Harry Potter et les Horcruxes

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Harry sourit et se tourna vers Ginny.
- Ca va, ma puce ?
- Ca va, ça va, y a pas de souci à se faire. Tout va très bien. Au fait, c'est quand qu'on commencer à établire le programme et les cours de l'AD ? demanda Ginny comme si rien ne c'était passé
- Ah, ben on peut commencer après si vous voulez, proposa Hermion
- D'accord, dirent Harry, Ron et Ginny en cœur.
- Et moi je ferais quoi ? demanda Drago
Hermione regarda les autres en réfléchissant.
- Bah, tu pourrais nous donner des conseils, dit Ginny. Il nous seront sûrement précieux
Drago sourit et continua de nouveau de manger. Après quelques minutes passé à table, ils se rendirent tous les cinq à la salle commune, qui était un peu plus bondée en cette matinée pluvieuse. Il décidèrent donc de se rendre à la bibliothèque pour qu'ils puissent mieux se concentrer. Ils posèrent leurs affaires sur une table, entre deux étagères et se dirigèrent vers les autres rangées pour y trouver des livres interressants sur les sorts de défense en tout genres.
Après de longues minutes de recherche de livres, Hermione se pointa avec un livre gros comme un dictionnaire.
- Là regardez... « Le livre des sorts en tous genres »
Ginny regarda le livre et vit que l'auteur était le professeur Lupin.
- Eh regardez. Regardez qui est l'auteur ! La vache ! Il nous l'avais bien caché !
- Quoi ? Qui ? dit Harry en se ruant sur le livre. Le professeur Lupin ? Wouaouw !
- Bon assez de bavardage, on commence, dit Hermione
Puis ils se plongèrent dans le livre, dénichant des informations intéressantes sur les sorts existants. Ils trouvèrent pas mal d'informations, de quoi tenir plusieurs cours. Après plusieur heures, Hermione referma le livre et alla le ranger. Puis elle se rassit et sorti son emploi du temps et l'examina.
- Bon maintenant, il faudrait trouver des horaires qui pourraient tous nous convenir.
Ils sortirent tous leur emplois du temps.
- Bon, moi je propose le lundi de 10 heures à midi. J'ai deux heures de libre, dit Hermione.
- Non, nous on peut pas. On a double cours de potion. Mais le lundi après midi de 16 heures à 18 heures, moi ça m'irait, dit Ron.
- Moi ça va aussi, dit Harry
- Moi aussi, dit Drago
- Moi également... dit Ginny
Hermione semblait réfléchir devant son emploi du temps.
- Moi je n'ai qu'une heure de libre le lundi après midi. C'est de 17 heures à 18 heures. Sinon, ce qu'on pourrait faire, c'est une heure – une heure, vous voyez ce que je veux dire ?
- Non pas vraiment, dit Harry.
- On fait une heure le lundi et une heure plus tard dans la semaine, d'accord ?
- Ouais, d'accord, on va dire le jeudi de 11 à 12 ? proposa Ginny
- Non, à cette heure là, j'aurais trop la dalle, dit Ron, mais après de 13 à 14. Ca va comme ça ?
- Oui, on fait comme ça. Donc une heure le lundi de 17 à 18 et le jeudi de 13 à 14. Conclua Hermione, avant de marquer les horaires sur son emploi du temps. Allez, on va voir Mc Gonagall
- D'accord, mais moi j'attends dehors, dit Ginny.
Harry, Ron et Drago sourirent et rangèrent leur affaires.
- Moi je reste aussi dehors. Dit Hermione. Imagine que Mc Gonagall nous engeule.
- Allez venez on y va, conclua Drago.
Puis ils sortirent de la bibliothèque en faisant le moins de bruit de possible pour laisser les autres élèves travailler en paix. Après quelques minutes de marches ils se trouvèrent devant la gargouille du bureau de la directrice. Harry dit le mot de passe et la gargouille se tourna laissant place à un escalier.
Puis ils toquèrent à la porte et entendirent un simple grognement en guise de bienvenue. Ils entrèrent et se mirent devant le bureau du professeur Mc Gonagall.
- Bonjour professeur. C'est pour les heures de l'AD, commença Harry
- Oui, faites vite, je n'ai pas que ça à faire.
- Oui, donc on proposerais le lundi de 17 à 18 heure et le jeudi de 13 heures à 14 heure, continua Ron
- Et bien c'est d'accord. Je le dirais ce soir. J'imagine que ces cours s'adresseront à toutes les années ?
- Bien sûr, dit Harry. Par contre professeur, est ce que Drago peut aussi être professeur de l'AD ? Il nous est très utile.
La directrice le regarda et après quelques secondes de réflexions qui leur paraissait interminable, la directrice donna finallement son accord. Pendant qu'ils partaient, Mc Gonagall interpella Harry et Ron. Drago alla les attendre dehors, allant rejoindre les filles.
- Au fait, félicitation, messieurs. Dit Mc Gonagall en les regardant.
Harry et Ron se regardaient et surent de quoi il était question. Il s'agissait de la grossesse de Ginny et d'Hermione.
- Il faut dire que vous avez fait du beau travail. J'imagine que cette grossesse ne portera pas préjudice à leur études ?
- Non, professeur. Ce sont des élèves sérieuses vous savez ? osa Ron
- Silence Weasley ! Ecoutez moi tous les deux. Je devrais vous renvoyer, vous et vos petites amies. Pourtant le professeur Trelawny m'avait prévenue et pour une fois je dois avouer que ces prédictions ont été bonnes. Je vous laisse terminer vos études tous les quatre. Allez y maintenant. Au fait Harry. Qui s'occupera de votre enfant lorsque Ginny sera en cours ?
- Euh, moi professeur. J'essayerais du moins, dit Harry.
- Sinon demander à quelqu'un de plus expériementé. Ca vous sera utile.
- Merci professeur pour le conseil, dit Harry en souriant.
Puis il s'en alla avec Ron, rejoindre Hermione, Ginny et Drago.
- Qu'est ce qu'elle vous voulait ? Pourquoi elle vous a retenue ? demanda Drago en reprenant la route de la salle commune.
- Elle nous a menacé d'expulsion, moi, Harry, Ginny et Hermione. Hermione et Ginny parce qu'elle étaient enceintes et moi et Harry, parce qu'on l'avait fait, résuma Ron.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Le voyage vers la salle commune se passa en silence, après les révélations de Ron. Il fallait que Hermione et Ginny reprennent leur esprit, pour réaliser qu'elles n'ont pas été expulsée. Harry et Ron y étaient un peu plus haitués, au menace d'expulsion, ils avaient failli être renvoyés deux fois durant leur deuxième année, mais il ne disaient rien non plus. Quand à Drago, il n'osait pas briser le silence, il préférait ne rien brusquer.
Dans la salle commune, Harry prit Ginny à part et la regrda longuement avant de prendre la parole.
- Tu sais que je t'aime Ginny. Viens assied toi, dit Harry en lui tenant une chaise.
- Bien sur que je sais que tu m'aimes ! Pourquoi ça ? demanda Ginny inquiète
- Mc Gonagall, m'a dit ne autre chose quand Ron était parti. Elle voulait savoir qui s'allait s'occupé du petit, durant que tu serais en cours.
- Et tu as répondu quoi ?
- J'ai répondu que ce serait moi qui m'en occuperais, mais le truc tu vois, je sais pas comment il faut faire et...
- Et ? Je suppose que Mc Gonagall semblait savoir, vu le ton de ta réponse qu'il fallait que tu le donne à une personne plus compétante, c'est ça ?
- Exactement, conclua Harry
- Je sais... Hagrid.... Dit Ginny ironiquement. Après tout on pourrais déguiser le bébé en dragon et Hagrid serait ravi de s'en occupé
Harry rigola, en s'imaginant que leur enfant serait déguiser en dragon.
- Non, je ne pense pas que Hagrid sois la bonne solution. Pourquoi pas ta mère ?
- Ma mère ? répéta Ginny d'un air étonné. Oui, c'est vrai.... Maintenant qu' il n'y a plus que Ron et moi, j'imagine que ça lui ferait du bien de se sentir utile à nouveau.
- Et puis de toute façon, Ron et Hermione vont se marier à la fin de l'année, ça m'étonnerais beaucoup qu'il revienne chez toi, l'an prochain. Imagine... Ton père devrait se sentir en infériorité deux femmes à la maison !
Ginny rigola, puis ajouta :
- Et si ce sera un garçon, on sera quite. Mais au moins lui ne pourra pas encore lancer des bombabouses partout dans la maison et faire hurler ma mère
- On sait jamais, imagine il sera comme Fred et Georges ? !
- Oui, c'est vrai qu'avec eux comme oncle, difficile de ne pas devenir comme eux !
Harry et Ginny rigolèrent de bon cœur.
- Je pense que ma mère va accepter. Je l'ai entendu dire une fois qu'elle s'ennuyait un peu maintenant que Fred et Georges sont parti. Je vais lui en toucher un mot quand je la verrais.
- D'accord. Viens on va rejoindre les autres.
Peu après 19 heures, tout Poudlard était réuni dans la Grande Salle attendant avec impatience le début du bal. Hagrid demanda le silence en tapotant « légèrement » sur son verre, qui malheureusement se brisa en mille morceaux. Tout le monde éclata de rire et se tût directement dès que la directrice s'était levée.
- Avant de commencer le deuxième bal de l'année, qui comme je le suppose, vous plaira sûrement et vous allez vous y amuser, j'ai d´abord quelques mots à vous dire avant le début du bal.
Un bruit de protestation parcouru la salle d'un bout à l'autre en un millième de seconde et fut tout de suite rompu par un signe de la main de la directrice.
- Mais... mais rassurer vous pour ceux qui l'ont connue, ce sera une très bonne nouvelle... Pour les autres, vous découvrirez le moment venu. Mesdemoiselles, Messieurs, j'ai le plaisir de vous annoncer que les cours de l'AD reprendront dès maintenant.
Un cri de joie traversa toute la salle et certains élève qui avaient déjà connu l'AD bondirent de joie. Au loin, un petite voix essayait de couvrir celle des autres.
- Et qui sera le professeur, madame la directrice ?
A l'évidence s'était un petit de première ou deuxième année qui avait posé la question, car aucun élève de 6ème ou 7ème année aurait parler de cette façon. La directrice l'entendit à peine tellement le vacarme qui régnait dans la salle était fort.
- Et bien, il n'y aura pas un professeur, mais 5. En effet, il s'agit de Mesdemoiselles Potter et Weasley, ainsi que leur frère Mr Potter et Weasley, mais également de Mr Malefoy.
Après avoir entendu qui en assurerait les cours, tout le monde se rua sur Harry, Ginny, Ron, Hermione et Drago. Tout le monde ? Non, bien évidemment. Les serpentards (ou les cochontards, c'est un surnom qu'une copine à inventé) étaient restés à leur place, à bouder, comme il leur était habituel, a présents. Ils ne s'étaient toujours pas remis du changement de Drago et avaient définitivement renoncer à le raisonner. Ils savaient très bien que de toute manière ils perdraient.
- Sur ce, je pense que vous en avez assez d'entendre le discours d'une vieille femme qui se vieillit de plus en plus. Je vous souhaite un bon bal ! Et joyeux noël à vous tous ! !
Tout le monde applaudit, même les Serpentards et les Bizarr's Sister recommençaient à jouer un air gai et entraînant. Tout le monde se pressa sur la piste de danse et ne se soucia plus de rien, n'écoutant plus que le morceau qui les faisait danser. Ginny entraîna Harry sur la piste de danse et le fit danser. Quelques instants plus tard ils furent rejoint par Ron qui avait entraîner Hermione, apparemment de force, sur la piste de danser. Ginny sourit, elle voyait bien que son frère était en train de changer pour celle qu'il aime. Puis elle se reconcentra sur Harry, guidant ainsi ses pas pour qu'il ne s'emmêle pas les pédales.
- Tu vois, ça commence à venir tout doucement ! dit Ginny avec un sourire.
- Merci, mais heureusement que tu es là, je crois que je n'y serais pas arrivé, dit Harry en plaisantant.
- A mon avis tu y serais arrivé avec un peu d'entraînement. Allez, concentre toi !
- D'accord, conclua Harry
Puis ils continuèrent à danser ainsi jusqu'à la fin du morceau. Le morceau qui suivait était un morceau plus lent, obligeant ainsi les couples à se rapprocher un peu plus. Au loin, on voyait Drago et Isabelle danser l'un contre l'autre. Drago avait l'air dans les anges et Isabelle aussi. Harry ne put que sourire en les voyant ensemble. C'est vrai qu'ils allaient très bien ensemble. Isabelle ne paraissait pas le moins perturbée du monde par le passage de Drago dans le côté obscur de la force (lol). Au contraire. A en voir l'expression de son visage, on avait l'impression que ça avait renforcer son admiration pour le jeune homme.
Harry posa alors son regard sur Ron et Hermione. Hermione rigolait moins et semblait plus avoir envie de montrer à Ron comment mieux danser. Il faisait de progrès énorme et cela se voyait au fur et à mesure que le bal avançait dans le temps. Harry se retourna, pour mieux danser avec Ginny. Il sentait son souffle chaud dans son cou et un doux parfum se dégagait de la jeune fille. La musique était assez longue, et tout le monde paraissait aux anges. Même Rogue était venu assister au bal. Il avait perdu sou sourire douceureux et abordait un regard fier, et débordant de sincerité. Il parlait vivement avec le professeur Mc Gonagall ainsi que le professeur Lupin. Apparement, Lupin appelait encore Rogue par son surnom « Servilius » parce que des fois Rogue lancer un regard de travers à Lupin avant d'éclater de rire. Puis Rogue se leva et prit la main du professeur Mc Gonagall pour l'inviter à danser, ce qu'elle accepta a en juger le sourire qu'elle abordait. On voyait aussi Lupin qui les regardait danser. Harry sourit en regardant Rogue et Mc Gonagall danser ensemble. Il murmura à l'oreille de Ginny :
- Regarde. Je crois qu'un nouveau couple se forme ! dit Harry en montrant Rogue et Mc Gonagall d'un signe de tête.
- Mais non, tu dis n'importe quoi. Ils dansent simplement ensemble ! répondit Ginny après avoir regarder Rogue et Mc Gonagall attentivement.
Harry haussa les épaules et continua à danser. Quelques instants plus tard, Lupin arriva sur la piste de danse avec le professeur Bibine. On ne la reconnaissait plus dans sa robe rouge. Sa coiffure, elle n'avait pas vraiment changée, c'était toujours la même. Ginny, qui les avait vu, regarda Harry.
- Et là, dit elle en regardant Lupin et Bibine. Tu va aussi me dire qu'un couple est en train de se former.
- Bah, on sait jamais ! C'est un monde magique après tou, tout est possible quand on y croit vraiment.
- C'est vrai, que tout est possible quand on le veut vraiment.
A ce moment là, la porte de la Grande Salle s'ouvrit laissant place à un grand homme, à la barbe argenté et les lunettes en demi lune. Ces habits étaient quelques peu sales, mais l'étrange visiteur ne semblait guère s'en soucier. Il abordait un sourire radieux et regarda la salle dans son ensemble. Tout le monde avait arrêter de danser pour voir qui était l'homme qui venait les déranger en plein bal. Harry reconnut la longue barbe argentée, il la reconnaitrait parmi des milliers. Dans la salle tout était calme à présent, les Bizzar's Sisters avaient arrêter de jouer et tous les regards étaient tournés vers la porte.
- Professeur Dumbledore ? dit Harry en s'approchant de l'homme
L'homme le regardait d'un air paternel et lui souriait. Il lui posa alors sa main sur son épaule.
- Oui, Harry, c'est bien moi. Je suis de retour.
- Comment... ? Pourquoi... ? commença Harry.
- Patience, Harry, patience. Répondit calmement le professeur Dumbledore. Je réponderais à tes questions le moment venu et dans un endroit plus approprié. Que dirais tu de passer chez moi pendant ces vacances, avec tes amis ?
- Bien sûr professeur, dit Harry en souriant.
- Très bien, très bien. Je te ferais pavenir un hiboux dès demain matin. Vous serez les bienvenues. Bon je crois qu'il est temps à présent de s'amuser n'est ce pas ? J'était venu pour cela, conclua le professeur Dumbledore d'un air amusé, presque enfantin.
Harry souriait, mais n'arrivait toujours pas à réaliser que le professeur Dumbledore était bel et bien vivant. Ginny était à côté de lui et essayait de le réveiller. Autour d'eux, les conversations avaient déjà reprises et les musiciennes avaient continuer à jouer.
- Harry ? ! dit Ginny. Harry, réveille toi !
- Ginny... Je crois que je suis en train de rêver... Je crois que Dumbledore est revenu.
- Et bien tu n'a pas rêvé, Harry, moi aussi je l'ai vu. Tiens je te pince pour que tu sache qu'on est vraiment dans la Grande Salle et que Dumbledore est bel et bien revenu.
Ginny pinca Harry, ce qui le ramena brusquement à la réalité.
- Aie, tu m'a fait mal ! dit Harry en massant son bras.
Ginny haussa ses sourcils et rigola légèrement, comme pour se foutre de lui. Harry commença aussi à rigoler, puis ils recommencèrent à danser ensemble. Au loin, le professeur Dumbledore discutait avec un Hagrid très ému et tous les professeurs présents à la table étaient très ravis que l'ancien directeur soit de retour à Poudlard.
Le bal dura jusqu'à tard dans la nuit, jusqu'à ce que le professeur Mc Gonagall se lève pour dire que le bal était fini, accompagné à la fin par un long soupir de desespoir. C'est ainsi que Harry lanca un dernier regard au professeur Dumbledore en souriant, avant de rejoindre la salle commune avec Ginny, Ron et Hermione. Drago avait surement du raccompagner Isabelle jusqu'à un endroit ou ils fallaient qu'ils se séparent, ou alors ils allaient passer la nuit dans la salle sur demande.
En effet, le lendemain matin, Hedwige se tenait à côté de Harry avec une lettre. Harry reconnut l'élégante signature du professeur Dumbledore et ouvrit rapidement la lettre.

