son aspect normal, telle qu'elle était avant l'apparition de Lucius Malefoy. Le chaudron de Ron s'était réparé et tous les élèves s'étaient remis à leur table. Mais avant qu'il aient pus continuer leur potion, le maître des potions prit la parole.
- La classe est terminée. Vous referez cette potion la prochaine fois en espérant qu'aucune interférence de ce genre ne se reproduise. Bien vous pouvez sortir.
Les élèves se regardèrent l'air de se dire « mais pourquoi il finit le cours si tôt ! ». Ils prirent alors leurs affaires et sortirent de la classe. Hermione avait prit Harry, Ron et Drago par l a manche et les avait attiré vers la bibliothèque.
- Mais Hermione, qu'est ce que tu fais ?
- On va à la bibliothèque !
- Pour quoi faire ! demanda Ron l'air incrédule
- Ha ! Il y a bien toi pour poser des questions aussi idiotes ! lol ! Et bien on va réviser pour nos ASPIC !
- Mais, les vacances de noël c'est dans deux jours ! On peut pas attendre les vacances pour commencer à réviser ?
- Non ! J'aurais du commencé bien plus tôt !
- Hermione a raison tu sais ! dit Harry
- J'en ai marre qu'elle ait toujours raison... J'ose pas imaginer comment seront les mouflets !
- Moi je sais...
- Comment ?
- Roux avec beaucoup d'intelligence ! répondit Harry
- Très drôle répondit Ron en lui tapant sur l'épaule.
- Calmez vous ! y en a qui sont en cours ! dit Drago pour la première fois depuis qu'ils étaient sortis de la classe.
Au bout d'une heure, le quatuor se dirigea ver la Grande Salle pour prendre leur repas du midi. Ginny les rejoignit quelques instants plus tard, l'air énervée. Elle posa ses affaires sur la table avec une telle force que toute la nourriture qui se trouvait à proximité avait sauté.
- Qu'est ce qui se passe ? Pourquoi est tu énervée comme ça ?
- Tu te souvient de Mc Laggen ?
- Ca pour m'en souvenir, je m'en souvient. Dit Harry en tournant les yeux vers Hermione, dont le regard avait changé de la bonne humeur à une mauvaise humeur telle que celle de Ginny. Qu'est ce qu'il te voulais ?
- Il voulais savoir si je voulais sortir avec lui. Evidemment je lui ai répondu que non, que j'était déjà avec quelqu'un et là il m'a dit que je sortait avec un merdeux.
- Et tu lui as répondu quoi ?
- Que si lui il voulait sortir avec moi, lui aussi c'était un merdeux. Et que l'homme que j'aime n'est et ne sera jamais un merdeux...
- Merci Ginny, dit Harry en souriant.
Il lui donna alors un baiser sur la joue quand un petit de première année se trouvait derrière lui avec un billet à la main.
- Harry Potter ? demanda la petite voix timide du jeune sorcier.
Harry se retourna et sourit au petit homme.
- Je dois donner ce billet à Mr Harry Potter, Miss Hermione Potter, Miss Ginny Weasley et Mr Drago Malefoy.
- Bien je te remercie, dit Harry en prenant les billets et les commença à les distribuer à tout ceux dont les billets étaient destinées.
Mais le petit garçon était toujours derrière Harry, mais cette fois ci avec une plume et un parchemin.
- Est ce que je peux avoir un autographe s'il vous plait ? demanda t'il en rougissant. Et est ce que je peux aussi prendre une photo pour que mes parents me croient lorsque je leur dirait que j'ai vu Harry Potter.
- Bien sur !
Le petit bonhomme se tourna vers Drago et lui tendit l'appareil pour qu'il les prenne en photo. Harry était assis sur le banc tandis que le petit sorcier faisait à peine la taille de Harry quand il était assis. La photo sorti de l'appareil et Harry la signa. Le môme parti en courant, tout content.
C'est Slughorn. Il nous invite à la fête qu'il organise pour Noël. Dit Hermione

Harry lut rapidement la note que Slughorn leur avait écrit à chacun et fit une moue de3 déception.
- C'est quand ? demanda Ron qui, visiblement était déçu de ne pas avoir été invité lui aussi.
- Vendredi soir, à 20 heures dans son bureau, lut Harry.
- Et on a le droit d'emmener quelqu'un, ajouta Hermione. Je t'emmène avec moi.
- Merci ! dit Ron en renversant à moitié le contenu de son assiette pour embrasser Hermione.

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Chapitre 13: La soirée de Slughorn

