Harry potter et le combat mortel

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/06/2007

Alors je tien présiser que c'est une fic que j'ai faite sur un autre forum et que c'est Ginny qui me corige et qui m'arange les choses qui ne vont pas.
Voila sinon bonne lecture a tous.

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/06/2007

A Little Whining, un jeune homme, résidant au 4, Privet Drive, allait bientôt avoir 17 ans. Cet âge était très significatif pour lui. Dans le monde des sorciers, c’est là où l’on devenait majeur aux yeux de la loi. Car Harry Potter était bel et bien un sorcier qui faisait ses études dans la plus célèbre école de sorcellerie de Grande Bretagne : Poudlard. 17 ans… Il en avait rêvé depuis tellement longtemps. Il allait enfin pouvoir partir de chez son oncle et sa tante, Mr et Mrs Dursley. Il allait bientôt ne plus les voir, ni eux ni son infâme cousin, Dudley.Seulement, il n’avait aucun endroit pour habiter. Il avait tout d’abord pensé à habiter dans la maison de ses parents, mais il avait des souvenirs trop peu précis à propos de cet endroit. La meilleure chose a faire, selon lui, était d’en parler à Ron, son meilleur ami.

Cher Ron,

Comme tu le sais sans doute (et je suis sur que tu ne l’as pas oublié), je serais bientôt majeur. Quelle joie de pouvoir quitter la maison de mon oncle et de ma tante ! Seulement j’ai un petit souci… Je ne sais pas où aller. Alors, et c’est la raison pour laquelle je t’écris, je me demandais si tu ne voulais pas m’accompagner pour chercher un petit appartement non loin de là ou habitait mes parents.Renvoie moi Hedwige si jamais tu es d’accord (et même si tu n’es pas d’accord tu me la renvoie quand même!) et indique moi la date et l’heure qui te conviendraient.Sur ce, je te laisse en espérant bientôt avoir de tes nouvelles.

Mes amitiés

Harry prit alors le soin d’attacher la lettre qu’il venait d’écrire, à la patte de sa chouette blanche, Hedwige, lui donna un peu de miam-hibou et lui dit d’aller apporter la lettre au Terrier. Il regarda alors sa chouette s’envoler dans le ciel bleuté. Après quoi, il commença a partir à la recherche de toutes ses affaires, qu’il avait pu poser ici ou là et pris le soin de les mettre dans sa valise. Une fois sa valise prête et qu’il eu réussi a mettre toutes ses affaires dans cette dernière, il fit un dernier tour de chambre pour bien vérifié qu’il n’avait laissé aucun parchemin vierge ou vieux grimoire.

Dans la soirée, sa chouette était revenue, hululant avec fatigue. Elle lui apportait la réponse de Ron.

Cher Harry,

Bien sûr que je n’ai pas oublié que tu allais avoir 17 ans ! Ces choses là ne s’oublient pas si facilement tu sais ! En tout cas, ça doit être un soulagement de pouvoir quitter cette maison. Et puis j’accepte volontiers de t’accompagner pour la recherche d’appartement. Pendant ce temps là, tu peux venir habiter à la maison il n’y a aucun souci ! Je te donne rendez vous demain à 10 heures au Terrier (tu devrais trouver le chemin ! ). Mais il y a quand même une petite question qui m’est passée par la tête… Pourquoi ne reprendrais tu pas la maison de tes parents ? Après tout, c’est tout de même aussi la tienne et elle te revient de droit !! Enfin je pense que l’on en discutera demain.A demain

Ron

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/06/2007

Le lendemain matin, Harry se réveilla, il était près de 9 heures. Il se dépêcha alors de s’habiller, et de se coiffer, malgré le fait qu’il n’y arrivait pas… ses cheveux s’obstinaient à rester en bataille. Il avait tout d’abord pensé se rendre au Terrier par la voix des airs, mais il se ravisa au dernier moment en se rappelant qu’il était dans une ville remplie de moldus. Il y avait bien Mrs Figgs, mais elle était une cracmol et la seule sorcière, avec Harry dans cette ville.Il décida alors de s’y rendre de façon plus conventionnelle et prit donc le taxi. Au bout d’une heure de route, il se retrouvait dans un lotissement non loin de là où habitaient les Weasley ; De là, il pouvait sans crainte utiliser son balai pour faire le reste du trajet, mais il prit bien soin que le chauffeur de taxi ne le vois pas voler sur son balai.Quelques minutes plus tard, il arriva au Terrier où Ron l’attendais. Harry dit bonjour aux parents de Ron et posa ses affaires et se remit en route, accompagné de Ron. Sur le chemin, les deux jeunes hommes commencèrent à discuter à propos de la maison des parents d’Harry.
-Pourquoi est ce que tu ne veux pas habiter dans la maison de tes parents ?
-J’ai des souvenirs trop imprécis à propos de cette maison, et puis Voldemort risque de me retrouver.Harry n’avait pas prêté attention à la grimace de Ron quand il avait prononcé le nom du mage noir. Il devait s’y habituer…
-Tu devrais tout de même aller la visiter… On ne sais jamais… Bon d’accord, continua t’il quand il vit que Harry s’apprêtais à répliquer, la maison doit être refaite du sol au plafond, mais papa connais de très bon sorciers qui pourront se charger de la réparation de la maison.
-Je sais, mais…
-Mais quoi ? On y va et tu verras bien ! -D’accord, dit Harry se sentant vaincu.
Peu après, ils arrivèrent devant la maison des parents d’Harry. Le jeune homme eut la surprise de voir une maison neuve. Il n’arrivait pas à y croire. Ou bien il y avait quelqu’un d’autre qui y habitait… En tout cas, cette personne l’avait refaite du sol au plafond !
-Allez viens, on va voir ce qui se passe à l’intérieur ! T’a vu ça elle est magnifique !! - -Mais comment ça se fait qu’elle soit… commença Harry.Il ne put finir sa phrase car Ron lui avait pris son bras et l’avait entrainé à l’intérieur.Arrivés dans la maison, tout était noir. Ron alluma la lumière et là, un groupe d’une dizaine de personnes s’écria : -SURPRIIIIIIISE !! !
Pendant un moment, Harry avait cru que tout le monde avait oublié son anniversaire, mais il s’était trompé sur toute la ligne.Mrs Weasley tendit une lettre à Harry, car elle savait très bien qu’il devait avoir des tonnes de questions à poser sur sa maison.

Cher Harry,

Je sais que cela doit être pas très évident pour toi de revoir ta maison toute neuve, mais avant tout je te souhaite un joyeux anniversaire. Tout de même 17 ans ça se fête ! Tu n’allais tout de même pas imaginer qu’on avait oublié ton anniversaire ! Nous avions tous pensé que ce serait un merveilleux cadeau que nous pouvions te faire en rénovant ta maison de façon à ce que tu puisse y habiter et tout ça sans débourser un seul frais ! Enfin bon, l’essentiel est que tu sois majeur, et surtout, fais très attention à toi, Tu Sais Qui rode toujours dans les parages à ta recherche. Méfie toi de tout le monde, fais attention à toi et à tes amis car eux pourrons toujours t’aider dans les moments les plus critique. Il est inutile, je pense de te mettre en garde sur le fait que les mangemorts son très dangereux.

Molly, Arthur et les autres

Cher Harry,

Il faut que tu sache que j’ai fais refaire ta maison par l’un des sorciers les plus expérimenté dans ce domaine. J’ai fait appel à lui avant ma mort, car je voulais bien sur voir à quoi elle ressemblerait une fois finie. J’espère que cette maison te plait telle qu’elle est. Si tu as l’occasion, passe dans ta chambre, un cadeau t’y attendra. Je suis sur qu’il te plaira. Pour tes 17 ans… Ne pleure pas Harry, je serais toujours présent près de toi. Sache que si tu a besoin de réconfort, tu peux toujours me voir dans mon portrait du bureau de la directrice, le professeur McGonagall. Je voudrais te voir lors de ta rentrée à Poudlard, j’ai des choses importantes à te dire.A bientôt, je te fais confiance.