Harry,

Retrouve moi à Pré au Lard, avec ta sœur, Hermione, Ron, Ginny et n'oublie pas Drago, sauf s'il tient à rester avec sa petite amie. Donc à Pré au Lard, chez Madame Rosmerta, dès que vous serez près.
Au plaisir de te revoir, Harry, tu m'a beaucoup manquer. J'ai une révélation importante à te faire.

Albus Dumbledore.

Harry se senti bien et à la fois exité comme une puce. Il allait revoir Dumbledore. Mais il ne savait pas ce qu'allait être la révélation qu'il allait lui faire.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 15: Le retour du sorcier

Quelques minutes plus tard, une autre chouette arriva près du lit à Harry. C'était la réponse de Fred et Georges. Harry se hata de donner quelque chose à manger au hibou, qui repartit de suite, après avoir prit un morceau de miam hibou. Harry se leva et dirigea vers le lit de Ron et le secoua.
- Ron ! Ron !
- Quoi ? demanda Ron d'une voix encore ensommeillée
- Tes frères ont répondus. En passant, on est aussi invité chez Dumbledore. On passe chez lui dès qu'on est prêts.
- Vas y lit la lettre de Fred et Georges, dit Ron dont le ton de sa voix n'avait pas changé.
- D'accord.
Harry, Ron et compagnie,

Quel plaisir que vous nous demandiez notre aide ! Les farceurs sont toujours à votre service ! Nous avons vu, Georges et moi, que Malefoy junior avait signé. Il est revenu du bon côté ? Bon assez parler de lui, revenons à nos oignons.

Après une longue journée de réflexion et quelques neurones en moins, nous en sommes arrivés à la conclusion qu'il existait bien une salle de ce genre à Poudlard. Mais le problème c'est que nous ne savons plus ou elle est. Il faudrait que l'un de nous deux se déplace pour voir s'il reconnaitrait le chemin. Mais ne vous faites pas d'illusion, la carte du maraudeur ne la montre pas. On aurait du la trafiquer un peu pour qu'elle rende visible cette salle.

Sur ce, nous vous laissons à vos brillantes tâches et Harry surtout prends soin de notre petite sœur, sinon, c'est ta mort assurée ! On plaisante bien sûr.

Nos amitiés les plus sincères.