Le vendredi soir, à 19 h 50, tout le petit groupe était prêt à se rendre dans le bureau à Slughorn. En chemin, ils croisèrent le première année de Serdaigle qui leur avait donné le parchemin de Slughorn. Le petit rougit et parti en courant avec ses amis, de peur de se faire sanctionnés parce qu'ils étaient hors de leur dortoirs à une heure aussi tardive. Pour une fois Hermione ne dit rien, elle se contenta juste de sourire. 10 minutes plus tard, ils se trouvaient devant la porte de l'office au professeur Slughorn avec quelques autres élèves que Harry ne connaissait juste de vue. Certes, seul Zabini restait des élèves qui avaient été invités l'an passé. Zabini regarda le groupe d'un air de dégoût et les regardaient également de haut, comme s'ils étaient des moins que rien. Harry, pour ne pas s'énerver, regardait les autres personnes encore présentes. Il y avait une fille qui devait être en 7ème année et qui était à Serdaigle, et d'autres filles et garçons de Poufsouffle et Gryffondor, de 6ème année qui étaient présents.
Harry avait remarqué que Drago avait les yeux posés sur la jeune fille de Serdaigle, qui visiblement se sentait gênée que Drago la regardait de cette façon. Un sourire se forma au coins des lèvres de Harry qui donna un coup de coude à Drago pour qu'il se réveille.
- Quoi ? demanda Drago, complètement perdu
- On ne regarde pas les gens de cette façon lui chuchota Harry
Tout à coup la porte s'ouvrit ne laissant pas le temps à Drago de répliquer.
- Ah ! Venez ! Entrez ! Faites comme chez vous ! dit Slughorn joyeusement en levant les bras faisant apparaître un gros ventre.
Les élèves entrèrent les uns après les autres dans la salle que le maître des potions avait spécialement aménagé pour la fête qui avait lieu.
- Bien, maintenant que tout le monde est là, je tiens à vous remercier toutes et tous d'être venus. C'est un immense plaisir pour moi de voir tous mes élèves préférés pour cette petite fête, qui, j'espère, va vous plaire. Maintenant amusez vous ! Il y en a pour tous les goûts !
Drago n'avait aucunement écouté le discours du professeur, mais continuait de dévorer des yeux la jeune fille de Serdaigle qu'il avait aperçu à l'entrée. Il était comme hypnotisé. On l'entendait juste dire :
- Qu'est ce qu'elle est belle ! Je veux à même à la maison !
Harry, Hermione, Ron et Ginny se regardaient d'un air bizarre en se disant que Drago était en train de devenir fou. Ginny décida de lui marcher sur le pied.
- Allô, allô ici la Terre appelle la Lune ! Est ce que vous me recevez ?
- Ouais, répondit lentement Drago les yeux rivés sur la jeune fille.
- Au moins il nous entends, dit Ginny aux autres. Est ce que vous pouvez redescendre sur Terre ? continua t'elle en s'adressant à Drago.
- Nan, répondit Drago toujours aussi lentement que la première fois.
Puis après un moment de réflexion il dit.
- On en fait pas de si belle là où j'habite...
- Alors tu viens d'une autre planète répondit Ron. On en a de très belle ici, tu sais ! continua t'il en regardant Hermione et Ginny.
Hermione et Ginny rougirent au point qu'elles cachèrent leur visages dans leur mains.
- Sans doute... répondit Drago. Peut être je viens d'une autre planète. Tant pis. Je vais la voir.
Sur ce, il parti d'un pied ferme et alla vers la jeune fille de Serdaigle. Harry, Ron, Hermione e Ginny observaient la scène attentivement, regardant les moindres gestes de la fille et de Drago. Puis au bout d'un moment, ils virent la fille rougir et lentement, son visage se rapprochait de celui de Drago. Malheureusement Slughorn passait par là et les vit qui commençaient à s'embrasser et alla près d'eux et leur fit un tape dans le dos de chacun de façon à ce qu'il s'embrassent plus vite. Après c'être foncé dedans, ils se massèrent le nez et regardèrent le professeur Slughorn d'un air méchant.
- Des amours se forment j'ai l'impression ! lança t'il, l'air joyeux.
- On aurait pus faire autrement le premier baiser, marmonna Drago en se massant toujours le nez.
- Qu'est ce que tu marmonnes dans ta barbe, jeune homme ?
- Rien, Professeur.
Puis, après l'avoir longuement regardé d'un air soupçonneux, le professeur Slughorn parti d vers un autre groupe d'élèves situé à l'autre bout de la salle. Pendant ce temps là, Harry, Ginny, Ron et Hermione s'étaient dirigés vers un petit buffet avec différentes boissons dont la plupart venait de chez Madame Rosmerta et d'autre venaient de l'armoire personnelle de Slughorn.

Drago et la fille étaient partis et on ne les revu plus de la soirée. Harry et Ginny étaient de leur côté et Hermione et Ron du leur. Ils s'étaient divisés en deux groupe (chacun avec leur petit amis) de façon à ce que Slughorn ne les harcèle pas. De nombreuses bierreaubeurres vide étaient exposées d'un côté de la salle et Slughorn avait fait un petit concours. Celui qui arrivait à faire tomber toute les bouteilles de bierreaubeurre aurait le droit à une surprise. Mais à présent, personne n'avait réussi à faire tomber toutes les bouteilles d'un seul coup. Ron s'était mis de la partie et commençait à s'énerver en maudissant les bouteilles en pensant qu'elles étaient ensorcelées. Harry et Ginny, de leur côté, s'étaient mis à une fenêtre pour admirer le clair de lune.

Ginny posa sa tête contre l'épaule de Harry et resta un long moment sans rien dire, simplement à contempler les étoiles en esquissant un sourire radieux. Harry avait lui aussi posé sa tête, mais sur la tête à sa petite amie et regardait lui aussi les étoiles. Pendant un long moment, ils restaient là à regarder le ciel, ne se rendant plus compte du bruit qui était autour, oubliant complètement qu'ils étaient à la soirée de Noël de leur professeur de potion, le professeur Slughorn. Ils risquaient à tout instant de se faire voir par un œil indiscret qui allait le dire au professeur de Slughorn. Car il ne pouvait s'empêcher de parler de la mère à Harry. Puis après de longues minutes de silence, Ginny prit la parole.
- Harry...
- Oui, qu'est ce qu'il y a ? demanda Harry en la regardant dans ses yeux.
Au fond des yeux de Ginny brillait la lueur des bougies la lueur d'une joie sans nom. Son visage radieux s'était posé sur Harry et le regardait tel un diamant.
- Je suis heureuse que tu sois venu. Je pensait que tu allais refuser l'invitation de Slughorn. Je t'aime
- Moi aussi, je t'aime mon petit poussin, dit Harry en l'embrassant.
Mais à ce moment là, ce que Harry redoutait le plus, c'était d'entendre venir quelqu'un qui allait gâcher son bonheur.
- Ah ! Les amours commencent à venir ! dit ne voix derrière Harry.
Ginny et Harry se décollèrent immédiatement et restèrent figés. Ginny mit sa main devant sa bouche et fit un léger « hum hum » en regardant Harry de façon à ce qu'il regarde derrière lui. Harry se retourna lentement et vit en tout premier lieu, un ventre bedonnant et des boutons sur le point d'éclater et de voler à travers toute la salle.
- Harry ! Ginny ! dit le professeur Slughorn en levant les bras bien haut de façon à ce qu'ils sentent l'eau de Cologne qu'il s'était mis.
Harry et Ginny bouchèrent leur nez tellement l'odeur était atroce.
- Alors, vous vous amusez bien ?, continua t'il en baissant les bras, mais toujours en gardant le sourire comme s'il n'avait pas vu la grimace que Harry et Ginny avaient fait.
- Très bien professeur, dit Harry
- Votre fête est très réussie, professeur.
- Très bien les enfants. Je me rappelle le temps où votre mère était dans cette école, Harry. Une élève sérieuse, modèle. C'était mon élève préférée. Oui. Ma préférée. Quand à vous Miss Weasley, il semble que vous soyez comme votre mère. S'énerve vite et un certain foutage du règlement. Il faut dire qu'elle aimait bien sortir la nuit avec votre père.
Ginny regardait Harry d'un air étonnée. Sa mère ne lui avait jamais parlé de cet épisode de sa vie.
- Bon, je crois que je vais vous lasser en amoureux, les bouteilles de bierreaubeurre m'attendent. Il me semble que votre frère Ronald à gagner sa récompense.
En effet, Ron avait réussit à faire tomber toutes les bouteilles de bierreaubeurre par terre. De loin, Ginny et Harry virent l'air triomphant de Ron, l'air de dire « Vous avez vu, j'ai réussi ». Ginny sourit et se retourna vers Harry.
- On en était ou avant que Slughorn ne nous interrompe dans notre scène absolument génial ?
- Je vois, dit Harry le sourire narquois. Et bien je crois que nous en étions là...
Puis Harry recommença à l'embrasser quand un énorme fracas se fit entendre de la porte. Tous les regards s'étaient tournés vers la porte et tout était devenu calme. Au fond de la salle, Harry criait.
EST CE QUE JE POURRAIS FINIR EN PAIX ! ! ! ! C'EST PAS LA MER A BOIRE ! ! !