Dumbledore.

Toutes les têtes s’étaient tournées vers Harry, tous envieux de savoir ce que la lettre disait.
-Alors? Demanda Hermione. Qu’est ce qu’il y a écris dans la lettre
-Dumbledore a fait reconstruire la maison. Je retourne à Poudlard cette année…
La nouvelle que Harry retournerais à Poudlard avait ravi tout le monde. La mère à Ron, Mrs Weasley, proposa alors de faire le tour de la maison. C’était l’occasion idéale pour Harry d’aller voir le cadeau que lui avait parlé Dumbledore. Tout d’abord, il découvrit un magnifique salon avec un grand canapé en soie rouge, et, tout autour du canapé, un tapis gravé au symbole de Gryffondor. Jamais il n’aurait imaginé que le salon ressemblerait comme ça. Soudain, quelque chose lui fit prendre conscience que personne ne regardait vraiment la pièce, mais plutôt ce qui ressemblait être une télévision sur un meuble. Toute la famille Weasley se regardait entre eux, en se demandant ce que pouvait bien être ce qui était posé sur le meuble. Apparemment le professeur Dumbledore s’était bien renseigné sur ce que les moldus pouvaient produire… Puis Harry comprit à leur regard, qu’ils voulaient savoir ce que c’était cette chose inconnue à leur yeux.
- C’est une télévision, annonça simplement Harry en appuyant sur le bouton de la télécommande pour allumer la télé.Tout le monde paru un peu étonné de voir des personnes bouger à l’intérieur de cette boite, et ils ne purent s’empêcher d’émettre un petit cri.
-N’ayez pas peur ce ne sont pas des personnes vivantes qui sont à l’intérieur de la télévision, c’est juste que quand les moldus s’ennuient, ils allument la télévision. En fait, c’est comme le théâtre, sauf qu’il ne faut pas se déplacer.
-Moi je reste là ! lâcha Ron
-Hors de question ! dit Mrs Weasley. Tu viens faire le tour de la maison avec nous et tu regarderas cette chose plus tard !L a prochaine pièce fut celle qu’Harry attendait avec le plus d’impatience. Quand Mrs Weasley ouvrit la porte, ils y découvrirent une magnifique chambre décorée d’accessoire de Quidditch. Et, au fond de la pièce, sur le lit, un grand paquet l’attendait. Ca devait être le paquet dont Dumbledore parlait dans sa lettre. Harry s’approcha et vit son nom sur le paquet. C’était bien le paquet de Dumbledore.
-Prend le avec toi, Harry et tu l’ouvriras avec les autres, lui conseilla Mrs Weasley.
-Pourquoi il y en a d’autres ?
-Bien sur, prends-le et on va aller ouvrir tes autres cadeaux, lui dit Mrs Weasley avec un sourireIl prit alors son paquet sous le bras et l’emmena au salon. Sur la table à manger, a présent, on pouvait voir une quantité de cadeau exposé dessus. Pourtant, celui qui l’intriguait le plus était celui qu’il portait toujours sous son bras.De son côté, Ron lui aussi regardait avec curiosité le paquet que tenait Harry. Puis pour briser le silence, Harry prit la parole :
-Je peux les ouvrir ?
-Oui, bien sur, mais celui que tu tiens, tu l’ouvriras en dernier, dit Mrs Weasley en voyant que Harry s’apprêtais à ouvrir le cadeau qu’il venait d’apporter.Harry le posa alors à contrecœur et pris alors le premier paquet qui lui venait sous la main. Il était grand et quelque chose semblait bouger à l’intérieur. Harry l’ouvrit lentement, se demandant bien ce qui pouvait y avoir a l’intérieur. A sa grande surprise, un magnifique petit chien fit son apparition.
-C’est de la part de mes parents, dit fièrement Hermione, constatant avec plaisir que le cadeau lui plaisait.
-Merci… Merci beaucoup ! Il est magnifique ! C’est gentil de leur part d’avoir penser à mon anniversaire ! Tu les remercieras de ma part !
-Au moins il pourra te tenir compagnie lorsqu’Hedwige ne sera pas là ! Ne t’inquiète pas pour ça on ne mettre pour rien au monde Hedwige au chômage ! plaisanta Hermion.
Tout le monde rigola de bon cœur à la plaisanterie d’Hermione. Il posa alors le petit chien par terre, qui attendait patiemment que Harry lui donne une caresse et, voyant que rien arrivait, il parti s’amuser avec Pattenrond, le chat aux poils oranges d’Hermione.
Puis il prit le second paquet, cette fois ci, plus plat. Il déchira l’emballage et y découvrit un livre intitulé « Comment apprendre la cuisine en un tour de magie ! ».
-Ce livre ne peut venir que d’une seule personne, dit Harry avec un sourire. Hermione. -Effectivement, dit-elle un peu embarrassée
-Ne t’inquiète pas, il me sera très utile !

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Il prit ensuite un autre paquet qui ne pouvait être que de la part des Weasley. Il trouva donc son habituel pull rouge, mais cette fois ci il était un peu différent des autres années. A la place du « H » habituellement inscrit sur le pull, il y avait une lettre de plus… Un « G ».. Harry releva la tête et jeta un regard étonnée à la famille Weasley.
-C’est Ginny qui te l’a fait, avoua Mr Weasley, un peu embarrassé.
-Oh ! dit-il, étonné de tant d’attention. Eh bien vous lui direz que c’est très réussi ! J’aime beaucoup !I l n’avait pas remarqué qu’il avait rougi et Ron semblait bien se moquer de lui. Tout le monde sourit, et Harry avait compris qu’ils lui transmettraient le message.
-Je peux ouvrir le dernier maintenant ?
-Bien sûr ! C’est le dernier qui te reste, alors bien sûr que tu peux l’ouvrir !L e jeune homme prit le paquet et prit le soin, dans un premier temps, de lire la lettre.

Mon petit Harry,

C’est avec une grande joie que nous t’offrons se cadeau qui, je pense, te fera très plaisir. Nous pensions que c’était l’occasion idéale de te l’offrir, car tu es majeur. Eh oui, majeur ! Tant de chose que tu peux faire maintenant ! Comme passer ton permis de transplanage, utiliser la magie autant que tu le souhaite et plein d’autre chose, que je ne prendrais pas le temps d’énumérer car ça prendrait un peu trop de temps…Pour que ce cadeau marche, il faut que tu pense très fort à la personne défunte que tu veux revoir et là, observe bien ce qui va se passer. Ce sera une très belle surprise ! Profite bien de ta majorité,
profite de la vie, sache qu’il faut que tu continue a vivre malgré ce qui se passe en se moment.
Nous t’embrassons très fort

Lily, James, et les Weasley.