Fred et Georges Weasley
Patrons du magasin de Farces et Attrapes Weasley, Londres.
- Bon au moins, on est sur qu'il existe bien une salle de ce genre à Poudlard, dit Ron silencieusement. Viens on descends. On réveille Drago et on attends les filles.
Ron se leva et alla réveiller Drago. On l'entendait juste marmoner « Pourquoi il faut se lever si tôt ! ». Puis après c'être habillé, Drago avait mis un certain temps à comprendre qu'il essayait d'enfiler sa chaussette sur sa tête en guise de chapeau, ils descendirent près du feu et ne dirent rien pendant un moment. Puis Ron brisa le silence.
- Au fait Harry, qu'est ce que Dumbledore dit dans sa lettre ?
- Il voulais savoir si on pouvait venir chez lui aujourd'hui. Enfin chez Madame Rosmerta, il a une chambre la bas. Il paraît qu'il a quelque chose d'important à me dire. Il vous invite tous, même toi Drago.
- Quoi ? demanda Drago qui avait été tiré hors de ses pensées
- Dumbledore voulait t'invité aussi. Il a dit que tu pouvait saf si tu voulais rester avec ta copine.
- Je crois que je vais d'abord rester avec Isabelle et ensuite, je viendrais. C'est ou qu'il est ?
- Chez Madame Rosmerta, à Pré au Lard. Elle te dira surement dans quelle chambre il est. Dit Harry
Drago acquiesça et quelques minutes plus tard, Ginny et Hermione descendirent, déjà habillées.
- Vous venez ? On va manger et ensuite on va chez Dumbledore, dit Harry
- Pourquoi Dumbledore ? demanda Hermione, l'air intriguée
- Il nous a invités a venir chez Madame Rosmerta aujourd'hui. Il a dit, dès qu'on est prêts, on va à Pré au Lard.
- Bon, qu'est ce qu'on attends pour y aller, dit Ginny qui avait déjà commencer à s'avancer vers le portrait de la grosse dame.
Harry sourit et se leva et, tous ensemble, ils se rendirent à la Grande Salle. Ils mangèrent une petit déjeuner à la va vite et Drago se sépara du groupe à la porte de la Grande Salle pour rejoindre Isabelle. Harry étaitt tellement excité qu'il ne se posait même pas la question de ce que pouvait être la nouvelle que Dumbledore allait lui annoncer.
Après quelques minutes de marches, ils se trouvèrent devant le pub que tenait Madame Rosmerta. Ils entrère et se dirgèrent vers le comptoir, ou se trouvait justement Madame Rosmerta.
- Bonjour madame. Vous savez ou se trouve la chambre du professeur Dumbledore ? demanda Harry
- Oui, répondit la femme. Suivez moi. Il m'avait prévenu que vous viendriez aujourd'hui.
Harry sourit et avec le groupe, il suivirent Madame Rosmerta en silence. Ils montèrent un étage et tournèrent une fois à gauche et une fois à droite. Finalement, ils se trouvèrent devant une porte en bois.
- Voilà, c'est ici, dit Madame Rosmerta, en repartant vers le bar.
- Bon... Nous y sommes, dit Ginny.
Puis elle toqua à la porte et après quelques secondes d'attente, la porte s'ouvrit, laissant place à un vieil homme à la barbe argentée et les lunettes en demi lune.
- Harry ! Hermione ! Ginny ! Ronald ! Venez entrez donc ! dit Dumbledore en leur laissant la voix libre pour qu'ils puissent entrer.
Une fois entré, ils virent une belle petite chambre avec des rideaux en velours rouges et or et un grand lit et sur la table de chevet quelques photos. Un long moment de silence demeura dans la chambre et Harry se résigna à rompre le silence.
- Professeur... commença Harry, mais Dumbledore l'interrompit en levant tout doucement la main.
- Appellez moi Albus. Et puis tutoiez moi. Je ne suis plus professeur, et je crois avoir atteint l'âge d'une retraite bien méritée.
- Bien Prof... Albus, dit Harry. Comment as tu réussis à t'en sortir ? Je croyais que c'était le professeur Rogue qui t'avais tué !
- Certes, le professeur Rogue a bien tué quelqu'un. Mais ce n'était pas moi.
- Mais... Qui était ce alors ? demanda Hermione qui ne comprenait pas. Toute l'école vous... t'as vu en bas de la tour ? !
- Oui, mais ce n'était pas moi. C'était mon frère Abelforth, qui avait prit du polynectar. Certes, malgré que nous nous ressemblions beaucoup Abelforth et moi, il a quand même fallu prendre du polynectar, pour que Harry ne se doute de rien. Pour qu'il croit qu'il était en compagnie du vrai Albus Dumbledore.
- Mais pourquoi ? demanda Ginny
- Le professeur Rogue m'avait prévenu. Il m'avait dit que Drago préparait quelque chose. J'ai donc envoyé un hibou à mon frère lui expliquant la situation.
- Mais, pourquoi a t'il accepté ? demanda Ron
- Il n'allait plus très bien depuis un certain moment. Il avait besoin de mouvement et j'ai pensé que ce serait une occasion pour lui. Certes je l'avait prévenu des dangers, mais il a quand même accepté. C'est lui qui a veillé sur toi pendant toute la recherche des horcruxes.
Harry était abasourdi devant ce que Dumbledore venait de lui réveler.
- Mais pourquoi avez vous fait ça ?
- Parce qu'il fallait continuer à te protéger ! Il fallait être plus rusé que Voldemort. Ainsi, Drago croyait donc me tuer, mais il tuait mon frère. Même le professeur Rogue n'était pas au courant qu'il avait tué mon propre frère. Voulez vous quelque chose à boire ?
- Un peu de jus de citrouille s'il vous plait, dit Hermione
- Pareil dirent les autres en cœur.
Dumbledore fit donc apparaître 5 verres avec du jus de citrouille et les posèrent devant chacun.
- Maintenant, j'ai encore quelque chose d'autre à vous révéler, à toi, Harry et à toi, Hermione.
Harry et Hermione relevèrent la tête et se demandaient bien ce qu'il pouvait encore leur annoncer.
- Bien que cela puisse vous paraître bizarre, je suis votre grand oncle.
Les quatre amis faillirent cracher tout le jus de citrouille sur la moquette, mais se retinrent de peu. Hermione avala son jus de citrouille et lui demanda.
- Mais pourquoi tu ne nous l'a pas dit plus tôt ?
Un long silence pesait dans la chambre et tout le monde attendait la réponse du professeur Dumbledore. Il les regardait les uns après les autres, avec un mince sourire. Après quelques minutes de silence, l'ex directeur reprit la parole.
- Mais parce que vous étiez encore jeunes. Il fallait que vous grandissiez plus pour comprendre. Leur dit Dumbledore
Harry n'en revenait toujours pas. Il n'arrivait pas à croire que Dumbledore soit son grand oncle. Depuis si longtemps il le savait, mais il ne leur avait rien dit.
- Mais... Mais pourquoi maintenant ? dit Harry
- A en juger l'état de Ginny et d'Hermione, je me suis dit que c'était le moment pour vous de le savoir. Au fait, ou en est tu avec les Horcruxes Harry ?
- Oui, justement au sujet des horcruxes. En juin, quand j'était à la recherche d'un des horcruxes avec ton frère, on a trouver un faux médaillon. A l'interieur il y avait un mot. Un mot en disant aue le vrai horcruxes à déjà été détruit.
- Qui l'avait signé ? demanda Dumbledore d'un ton tranquille
- R.A.B, il me semble, dit Harry après un moment de réflexion.
- Ah oui, Regulus Alphard Black. Le frère de Sirius.
- Le frère à Sirius a détruit l'horcruxes ? dit Ginny, perplexe. Pourquoi ?
- Sans doute parce qu'il a pris conscience du vrai pouvoir de Voldemort. Il l'a détruit et il en a fait un identique pour que Voldemort croit que se soit le vrai.
- Mais il est mort non ? Le frère à Sirius est mort ? dit Ron. On l'a vu au QG de l'ordre.
- Oui, il est mort. Tué par Voldemort lui même. D'après ce qu'on dit, Voldemort aurait découvert que Regulus avait triché. Il l'a donc tué.
- Mais pourquoi le faux horcruxes était toujours là quand j'y était avec Ableforth ? demanda Harry
- Sans doute parce que Voldemort n'avait pas découvert le faux horcruxes, supposa Dumbledore
- Vous pensez qu'il y aurait encore des indices qui nous aurait échappé au QG de l'ordre ? demanda Harry
- Je pense oui, dit Dumbledore. Il vaudrait peut être mieux se rendre sur place. Mr malefoy ne vient pas avec nous ?
- Il est occupé avec Isabelle, intervint Ginny. Mais il a dit qu'il nous aurait rejoint.
Dumbledore regarda sa montre, la secoua un peu, fit une mine étonnée et la rangea.
- Ca va faire une heure que nous sommes là. Peut être faut il lui laisser un message à Madame Rosmerta, pour qu'il reste au collège.
Ils acquiesçèrent en silence, finirent leur jus de citrouille et suivirent le professeur Dumbledore.
- Albus ? tenta Ginny
- Qui a t'il Miss Weasley ?
- Je n'ai pas encore mon permis de transplanage, je n'ai que 16 ans... dit Ginny
- Oui... Que 16 ans... Mais déjà un enfant ! plaisanta Dumbledore
Ginny rougit et se cacha sous sa robe.
- Tu vas t'accrocher à Harry. Il a son permis il me semble maintenant.
- Oui, bien sur, dit Harry en souriant.
Puis il prit Ginny dans ses bras pour la consoler un peu. Visiblement elle n'avait pas trop apprécié la plaisanterie de Dumbledore. Dumbledore n'avait pas remarquer que quelques larmes coulaient sur sa joue. Puis finalement, il se retourna, s'assied sur un banc à proximité et prit Ginny dans ses bras.
- Voyons Ginny, ne le prends pas mal ! dit Dumbledore. Je suis sur que tu te débrouilleras très bien. Et puis Haary est là, tu peux compter sur lui. Et sur moi auss. Je serais toujours là en cas de pépin ou de coups durs, ok ?
Ginny hocha la tête en signe qu'elle avait compris et essuya ses larmes.
- Maintenant, ce que tu va faire, c'est que tu va me faire un sourire et que tu va oublier cette mauvaise plaisanterie.
- D'accord, dit Ginny en souriant.
Puis quelques instants plus tard, les voilà partis, par transplanage vers le QG de l'ordre. On vait simplement entendu des POP et plus rien. Harry ressentait de nouveau cette horrible impression d'être aspiré. Quelques secondes plus tard, il se trouvèrent dans une rue secrète de Londres, à l'abri de tous regards indiscret, ou de moldus. Dumbledore s'epousta sa robe et lissa sa longue barbe et marcha vers la rue principale.
- Venez, on ne dois pas perdre une minute.
Puis ils se remirent en route jusqu'à ce qu'ils se retrouvent devant le numéro 11 et le numéro 13. Ils pensèrent très fort au numéro 12 et quelques instants plus tard il apparu. Il y entrèrent, en faisant bien attention de ne pas réveiller la mère à Sirius qui ne manquerait surement pas de leur lancer des injures. Mais heureusement que Kreattur n'était plus là, au moins il ne pouvait plus traiter Hermione de sang de bourbe. Mais il ne savait pas que Hermione était le sœur de Harry.
- Bon, ce qu'on va faire, commença Dumbledore, on va se diviser et on va chercher dans tous les endroit imaginable et inimaginable de cette maison et vous viendrez me voir si vous avez trouver quelque chose.
- Mais, Albus, ne serait il pas plus prudent d'envoyer des étincelles vertes si on a trouver quelque chose ? Je dis pas ça pour moi, mais pour la mère a Sirius. Elle risque encore de beugler si elle remarque qu'on est là... dit Hermione
[/i]

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Dumbledore réfléchit un bon moment et finit par admettre que la solution d'Hermione était la meilleures. Mais avant de partir, Dumbledore reprit la parole.
- Ce qu'on va faire aussi. Pour éviter qu'on aille deux fois dans la même pièce, faites quelque chose pour qu'une autre personne n'aille pas dans une pièce qui a déjà été fouillée. Allez au travail.
Puis ils se dispèrcèrent, prenant chacun une salle. Harry avait prit le salon, Ron la salle à manger, Ginny monta à l´étage et vérifia la première chambre, Hermione, la deuxième et Dumbledore la troisième. En voyant Ron se dirger vers la salle à manger, Harry et Hermione ne purent s'empêcher de sourire, car ils savaient bien qu'il allait surement manger quelque chose s'il y trouvait quelque chose de bon. Personne ne trouvait rien, et pourtant ils fouillaient de fond en comble toutes les pièces de la maison. Au bout de 3 heures de recherches, ils se réunirent tous dans le salon et se laissèrent tomber sur les fauteuils, l'air exténués.
- Alors vous avez trouver quelque hose ? demanda Ron
- Non, rien que de la poussière et des vieux grimoires, dit Ginny
- Pareil. Y avait des rats aussi dans le grenier, dit Dumbledore. Des gros rats qui avaient fait leur besoins partout...
Les autres ne purent se retenir d'une expression de dégout en s'imaginant qu'ils devraient peu être chercher des indices là dedans.
- C'est bon, dit Ron, pas besoin de rentrer dans les détails sinon, je crois que je vais vomir sur place !
Harry, Hermione, Ginny et Dumbledore rigolèrent de bon cœur.
- Est ce que vous voulez quelque chose à boire et à manger ? proposa Dumbledore
- Volontiers, dit Hermione
- Tu vois ! Commença Ron. Au moins ce n'est pas toujours moi qui pense à mon estomac !
- Oui, c'est vrai que ces derniers temps je mange plus. Au moins toi tu n'a pas ce problème, tu manges déjà trop. Tu pourrait me donner ta part au moins ! dit Hermione en rigolant
- Certainement pas ! Je garde ma part... Pour toi ! Haha, je t'ai eu ! dit Ron
Hermione balança alors un coussin sur Ron qui l'évita de justesse. Mais le professeur Dumbledore interrompit leur bataille en faisant signe de regarder dans le hall d'entrée, pour ne pas faire de bruit, puis ensuite sur Ginny qui s'était endormie. Ron fit une mine de chien battue en voyant sa sœur dormir. Puis Dumbledore fit apparaître des petits gateaux, une cruche de jus de citrouille et quatre verres.
- Si seulement on avait quelqu'un sous la main qui aurait du flair, qui saurait trouver des détails importants... commença Harry en examinant son verre de jus de citrouille d'un regard fixe.
- Si seulement... comme tu dis, dit Ron
- Mais attendez, on a quelqu'un sous la main, enfin, je me comprends, qui ait du flair... dit Hermione en sautant du canapée où elle était
Harry, Ron et Dumbledore s'effrayèrent, sauf Ginny qui était trop occupée à dormir et ils regardèrent Hermione les yeux ronds.
- Qui ? demanda Dumbledore ? J'avoue ne pas suivre du tout le raisonement de ma petite nièce.
- Maugrey ! dit Hermione, plus vivement que la première fois ! Alastor Maugrey Fol Œil !
- Mais oui, c'est vrai ! dit Hary en faisant un bond comme sa sœur. Je vais lui écrire la lettre. Je reviens.
Puis il parti en trombe du salon en prenant bien garde de ne pas réveiller la mère à Sirius et monta à l'étage, ou l'attendait Hedwige. Elle était partie à la chasse et savait, en temps réel, ou se trouvait Harry, comme si elle était munie d'un GPS.