Soudain le regard à Harry se figea à l'encadrement de la porte. Dans l'encadrement de la porte se trouvait une Minerva Mac Gonagall complètement blême dévisageant Harry de haut en bas avant de se tourner vers le professeur Slughorn.
- Professeur , il faut absolument que Mr et Miss Weasley viennent dans mon bureau. Peut être serait il préférable que Mr et Miss Potter viennent également.
Le professeur Slughorn la dévisagea comme s'il n'avait pas bien comprit ce que la directrice venait de lui dire. Harry et Ginny se regardèrent l'un l'autre sans comprendre pourquoi ils étaient convoqué chez la directrice. Puis Harry jeta un regard furtif autour de la salle. Depuis que la directrice était arrivé, personne n'avait bouger d'un poil, personne n'avait ouvert sa bouche. Tous avaient suspendu leur action après que Harry ait crié dans toute la salle. Réalisant que la directrice attendait sa réponse, Slughorn se ressaisit et afficha un sourire.
- Bien sûr madame la directrice, dit Slughorn, toujours en souriant.
Puis il se tourna vers le couple Harry-Ginny et le couple Ron.Hermione.
Et bien allez y qu'est ce que vous attendez ?
Le déluge, murmura Ginny à l'oreille de Harry ce qui le fit sourire.
Puis ils partirent à la suite de la directrice en ce demandant ce qu'elle leur voulait encore. Le chemin entre la salle où avait lieu la fête et le bureau de la directrice (bien que la distance fut très longue) se passa dans un calme absolu. Tous les quatre étaient très inquiets de leur sort ne sachant s'ils allaient survivre longtemps. Harry cherchait dans sa mémoire s'il avait fait quelque chose de mal. Puis il se dit que c'était peu être à cause de la bataille d'oreiller qu'il avait fait il y a quelques jours auparavant, mais dans ce cas là elle aurait convoqué Drago également. Et elle l'aurait fait beaucoup plus tôt aussi. Donc il pensa que ça ne pouvait pas être ça. Mais quoi alors ? se demandait t'il sans cesse. Il regarda Hermione, Ginny et Ron. Eux aussi avaient l'air anxieux se demandant également ce qu'il avaient fait de mal. Ginny et Hermione craignaient déjà le pire. Peut être que la directrice avait appris qu'elles étaient enceintes ? Peut être qu'elles seraient renvoyées parce que être enceinte était interdit quand on était à Poudlard ? Puis ils furent interrompus dans leur pensée quand la directrice prononça le mot de passe pour entrer dans son bureau. Ils montèrent alors les escaliers en colimaçon suivant de près la directrice, comme si elle allait leur échapper d'un moment à l'autre. La directrice s'installa derrière son bureau, laissant Harry, Ron, Hermione et Ginny près de la porte. Puis elle les regarda avant de leur dire.
Mais asseyez vous donc ? Ah, mais oui, suis je bête. Accio Chaise
Puis quatre chaises apparurent devant son bureau et les quatres amis s'asseyèrent la tête baissée. Ils sentaient leur heure sonner. Ils allaient être executés (pas au sens de fusiller ou quelque chose du genre).
Ne soyez pas défaitistes à ce point, je ne vais pas vous gronder ou vous mettre en colle ni quoi que ce soit d'autre.
C'est vrai ? lâcha Ron en relevant brusquement sa tête, le sourire aux lèvres
Bien sûr monsieur Weasley. Je voulais juste savoir si vous pouviez reprendre les cours de l'AD. Il faut que tout le monde sache se défendre et c'est pour ça que je fais appel à vous. Vous avez sans doute traversé plus d'épreuve que tous les autres élèves, c'est pour ça que vous allez être leur professeurs. Mais cette fois, c'est une organisation légale à Poudlard, pas comme en cinquième année. Vous avez été très courageux d'avoir affronter Ombrage de cette façon.
Les quatre amis se regardèrent sans trop y croire.
Bien sûr il faudra également que vous trouviez le temps pour réviser, dit elle en regardant Harry, Ron et Hermione.
Bien sûr madame, dit Hermione en lui souriant.
Bien c'est tout ce que j'avais à vous dire, vous pouvez retourner à la soirée du professeur Slughorn.
Puis ils commencèrent à sortir de l'office de la directrice quand elle les interpella à nouveau.
Miss Weasley, Miss Potter !
Hermione et Ginny se figèrent et se regardèrent. Elles avaient compris qu'elle avait remarquer. Puis elles se retournèrent lentement.
Il me semble que vous ayiez un peu pris de poids en 3 mois, dit elle en leur montrant leur ventre.
Oui, madame répondit Hermione en hésitant à ce qu'elle pouvait dire après. C'est à cause...
A cause de la nourriture, poursuivit Ginny. Elle est bonne et on a eu tendance à trop manger
Le professeur Mc Gonagall les regarda mais n'en dit pas plus et les laissa partir. Puis ils partirent et, arrivés en bas de l'escalier Ginny s'essuya le front.
Ouf, on a eu chaud. Mais je crois qu'elle ne m'a pas cru avec ma théorie de la nourriture.
Non, c'était très bien. Franchement sur le coup, je ne savais pas quoi dire. Dit Hermione. Venez on y va.