Harry avait sourit, pourtant quelque larmes coulèrent sur ses joues. Il prit ensuite le soin d’ouvrir le cadeau et vi un petit miroir… Il ferma les yeux et pensa très fort à ses parents. Soudain…
- Harry, mon chéri, tu vas bien ? Harry sa va? Demanda une petite voix qu’il reconnu comme être celle de sa mère. Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas entendu cette voix.
Il rouvrit les yeux, se tourna et vit ses parents lui sourire juste à côté de lui. IL était tellement heureux de les revoir qu’il leur sauta dans les bras.
- A chaque fois que tu penseras très fort à nous et que tu seras en possession de cette glace, nous apparaîtrons à tes côtés. Mais il n’y a que toi qui peux nous voir.Le jeune homme se tourna alors vers les autres et leur demanda s’ils voyaient ses parents. Il eut confirmation qu’ils ne les voyaient pas. Mrs Weasley avait les larmes aux yeux, elle était tellement émue que le cadeau plaise à Harry.
- Merci à tous, c’est vraiment un cadeau merveilleux ! Enfin je pourrais voir mes parents comme je le souhaite !
Harry sécha alors ses larmes, et proposa alors à tout le monde de boire un verre pour détendre l’atmosphère. Une fois dans la cuisine, Mrs Weasley demanda à tout le monde de prendre place autour de la table pour diner. Mrs Weasley avait pensé à tout… Elle avait préparé un dîner somptueux en l’honneur de l’anniversaire à Harry. Tant de bonnes recettes dont Mrs Weasley avait le secret. C’était sa botte secrète pensa Harry en souriant. Il regardait avec appétit tous les plats qui s’étendaient devant lui. Il y avait différentes viandes, comme du poulet, ou bien du bœuf, mais également des patates, des petits pois, des haricots verts, des nouilles chinoises et d’autres plats tout aussi succulents. Le dîner se passait avec animation, tout le monde était occupé à parler de tout et de rien, seul Ron était bien silencieux, car il n’arrêtait pas de manger.
Cependant, au dessert, un magnifique gâteau au chocolat avec une photo d’Harry en train de bouger, Harry posa tout de même une question à ses parents.
-Papa, maman, j’ai une question qui me passe dans la tête… Est-ce qu’avec cette glace, je peux… Je peux faire réapparaître Dumbledore ? Ou bien Sirius ?
-Bien sûr ! Il suffit juste que tu pense très fort à eux et ils apparaîtront à tes côtés, comme pour nous.Harry pensa alors très fort au professeur Dumbledore qui apparu quelques secondes plus tard à côté de lui. Il était tellement heureux de revoir son ancien directeur.

Il avait un milliard de question à poser à propos des Horcruxes. Il ne savait pas vraiment par où commencer. Mais il pensait que ce n’était ni le moment et ni le lieu approprié pour avoir cette discussion avec le professeur Dumbledore.- -Tu reprends les cours alors ? demanda le professeur Dumbledore
-Bien sûr ! Mais qui va s’occuper de la maison pendant la période où je serai à Poudlard ?
-Ne t’inquiète pas, la maison peut rester comme ça et tu auras tout le loisir de venir ici avec tes amis pendant les vacances. En parlant d’ami, continua t’il en regardant autour de lui, il ne manque pas par hasard une personne ?
-Oui, il manque Ginny. Apparemment elle n’a pas voulu venir, mais elle m’a tout de même offert un beau cadeau, dit il en lui montra le pull rouge que lui avait offert Ginny.
-Tu l’aimes toujours n’est ce pas ? demanda Dumbledore en regardant Harry par-dessus des lunettes en demi lunes.
-Bien sûr, mais je ne voudrais pas être responsable de son malheur ou bien je ne me pardonnerais jamais assez si jamais il lui arriverait quelque chose.
Ils retournèrent alors dans la cuisine, rejoindre les autres, qui avaient presque fini le gâteau d’anniversaire d’Harry.Après cette brève discussion avec Dumbledore, Harry ne put s’empêcher de penser à Ginny. Il était tard lorsque Mrs Weasley jugea qu’il était temps d’aller se coucher. Harry alla dans sa chambre, mais au moment ou il allait éteindre sa bougie, quelqu’un frappa à la porte d’entrée. Mrs Weasley alla ouvrir la porte puis entra dans la cuisine avec une jeune rousse qui semblait avoir bien grandi depuis le début de l’été.
Ginny, prit alors Harry par le bras et l’emmena dans la chambre de se dernier et l’embrassa d’une tendresse que Harry n’avait encore jamais connu. Il la repoussa avec regret, et lui expliqua que c’était impossible… Il lui expliqua qu’il y avait trop de danger pour qu’ils puissent sortir ensemble. La jeune fille commença à pleurer, ce qui fit beaucoup de peine à Harry. Il la prit alors dans ses bras et se mit a lui murmurer quelques mots doux qui lui redonnèrent le sourire. Puis, il eut une envie irrésistible d’embrasser Ginny, Harry la regarda dans les yeux et approcha lentement son visage de celui de la jeune fille et l’embrassa longuement. Il n’avait pas pu résister à son charme.

Il était à présent temps de retourner dans la cuisine car les autres allaient sans doute se demander ce qu’ils faisaient aussi longtemps dans la chambre. Arrivés dans la cuisine, tout le monde les regardaient en rigolant, et le jeune couple se mit alors à rougir. Cependant, Ron, lui, ne rigolait pas, il semblait un peu gêné que son meilleur ami sorte avec sa petite sœur, lui qui avait toujours voulu la protéger.Puis, soudain, il prit son courage à deux main, prit Hermione par la main et l’entraîna vers le salon, à l’abri des oreilles indiscrète et l’embrassa. Hermione ne savait pas trop quoi dire, elle était un peu abasourdie, mais eu tout de même un petit rire nerveux. Ron paru encore plus gêné et a présent on ne faisait plus la différence entre la couleur de sa peau et les taches de rousseur qui parsemaient son visage.
-Quoi ? osa-t-il. Je ne plais pas, c’est ça ? Je ne suis pas assez bien pour toi ?
-Non pas du tout ! Enfin, ce n’est pas ce que je voulais dire, regarde un peu autour de toi…Il se retourna et vit que tout le monde était en train de les regarder et il en fut de plus en plus gêné. Il aurait tout donné pour partir en courant et échapper aux regards des ceux qui l’entourait. Hermione déposa un baiser sur le front de Ron et ce dernier rougit un peu plus.

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/06/2007

Harry avait passé une très bonne journée. Quel anniversaire ! Il s’en souviendrais toute sa vie, jamais il n’avait passé d’aussi bon anniversaire ! Cela changeait de ce qui se passait le jour de son anniversaire chez les Dursley. Tant d’émotion en une seule journée ! L’arrivé de ses parents, puis de Dumbledore, ensuite son baiser avec Ginny, puis le fait que Ron et Hermione sortent ensemble. Tout cela le troublait un peu, mais il éprouvait une immense sensation de bonheur.
Une fois la fête finie, Harry demanda à Mrs Weasley si Hermione, Ron et Ginny pouvaient rester chez lui pour la nuit. Mr et Mrs Weasley sourirent, ils étaient ravis qu’Harry ait enfin sa propre maison et qu’il ait invité ses amis à dormir chez lui. Les parents à Ron et Ginny lui rassurèrent qu’il n’avait pas besoin de demander car de toute façon ils auraient accepté.Une fois que tout le monde était parti, Harry proposa aux autres une activité que Ron avait hâte de découvrir : la télévision. Ginny et Ron poussaient souvent des Oooooh et des Aaaah, tellement ils étaient étonnés de voir ce qui se passait dans la télévision. Alors Harry, à l’aide d’Hermione, leur expliqua qu’il fallait regarder la télévision en silence car sinon cela gâcherait tout le plaisir de la regarder.
Il ne pouvait pas mieux rêver de voir ses deux meilleurs amis ensemble et était d’autant plus heureux car il était avec Ginny. Il était tard lorsqu’ils allèrent se coucher. Vu le regard assassin que Ron lançait à sa sœur, il voulait clairement qu’elle ne dorme pas dans le même lit qu’Harry. Ginny fit alors mine d’aller se coucher dans un lit différent de celui d’Harry et une fois qu’elle était sûre que Ron ne la voyait plus, elle parti rejoindre Harry dans son lit. Ayant entendu Ginny se déplacer, il se leva pour voir ce qui se passait, mais il s’arrêta a mis chemin… Il pensait qu’il était trop stupide pour ne pas avoir confiance en son meilleur ami. Après tout Harry et Ginny sortaient ensemble. Il retourna alors se recoucher près d’Hermione qui dormait déjà à point fermé.

Le lendemain matin, Harry proposa à ses amis d’aller faire un tour au chemin de traverse, ce qui lui valu un baiser de la part de Ginny, qui n’avait pas du tout envie de rester dans la maison toute la journée. La rentrée à Poudlard allait bientôt avoir lieu et elle voulait profiter des derniers jours de vacances.L’une des premières choses qu’ils firent quand ils arrivèrent au chemin de Traverse, c’était de se diriger vers le magasin d’accessoire de Quidditch. Comme à son habitude, Ginny se dirigea vers le balai qu’elle souhaitait de tout son cœur et resta figé comme une statue à l’admirer. Harry la regardait avec un sourire et se dirigea discrètement vers le vendeur et réserva le balai, car il savait très bien que l’anniversaire de Ginny allait être dans quelques jours.