Monsieur Maugrey,

Votre aide nous serait indispensable. Venez au QG de l'ordre, dans les plus breefs délais. Nous vous expliquerons tout dès que vous serez ici.

Amicalement,

Harry Potter

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Il attacha la lettre à la patte d'Hedwige et lui murmura de l'apporter au professeur Maugrey. Hedwige hulula de joie, contente d'avoir de nouveau du travail. Harry redescendit à l'étage ou l'attendait les autres. Ginny était toujours endormie sur le sofa et menacait à tout instant de tomber du canapé. Ron était occupé à rêver et Hermione discutait avec Dumbledore. Le jeune homme se rassit à côté de Ginny et la remit droite. Quelques minutent suffirent pour qu'ils entendent un POP sonore dans le hall. Un POP qui avait réveillé la mère à Sirius. On l'entendait beugler dans toute la maison. Ginny se réveilla en sursaut et regardait autour d'elle, les yeux grands ouverts comme si il y avait du danger. Elle était raide comme un piquet et seul ses yeux bougeaient dans ses orbites.
- Qu'est ce qui la fait crier celle là ? demanda Ginny en un seul souffle.
Harry haussa les épaules et se tourna vers la porte du salon. Un homme se trouvait à l'encadrement de la porte, un œil de verre qui tournait dans son orbite et un autre œil normal. Il avait une canne et avançait en claudinant. Mais avant de faire un pas dans le salon, il se tourna vers le portrait de la mère à Sirius et lança un simple « silencio »pour la faire taire.
- Ah, c'est vous Alastor, dit Dumbledore, en souriant.
- Oui, grogna t'il. Je suis venu le plus vite possible, après reception de la lettre de Mr Potter. Heureusement que je ne me trouvait pas loin, sinon, vous auriez pu m'attendre encore longtemps...
Ginny se détendit un peu en voyant le professeur Maugrey et sourit.
- Pourquoi m'avez vous fait venir ici ? demanda Maugrey
- Nous sommes à la recherche d'indice qui se rapporteraient à Régulus Black, le frère de Sirius, dit Harry.
- On a regarder dans tous les coins de la maison, mais malheureusement, nous n'avous rien trouver de vraiment concret. A part de vieux grimoires, de la poussière et des rats morts... continua Hermione.
- Donc on a pensé a vous, parce qu'on sait que rien ne vous échappe.. continua Ron
- Et que vous pourriez trouver des indices, termina Ginny.
- Ah, d'accord, dit Maugrey, l'air pensif. Bon on s'y mets ? termina t'il après un instant de reflexion.
Ils se regardèrent tous et se levèrent pour suivre Maugrey, pour voir ce qu'il pourrait bien trouver. Comme par hasard, le premier lieu ou il se rendit, fut la cuisine. Cmme si on pouvait y trouver quelque chose d'intéressant dans la cuisine à part de la nourriture, pensa Hermione en regardant Ron. Ron, qui avait vu que Hermione le regardait et sachant le message qu'elle voulait lui transmettre, il regarda vers le plafond et siffla, comme si de rien était.
- Evidemment vous n'arrêterez jamais tous les deux ! dit Dumbledore en le regardant, tout en souriant.
- Non, on n'arrêtera jamais, dit Ron
Ils sourirent tous et continuèrent à suivre Maugrey en silence. Puis après quelques minutes resté dans la salle à manger à regarder tous les coins, Maugrey se redirigea vers le hall d'entrée et fouilla dans un placard, près de la porte. Là non, plus il ne trouva rien. Il se dirigea vers l'étage et fouilla les chambres les unes après les autres sans rien trouver également. Puis il redescendirent dans le couloir et attendirent (le déluge) le verdict de Maugrey.
- Désolé Albus, je n'ai rien trouver. Je crains qu'il n'y ait aucun élément correspondant à l'homme que vous chercher, dit Magrey en se tournant vers Dumbledore.
- Bon... Tant pis. Il ne nous reste plus qu'à rentrer à Poudlard, dit Dumbledore en ne montrant pas sa déception.
L'œil de Magrey tout autour de lui puis s'arrêta. Maugrey resta figé sur place, comme s'il avait vu quelque chose.
- Quelque chose ne va pas professeur ? demanda Hermione
- Attendez un instant... dit Maugrey dans un ton plein de mystère.
Puis il fit volte face vers le portrait de la mère à Sirius et tatonna le rebord du portrait, comme s'il pouvait y avaoir quelque chose d'intéressant à trouver.
- Quelque chose ne va pas Alastor ? demanda Dumbledore en le regardant par dessus ses lunettes en demi lune.
- Il doit surement y avoir quelque chose là dessous. Mais quelque chose à été lancé contre ce portrait...
- Oui, C'est de la glue perpétuelle. C'est Sirus qui nous l'a dit, dit Harry, comme si l'information paraissait anodine. Il a dit que Kreattur avait mis de la glue perpétuelle pour toujours pouvoir suivre les instructions de sa maîtresse.
- Attendez voir... Il y a une fente ici ans le mur... Juste à côté du portrait, comme si c'était fait exprès pour que les autres ne le voient pas, dit Maugrey en regardant de plus près le portrait.
- Vous voulez dire qu'il y aurait une sorte de chambre forte derrière ce portrait ? demanda Ron qui n'y comprenait pas grand chose.
- Exactement fils, dit Maugrey.
Il sorti sa baguette et murmura un « Alohomora », qui, hélas, ne marcha pas à bon essient. Le sort reboudit et se cracha contre le plafond.
- Il doit peut être y avoir un bouton ou quelque chose. Ou un truc qui permettrais d'ouvrir ce portrait ! dit Ron, d'un air triomphant.
Hermione le regarda d'un air bizarre et lui dit.
- Oula, tu regardes trop la télévision !
- Une quoi ? Une télékision ? demanda Ron, complètement perdu
- Laisse tomber... continua Hermione, avant de regarder Maugrey, voir s'il avait trouver un moyen d'ouvrir le portrait.
- Il faudrait peut être un mot de passe ? proposa Harry.
- Ca pourrait être possible... dit Dumbledore, d'un air songeur. Mais lequel ? Aurait tu une idée, Harry ?
- Connaissant Kreattur, ça pourrait être quelque chose de répugnant, mais je pense avoir quelque chose. Nids de cafard ? proposa Harry.
On entendit un petit crac à l'intérieur du portrait et Harry sourit, mais le portrait n'était toujours pas ouverte. Juste assez pour mettre des doigts.
- On pourrait tirer maintenant, vu qu'il y a assez de place pour mettre des doigts ? proposa Maugrey
Tout le monde acquieça et s'affaira à tirer le portrait. Après plusieurs tentatives, ils reussirent à l'ouvrir, juste de façon à ce que quelqu'un de maigre puisse y entrer. Tout le monde était exténué et avait très chaud. Maugrey se tourna vers Harry.
- A toi l'honneur fils. Tu es le plus maigre de tous.
Harry le regarda, comme si l'effort que Maugrey lui demandait était impossible à réaliser. Il se força alors à se lever et entra dans la chambre forte. Quelques minutes passèrent avant que quelq'un prenne la parole.
- Alors t'a trouver quelqu chose demanda une voiy qui semblait être celle de Ron.
- C'est gluant en tout cas... constata Harry.. Attendez...
Le bruit de ses pas se répercutait tel un écho dans toute la cavité et soudaint cessèrent. Puis les pas recommèrent et le bruit se fit de plus en plus proche. Harry sauta par terre, un bout de parchemin à la main.
Harry regarda longuement le parchemin qu'il tenait dans ses mains sans dire un mot. Tout le monde se tenait à côté de lui et attendait ce qu'il dise quelque chose. Finalement après quelques longues secondes d'attente Maugrey prit la parole.
- Il y a marquer quoi sur le parchemin ?
- Rien, c'est un parchemin vierge de toute écriture.
Maugrey souffla et prit le morceau de parchemin des mains de Harry et murmura une formule pour que l'encre apparaisse. Puis il le retendit à Harry.
- Maintenant qu'est ce qu'il y a marquer dessus ? demanda t'il.
- Hocus Pocus, lut Harry
- C'est tout ? demanda Dumbledore
- Bah, oui... répondit il
A ce moment là le morceau de parchemin se mit à vibrer. Vibrer tellement fort que Harry s'effraya et le laissa tomber par terre. Tout le monde regardait, baguette tendu vers le morceau de parchemin autovibrant. Puis le parchemin explosa tel une bombe et se transforma en génie. Il regarda autour de lui d'aun air satisfait et enfantin, assit en tailleur, dans les airs. C'était un petit bonhomme bleu avec une barbichette noire (voir le génie dans Aladin). Puis son regard se posa sur Harry. Il n'avai pas regardé sa cicatrice mais c'était simplement contenter de continuer à sourire.
- Bonjour Monsieur Potter. Je suis le génie du parchemin. Puisque vous m'avez trouver, vous pouvez faire un vœux, plus ou moins réalisable.
Harry le regardait, les yeux grands ouverts se demandant bien ce qu'il pouvait faire comme vœu. Il réfléchit un long moment, avant de poser une question.
- Est ce que vous pouvez faire revivre quelqu'un ? demanda t'il d'un ton hésitant
- Bien sûr ! dit le génie en montrant bien toutes ces dents. Mais si vous voulez faire revivre quelqu'un, je crains que ce ne soit que pour un temps limité.
- Combien de temps ? demanda Harry, dont le cœur avait fait un bond.
- Une heure, voire deux. Une heure si vous voulez faire revivre 1 personne et 2 heures si vous voulez faire revivre 2 personnes. Qui voulez vous faire revivre ?
Harry réfléchit un long moment. Il aurait tant voulut reparler avec Sirius. Mais s'il faisait revivre Sirius, il ne pourrais lui parler que une heure. Si seulement il poouvais trouver la deuxième personne. Mais tout à coup il eut une illumination. Pourquoi ne pas faire revivre ces parents ? Ces parents que Hermione et lui n'avaient que très peu connu ?
- Alors sur qui c'est arrêté ton choix ? demanda le génie
- Sur mes parents. Lily et James Potter, dit Harry
- D'accord, dit le génie avant de disparaître,
Puis le parchemin retomba au sol et recommença à vibrer, mais cette fois ci beaucoup plus fort que la première fois. Le parchemin se divisa en deux morceaux qui volèrent de chaque côté de la maison. Tout le monde regardait les deux parchemins qui vibraient de plus en plus. Puis peu à peu, ils commencèrent à prendre forme, la forme de deux personnes. Celui qui était près de la porte était James Potter et l'autre qui était près de l'escalier, il s'agissait de Lily Potter. Puis quand la transformation fut finit, les parents à Harry et Hermione restèrent un moment à se regarder eux même sans rien dire. Harry et Hermione, quant à aux se regardaient bouche bée. C'était le première fois depuis longtemps qu'ils voyaient leur parents.
Puis, commes des nouveaux nés, James et Lily Potter commencèrent à marcher vers le groupe.
- Content de vous revoir, dit Maugrey en leur tendant la main.
- C'est un plaisir de revenir sur terre pour un petit moment, dit James en souriant.
Puis il se tourna vers Harry.
- Ca fait si longtemps que l'on ne s'est pas vu. Ca me fait plaisir de te revoir fiston. Ou est ta sœur ?
- Elle est là, juste à côté de Albus, répondit Harry, content de revoir ses parents.
Puis ce fut au tour de sa mère de le regarder. Elle essayait en vain de le coiffer, mais n'y arrivait pas.
- On peut dire que tu es vraiment comme ton père toi. Les cheveux toujours en bataille ! dit Lily
Harry sourit, mais ne dit rien. Il était tellement heureux de retrouver ces parents. Puis Maugrey brisa le silence.
- Bon, nous avons deux heures devant nous, il faudrait peut être songer à faire notre travail !
- Evidemment, tu ne changeras jamais, Alastor, dit James en rigolant.
- Il faut croire que non, dit Dumbledore en souriant.
Tout le monde sourit et se dirigea alors vers le salon lorsqu'ils entendirent un drole de bruit qui provenait d'un placard. Comme un bruit de bombe qui mets longtemps à se désintégrer. Puis au bout d'un long moment, une détonation retentit dans ce même placard. Puis plus rien... Tout était devenu calme. On entendait à peine le petit groupe qui respirait. Tout le monde se regardait et n'osait pas s'avancer vers le placard. Puis une voix se fit entendre dans le placard. Une voix grave, une voix d'homme. Il semblait ne pls avoir parler depuis longtemps puisque sa voix paraissait étrangement enrouée.
- Ah ! C'est un vrai piège à rat ce maudit placard ! disait la voix
- Au moins on est sur que c'est une personne, dit Ron silencieusement.
- Qui sait ? C'est peut être un monstre à quatre bras qui sait parler et qui veut tous nous tuer ? proposa Ginny
- Bah dis donc t'es optimisite toi ? dit Harry.
- Je sais... dit Ginny en faisant un vague sourire. J'ai de l'imagination, c'est tout...
Puis ensuite un gros bruit se fit entendre à la porte du placard, comme si la chose voulait sortir. Mais à en juger l'autre bruit qui vint après, ils en concluèrent que la chose n'avait pas réussit à sortir. Puis la voix s'éleva de nouveau.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