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Les quatre amis se rendirent donc vers la salle, mais elle n'était plus comme ils l'avaient quitter un instant auparavant. Elle était toute saccagée et des tas d'objets trainaient par terre. Un vrai champs de bataille. Ginny n'était pas très rassurée quand elle en tra dans la salle. Elle pensait que des mangemorts étaient venu ici tuer tout le monde. Harry, Ron, Hermione et Ginny entrèrent dans la salle en essayant de trouver des objets qui leur prouverais que c'était bel et bien des mangemorts qui étaient venus tout dévaster.
Soudain derrière eux, un bruissement de cape se fit entendre. Tous les quatre se retournèrent d'un coup sec pour voir d'ou provenait le bruit. Les lumières vacillaient et étaient sur le point de s'éteindre. La tension monta d'un cran quand un objet tomba d'une table en face d'eux. La salle était plongée dans un noir absolu, on ne voyait plus que la lune à peine cachée par un mince rideau en tissu. A présent, toutes les lumières du couloir s'étaient éteintes. Au loin un rire glacial ce fit entendre, un rire à glacer le sang. Ginny, paniquée, prit la main de Harry et la serra de toutes ses forces au point que Harry ne sentait plus ses doigts. Mais il continuait à lui tenir la main, pour qu'elle n'ait pas peur. A la lueur de la lune on voyait que Hermione semblait aussi avoir peur. Elle tenait Ron par le coup et ses yeux étaient rivés vers la porte, équarquillés.
Harry... chuchota Ron
Harry tourna la tête vers Ron et fit un signe de tête pour qui lui dise ce qu'il avait à dire.
Et si c'était des mangemorts ? continua t'il toujours aussi bas
Non, ce n'est pas des mangemorts, dit Harry en essayant de se convaincre lui même
Puis, après de longues minutes de silence, une porte claqua et le rire glacial se rapprochait de plus en plus. Puis plus rien. L'orage commençait à se lever et des éclairs fendaient le ciel et de gros éclats se firent entendre. Peu après, la pluie commença à tomber.
Puis des bruits de pas commencèrent à se faire entendre, puis de plus en plus fort. Ils se rapprochaient de l'endroit où étaient les quatres amis. Harry fit signe à Hermione et Ron de se cacher et porta Ginny et coura vers l'autre bout de la salle, se cacher à un endroit ou personne ne les verrais. Puis il virent une lumière s'aprocher de la porte, une lumière d'une baguette. Puis une tête apparue à l'endroit ou la porte avait été fracturée.
Est ce qu'il y a quelqu'un ? demanda une voix d'homme
Personne ne répondit...
Harry ? Ron ? Hermione ? Ginny ? C'est le professeur Slughorn
Puis harry sorti de sa cachette avec Ginny et s'approcha du professeur de potion. Puis il fit signe à Ron et Hermione de sortir également.
Ah ! c'est vous professeur.
Bien sûr que c'est moi les enfants ! Vous croyez que j'était quoi ? Un inféri peut être ?
Euh, non pas tout à fait professeur, dit Ron. On croyait que vous étiez un mangemort...
Ah ! Sacrebleu ! Ces mangemorts ! Venez avec moi. Nous avons du démaénager à cause d'une petite bataille entre deux élèves. Zabini et Mc Laggen, me semble t'il. Ils sont tous les deux en retenue.
Harry regarda les autres et ne put s'empêcher de sourire. Il était content que Mc Laggen soit en retenue. Puis ils suivirent le professeur Slughorn vers une autre salle un peu plus loin. C'était donc cette porte qu'ils avaient entendus claqué il y a un instant.
A l'intérieur de la salle, pratiquement la même que celle qu'ils venaient de quitter quand ils étaient allés chez Mc Gonagall, avec beaucoup moins de boisson qu'au début de la soirée, du fait de la bagarre. Au loin, ils virent Drago avec la fille de Serdaigle dont ils ne savaient encore rien d'elle. Quand Drago vit ses amis, il dit quelque chose à sa copine et l'emmena avec lui vers ses amis.
Harry, Ron, Ginny, Hermione... Je vous présente ma nouvelle petite amie. Elle est en 7 ème année et elle s'appelle Isabelle Wallace
Enchantée, dit la dénommée Isabelle en tendant la main à chacun des quatre amis.
Harry semblait avoir vu qu'elle avait rougi quand il lui avait serré la main et que les yeux d'Isabelle avait suivit la trajectoire habituelle vers sa cicatrice.
Mais Harry n'y prêtais plus attention. Il s'y était habitué.
Comment ce fait il que vous soyez invitée ici ce soir ? demanda Ginny
Mon père travaille au ministère et il était l'un des ancien élèves très apprécié du professeur Slughorn. Et toi, pourquoi est tu là ? demanda Isabelle à Ginny
Parce que j'ai lancé un sortilège à un élève qui m'avait tellement énervée, juste qu moment ou le professeur Slughorn passait. Il a jugé que mon sortilège était très bon et il m'a invité depuis à toutes ses soirées, répondit Ginny
Ah d'accord, on va boire un verre tous ensemble ? proposa la jeune fille
Bien sûr, dit Harry en souriant
Puis ils se dirigèrent tous vers le buffet.