Il était plus de midi quand Harry proposa d’aller manger au Chaudron Baveur. Après avoir bien mangé et bien bu, ils se dirigèrent vers les différents magasins qui proposaient des affaires scolaires, afin qu’ils puissent avoir toutes leurs fournitures. Du parchemin, des plumes, des livres, de l’encre et Harry prit même une plume à papote afin qu’il puisse prendre des notes pendant les cours. Il en acheta une également pour Ginny, Ron et Hermione. Hermione semblait cependant septique sur le fait qu’Harry ait acheté une plume à papote.

Une fois rentrés à la maison, il était l’heure du dîner, et Harry décida de faire lui-même la cuisine. Il prit donc le livre de cuisine qu’Hermione lui avait offert la veille. Tout le monde se régala, et Hermione était heureuse qu’Harry se soit servit de son livre de cuisine.Ils étaient sur le point de commencer à manger lorsque quelque chose sonna. Ron et Ginny sursautèrent sur place et regardèrent tout autour d’eux d’un air paniqué pour savoir d’où provenait ce bruit étrange. Tandis qu’Harry se levait, Hermione les calmait en leur expliquant que s’était tout simplement le téléphone qui sonnait, ainsi que les fonctions d’un téléphone.

L’interlocuteur d’Harry ne prit pas la peine de répondre tout de suite quand Harry avait décroché. Après un cours instant de silence, elle se mit à parler.
-Allô, Harry ? demanda la voix
-Oui, c’est bien moi. Qui est à l’appareil ?
-C’est… C’est moi, ta tante Pétunia… Ne raccroche pas je t’en supplie, il faut que je te parle. Ton oncle n’est pas là, il ne sait pas que je t’appelle. Ca fait des jours que je pleure, tu sais que je t’ai toujours aimé, mais c’est ton oncle qui m’a mis toutes ses immondes choses dans la tête a propos des sorciers.
-Trop tard, répondit Harry, qui commençait à s’énerver. Je ne veux plus entendre parler de vous !
-Non attends, Harry, ne raccroche pas ! Je peux me rattraper ! Ne raccroche pas s’il te plait ! Écoute-moi… C’était un soir, quand tes parents n’étaient pas à la maison. J’était passé chez vous pour cacher quelque chose dans un mur. Juste avant j’avais rencontré une sorcière que ta mère connaissait. Il me semble que c’était une de ses profs. Elle m’a prédit des choses affreuses qui se sont d’ailleurs produites. Puis j’ai vu un vieux sorcier fou à Londres et il m’a donné une babiole qui soit disant devait protéger les personnes que j’aime contre les mauvais sorts. Je l’ai donc caché dans l’un des murs pour vous protéger. Mais ce que ce vieux fou a oublié de me dire, c’est qu’il en fallait un par personne !
-Et c’est pour ça que Voldemort n’a pas réussi à me tuer ? demanda Harry, qui était toujours remonté que sa tante l’appelle chez lui.
-Oui, et comme je viens de te l’expliquer, tes parents n’ont malheureusement pas pu être protégés…
-Et je suppose que l’oncle Vernon n’est pas au courant ?
-Non, il n’est pas au courant, mais je t’en prie ne lui dit rien, s’il apprenait de quelque manière qu’il soit, il serait capable de me tuer ! Je dois te laisser, il arrive. Je t’embrasse. Au revoir.Puis elle raccrocha. Après cette révélation, Harry devint écarlate, il ne savait plus quoi penser de sa tante. Comment est ce que la tante Pétunia avait elle réussi à garder ce secret jusqu’à aujourd’hui ? Pourquoi ne lui avait t’elle pas révéler ce détail pendant qu’il était encore chez eux ? Ses yeux se remplirent de larmes lorsqu’il raconta la conversation qu’il venait d’avoir avec sa tante. A présent, Harry revivait toute son enfance passée chez les Dursley. Il avait tant souffert de leur méchanceté, de leurs insultes. La tante Pétunia avait donc suivit l’oncle Vernon simplement parce qu’elle avait peur de lui ? De comment il réagirait si il apprenait qu’elle avait usé de la magie pour protéger son neveu ? Elle avait dit qu’elle l’aimait. Pourquoi ne lui avait t’elle pas montrer un peu plus d’affection quand elle était seule avec lui ? Il se posait tellement de questions que son cerveau allait exploser. Il n’arrivait pas à trouver de réponses à ses questions… Harry ne savait plus où il en était ni ce qu’il devait faire. Sa tante lui avait gâché sa journée qui se terminait si bien. Il ne pouvait tout de même pas lui en vouloir, car elle lui avait tout de même dit la vérité.

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Ainsi, pour se changer les idées, Harry proposa à ses amis d’aller se promener dans le parc, le même parc ou ses parents l’emmenaient lorsqu’il était enfant.
Arrivés dans le parc, Harry se rendit compte qu’il lui manquait quelque chose. IL voulait retrouver ceux qu’il avait perdus lorsqu’il avait 1 an. Il sorti le miroir de sa poche, ferma les yeux et pensa très fort à ses parents. Il rouvrit les yeux, regarda autour de lui, mais ses parents n’étaient pas à côté de lui. Il referma les yeux et pensa encore plus fort à ses parents, mais quand il les rouvrit ; ils n’étaient toujours pas là. Il remit alors son miroir dans la poche, la mine déçue. Ils se trouvaient dans un endroit moldu et donc c’était sans doute à cause de ça que ses parents n’étaient pas apparus.
Le lendemain, à 12 heures, Harry décida d’aller manger, chuchota quelques mots à Hermione et cette dernière sourit. Ils proposèrent à Ginny et à Ron d’aller faire un tour, et qu’il y aurait une petite surprise lors de ce tour. Lors du trajet, Ron et Ginny posèrent plein de questions sur la surprise et sur le fonctionnement du distributeur d’argent, devant lequel Harry s’affairait à prendre de l’argent moldu.
Ils prirent le bus, pour aller au cœur de Londres. Ron trouva le temps long et n’arrêtais pas de faire des remarques sur la lenteur du bus et se vantait que le Magicobus allait 100 fois plus vite, ce qui lui valu les regards outrés des passagers du bus.
Soudain, on n’entendit plus aucun bruit de la bouche de Ron. Harry le regardait d’un air étonné avant de remarqué que son ami, ainsi que Ginny étaient bouche bée.
-Mais qu’est ce que c’est ? Demanda Ginny -C’est un parc d’attraction, dit Harry en souriant
-Fermez la bouche, tout les deux on dirait que vous allez gober des mouches ! dit Hermione en rigolantRon et Ginny fermèrent leur bouche, mais continuèrent à regarder le parc d’attraction d’un air étonné.
Une fois le bus à l’arrêt, ils descendirent et se dirigèrent vers le parc d’attraction. Ron et Ginny semblaient ravis de voir à quoi ressemblait un parc d’attraction moldu. Ils en avaient, certes, entendu parler par leur père, féru d’objet moldu, mais n’en n’avaient jamais vu de leur propres yeux.
Harry prit la main de Ginny dans la sienne, tandis que Hermione prenait celle de Ron, et lui expliquait le fonctionnement des manèges, ainsi que celui de son manège préférer. Rien que d’entendre Hermione parler de son manège, il en avait la nausée.
-Ce que je préfère, c’est le lac des signes, c’est pour les amoureux. On est dans un bateau en forme de signe et on se laisse porter par le courant. C’est très romantique, expliqua Hermione.
- Ah d’accord, dit Ron, d’un air désemparé. Il retrouva le sourire quand il vit arriver Harry accompagné de Ginny, avec les billets.Il leur fit alors signe de s’approcher pour le libérer d’Hermione. Ils entrèrent alors dans le parc, puis, dans un premier temps, ils prirent le train fantôme. A un moment, Hermione hurla de rire, car Ron criait et tremblait de tout son corps car il avait vu une araignée avec une masse gluante qui était sur les pattes de l’animal.
-Ce n’est donc pas la peine d’avoir peur Ron, ce sont des faux ! dits Hermione toujours en rigolant.
-Mais je sais bien que ce sont des faux ! Je n’ai pas eu peur du tout ! Je voulais te faire marcher et on dirait que ça a marché ! répliqua Ron, terriblement gêné
-Bien sûr oui ! dit Hermione, dont le fou rire s’intensifiait au fur et à mesure que le temps passait.
-Rooh, c’est bon ! Vous savez très bien que j’ai une peur bleu des araignées alors c’est bon ! dit Ron, vexé.
-Ca va je plaisante ! lâcha Hermione, qui avait à présent arrêté de rire.Peu de temps après ils sortirent du train fantôme. Ron semblait bouder, et avait du prendre la plaisanterie d’Hermione au sérieux. Ayant remarqué ce détail, Harry proposa de faire un tour en montagne russe, ce que tout le monde accepta.
Arrivé devant les montagnes russes, Ginny et Ron se regardèrent, pas très rassurés, se demandant ce que ce manège allait leur réservé comme surprise. Quant à Harry et Hermione, ils regardèrent le manège avec un sourire et se dirigèrent sans hésiter. Ron, pourtant pas très rassuré, suivit Hermione, et fut suivit de peu par sa jeune sœur.
Ils montèrent donc tous les quatre dans le manège. Ginny ne semblait pas très rassurée et tenait fermement la main d’Harry. Ron, lui semblait adorer les montagnes russes car on l’entendait hurler de joie. Peu après, Ginny fut rassurée et elle aussi hurlait de joie.Pour finir leur après midi de folie, ils firent un détour du côté du lac des cygnes pour faire plaisir à Hermione. Ils prirent un bateau chacun et se laissèrent emporter par le courant.