- Eho ? Est ce... Est ce qu'il y a quelqu'un ? (voix à la Revax, conseillé de Zangdar, pour les connaisseurs de Naheulbeuk) Au... Au secours !
- Peut être que ce monstre n'a pas l'air aussi méchant que ça ? dit Hermione, d'un ton léger
- Peut être, souligna Harry.
Puis Hermione se dirigea vers l'endroit d'ou provenait la voix, baguette tendue. Mais Lily l'a retint par le bras.
- Fais gaffe
- Mais oui, mais oui, dit Hermione comme si l'avertissement lui paraissait complètement inutile.
- Ne t'inquiète pas, elle sait ce qu'elle fait. J'en ai fait l'expérience... dit Harry en souriant à sa mère.
Puis, comme un peu rassurée, elle lui sourit et relacha le bras de Hermione. Elle s'avançait lentement et essaya d'entendre à nouveau la voix. Au fur et à mesure qu'elle s'approchait du placard, les bruits s'emplifièrent.
- Eho ! Est ce que quelqu'un m'entends ? dit la voix
- Oui, je vous entends, je vais vous libérer, dit Hermione, d'une voix hésitante.
- Ouf enfin quelqu'un, murmura la voix.
- Alohomora, dit Hermione
La porte s'ouvrit et Hermione tomba presque à la renverse quand elle vit le personne qui se trouvait dans le placard. Elle le regardait d'un air étonnée, comme si elle ne pouvait pas croire à ce qu'elle voyait.
- Quelque chose ne va pas Hermione ? demanda Ron
- Si... Ca va très bien, dit elle après un long moment de silence.
Pius, lentement, Hermione et la chose du placard s'avancèrent lentement vers le groupe. On entendait à peine Ginny dire à Harry « Je te parie que c'est un monstre et qu'il vva tous nous bouffer ». Puis quand la chose du placard se trouva face au groupe, tout le monde le regardait avec le même air étonné et choqué qu'avait Hermione quand elle l'avait vu.
- Tu appelles ça un monstre, Ginny ? dit Harry en rigolant et en la serrant dans ses bras.
- On sait jamais... Tout est possible, dit Ginny en souriant.
- Sirius... murmura Ron, toujours avec la même tête (bouche grande ouverte et les yeux écarquillés et la tête vers l'avant.)
- Oui... Je suis de retour. Maintenant que je suis la avec vos parents, Hermione, Harry, on a 3 heures deuvant nous, si j'ai bien compris le marché
- OUAIS ! ! !h urlèrent Harry, Hermione, Ron et Ginny en levant les bras en signe de victoire.
- J'ai vraiment l'air d'un monstre comme ça ? demanda Sirius à Ginny
- Oups... dit Ginny en rougissant, j'ai pas fait exprès... Je croyais que c'était une sorte de créature monstrueuse qui allait nous manger qui était dans le placard.
- Non, non, au dernière nouvelles je ne suis pas cannibale, dit Sirius en rigolant. Bon qu'est ce qu'on attends. J'ai la dalle moi !
- T'a vu Hermione ! dit Ron en sautant sur place. Au moins il n'y a pas que moi qui ne pense qu'à son estomac ! Mouahahahahahahahahaha ! continua t'il en dansant à moitié sur place.
Tout le monde éclata de rire en voyant Ron danser, un bras en l'air et tourner en ronds comme une bourique. Puis il se dirigèrent tous vers le salon, laissant Ron à son délire. Quelques secondes plus tard, on le revit tout rouge, se réfugiant presque dans ses mains. Entre temps, Dumbledore avait fait apparaître un plateau remplis de sandwichs et de moricettes, soit au poulet, soit au salami ou plein d'autre chose. Il avait également mis des bananes et des pommes (sans sous entendus surtout avec les bananes... lol, rookwood comprendra).
- Bon, commença James, pourquoi on nous a fait revivre ?
Tout le monde se regardait, attendant que quelqu'un prenne la parole.
Personne, apparement, ne savait par où commencer. Une étrange atmosphère règnait dans la pièce. Puis Harry prit la parole.
- Au fait, il s'agit des Horcruxes.
- Ah... Les horcruxes, les fameux horcruxes... murmura Lily. Il donnent du fil è retordre ceux là...
- Il vous reste combien de horcruxes à détruire ? demanda Sirius
Harry sorti un parchemin froissé de sa poche et le lut à haute voix :
- Il nous reste le serpent, Nagini qui est avec Voldemort, la coupe de Poufsouffle, un objet de Gryffondor, un objet de Serdaigle et Voldemort lui même...
- Tu peux déjà barrer un objet de ta liste... dit James.
Harry, Ron, Hermione et Ginny le regardèrent d'un air étonné.
- Lequel ? demanda Hermione
- L'objet à Gryffondor. On l'avait dans la maison quand Voldemort était venu ce soir là. Quand ça c'est passé... comença le père à Harry et Hermione.
- Il n'était pas seulement venu pour qu'on aille dans ses rangs. Il voulais aussi l'objet. Il l'avais déjà transformer en horcruxes, mais voulais l'emmener dans un autre endroit... De peur qu'on découvre que se soit un horcruxes... continua Lily
- Mais vous le saviez déjà, que c'était un horcruxes ? demanda Harry
- Oui, le soir même on venait de le savoir. James voulais le déplacer pour le cacher... C'est là qu'il a eu comme un éclair. Il a vu Jedusor quand il était à Poudlard...
- Mais pourquoi vous l'aviez pas détruit ? demanda Hermione
- C'est ce qu'on voulais faire. Mais à ce moment Jedusor est venu. J'ai juste eu le temps de descendre. Lily t'a emmené chez les Granger. Toi, en revanche Harry, elle voulait t'emmener chez sa sœur, dit James.
A l'entente de la sœur de Lily, la mine de Harry se renfrogna. Trop de mauvais souvenir quand on évoquait le nom des Dursley.
- Qu'est ce qui c'est passé ensuite ? demanda Harry en effacant de sa mémoire le nom des Dursley.
- Jedusor m'a tué, il est monté, il a voulu te tuer, mais il a d'abord tué ta mère, puis... toi... Mais tu as survécu... dit James en versant une larme, comme s'il se reprochait à lui même de ne pas avoir combattu jusqu'au bout Voldemort. Puis, quand le sort s'est retourné contre lui, ça a fait exploser la maison. Et la coupe avec... Donc plus de coupe. Termina James.
- Au moins il y aura ça de moins à chercher, murmura Harry.
A ce moment là, un bruit se fit entendre dans le salon et tout le monde se tourna vers Ron, qui avait, en un instant virée au rouge tomate. Il murmura un simple désolé. A ce moment là, un hibou arriva et des chassures ensorcelés vinrent se mettre au pied de Ron, qui regardait la scène d'un air scandaliser. Puis, comme venu de nul part, une musique entrainante se fit entendre (la musique venait des chaussures). Puis Ron commença à danser comme un fou, sous l'hilarité générale de ceux qui se trouvait dans le salon.
- Arrêtez moi ces chaussure ! dit Ron, en beuglant comme une vache et en bougeant ses bras comme un pantin.
Dans la boite, livrée avec les chaussures, se trouvait un mot.
- Dites moi que c'est Fred et Georges et je vais les tuer ! cria Ron
Ginny prit le mot et le lut.
- A notre cher petit frère Ron,
On a penser que ces chaussuresw te plairaient vu que, d'après les dire de certaines personnes, tu dansait très mal, malgré quelques progrès. Pour l'instant tu ne possède pas encore le talent de notre chère sœur Ginny, mais ça viendra... avec lesd années... héhéhéhé.

Bon apprécie ces chaussures dansantes non stop, le travail nous appelle.

Fred et Georges.