Le petit groupe discuta de tout et de rien jusqu'à tard dans la nuit, moment ou le professeur Slughorn frappa dans ses mains pour prendre la parole.
Silence, je vous prie les enfants, dit Slughorn
Peu à peu le silence se fit et les différents élèves présents dans la salle se tournèrent vers leur professeur.
Bien... finit il par dire. Après quelques petits changements et une interruption, c'est maintenant que se termine cette petite fête de noël. Je suis sûr que vous vous êtes tous bien amusés et que vous en ayez tous profiter. Et bien je vous souhaite une bonne nuit à tous et un joyeux noël ! En espérant que vous soyez tous gâtés ! ! !
Puis, après que le professeur Slughorn ait fini sont petit discours, les élèves commencèrent à se dispercer. Le groupe Harry – Ron – Hermione – Ginny – Drago – Isabelle, se dirigea vers le grand hall avant que Isabelle ne les quitte pour aller dans sa salle commune. Mais avant elle demanda à Drago si elle pouvait lui parler en privé. Harry lui dit qu'ils l'attendrais ici si Draago n'y voyait pas d'inconvénient. Au bout de quelques minutes, Drago revint avec le sourire et faisait comme si rien ne s'était passé entre Isabelle et lui. Mais Ginny et Hermione ne purent s'empêcher de rire lorsqu'elles virent le visage de Drago. Même Harry et Ron esquissèrent un sourire. Ils savaient que ça pourrait leur arriver également. Drago les regarda un moment sans rien dire, puis se contenta de continuer à marcher en direction de la salle commune sous les croulements de rire des deux fille qui était avec lui, Harry et Ron.
Puis au loin de pas se firent entendre accompagnés de miaulement. C'était Rusard et sa chatte Miss Teigne. Harry et Ron plaquèrent chacun leur mains sur la bouche d'Hermione et Ginny, si brusquement que leur tête cognèrent contre la paroi du mur. Au loin on entendait...
Allez Miss Teigne, je suis sûr que ce soir on va trouver quelque chose de louche, dit Rusard dans un ton qui ne paraissait pas convaincant.
Apparemment il disait cette phrase tous les soirs à sa chatte, mais en vain, il revenait la plupart du temps les mains vides sans aucune accusation à porter contre qui que ce soit. Les pas se rappochaient lentement de là où était la quinte. Ginny commençait à souffler comme un buffle et se tenait le ventre et à l'aide de ses dents, mordait Harry jusqu'à lui en arracher la peau. Mais Harry essayait de ne pas y prêter attention, essayant plutôt de ne pas ce faire voir par Rusard. Malgré l'effort qu'il lui fallait pour se retenir, Ginny poussa un cri et s'écroula par terre. Ce cri avait alerté Rusard et l'avait emmené là ou se trouvait le groupe. A la lueur de sa torche, on voyait bien qu'il était heureux d'avoir pris quelqu'un en flagrant délit. Harry était accroupi à côté de Ginny et essayait de la réveiller.
Alors... dit Rusard d'un ton joyeux. Puis je savoir en quel honneur cinq jeunes gens sont dans les couloirs à une heure aussi tardive ?... Répondez !
Nous étions à la soirée du professeur Slughorn, dit Drago. Il avait organisé une fête pour noël et nous étions invités. La fête viens juste de se terminer, monsieur.
Je ne vous crois pas, sale petit menteur ! Vous avez surement mis des boules puantes où des marécages un peu partout dans l'école, rien que pour me faire suer !
Avec la présence de 2 préfets en chef et de 2 préfets ? osa Hermione
Pardon ? dit Rusard qui n'en croyait pas vraiment ses oreilles et regardait Hermione d'un air bizarre.
Monsieur ! dit Harry prit de panique. Il faut emmener Ginny à l'infirmerie. Elle ne va pas bien du tout !
On voyait bien que Rusard était en train de fulminer de rage et qu'il sentait que sa proie allait lui échapper, une fois de plus. Après un long instant de réflexion, le concierge dit :
Venez avec moi. Madame Pomfresh ne supporterais pas de vous voir si tard.
Harry prit Ginny dans ses bras l'emmenant ainsi à l'infirmerie avec derrière lui, Hermione, Ron et Drago. Après quelques minutes de marche, ils arrivèrent à l'infirmerie avec une Madame Pomfresh absolument énervée. Quand elle criait, Harry avait l'impression d'entendre son oncle, se remémorant ainsi tous les mauvais souvenirs qu'il avait du subir depuis qu'il avait attéri chez eux, à un an.
Après de longues minutes d'observation, Madame Pomfresh revint et dit à Harry qu'il vallait mieux que Ginny reste à l'infirmerie pour la nuit, pour la garder en observation. Harry se tourna vers les autres et remarqua que Rusard avait disparu sans laisser la moindre trace.
Vous pouvez aller vous coucher. Je reste auprès de Ginny, dit Harry
D'accord dit Ron en se retourna et en prenant Hermione par la main
Puis Harry se rendit au chevet de Ginny en lui tenant la main, tandis que Madame Pomfresh se dirigeait vers l'arrière de l'infirmerie.
Harry s'assied près du lit de Ginny, qui était toujours inconsciente. Harry resta de longues minutes à observer le visage de Ginny qui reposait sur un oreiller moelleux. De temps à autre il arrangeait ses cheveux (à Ginny) qui lui tombait sur les yeux et sur le nez ce qui provoquait des éternuements plutôt pas agréable à entendre. Après une heure passé près de Ginny, Harry commençait à s'assoupir lorsque quelque chose remua dans ses mains. C'était la main de Ginny qui serrait la sienne.
Harry s'était effrayé et avait fait un petit bond, prenant garde de ne pas attirer l'attention de l'infirmière. Voyant le regard fatigué de Ginny qui le regardait, il ne pus s'empêcher de sourire. Puis il lui demanda discrètement.
Alors est ce que ça va ? Pourquoi t'es tombé dans les pommes ?
Oh, ça va un peu mieux, je me rétablit un peu. J'avais un de ces mal de bide tu peux pas savoir en plus qu'il y avait une odeur absolument pestidentielle qui approchait de plus en plus. Ca me rappellait mon prof de math quand j'étais en primaire...
Il puait autant que ça ? demanda Harry qui paraissait étonner que l'on pouvait puer autant que Rusard
Ginny acquieça en esquissant un sourire.
Tu m'a l'air fatigué, dit Ginny en voyant la mine fatiguée de Harry. Aller, viens je te fais un peu de place, continua t'elle en se poussant.
Mais tu crois pas que l'un de nous deux va tomber durant la nuit, vu que le lit est tellement petit ?
Mais non. Passe moi ta baguette. Je vois pas la mienne dans le noir.
Harry sortit sa baguette de sa robe de sorcier et la passa à Ginny. Puis une lumière sortit de la baguette de Harry et il vit le lit s'agrandir de quelques centimètres. Harry paraissait stupéfait et dit à Ginny en reprennant sa baguette.
Comment ça se fait que tu connaisses ce sort ?
C'est ta sœur qui me l'a appris cet été avant que tu ne viennes à la maison.
Ah, d'accord ! dit Harry en s'allongeant sur le lit agrandit.
Puis les deux amoureux s'endormirent l'un contre l'autre dans un sommeil sans rêve. Le lendemain matin, ils furent réveillés par une violante tempête de hurlement. En effet c'était Madame Pomfresh qui se trouvait devant le lit à Harry et Ginny et qui rouspètait comme quoi ce n'était pas un hôtel, mais une infirmerie. Harry et Ginny avaient vite fait de décamper et d'aller à la Grande Salle prendre leur petit déjeuner. Après avoir fini leur petit déjeuner ils sortirent à toute vitesse avant de voir le professeur Mc Gonagall, avant qu'elle ne fasse une remarque sur le ventre de Ginny.
Puis, dans le parc, au loin, on voyait une chouette arriver droit sur Harry et Ginny. A 100 mètres on voyait déjà une lettre rougeoyante accrochée à la patte de l'animal. Une fois que l'animal était au dessus de Ginny, il déposa la lettre sur les genoux de Ginny. Il y avait marqué:

Ginny Weasley
Dans le parc, à côté de Harry Potter
Poudlard

Oh mon dieu ! dit Ginny en voyant que la lettre lui était destinée. Une beuglante ! ! !
Ouvre là, conseilla Harry. De toute façon tu ne peux pas y echapper. Vaut mieux l'ouvrir maintenant, comme ça tu es sûre que personne n'entendra, à par moi.
Ginny acquieça et tourna lentement la lettre pour l'ouvrir. A peine l'eut elle entrouverte que la lettre sauta des mains de Ginny. A l'intérieur, on entendait la voix de Mrs Weasley.

GINNY WEASLEY ! ! !

Ginny sursauta à l'entente de son nom. Jamais elle n'avait entendu sa mère crier comme ça sur elle...

Comment as tu osé devenir enceinte en plein milieu de tes études ! ! !Le professeur Mc Gonagall m'a prévenu ! Elle n'a pas cru en ta « théorie de la nourriture délicieuse de Poudlard »...
Enfin ce qui est fait est fait. On ne peut plus faire marche arrière. Mais prend garde. C'est 20 fois pire que les règles, je tiens à te prévenir.

Fais attention à toi...

PS : Avec la « chance » qu'on aura se sera un garçon... *Soupir*

Après que la lettre s'était enflammée, Ginny regardait dans le vide, l'air terrorisé. On l'entendait à peine dire.
20 fois pire...20 fois pire... Je vais morfler....

En voyant le regard perdu dans le vide de Ginny, Harry la prit dans les bras et essaya de la réveiller.
Eh oh ! Ginny ! Réveille toi ! On en est pas encore là tu le sais bien ? On a encore le temps !
Ginny le regarda perplexe.
Et si l'enfant venait avant ?
Ca ne risque pas. Tu va voir, tout va bien se passer. Dit Harry en essayant de la consoler.
Ginny posa sa tête contre l'épaule de Harry et regarda longuement le paysage, quand elle entendit la voix de son frère derrière elle.
Ah ! Vou étiez là tous les deux !
Bien sûr qu'on était là ! dit Harry en souriant et en faisant signe à Ron d'être plus calme.
Ron et Hermione s'assierent à côté de Harry et Ginny et ce dernier remarqua que Drago n'était pas avec eux. Il fit un signe de tête à Hermione pour savoir où il était.
Il est avec Isabelle. Ils sont trop chou à voir ensemble. Dit Hermione en souriant.
Harry fit un signe de tête pour dire qu'il avait compris et essayait toujours de consoler Ginny. Puis Ron, voyant que Ginny n'allait pas bien, il s'approcha d'elle et secha ses larmes.
Eh ! Petite sœur ! Qu'est ce qui ne va pas ?
Non, rien. Rien de grave, Ron. Ne t'inquiète pas, dit Ginny en ravalant ses larmes.
Si, il y a quelque chose, sinon tu ne pleurerais pas comme ça. Allez raconte moi. Et on va essayer de trouver une solution ensemble.
Après de longues minutes de silence, Ginny décida tout de même à parler.
Maman m'a envoyer une beuglante.
Ron la regardait perplexe et avait faillit tomber dans le lac.
Et qu'est ce qu'elle t'as dit ?
Elle est au courant, que je suis enceinte. Mc Gonagall n'a pas cru en ma théorie de la nourriture délicieuse de Poudlard, dit Ginny en reniflant. Bref elle m'a engeuler.
Puis au loin un second hibou arriva, mais celui là était pour Hermione. Heureusement, ce n'était pas une beuglante. C'était une lettre de ses parents adoptifs. Eux aussi la grondait. Ils disaient : « Tu n'a pas idée de la responsabilité que c'est. Avoir un enfant c'est difficile, bien que tu es été une enfant très calme »