Il était environ 20 heures, lorsque le parc ferma ses portes qu’ils prirent le bus en direction de la maison à Harry pour passer le reste de la soirée. Ginny et Hermione avaient gagné plein de peluches et d’autres babioles en tout genre. Ron semblait avoir adoré le parc, car on ne l’entendait plus que parler de ça et il avait même dit qu’il y emmènerait toute sa famille.

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/06/2007

Une fois rentré, ils prirent un sandwich façon sorcier, accompagné de jus de citrouille puis allèrent se coucher. Le lendemain, ils devaient rentrer au Terrier car la rentré allait être trois jours plus tard.Pourtant après cette folle journée, Harry n’arrivait pas à fermer l’œil. Il décida donc de jouer avec le chien. Ayant remarqué qu’Harry n’était plus dans le lit, se leva pour voir ce qu’il faisait. Elle le retrouva allongé sur le sol, le chien roulé en boule à côté de lui. Elle prit alors une couverture et prit soin de couvrir Harry de façon à ce qu’il ne prenne pas froid durant la nuit.
Quelques heures plus tard, Harry se leva, le soleil commençait à inonder la pièce de ses rayons de soleil matinaux. Il se mit alors à préparer le petit déjeuner pour tout le monde. Une délicieuse odeur de bacon et de toast grillé se faisait sentir dans toute la maison et ce fut cette odeur qui réveilla toute la maison. Comme à son habitude, Ron fut le premier à s’installer et à tout manger. On aurait dit qu’il n’avait rien mangé depuis un long moment.

Après un petit déjeuner copieux, ils allèrent se préparer pour se rendre au Terrier. Harry n’avait pas envie de faire sa valise, il ne voulait pas quitter la maison de ses parents. Il décida d’en parler avec eux, et ils le convainquirent de faire sa valise et de rejoindre ses amis et de reprendre ses études comme il l’avait promis à Dumbledore.
Harry n’avait pas pris la peine de parler des Horcruxes à ses amis, il ne voulait pas les mettre en danger. La seule chose qui importait pour lui c’était de détruire Voldemort, que ses amis soit en sécurité et venger Dumbledore. Puis il se tira de ses sombres pensées quand il appela tout le monde en leur rappelant qu’il était l’heure d’y aller.Une fois dans le bus, Harry prit son courage à deux main et prit la parole.
-Il faut que je vous avoue quelque chose, dit-il sombrement. C’est à cause de moi si Dumbledore est mort…
-Ne dis pas de bêtises, commença Hermione. Tu sais très bien que c’est Rogue qui l’a tué !
-Ne prononcez plus son nom devant moi ! Je vengerais Dumbledore ! Je tuerais Rogue !
-Qu’est ce qu’il t’arrive, Harry ? demanda Ginny. Tu es bizarre !E n effet, Harry transpirait et avait les yeux injectés de sang. Il avait parlé d’une telle violence qu’il avait fait peur à Ginny.
Harry n’était plus le même, il n’était plus le Harry Potter que ses amis connaissaient. Ce que les autres ne savaient pas, c’était qu’Harry était manipulé. Il était manipulé par deux mangemorts, eux aussi mort. Ils avaient enfermé les véritables parents d’Harry dans un cachot dans le royaume des morts et à présent, à chaque fois qu’Harry se servait de son miroir, les mangemorts venaient et le remplissaient de haine, la même haine qu’il était en train de déverser sur ses amis.
Ce que les mangemorts voulaient c’est qu’il tue ses amis.Ginny espérait qu’en l’embrassant, elle pouvait le faire redevenir comme il était dans son état normal, mais tout ce qu’elle avait réussi à obtenir c’était qu’elle soit poussée d’une telle violence contre l’une des paroi du bus. Ron de son côté avait du mal à contenir sa colère, car il ne supportait pas qu’Harry ait frappé sa sœur, il se jeta alors sur Harry, l’entraînant ainsi dans une bataille interminable, devant des spectateurs moldus outragés. Ginny quand à elle, pleurait dans les bras d’Hermione.

Soudain, sans que rien ni personne ne l´ai touché, Harry tomba au sol, inconscien, malgré les efforts de Ron pour le rattraper. Lorsqu´il se réveilla, quelques instant plus tard, il était allongé dans son lit, cherchant désepérément quelqu´un des yeux. Il ne reconnaissait rien autour de lui, rien ne lui était famillier.
C´est à ce moment là que Ron et Hermione entrèrent dans sa chambre, le virent éveillé et se précipitèrent vers son lit. Intrigué par l´intrusion de ces deux personnes qui venaient d´entrer, il demanda:
- Qui êtes-vous?
- Harry, c´est nous! Ron et Hermione! Tu ne nous reconnaît plus? Demanda t´elle, les yeux remplis de larmes
- Enchanté, mon nom est Harry

Ne tenant plus une seconde de plus, Hermione sorti de la chambre, en pleurs. En chemin, elle croisa Ginny qui en tentant de la consoler lui demanda ce qui n´allait pas. Entre deux sanglots, Hermione lui expliqua la situation.
Une fois rassurée sur le sort d´Hermione, Ginny se hâta de voir Harry. Peu après l´arrivée de Ginny, Ron préféra s´eclipser, laissant ainsi Harry et Ginny ensemble, espérant ainsi qu´avec la présence de la jeune femme, Harry réussirait à retrouver la mémoire.
Le jeune homme semblait avoir perdu sa voix lorsqu´il vit Ginny. Jamais il n´avais vu de jeune femme aussi ravissante de toute sa vie. Sa vie? De quoi se souvenait il au juste? Avait il au moins vu ce genre de créature? Il ne pouvais se souvenir exactement, mais elle, il sentait qu´il l´aimait déjà.