Tout le monde rigola de bon cœur après voir entendu la lettre lue par Ginny, qui avait rougit quand elle avait lu qu'elle était talentueuse pour danser. Quand à Ron, lui fulminait de rage et continuait toujours de danser, dans tout le salon menaçant à tout instant de faire tomber quelque chose.
- La prochaine fois que je les vois ceux là ! Je leur ferais bouffer leur chaussures morceaux par morceaux !
Tout le monde rigola de bon cœur en voyant Ron s'exciter à essayer d'enlever les chaussures de Fred et Georges. Puis Harry essaya de faire tomber Ron et bloquer ses jambes. Mais les jambes n'arrêtaient pas de danser même si Harry mettait tout son poids sur les jambes de son ami. Puis Ginny vint et se laissa tomber sur Harry.
- C'est mieux comme ça ? demanda t'elle d'un ton innocent
- Oui, je crois que ça devrait aller, dit Harry en essayant de respirer correctement. Tu sais que t'es lourde ?
- Oups...Désolée, dit Ginny en rougissant. Mais c'est ta faute !
- Quoi ? Ma faute ? dit Harry. Moi j'ai rien fait ? continua t'il d'un ton innocent.
- C'est c'la oui, dit Ginny d'une voix grave. Maintenant si quelqu'un pouvait enlever les chaussure à Ron, ça rrangerais surement Harry. Je peux plus me lever.
- Génial, murmura Harry.
Puis Hermione se leva et retira les chaussures des pieds de Ron et aida Ginny à se relever. Harry se leva lentement se massant le torse, tout endolori. Ginny se contenta simplement de hausser les épaules et de lui donner un baiser sur la joue, ce qui fit rougir Harry.
- Mais Sirius... Est ce que tu savais qu'il y avait ce parchemin derrière le portrait de ta mère ? demanda Hermione
- Quel parchemin ? demanda Sirius d'une innocence feinte
- Le parchemin qui vous a fait revivre, toi et mes parents, expliqua Harry
- Non, pas du tout. A vrai dire je n'étais même pas au courant qu'il y avait une pièce derrière ce foutue portrait. Il y avait de la glue perpétuelle non ?
- Si, mais Maugrey l'a enlevé, dit Dumbledore.
- Ah ! Bonne nouvelle ! Vous allez enfin pouvoir mettre un autre portrait que la tête beuglante de ma mère, dit Sirius en souriant.
Tout le monde sourit. Puis Dumbledore sorti de sa poche une sorte de montre et parut surpris en la regardant.
- Que ce passe t'il Albus ? demanda Lily
- Je vois qu'il est temps de manger...
- Bien... dit elle. Je crois que je vais commencer à préparer à manger.
- On mange quoi ? demanda précipitament Ron, avant de se rendre compte que les mots étaient sortis tous ceux de sa bouche.
- Tu verras bien mon garçon, répliqua t'elle sans méchanceté avant de disparaître dans la cuisine.
- Ahlalala Ron, dit Hermione. Tu peux pas t'empêcher de te la boucler quand il s'agit de nourriture !
- Je crains que non Hermione, dit Ron.
Puis les conversations reprirent tout doucement, tandis que la mère de Harry et Hermione préparait le repas. Au bout d'une demi heure, elle appella Hermione et Ginny pour mettre la table, laissant ainsi les hommes entre eux. Après s'être assuré que Ginny et Hermione étaient hors de vue, James s'adressa à Harry.
- Si je comprends bien, la jeune fille rousse... commença t'il
- Ginny ? dit Harry
- Oui, Ginny, c'est ça... Elle est bien ta petite copine c'est ça ?
- Bah oui ? Tu crois que je voulais sortir avec ma propre sœur ?d emanda Harry sur un ton de reproche
- Bien sur que non, dit son père. Et à en juger l'état de son ventre elle n'est pas comme ça... naturellement, tu vois ce que je veux dire ?
- Je vois ce que tu veux dire. Et pour répondre à la question que tu te pose intérieurement, oui, je suis bien le père de cet enfant.
- Et Hermione ?
- C'est moi qui suis le père de l'enfant qu'elle porte, dit Ron en rougissant.
A ce moment là, Lily les appela à se mettre à table. Avant de se rendre dans la salle à manger, Harry fit comprendre à son père de ne rien dire à Lily.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 16 : Une mauvaise surprise
Tous se rendirent donc dans la salle à manger, alors que Lily mettait les plats sur la table. Pendant qu'elle fesait léviter les plats elle regarda Hermione et Ginny et remarqua quelque chose d'anormal. Elle n'y preta aucune attention et servit tout le monde.
- Ce soir c'est Fish and Chips (je sais pas comment ça se dit en français), dit Lily
- Mmmmh, ça a l'air appétissant, dit Ron en regardant avidement le plat de frite.
- Et bien bon appétit tout le monde ! finit elle par dire après les avoir servir.
- Merci !r épondirent ils tous en cœur.
Ron commençait à dévorer son plat et Dumbledore prit la parole.
- Bon ou en étions nous avant de passer à table ?
- Ah oui les horcruxes ! Dit James. Comme je le disait avant, l'objet de Gryffondor à été détruit en même temps que la maison. Mais quand j'était encore à Poudlard... il me semble que j'ai trouvé une salle avec des objets précieux...
- Ca pourrait être la salle que Fred et Georges nous ont décris dans la lettre, proposa Ginny
- Oui, ça pourrait être ça, sit Harry d'un air songeur.
- Bref toujours est il que je cherchait un endroit pour cacher mes bombabouses. Le concièrge de l'époque avait, malheureusement senti qu'il y avait quelques bombabouses dans les parages, que j'avais laché pour le faire fuir... J'avais oublié ma cape d'invisibilité et je n'avait aucun moyen de me cacher. Donc je suis tombé sur cette salle, a peu près équivalente à la salle sur demande et j'ai vu tous ces objets précieux...
- Ca ressemble assez à la salle que Fred et Georges nous ont décrit ! dit Ginny
- Tu y tiens vraiment à la salle de Fred et Georges ! dit Harry en rigolant
- Roooo ! C'est bon ! dit elle en rigolant elle aussi.
- Fred et Georges ? Qui est ce ? demanda Lily
- Fred et Georges, ce sont nos frères, à Ron et à moi, expliqua Ginny. Ils sont assez farceur et font plein de bêtises. Ils ont même monter un magasin de farces et attrapes dans le chemin de traverse.
- On a pu les constater quand ils ont envoyé les chaussures dansantes non stop, dit James en rigolant. Oui, peut être c'est la même salle.
Pendant ce temps, Lily lança discrètement un sort à Hermione sans que celle si ne le remarque. Puis elle parut étonnée, mais attendit la fin de la conversation pour faire part de ce qu'elle avait découvert.
- Mais ou est cette salle ? demanda Harry
- Elle doit être quelque part dans les sous sols. Près des cachots il me semble, dit James en essayant de se rappeler de l'endroit ou pouvait bien être cette salle.
Puis tout le monde recommença à manger. Maugrey lançait des regards furtifs dans la salle, comme si a tout moment, ils pouvaient s'attendre à une attaque de mangemort. Puis Lily jugea que c'était le moment de faire part de ce qu'elle avait découvert.
- Dis moi voir Hermione...
- Oui ? dit la jeune fille en se tournant vers sa mère
- Qui est le père de l'enfant que tu portes ?
Hermione sentit son corps se raidir.
- C'est Ronald, dit elle timidement
- Depuis combien de temps ? continua Lily
- 3 mois et demi... finit elle par dire, en se sentant gênée.
- Bien... et Harry... Je suppose que la jeune demoiselle qui se trouve à côté de toi n'es pas comme ça... naturellement, je suppose ?
- Euh... non...avoua Harry
- Et je peux savoir depuis combien de temps elle est enceinte ?
Harry regarda Ginny. En réalité il n'en avait aucune idée. Puis finalement c'est Ginny qui reprit la parole.
- 4 mois... dit elle en fixant son assiette à moitié remplie.
- Donc trop tard pour arrêter le processus... conclua Lily. Allez manger les filles, vous en avez besoin...
A ce moment là, Maugrey vit quelque chose de louche au dessus de la cheminée. Il fit signe à tout le monde de ne plus dire un seul mot. Il se dirigea lentement vers la cheminée et en sortit un minuscule micro. Il tira un coup dessus et le micro était hors service. Maugrey le regarda bizarrement et le tendit vers Hermione.
- C'est un micro ça... constata t'elle.
- Un quoi ? dirent tous en cœur Ron, Ginny, Dumbledore, James et Maugrey
- Un micro. Et ça c'est ce qui se fait de mieux dans la technologie moldue... On le branche à un endroit que personne en voit et ensuite on le relie à une base. Comme ça on entends tous ce que les personnes qui se trouvent dans la pièce
Tout ceux qui se trouvaient dans la pièce qui n'avaient pas d'ascendane moldue ou vécue un tant soit peu avec eux, ne pouvait pas comprendre ce que Hermione venait de dire. Pour eux c'était un charabia imcompréhensible. Ils restèrent tous perplexes, bouche bée. Soudain Ginny brisa le silence.
- Mais Hermione, il y a un problème...
- Lequel ? demanda t'elle ne voyant pas ce que ça pourrait être
- Nous sommes tous sorcier et il me semble que les appareils moldus sont déreglés quand il y a des ondes magiques ?
- Oui, c'est vrai... dit Hermione en regardant de plus près le micro. C'est bizarre... Je n'ai jamais vu cette marque chez les moldus... Regarde... continua t'elle en tendant le micro à sa mère.
Lily prit le micro et regarda la marque.
- Ce n'est pas une marque de moldu... Mais de sorcier...Je ne savais pas que les sorciers pouvaient fabriquer des micros... dit elle d'un ton songeur en faisant tourner le micro autour de la table.
- Voldami... Voldami... Ca me dit quelque chose, dit Sirius en regardant de plus près le micro...Il me semble que j'en avait une fois enendu parler... Mon frère en avait parler une fois avec ses amis à l'école. J'avais emprunté la cape d'invisibilité à James pour voir ce que mon frère magouillait... C'était donc ça...Un micro c'est ça ?
Hermione acquieça tandis que le micro revenait dans ses mains. Elle le regarda de plus près, puis elle dit.
- Ce micro a été conçu pour s'adapté à toutes les circonstances. Il peut très bien se trouver dans le monde des moldus que dans le monde des sorciers sans aucunes interférences, dit elle d'un ton songeur. Mais pourquoi avoir mis un micro dans la salle à manger ?
- Sans doute voulais ils avoir plus d'information sur l'Ordre du Phénix ? Avoir plus d'info sur les plans pour détruire Vous Savez Qui ? proposa Ginny
- Mmmph... Peut être... Mais ça m'étonnerais... dit Hermione. S'ils avaient voulu avoir des infos sur l'Ordre du Phénix ils s'y seraient pris autrement...
- Mais comment ? demanda Ron
- Ouvre un peu les yeux Ron ! répondit Hermione. Ils auraient surement pis quelqu'un dont ils savent qu'il fait parti de l'Ordre et ils l'auraient soumis à l'Impérium !
- Mais on peut résister à l'Imperium. Donc à mon avis ça ne lui servait plus à rien de s'en servir, maintenant qu'il a ce truc... ce Cromi ? dit Ginny
- Ah, mon avis, on doit s'attendre à une attaque en plein cœur. Une attaque, qu'ils savent que ça va nous mettre le moral à bas... dit Harry
Puis silence...Harry s'imaginait toutes les possibilité dont les mangemorts pouvaient intervenir et les attaquer... Comment allaient ils s'y prendre ? Quels étaient leurs plan ? Qu'allaient ils encore trouver ? Dumbledore regarda alors sa montre et parut une nouvelle fois étonné.
- Bon je crois qu'il est tant de se faire les adieux... Les 3 heures seront écoulés dans 5 bonnes minutes...
- Déjà ? dirent ils tous en cœur, alarmé par ce que Dumbledore venait de leur dire.
- Et puis il ne faut pas oublier que demain il faut retourné à Poudlard, les cours reprennent !
- Ah oui, c'est vrai je les avaient complètement oublié ceux là, dit Ron
Hermione leva alors ses yeux vers le ciel et murmura un « Oh ! dieu ! Il ne pense que aux vacances lui... ». Lily, qui était à côté d'elle, avait entendu ce qu'elle venait de dire et esquissa un sourire. Puis tout le monde se leva de table et se hata de dire adieux aux parents de Harry et Hermione ainsi qu'à Sirius.
- Vous allez nous manquer, dit Harry, en versant une larme.
- Ne t'inquiète pas on va se retrouver, dit sa mère en essuyant la larme qui coulait sur la joue de son fils. Pour l'instant, prends soin de toi, ainsi que de Ginny et de l'enfant. Toi Hermione, je te fais confiance, je sais que tu vas y arriver.
Quelques larmes coulèrent sur les joues de Hermione puis elle sauta dans les bras de sa mère. Lily la consola et lui murmura à l'oreille.
- Prends soin de toi, de l'enfant et de Ron... J'ai confiance en toi et Harry.
Puis Hermione sourit et se dirigea vers son père. Ellle lui sauta également dans les bras tandis que Harry serrait sa mère contre lui.
- On est hs je crois... dit Ron à Ginny
- Je crois pas non... répondit elle
Ron haussa les épaules et ne dit plus rien. Il se contenta alors de serrer la main des parents à Harry ainsi que celle de Sirius. Ginny en fit de même et elle fut suivi de Dumbledore et de Maugrey. Quelques minutes plus tard, une fois les adieux terminés, Lily, James et Sirius disparurent en un pop semblable à celui d'un transplanage. Puis Hermione se jeta dans les bras de Ron et Harry dans les bras de Ginny. Harry et Hermione commencèrent à pleurer de plus belle.