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 14 : La coupe et l'objet

Deux jours plus tard, Harry et Ron partirent de nouveau à la recherche des horcruxes, mais cette fois ci, avec Drago. Cette fois ci, ils s'étaient mis en tête de détruire les objets ayant appartenus à Gryffondor et à Serdaigle, ainsi que la coupe de Poufsouffle. Il avaient commencer à axer leurs recherches à l'intérieur même de Poudlard.
Au petit matin, alors que tout le monde dormait encore, Harry, Ron et Drago s'étaient glissés en douce hors du dortoir, à l'aide de la cape d'invisibilité pour se rendre au point prévu, la salle des trophés en espérant pouvoir y trouver quelque chose d'intéressant. En chemin ils rencontrèrent Peeves, qui avait senti que quelqu'un passait par là, à une heure aussi matinale.
- Tiens, tiens, tiens... Que ce que je sens là. Il me semble qu'il y a des élèves hors de leur dortoir. C'est Rusard qui va être content.
Harry regarda Ron et Drago et leur fit un signe de tête pour leur faire comprendre de ne rien dire. Puis il prit une voix grave, pour imiter le Baron Sanglant.
- Peeves, c'est moi le Baron Sanglant.
- Oooooooooh, sa majesté Sanglante ! dit Peeves en tombant presque à la renverse. Que faites vous ici de si bon matin ?
- Le Baron a ses raison de se promener ici. Peeves, va t'en et fait en sorte que personne ne vienne me déranger pendant ma promenade.
- Bien votre majesté Sanglante, comme vous voudrez. Dit Peeves en s'inclinant très bas.
Puis il décampa très vite en jetant un dernier regard derrière lui, comme s'il espérait voir le Baron Sanglant réapparaitre.
Ron et Drago regardèrent Harry l'air satisfait. Puis il continuèrent leur chemin jusqu'à la salle des trophés en ne faisant plus aucune mauvaise recontre. Durant le trajet, Drago avait soufflé à Harry qu'il avait magnifiquement imité le Baron Sanglant, ce qui fit sourire Harry.
Après quelques minutes de marches ils se trouvèrent devant la salle et la regardèrent s'ils trouvaient quelque chose au nom de Helga Poufsouffle, ou bien au nom de Godric Gryffondor, ou bien de Rowena Serdaigle. Mais rien à faire. Ils ne trouvèrent rien à ce qui correspondait aux objets ou à une coupe.
- Il y a peut être une salle spéciale avec tous les objets de valeurs, qui ont appartenu aux quatre fondateurs ? proposa Drago. Après tout c'est possible ! Regardez pour la chambre des secrets. Je doute fort, que les élèves qui sont à Poudlard maintenant, on entendu parler de cette salle ! ?
- Non, je pense qu'ils en ont eu des échos, ajouta Ron. Après tout, l'enlèvement de Ginny, je pense que la plupart des sorciers en ont entendu parler de cette histoire.
- Oui, sans doute. Mais pour la salle avec tous les onjets ayant appartenus aux quatre fondateurs, ça pourrait se tenir comme hypothèse, non ? insista Drago.
- Oui ça pourrait se tenir... dit Harry, l'air songeur. Mais comment savoir où est cette salle ?
- La carte du maraudeur ! dit Ron après quelques minutes de réflexion. Après tout, il se peut que la salle se trouve sur la carte, non ?
- Ou bien on peut aussi demander à Fred et Georges. Eux doivent en savoir un rayon. Dit Harry. Venez on va à la volière, leur envoyer une lettre
Puis ils se dirigèrent vers la volière écrire une lettre aux frères de Ron.

Fred, Georges,

On aurait besoin de votre aide. Vu que vous connaissez pas mal Poudlard, est ce que vous savez par hasard s'il y a une salle réservée pour tous les objets de valeurs ayant appartenus aux quatres fondateurs ? Répondez nous vite, c'est urgent.

Harry, Ron et Drago.

Après cela, ils se rendirent à la salle commune, à attendre que Hermione et Ginny daignent sortir de leur lit. Il était encore tôt, le soleil se levait à peine. Il n'y avait pas grand monde dans salle commune à part quelque matinaux qui profitait du calme de la salle commune pour réviser pour leur examens. Finallement, au bout de quelques minutes, Hermione descendit les escaliers du dortoir des filles et alla rejoindre les trois garçons. En passant, elle ébourriffa les cheveux à Harry en guise de bonjour et elle tendit la main à Drago qui la serrait chaleureusement (la main). Puis elle alla s'asseoir à côté de Ron et l'embrassa.
- Vous savez ce qu'on pourrait faire en attendant Ginny ?
- Non, répondirent Harry, Ron et Drago en cœur.
- Réviser. Je vais chercher les manuels dans le dortoir. Allez chercher des parchemins. Ca fera gagner un peu de temps et au moins c'est calme pour l'instant.
Puis, chacuns de leur côté, ils cherchèrent ce dont ils avaient besoin.