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Voyant le regard que lui lançait Harry, la jeune fille fondit en larmes. Avide de savoir la raison de ses larmes, le jeune homme lui demanda ce qu’il se passait. Il lui prit alors la main, tenant ainsi de la consoler. Il la regarda intensément avant d’ajouter:
- Tu t’appelles Ginny, n’est ce pas? Tu es ma petite amie, et je t’aime… Je t’aime énormément.
A ces mots, Ginny retrouva le sourire. Harry avait retrouver la mémoire grâce à elle: Cette perspective la rendit heureuse.Plus tard dans la soirée, tout le petit groupe se dirigea vers le Terrier. Harry annonça alors qu’il allait retourner à Poudlard, reprennant ainsi ses études, comme il l’avait promit au professeur Dumbledore. Puis, d´un geste machinal il sortit son miroir que lui avait offert toute la famille Weasley ainsi que le professeur Dumbledore et pensa très fort à ses parents ainsi qu´a son mentor. Il leur expliqua alors e qu´il venait de dire quelque instant auparavant aux Weasley.
- J´aurais besoin de votre aide pour détruire les Horcruxes dit il à l´attention de Ron et Hermione.Puis le professeur Dumbledore lui fit un signe de la tête qu´il pouvait expliqué sa mission à Mr et Mrs Weasley.
- Je suppose que vous savez ce que c´est qu´un horcruxe?Tout le monde acquieça puis Harry poursuivit.
- Nous avons de bonnes raisons de penser que Voldemort –tout le monde tressaillit- a divisé son âme pour devenir immortel. Donc tant que ces horcruxes ne sont pas détruit, Voldemort ne peux mourir. Et pour cela il me faudrait votre aide pour détruire ces horcruxes. Bien sûr si vous ne voulez pas m´aider je le comprendrais très bien, je comprendrais très bien que vous ne vouliez pas vous risquer à une aventure aussi dangeureuse.
- Nous ne te laisserons jamais tomber dit Mrs Weasley. Nous verrons ce que nous pourrons faire pour t´aider.
Harry sourit et il senti une main se poser sur son épaule.
- Tu a des amis vraiment géniaux, dit sa mère en souriant.Harry sourit mais ne dit rien de plus.

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Harry avait passé une très bonne journée. Quel anniversaire ! Il s’en souviendrais toute sa vie, jamais il n’avait passé d’aussi bon anniversaire ! Cela changeait de ce qui se passait le jour de son anniversaire chez les Dursley. Tant d’émotion en une seule journée ! L’arrivé de ses parents, puis de Dumbledore, ensuite son baiser avec Ginny, puis le fait que Ron et Hermione sortent ensemble. Tout cela le troublait un peu, mais il éprouvait une immense sensation de bonheur.
Une fois la fête finie, Harry demanda à Mrs Weasley si Hermione, Ron et Ginny pouvaient rester chez lui pour la nuit. Mr et Mrs Weasley sourirent, ils étaient ravis qu’Harry ait enfin sa propre maison et qu’il ait invité ses amis à dormir chez lui. Les parents à Ron et Ginny lui rassurèrent qu’il n’avait pas besoin de demander car de toute façon ils auraient accepté.Une fois que tout le monde était parti, Harry proposa aux autres une activité que Ron avait hâte de découvrir : la télévision. Ginny et Ron poussaient souvent des Oooooh et des Aaaah, tellement ils étaient étonnés de voir ce qui se passait dans la télévision. Alors Harry, à l’aide d’Hermione, leur expliqua qu’il fallait regarder la télévision en silence car sinon cela gâcherait tout le plaisir de la regarder.
Il ne pouvait pas mieux rêver de voir ses deux meilleurs amis ensemble et était d’autant plus heureux car il était avec Ginny. Il était tard lorsqu’ils allèrent se coucher. Vu le regard assassin que Ron lançait à sa sœur, il voulait clairement qu’elle ne dorme pas dans le même lit qu’Harry. Ginny fit alors mine d’aller se coucher dans un lit différent de celui d’Harry et une fois qu’elle était sûre que Ron ne la voyait plus, elle parti rejoindre Harry dans son lit. Ayant entendu Ginny se déplacer, il se leva pour voir ce qui se passait, mais il s’arrêta a mis chemin… Il pensait qu’il était trop stupide pour ne pas avoir confiance en son meilleur ami. Après tout Harry et Ginny sortaient ensemble. Il retourna alors se recoucher près d’Hermione qui dormait déjà à point fermé.

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Le lendemain matin, Harry proposa à ses amis d’aller faire un tour au chemin de traverse, ce qui lui valu un baiser de la part de Ginny, qui n’avait pas du tout envie de rester dans la maison toute la journée. La rentrée à Poudlard allait bientôt avoir lieu et elle voulait profiter des derniers jours de vacances.L’une des premières choses qu’ils firent quand ils arrivèrent au chemin de Traverse, c’était de se diriger vers le magasin d’accessoire de Quidditch. Comme à son habitude, Ginny se dirigea vers le balai qu’elle souhaitait de tout son cœur et resta figé comme une statue à l’admirer. Harry la regardait avec un sourire et se dirigea discrètement vers le vendeur et réserva le balai, car il savait très bien que l’anniversaire de Ginny allait être dans quelques jours.

Il était plus de midi quand Harry proposa d’aller manger au Chaudron Baveur. Après avoir bien mangé et bien bu, ils se dirigèrent vers les différents magasins qui proposaient des affaires scolaires, afin qu’ils puissent avoir toutes leurs fournitures. Du parchemin, des plumes, des livres, de l’encre et Harry prit même une plume à papote afin qu’il puisse prendre des notes pendant les cours. Il en acheta une également pour Ginny, Ron et Hermione. Hermione semblait cependant septique sur le fait qu’Harry ait acheté une plume à papote.

Une fois rentrés à la maison, il était l’heure du dîner, et Harry décida de faire lui-même la cuisine. Il prit donc le livre de cuisine qu’Hermione lui avait offert la veille. Tout le monde se régala, et Hermione était heureuse qu’Harry se soit servit de son livre de cuisine.Ils étaient sur le point de commencer à manger lorsque quelque chose sonna. Ron et Ginny sursautèrent sur place et regardèrent tout autour d’eux d’un air paniqué pour savoir d’où provenait ce bruit étrange. Tandis qu’Harry se levait, Hermione les calmait en leur expliquant que s’était tout simplement le téléphone qui sonnait, ainsi que les fonctions d’un téléphone.