Après s'être assuré que tout le monde était installé, Rogue prit la parole.
- Bon, je vous préviens je ne suis pas très bon dans toutes les matière. Par quoi voulez vous qu'on commence... dit Rogue
- Moi je proposerais potion, dit Drago
- Bien, soit. On commence par potion, dit Rogue après avoir regardé chacune des personnes présentes dans la salle, pour savoir si ce choix leur convenait.
Vu que personne ne ronchonnait, Rogue reprit la parole.
- Donc, on va commencer par un peu de révision des autres années. Commençons par toi, Harry. Saurait tu me dire ou on peut trouver un bézoard ?
- Dans le ventre d'une chèvre, finit il par dire, après une longue réflexion.
- Bien. Question pour n'importe qui maintenant... Combien de temps faut il pour préparer le polynectar.
- Un mois il me semble, répondit Ginny
- Parfait, Miss Weasley.
Pratiquement tout le reste de l'après midi passa ainsi. Rogue leur faisait réviser les notions importantes de potions, des définitions et tout plein de conseils pour bien réussir leur potion, ou bien encore comment reconnaître les potions. Vers 17 heures, Rogue leur donna encore quelques conseils pour réussir leur ASPICs. Sur quoi une demi heure plus tard, il les autorisa à partir.
Tout le monde avait la tête bien remplie et Ron se plaignait d'avoir mal à la tête. Ils décidèrent donc de se reposer un peu avant de faire d'autres activités. Ils se rendirent donc dans la salle commune près de la chaleur douillette du feu. Ils parlèrent de tout et de rien, somnolant à moitié. Puis vers 18 heures tout le monde descendit à la Grande Salle pour pouvoir dîner. Ce soir là, il y avait du poulet avec des patates, ce qui ne pouvait que réjouir le ventre affamé de Ron. Une demi heure plus tard, tout le monde avait fini, mais ils restaient tout de même assieds à la table des Gryffondors, car ils étaient trop paresseux pour se lever et aller à la salle commune. C'est alors qu'à se moment là, une pomme de terre vola jusqu'à la table ou étaient assis Harry et les autres. La patate toucha Drago en plein dos, salissant ainsi sa robe de sorcier. Tout le monde se retourna alors pour voir d'ou provenait le projectile. Leur regard s'arrêta à la table des Serpentards qui faisaient semblant de discuter entre eux et de manger. On voyait très bien Pansy regarder Drago d'un air à la fois satisfait et à la fois rempli de haine.
- Laisse tomber Drago, ça leur passera bien, dit Hermione en enlevant la patate qui était restée accrochée à la robe, à l'aide d'un sort.
Elle en profita également pour jeter un sort qui repoussait tout objet qui voudrait s'écraser contre le dos de Drago. Elle l'avait baptisé le sortilège « repousse patate ». Une fois qu'ils étaient sur que les Gryffondors ne les regardaient plus, ils recommencèrent à lancer des patates (rookwood comprendra s'il a lu ce qu'il se passait dans la Grande Salle entre Serpentard et Gryffondor quelques semaines auparavant lol !), avant de se rendre compte que ce qu'ils faisaient ne servait à rien. Mais avant qu'ils arrêtent, le professeur Krum vit ce que les Serpentards étaient en train de faire. Il s'approcha donc de la table des Serpentards de sa démarche genre canard (il me semble).
- Qu'est ce qui vous prends de lancer de la nourriture sur les élèves ? cria t'il. Expliquez vous ! Mademoiselle Parkinson ! Parlez !
- Euh... bah... euh... Pour rien...Juste pour le fun monsieur, répondit Pansy le regard plein de haine.
- Bien puisque c'est comme ça... TOUS LES SERPENTARD EN COLLE ! ! ! ! ! Ce soir, 20 heures devant la porte de la grande salle.
Puis sur ces mots il se retourna et alla s'installer à la table des professeurs. A en juger l'expression de son visage, on voyait bien que le comportement des Serpentards l'exaspérait. A ce moment là, les cinq amis se levèrent et se dirigèrent vers la salle commune, le temps de digérer un peu le repas du soir. Finalement au bout d'une demi heure, Harry dit :
- Je crois que je vais partir à la recherche de cette salle, ou il y a tous les trophées... Il doit sûrement en avoir qui nous intéresse ! Ginny tu es prête ?
- Oui, bien sûr ! répondit elle
- Bon dans ce cas, je vais chercher ma cape d'invisibilité. Et puis Ginny... Si jamais tu ne vas pas bien, tu me le dit et on rentre.
Ginny acquieça pour dire qu'elle avait compris et Harry monta dans le dortoir des garçons pour chercher la cape d'invisibilité. Quelques secondes plus tard, il redescendit et trouva Hermione, Ron et Drago en pleine discussion. Ginny se leva immédiatement et se dirigea vers la sortie en compagnie de Harry.
Ils marchèrent quelque minutes, essayant toutes les salles dont ils savaient que ce n'étaient pas des salles de classes. Il y en avait au moins pour plusieurs heures pour faire toutes les salles du château. Ils commencèrent donc par les salles du premier étage, salles après salles, mais aucune salle ne contenait de trophées.
- Peut être au sous sol il y aurait quelque chose, souffla Ginny à Harry
- Allons – y, dit Harry après quelques secondes de réflexion.
Puis ils descendirent silencieusement les escaliers pour se rendre dans les sous sols. Là non plus pas de trace de salle avec des trophées. Puis ils remontèrent et firent les salles du deuxième étage hormis les salles de classes. Sans s'en rendre compte, déjà deux heures étaient passées.
- Houlà... dit Harry en regardant sa montre. Il serait peut être temps de rentrer à la salle commune.
- Pourquoi il est quel heure ? demanda Ginny
- Presque 22 heures.
- Oui, en effet, allons y, avant que Peeves ou Rusard nous voient en « flagrant délit » comme qui dirait... chuchota Ginny en rigolant.
Puis ils retournèrent à la salle commune d'un pas vif. Deux minutes plus tard ils arrivèrent, essoufflés devant le portrait de la grosse dame.
- Encore debout à cet heure là ? demanda la Grosse Dame
- Euh... Oui, répondit Harry. Steak frite !
Le portrait s'ouvrit alors les laissant ainsi renter. Après s'être souhaiter bonne nuit et s'être donné leur dose de baiser, ils allèrent se coucher, chacun de leur côté.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Le lendemain matin, Harry fut réveillé par Ron. Il le secouait sans gêne.
- Hé ! Harry ! C'est l'heure ! Les cours commencent dans dix minutes !
- Quoi ! lâcha Harry
- Dans dix minutes les cours commencent ! répéta Ron
Puis Harry s'habilla en quatrième vitesse et descendit dans la salle commune ou l'attendait quelques toasts avec du miel dessus. Il se dépêcha de les manger et se rendit immédiatement au cours du professeur Lupin. Par chance, le cours n'avait pas encore commencer quand ils arrivèrent. Lupin leur fit signe de s'asseoir, et ne prit pas la peine de les sanctionner.
- Le cours d'aujourd'hui sera un peu différents des autres cours. Si nous avons pas fini aujourd'hui nous continuerons la prochaine fois. Donc aujourd'hui sera un cours de force obscur. Nous allons étudier la Légilimencie et l'Occlumencie. Alors, est ce que quelqu'un peut me dire la définition de la Légilimencie et de l'Occlumencie ? commença le professeur Lupin.
Personne ne fut alors surpris de voir la main de Hermione se lever comme un boulet. D'autres mains s'étaient alors levées dont celle de Ron, de Drago et de Neville.
- Drago, peut tu me dire la définition de la Légilimencie ? Ron tu me dira ce que c'est l'Occlumencie, dit le professeur Lupin.
- La Légilimencie consiste à fermer son esprit quand quelqu'un essaye de voir ses souvenirs, dit Drago
- Bien, 5 points pour Gryffondor. Ron ?, continua Lupin
- L'Occlumencie consiste à entrer dans l'esprit de quelqu'un pour voir ses souvenirs, dit Ron timidement
- Bien, 5 points pour Gryffondor. Maintenant, on va passer à la pratique. Il me faudrait un volontaire pour que je puisse faire un exemple, poursuivit Lupin. Harry, est ce que tu voudrait venir devant s'il te plait ?
Harry semblait un peut effrayé par la perspective que Lupin allait voir ses souvenirs, mais il s'avança tout de même vers le bureau du professeur Lupin.
- Bien. Tu es prêt ? Je commence par l'occlumencie. 1, 2, 3... Occlumens !
Harry essaya alors de fermer son esprit à l'attaque de son professeur, mais au bout de 4 secondes sa défense lâcha. Il vit alors défiler son enfance, d'abord, la lumière verte, puis une grosse moto qui volait, ensuite l'école du quartier ou il avait malheureusement atterri sur le toit de l'école alors qu'il tentait de fuir la bande à Dudley, puis le boa qu'il avait libéré le jour de l'anniversaire à Dudley, la lettre l'invitant à poursuivre ses études à Poudlard, son affrontement avec Voldemort sous la trappe alors qu'il était en première année, puis la chambre des secrets que Ginny avait ouverte, Sirius, la mort de Sirius, Cédric et sa mort, la mort de Dumbledore puis son retour, puis le jour ou il avait appris que Hermione était sa sœur ainsi que son premier baiser avec Ginny, la chambre sur le chemin de traverse ou ils avaient passé à l'acte... A ce moment là le professeur Lupin lâcha sa concentration et vit que Harry était tout rouge.
- Désolé Harry, je ne voulais pas aller aussi loin. Mais essaye de renforcer ta protection, lui dit alors Lupin en lui tendant un peu de chocolat Milka (héhé).
- Merci, dit Harry en prenant le chocolat Milka que lui donnait Lupin.
Puis il retourna à sa place tandis que le professeur Lupin reprenait la parole.
- Bien, maintenant, on va passer à la pratique. Vous vous mettez par deux et vous vous entraîner au deux sorts.
Ron s'était mis avec Hermione et Harry se mit avec Drago, quand le professeur Lupin vint vers eux.
- Une fois que vous aurez fini avec votre partenaire, vous changerez. Par exemple, maintenant, Harry est avec Drago. Quand vous aurez terminer, Harry ira avec Ron et Drago avec Hermione. Puis ensuite Hermione ira avec Harry et Drago avec Ron, ok ?
Ils firent tous oui de la tête pour dire qu'ils avaient compris puis commencèrent à s'entraîner.
- Bon qui commence par quoi ? demanda Harry à Drago.
- Je sais pas, moi ça m'est égal. Tu commences par l'occlumencie et moi par la légilimencie et ensuite le contraire ? T'en penses quoi ?
- Oui, pourquoi pas. Bon commençons.. 1, 2, 3... Occlumens !
La défense de Drago tint plus longtemps que la sienne. Mais à peine eu il formulé cette pensée que la défense de son adversaire disparu comme de la poudre de cheminette. Il vit alors un petit blondinet en train de martyriser son ours en peluche, un Drago qui devait avoir 5 ou 6 ans en train de faire léviter des objets, en train de voler en balai, leur premier cours de vol ou lui et Harry avaient fait la course pour le rapeltout de Neville, lui et le duel contre Harry, duel au cours duquel il avait lancer un serpent contre Harry, puis plus rien jusqu'en sixième année ou il était en train de réparer une armoire, puis la mort de Dumbledore, quand il était chez Voldemort, puis son retour du bon côté sa nouvelle répartition à Gryffondor, le retour de Dumbledore, puis la soirée de Slughorn ou il avait pour la première fois embrasser une Serdaigle de la même année que lui, la charmante Isabelle Wallace...A ce moment là, Harry lâcha sa concentration
- Ca va ? demanda Harry en voyant la tête pâle que faisait Drago
- Oui, oui, ça va très bien merci. Bon on continue... Maintenant, c'est moi qui fait l'occlumencie et toi la légilimencie. 1, 2, 3... Occlumens !
Cette fois la défense de Harry tint un peu plus longtemps que la première fois mais au bout de 15 secondes, elle flancha. Il revit à nouveau la lumière verte, la moto volante et tout et tout (je vais pas tout réécrire) Au souvenir de Harry le plus récent, Drago lâcha sa concentration et alla s'asseoir.
- T'a tenu plus longtemps que moi pour la légilimencie ! Bravo ! dit Drago.
Harry sourit et s'assied à côté de Drago. Ils regardèrent alors comment se débrouillaient Ron et Hermione. Hermione se débrouillait pas mal en légilimencie, quand à Ron c'était presque désastreux... Cinq minutes plus tard, Ron et Hermione avaient fini de s'exercer et juste à ce moment là, la cloche sonna, signifiant ainsi la fin du cours de Défense Contre Les Forces du Mal.
- C'est ainsi que s'achève notre cours et je vous dit à la prochaine. On fera de nouveau la même chose. Au revoir !
- Au revoir professeur, gazouillèrent ils tous en cœur, en sortant de la salle, pour se diriger vers leur prochain cours qui était celui de potion.
Cinq minutes plus tard, tout le monde était devant la porte de la salle de potion, attendant ainsi le professeur Slughorn et les autres élèves.