Quelques minutes plus tard, Hermione était redescendue, avec tous les livres qu'il avaient cette année plus encore quelques livre pour leur culture générale. Après avoir attendu les garçons et prit une place Hermione, ouvrit tous les livres, prenant les passages interressants. Une fois que les gars étaient arrivés elle leur fit signe de s'asseoir et de commencer.
- Tout d'abord ce que vous pouvez faire, c'est des fiches. En rouge, vous marquez ce qui est important, en vert ce qui risque d'être demander. Allez, au travail maintenant.
Harry, Ron et Drago se regardèrent devant le travail colossal qui les attendait.
- Hermione tu es sûr qu'il faut faire ça ?
- Bien sûr ! Sinon, ça aurait fait belle lurette que je ne serais plus à Poudlard !
- Avec le QI qu'elle, ça m'étonnerais même pas qu'elle continue ses études, avec ou sans fiches, chuchota Ron, de façon à ce que seul Harry et Drago puisse les entendre.
- Qu'est ce que tu as dit ? demanda Hermione
- Rien, rien, une bétise. Rien de bien méchant, ne t'inquiète pas.
Puis tout doucement, ils se mirent au travail, maudissant ainsi tous les profs de tous les noms qu'ils leur passaient par la tête, en s'imaginant qu'ils voulaient les tuer (les profs voulaient tuer les élèves.
On voyait bien que Ron se donnait beaucoup de mal pour faire ses fiches, sa tête était devenue rouge et il se tenait la tête. C'est ainsi, aux alentours de 10 heures, Ginny descendit les escaliers d'un air ensommeillé, et les trouva en train de réviser. Elle se dirigea vers Harry et s'assied sur ses genoux et déposa un baiser sur son front.
- Vous faites quoi ? demanda Ginny d'une voix pâteuse.
- On révise pour nos ASPIC, dit Harry en l'embrassant.
- Ah ! Ginny ! Sursauta Ron en se retenant de ne pas sauter sur sa sœur. Tu nous sauves la vie ! ! !
Ginny le regarda, un sourcil levé, la tête relevé (Genre à la Doc, dans Retour vers le Futur)
- Pourquoi ?
- On as faillit mourir ! Sous un tas de révisions...
Ginny rigola de bon cœur en voyant Hermione taper dans le dos de Ron et son frère se réfugier dans ses bras, pour éviter les coups d'Hermione. On entendait des...
- Arrête Hermione ! Tu fais mal ! non arrête, tu me chatouilles !
Puis on voyait Ron se tortiller par terre ependant que Hermione le chatouillait.

Quelques instant plus tard, ils se rendirent tous à la Grande Salle prendre leur petit déjeuner. A leur passage, quelques Serpentard, les fusillaient et rien qu'à les regarder, on voyait très bien qu'ils avaient envie de leur balancer de la nourriture dessus. Mais ils se retenaient tant bien que mal, quand ils virent les badges acrochés aux robes de Harry, Ron, Hermione et Ginny.
Quand le courrier arriva, vers 10 h 15, Harry, Ron et Drago regardèrent vers la masse de chouette qui descedaient vers leur destinataires respectifs. Mais aucun signe de lettre pour eux.
- Vous attendez une lettre de quelqu'un ? demanda Hermione
- Ouais... répondit Ron le regard toujours en l'air espérant qu'une chouette vienne vers eux. On attends une lettre de Fred et Georges.
- Et pourquoi ça ? continua Ginny
Harry détacha son regard du plafond et regarda Ginny.
- Ecoute, tes frères connaissent très bien Poudlard. Mieux que Rusard lui même et peut être mieux que Dumbledore. Sinon Dumbledore m'aurait dit que des Horcruxes se cachaient dans Poudlard. Donc on a demander à tes frères s'ils ne connaissaient pas une salle secrète que personne ne connaît. Une salle remplie de trophés ou des objets appertenant aux quatre fondateur.
Ginny, qui l'avait regarder pendant qu'il parlait, n'avait pas remarqué qu'elle mettait des œufs sur sa robe de sorcier. Harry regarda la robe de sorcier à Ginny et la regarda
- Ginny ?
- Humm ? demanda t'elle
- Regarde comme tu manges ? ! T'a sali toute ta robe ! ! !
- Oh ! mince alors ! Heureusement que j'ai des habits de rechange !
Puis elle partie à toute vitesse sans que les autres aient pu dire quelque chose. Puis il se remit correctement et remarqua que toutes les chouettes avaient disparu sans leur laisser la moindre lettre.
- Une réponse ne peut pas arriver aussi vite, tu sais ! Après tout on est à Poudlard et eux à Londres, il lui faut du temps à la chouette pour que la lettre arrive à destination. Vous l'avez envoyer à quelle heure ? demanda Hermione
- Oh, entre 5 h 30 et 6 h 00 du matin, dans ces environs là, dit Drago.
- Vous étiez aller faire quoi si tôt le matin ? demanda Hermione avec un ton on l'on pouvait apercevoir un peu de reproche
- On était parti à la recherche des Horcruxes. On pensait qu'il y avait les objet de Serdaigle et de Gryffondor et la coupe de Poufsouffle, dit Harry en baissant la voix pour que seul Hermione, Drago et Ron puisse profité de ce qu'il avait à dire.
Quelques minutes plus tard, Ginny revint, avec des habits propres cette fois ci, mais elle fut interceptée par Mc Laggen. Apparement il voulait de nouveau sortir avec elle, parce qu'elle lui avait collé une baffe. Puis on voyait Mc Laggen la prendre et commencer à la secouer comme un prunier. Harry n'en pouvant plus, se leva et alla à la rencontre de Mc Laggen.
- Oh, Mc Laggen ! Qu'est ce que tu touches à MA copine ! C'est la mienne, personne n'y touche capito ?
Mc Laggen poussa Ginny par terre t se postant devant Harry, essayant de gonfler ses muscles.
- C'est toi le merdeux qui sort avec Ginny, banane !
- Oui, c'est moi qui sort avec Ginny. Je vois pas en quoi ça te gène autant que ça, dit Harry le regard noir
Le professeur Lupin passa alors par là vit qu'un petit attroupement s'était formé autour de Harry et Mc Laggen. Il s'approcha alors et vit que Ginny était par terre. Il l'aida donc à se relever lui demandant ainsi si elle allait bien. Puis il à côté, entre les deux jeunes hommes.
- Alors, alors. On se dispute pour cette charmante jeune fille, n'est ce pas ? demanda le professeur Lupin ?
- Oui, professeur, répondi Harry avant que Mc Laggen ait pu ouvrir sa bouche.
- Bon ce que vous allez faire, c'est vous serrez la main et oublier tout cela. Ginny est déjà prise donc, celui qui la veut devra pleurer sur son sort et trouver une autre fille à son goût. Asseyez vous à vos place merci, ce n'est pas un zoo, dit il aux autres élèves.
Les deux jeunes hommes se lancèrent un dernier regard noir et partirent s'asseoir à leur place respective. Mais le professeur Lupin intercepta Harry avant qu'il ne s'assoid.
- Bravo pour ta nomination pour reprendre les cours de l'AD, dit Lupin en lui faisant un clin d'oeil amical.

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