L’interlocuteur d’Harry ne prit pas la peine de répondre tout de suite quand Harry avait décroché. Après un cours instant de silence, elle se mit à parler.
-Allô, Harry ? demanda la voix
-Oui, c’est bien moi. Qui est à l’appareil ?
-C’est… C’est moi, ta tante Pétunia… Ne raccroche pas je t’en supplie, il faut que je te parle. Ton oncle n’est pas là, il ne sait pas que je t’appelle. Ca fait des jours que je pleure, tu sais que je t’ai toujours aimé, mais c’est ton oncle qui m’a mis toutes ses immondes choses dans la tête a propos des sorciers.
-Trop tard, répondit Harry, qui commençait à s’énerver. Je ne veux plus entendre parler de vous !
-Non attends, Harry, ne raccroche pas ! Je peux me rattraper ! Ne raccroche pas s’il te plait ! Écoute-moi… C’était un soir, quand tes parents n’étaient pas à la maison. J’était passé chez vous pour cacher quelque chose dans un mur. Juste avant j’avais rencontré une sorcière que ta mère connaissait. Il me semble que c’était une de ses profs. Elle m’a prédit des choses affreuses qui se sont d’ailleurs produites. Puis j’ai vu un vieux sorcier fou à Londres et il m’a donné une babiole qui soit disant devait protéger les personnes que j’aime contre les mauvais sorts. Je l’ai donc caché dans l’un des murs pour vous protéger. Mais ce que ce vieux fou a oublié de me dire, c’est qu’il en fallait un par personne !
-Et c’est pour ça que Voldemort n’a pas réussi à me tuer ? demanda Harry, qui était toujours remonté que sa tante l’appelle chez lui.
-Oui, et comme je viens de te l’expliquer, tes parents n’ont malheureusement pas pu être protégés…
-Et je suppose que l’oncle Vernon n’est pas au courant ?
-Non, il n’est pas au courant, mais je t’en prie ne lui dit rien, s’il apprenait de quelque manière qu’il soit, il serait capable de me tuer ! Je dois te laisser, il arrive. Je t’embrasse. Au revoir.Puis elle raccrocha. Après cette révélation, Harry devint écarlate, il ne savait plus quoi penser de sa tante. Comment est ce que la tante Pétunia avait elle réussi à garder ce secret jusqu’à aujourd’hui ? Pourquoi ne lui avait t’elle pas révéler ce détail pendant qu’il était encore chez eux ? Ses yeux se remplirent de larmes lorsqu’il raconta la conversation qu’il venait d’avoir avec sa tante. A présent, Harry revivait toute son enfance passée chez les Dursley. Il avait tant souffert de leur méchanceté, de leurs insultes. La tante Pétunia avait donc suivit l’oncle Vernon simplement parce qu’elle avait peur de lui ? De comment il réagirait si il apprenait qu’elle avait usé de la magie pour protéger son neveu ? Elle avait dit qu’elle l’aimait. Pourquoi ne lui avait t’elle pas montrer un peu plus d’affection quand elle était seule avec lui ? Il se posait tellement de questions que son cerveau allait exploser. Il n’arrivait pas à trouver de réponses à ses questions… Harry ne savait plus où il en était ni ce qu’il devait faire. Sa tante lui avait gâché sa journée qui se terminait si bien. Il ne pouvait tout de même pas lui en vouloir, car elle lui avait tout de même dit la vérité.
Ainsi, pour se changer les idées, Harry proposa à ses amis d’aller se promener dans le parc, le même parc ou ses parents l’emmenaient lorsqu’il était enfant.
Arrivés dans le parc, Harry se rendit compte qu’il lui manquait quelque chose. IL voulait retrouver ceux qu’il avait perdus lorsqu’il avait 1 an. Il sorti le miroir de sa poche, ferma les yeux et pensa très fort à ses parents. Il rouvrit les yeux, regarda autour de lui, mais ses parents n’étaient pas à côté de lui. Il referma les yeux et pensa encore plus fort à ses parents, mais quand il les rouvrit ; ils n’étaient toujours pas là. Il remit alors son miroir dans la poche, la mine déçue. Ils se trouvaient dans un endroit moldu et donc c’était sans doute à cause de ça que ses parents n’étaient pas apparus

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Le lendemain, à 12 heures, Harry décida d’aller manger, chuchota quelques mots à Hermione et cette dernière sourit. Ils proposèrent à Ginny et à Ron d’aller faire un tour, et qu’il y aurait une petite surprise lors de ce tour. Lors du trajet, Ron et Ginny posèrent plein de questions sur la surprise et sur le fonctionnement du distributeur d’argent, devant lequel Harry s’affairait à prendre de l’argent moldu.
Ils prirent le bus, pour aller au cœur de Londres. Ron trouva le temps long et n’arrêtais pas de faire des remarques sur la lenteur du bus et se vantait que le Magicobus allait 100 fois plus vite, ce qui lui valu les regards outrés des passagers du bus.
Soudain, on n’entendit plus aucun bruit de la bouche de Ron. Harry le regardait d’un air étonné avant de remarqué que son ami, ainsi que Ginny étaient bouche bée.
-Mais qu’est ce que c’est ? Demanda Ginny -C’est un parc d’attraction, dit Harry en souriant
-Fermez la bouche, tout les deux on dirait que vous allez gober des mouches ! dit Hermione en rigolantRon et Ginny fermèrent leur bouche, mais continuèrent à regarder le parc d’attraction d’un air étonné.
Une fois le bus à l’arrêt, ils descendirent et se dirigèrent vers le parc d’attraction. Ron et Ginny semblaient ravis de voir à quoi ressemblait un parc d’attraction moldu. Ils en avaient, certes, entendu parler par leur père, féru d’objet moldu, mais n’en n’avaient jamais vu de leur propres yeux.
Harry prit la main de Ginny dans la sienne, tandis que Hermione prenait celle de Ron, et lui expliquait le fonctionnement des manèges, ainsi que celui de son manège préférer. Rien que d’entendre Hermione parler de son manège, il en avait la nausée.
-Ce que je préfère, c’est le lac des signes, c’est pour les amoureux. On est dans un bateau en forme de signe et on se laisse porter par le courant. C’est très romantique, expliqua Hermione.
- Ah d’accord, dit Ron, d’un air désemparé. Il retrouva le sourire quand il vit arriver Harry accompagné de Ginny, avec les billets.Il leur fit alors signe de s’approcher pour le libérer d’Hermione. Ils entrèrent alors dans le parc, puis, dans un premier temps, ils prirent le train fantôme. A un moment, Hermione hurla de rire, car Ron criait et tremblait de tout son corps car il avait vu une araignée avec une masse gluante qui était sur les pattes de l’animal.
-Ce n’est donc pas la peine d’avoir peur Ron, ce sont des faux ! dits Hermione toujours en rigolant.
-Mais je sais bien que ce sont des faux ! Je n’ai pas eu peur du tout ! Je voulais te faire marcher et on dirait que ça a marché ! répliqua Ron, terriblement gêné
-Bien sûr oui ! dit Hermione, dont le fou rire s’intensifiait au fur et à mesure que le temps passait.
-Rooh, c’est bon ! Vous savez très bien que j’ai une peur bleu des araignées alors c’est bon ! dit Ron, vexé.
-Ca va je plaisante ! lâcha Hermione, qui avait à présent arrêté de rire.Peu de temps après ils sortirent du train fantôme. Ron semblait bouder, et avait du prendre la plaisanterie d’Hermione au sérieux. Ayant remarqué ce détail, Harry proposa de faire un tour en montagne russe, ce que tout le monde accepta.
Arrivé devant les montagnes russes, Ginny et Ron se regardèrent, pas très rassurés, se demandant ce que ce manège allait leur réservé comme surprise. Quant à Harry et Hermione, ils regardèrent le manège avec un sourire et se dirigèrent sans hésiter. Ron, pourtant pas très rassuré, suivit Hermione, et fut suivit de peu par sa jeune sœur.
Ils montèrent donc tous les quatre dans le manège. Ginny ne semblait pas très rassurée et tenait fermement la main d’Harry. Ron, lui semblait adorer les montagnes russes car on l’entendait hurler de joie. Peu après, Ginny fut rassurée et elle aussi hurlait de joie.Pour finir leur après midi de folie, ils firent un détour du côté du lac des cygnes pour faire plaisir à Hermione. Ils prirent un bateau chacun et se laissèrent emporter par le courant.

Il était environ 20 heures, lorsque le parc ferma ses portes qu’ils prirent le bus en direction de la maison à Harry pour passer le reste de la soirée. Ginny et Hermione avaient gagné plein de peluches et d’autres babioles en tout genre. Ron semblait avoir adoré le parc, car on ne l’entendait plus que parler de ça et il avait même dit qu’il y emmènerait toute sa famille.

Une fois rentré, ils prirent un sandwich façon sorcier, accompagné de jus de citrouille puis allèrent se coucher. Le lendemain, ils devaient rentrer au Terrier car la rentré allait être trois jours plus tard.Pourtant après cette folle journée, Harry n’arrivait pas à fermer l’œil. Il décida donc de jouer avec le chien. Ayant remarqué qu’Harry n’était plus dans le lit, se leva pour voir ce qu’il faisait. Elle le retrouva allongé sur le sol, le chien roulé en boule à côté de lui. Elle prit alors une couverture et prit soin de couvrir Harry de façon à ce qu’il ne prenne pas froid durant la nuit.
Quelques heures plus tard, Harry se leva, le soleil commençait à inonder la pièce de ses rayons de soleil matinaux. Il se mit alors à préparer le petit déjeuner pour tout le monde. Une délicieuse odeur de bacon et de toast grillé se faisait sentir dans toute la maison et ce fut cette odeur qui réveilla toute la maison. Comme à son habitude, Ron fut le premier à s’installer et à tout manger. On aurait dit qu’il n’avait rien mangé depuis un long moment.

Après un petit déjeuner copieux, ils allèrent se préparer pour se rendre au Terrier. Harry n’avait pas envie de faire sa valise, il ne voulait pas quitter la maison de ses parents. Il décida d’en parler avec eux, et ils le convainquirent de faire sa valise et de rejoindre ses amis et de reprendre ses études comme il l’avait promis à Dumbledore.
Harry n’avait pas pris la peine de parler des Horcruxes à ses amis, il ne voulait pas les mettre en danger. La seule chose qui importait pour lui c’était de détruire Voldemort, que ses amis soit en sécurité et venger Dumbledore. Puis il se tira de ses sombres pensées quand il appela tout le monde en leur rappelant qu’il était l’heure d’y aller.Une fois dans le bus, Harry prit son courage à deux main et prit la parole.
-Il faut que je vous avoue quelque chose, dit-il sombrement. C’est à cause de moi si Dumbledore est mort…
-Ne dis pas de bêtises, commença Hermione. Tu sais très bien que c’est Rogue qui l’a tué !
-Ne prononcez plus son nom devant moi ! Je vengerais Dumbledore ! Je tuerais Rogue !
-Qu’est ce qu’il t’arrive, Harry ? demanda Ginny. Tu es bizarre !E n effet, Harry transpirait et avait les yeux injectés de sang. Il avait parlé d’une telle violence qu’il avait fait peur à Ginny.
Harry n’était plus le même, il n’était plus le Harry Potter que ses amis connaissaient. Ce que les autres ne savaient pas, c’était qu’Harry était manipulé. Il était manipulé par deux mangemorts, eux aussi mort. Ils avaient enfermé les véritables parents d’Harry dans un cachot dans le royaume des morts et à présent, à chaque fois qu’Harry se servait de son miroir, les mangemorts venaient et le remplissaient de haine, la même haine qu’il était en train de déverser sur ses amis.
Ce que les mangemorts voulaient c’est qu’il tue ses amis.Ginny espérait qu’en l’embrassant, elle pouvait le faire redevenir comme il était dans son état normal, mais tout ce qu’elle avait réussi à obtenir c’était qu’elle soit poussée d’une telle violence contre l’une des paroi du bus. Ron de son côté avait du mal à contenir sa colère, car il ne supportait pas qu’Harry ait frappé sa sœur, il se jeta alors sur Harry, l’entraînant ainsi dans une bataille interminable, devant des spectateurs moldus outragés. Ginny quand à elle, pleurait dans les bras d’Hermione.

Soudain, sans que rien ni personne ne l´ai touché, Harry tomba au sol, inconscien, malgré les efforts de Ron pour le rattraper. Lorsqu´il se réveilla, quelques instant plus tard, il était allongé dans son lit, cherchant désepérément quelqu´un des yeux. Il ne reconnaissait rien autour de lui, rien ne lui était famillier.
C´est à ce moment là que Ron et Hermione entrèrent dans sa chambre, le virent éveillé et se précipitèrent vers son lit. Intrigué par l´intrusion de ces deux personnes qui venaient d´entrer, il demanda:
- Qui êtes-vous?
- Harry, c´est nous! Ron et Hermione! Tu ne nous reconnaît plus? Demanda t´elle, les yeux remplis de larmes
- Enchanté, mon nom est Harry

Ne tenant plus une seconde de plus, Hermione sorti de la chambre, en pleurs. En chemin, elle croisa Ginny qui en tentant de la consoler lui demanda ce qui n´allait pas. Entre deux sanglots, Hermione lui expliqua la situation.
Une fois rassurée sur le sort d´Hermione, Ginny se hâta de voir Harry. Peu après l´arrivée de Ginny, Ron préféra s´eclipser, laissant ainsi Harry et Ginny ensemble, espérant ainsi qu´avec la présence de la jeune femme, Harry réussirait à retrouver la mémoire.
Le jeune homme semblait avoir perdu sa voix lorsqu´il vit Ginny. Jamais il n´avais vu de jeune femme aussi ravissante de toute sa vie. Sa vie? De quoi se souvenait il au juste? Avait il au moins vu ce genre de créature? Il ne pouvais se souvenir exactement, mais elle, il sentait qu´il l´aimait déjà.

Voyant le regard que lui lançait Harry, la jeune fille fondit en larmes. Avide de savoir la raison de ses larmes, le jeune homme lui demanda ce qu’il se passait. Il lui prit alors la main, tenant ainsi de la consoler. Il la regarda intensément avant d’ajouter:
- Tu t’appelles Ginny, n’est ce pas? Tu es ma petite amie, et je t’aime… Je t’aime énormément.
A ces mots, Ginny retrouva le sourire. Harry avait retrouver la mémoire grâce à elle: Cette perspective la rendit heureuse.Plus tard dans la soirée, tout le petit groupe se dirigea vers le Terrier

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 16/06/2007

Harry annonça alors qu’il allait retourner à Poudlard, reprennant ainsi ses études, comme il l’avait promit au professeur Dumbledore. Puis, d´un geste machinal il sortit son miroir que lui avait offert toute la famille Weasley ainsi que le professeur Dumbledore et pensa très fort à ses parents ainsi qu´a son mentor. Il leur expliqua alors e qu´il venait de dire quelque instant auparavant aux Weasley.
- J´aurais besoin de votre aide pour détruire les Horcruxes dit il à l´attention de Ron et Hermione.Puis le professeur Dumbledore lui fit un signe de la tête qu´il pouvait expliqué sa mission à Mr et Mrs Weasley.
- Je suppose que vous savez ce que c´est qu´un horcruxe?Tout le monde acquieça puis Harry poursuivit.
- Nous avons de bonnes raisons de penser que Voldemort –tout le monde tressaillit- a divisé son âme pour devenir immortel. Donc tant que ces horcruxes ne sont pas détruit, Voldemort ne peux mourir. Et pour cela il me faudrait votre aide pour détruire ces horcruxes. Bien sûr si vous ne voulez pas m´aider je le comprendrais très bien, je comprendrais très bien que vous ne vouliez pas vous risquer à une aventure aussi dangeureuse.
- Nous ne te laisserons jamais tomber dit Mrs Weasley. Nous verrons ce que nous pourrons faire pour t´aider.
Harry sourit et il senti une main se poser sur son épaule.
- Tu a des amis vraiment géniaux, dit sa mère en souriant.Harry sourit mais ne dit rien de plus.

Soudain, le jeune homme eut de nouveau les yeux injetés de sang et ses parents se transformèrent en mangemort dont le jeune homme ignorait tout de leur identité. Quelques instants plus tard, il reprit ses esprits, et vit que ses parents étaient redevenus eux mêmes.
- Harry, il faut que tu en parles au professeur Dumbledore, dit Hermione, inquiète.
- D´accord… dit HarryIl pensa très fort à Dumbledore et ce dernier apparut a côté de lui. Harry lui expliqua alors ce qui venait de ce passer.
- Ce sont des mangemorts. Ils ont réussi à te manipuler grâce à ce miroir en prenant l´apparence de tes parents. Je pense qu´il serait plus raisonnable de le détruire.
- JAMAIS! Hurla Harry
- Mais… continua Dumbledore
- C´est le seul moyen que j´ai pour communiquer avec vous et vous voir!
- D´accord, mais je veux que tu fasse très attention… Si jamais ce genre d´événement se reproduit il suffit de lui jeter un sort très simple… Pointez votre baguette vers le cœur de Harry et dites "Tourneti"
Ron et Hermione hochèrent de la tête en silence, signe qu´ils avaient compris ce que le directeur leur avait expliquer.
Une fois qu´ils s´étaient dit au revoir, Harry ne sut pas vraiment ce qui venait de se passer. Pendant quelques instants il n´était plus lui même, mais pourtant il n´avait pas eu la même réaction que dans le bus qui les ramenait du parc d´attraction. Il estima juste de ne plus parler des Horcruxes et de Voldemort pendant un petit moment.

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