Peu à peu, les élèves de Serpentards arrivèrent et prirent bien soin de se mettre à l'écart des Gryffondors. Selon eux, c'était les Gryffondors qui étaient responsables de la colle que leur avait donné le professeur Krum, la veille. Ils se contentèrent simplement de les regarder de travers avec un regard de dégout (comme d'habitude quoi...). On voyait Pansy lancer des éclairs par les yeux en direction de Drago. La main de la jeune serpentarde tremblait et faisait toujours les mêmes gestes : Ouvrir, fermer, ouvrir, fermer...
Au moment ou elle voulait charger, le professeur Slughorn arriva, empêchant ainsi Pansy de s'attaquer à un élève de Gryffondor.
- Bon allez, tous en classe ! Allez zou ! dit Slughorn en balançant ses bras vers l'avant, faisant ainsi signe aux élèves de rentrer.
Au moment ou Pansy et Drago entrèrent, Drago entendit juste Pansy murmurer « toi je t'attends à la sortie c*nnard ».
- Mais oui, bien sur Pansy, tu veux encore avoir une colle c'est ça ? dit Hermione qui était juste derrière Drago et qui avait entendu ce que Pansy avait dit.
Pansy se contenta simplement de lancer un regard noir à Hermione qui ne baissa pas pour autant les yeux. Puis le cours commença dans une atmosphère sereine, les Gryffondors d'un côté et de l'autre les Serpentards. A la fin du cours, quand la cloche sonna, les Serpentards se hâtèrent de prendre leur affaires et de se diriger vers la sortie.
- Pourquoi est ce qu'ils sont si pressés d'après toi, Drago ? demanda Harry
- A mon avis ils m'attendent. Ils veulent faire ma fête comme qui dirait chez les moldus... dit Drago en rigolant.
- C'est sans doute ce que voulais te dire Face de Bulldog à l'entrée, dit Ron
- Qu'est ce que tu peux être stupide des fois Ron ! Bien sur que c'est ça que cette foutue Face de Bulldog voulait lui dire ! En général, quand on dit « je t'attends à la sortie », c'est que la personne qui a dit ça veut se battre...résuma Hermione
- Ah d'accord... dit Ron l'air incrédule. Mais on peut pas transplaner pour éviter la baston ?
- Ron ! Combien de fois faudra t'il que je te dise qu'on NE PEUT PAS transplaner à l'intérieur de Poudlard ! C'est écrit dans « L'histoire de Poudlard » ! Pourquoi tu ne le lis pas une fois ! ! !
- J'ai pas besoin de le lire, tu le connais déjà. Il suffit que je te demande ! dit Ron en rigolant
- Qu'est ce que tu peux être stupide des fois Ron ! dit Hermione en rigolant.
Au moment ou ils sortirent de la salle de classe, tous les Serpentards se tenaient devant eux en demi cercle de façon à ce qu'ils ne puissent pas passer. Puis, peu à peu le demi cercle se transforma en cercle.
- Vous allez payer pour ce que vous nous avez fait subir hier soir ! dit Pansy avec un sourire doucereux qu'abordait autrefois le professeur Rogue.
- Tu frises l'absurde Pansy, dit Drago. Franchement. Tu es obligée d'appeler tes amis pour venir à tabasser celui qui fut une fois l'un des vôtre. N'importe quoi !
Puis n'en pouvant plus, Pansy se jeta sur Drago et les autres Serpentards se jetèrent sur Harry Ron et Hermione. Hermione se débrouillait pas mal en bagarre, mais essayait de faire son possible de se dégager de la bataille. Finalement après beaucoup d'effort, elle réussi à se dégager et commença à crier.
- ARRETEZ TOUT DE SUITE CES GAMINERIES ! ! ! VOUS AVEZ QUEL AGE ! ! ! ! hurla t'elle de toutes ses forces.
Au milieu du cercle, le nez en sang et un œil au beurre noir, Ron dit à Harry.
- On dirait...
- Ta mère, je sais... dit Harry qui saignait aussi du nez.
Alertée par la voix de Hermione, le professeur Mc Gonagall arriva à toute vitesse et découvrit à son grand malheur que le couloir ressemblait plutôt à un champ de bataille.
- Oh, mon dieu ! lâcha t'elle. ARRETEZ CA TOUT DE SUITE ! ! ! ! ! beugla t'elle
Puis peu à peu la bagarre s'arrêta et trois Serpentards mirent KO Harry, Ron et Drago, et tout le monde regarda le professeur Mc Gonagall.
- Que c'est il passé Miss Potter, vu que vous êtes la seule à ne pas être KO.
- Et bien au début de l'heure, Pansy avait dit à Drago « Je t'attends à la sortie » ou quelque chose comme ça. Puis après nous sommes allés en cours normalement. A la fin de l'heure les Serpentards se sont dépêché pour sortir de la salle, puis Drago a essayé de les raisonner, mais ça ne les a pas empêcher de nous sauter dessus. J'ai réussi à me dégager et j'ai essayer de calmer le jeu et ensuite vous êtes venue.
- Pourquoi est ce qu'ils vous ont sauté dessus ? demanda t'elle
- Parce que selon eux c'est à cause de nous qu'il ont eu la colle hier. Ils nous ont lancer des patates et le professeur Krum les a mis en colle, répondit Hermione.
- Je n'aurais jamais cru cela de mes élèves. 100 points seront enlevé aux..., le professeur Mc Gonagall regarda les élèves,... 100 points seront enlevés aux Serpentards, répéta t'elle.
Après cette déclaration, les Serpentard protestèrent, ces points en moins les placèrent en dernière place pour la coup des Quatre Maisons.
Une fois que tout le monde fut soigné, Harry fut convoqué chez la directrice.
- Potter, j'ai quelque chose à vous dire à propos du match de Quidditch de samedi. Asseyez vous, je vous en prie.
- Est ce qu'il est annulé professeur ? demanda Harry soudain prit de panique
- Non, bien sur que non ! Mais je voulais juste vous dire qu'il y aura le sélectionneur des Canons de Chudley qui va venir assister au match. Je ne sais pas combien de personnes il va prendre de votre équipe mais sans doute les meilleurs. Je vous demande donc de jouer au meilleur de votre forme, pour que tout le monde ait une chance d'être sélectionné. Prévenez ceux de votre équipe et Colin Crivey pour qu'il ne fasse pas de gaffe comme le faisait Mr Jordan quelque années auparavant.
- Bien professeur, dit Harry
Bon allez y, je ne vous retiens pas plus longtemps.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

[b]Chapitre 17 : Quidditch : Gryffondor contre Serpentard

A la fin de la semaine allait se jouer un match de Quidditch, le dernier match de la coupe de Quidditch. A ce titre, Harry avait mis en place un programme d'entraînement colossal afin qu'ils puissent écraser les Serpentards. Ainsi au moins une heure par jour, l'équipe de Quidditch, ainsi que leur nouvelle poursuiveuse Szarlotka Guip..
La veille du match, Harry parla à son équipe.
- Bon, demain c'est le grand jour. On va enfin savoir qui va gagner la coupe de Quidditch. J'ai appris aussi par le professeur Mc Gonagall que quelqu'un allait venir, un sélectionneur. Jouez au meilleur de votre forme et il y a une chance que quelque uns d'entre nous soit sélectionné pour jouer dans les Canons de Chudley. Je sais que ça te ferais plaisir Ron de jouer chez les Canons de Chudley, alors, fonce, dit il en faisant un clin d'œil à Ron. C'est une chance que ce sélectionneur vienne, ça n'arrive que une fois dans une vie. J'ai confiance en vous alors, foncer. Bon assez parler. Aujourd'hui c'est notre dernier jour d'entraînement alors jouez comme si on était au match. Allons y.
La séance d'entraînement se passa à merveille, ils s'entraînèrent au tir au but et Ron arrêta presque toutes. Puis ils s'exercèrent aussi à toutes les feintes possible, tout ce qui allait être nécessaire pour le lendemain pour que le match soit parfait. L'entraînement dura jusqu'à tard dans la nuit et vers 22 heures, Harry rassembla toute l'équipe.
- C'était parfait. Si vous jouez comme ça demain, on va écraser les Serpentards !
- A bas les cochontards ! lâcha Ginny
Toute l'équipe rigola de vive voix et allèrent se changer pour une bonne nuit de sommeil. Le lendemain à 10 heure allait être le match que toute l'école attendait.
Le lendemain matin, l'agitation régnait dans la Grande Salle. Tout le monde pronostiquait déjà le match, pariant sur qui allait gagner. Apparemment le professeur Mc Gonagall n'avait pas mis au courant les Serpentard qu'il y avait un sélectionneur qui venait assister au match. Mais cela ne les empêchait pas de discuter vivement du comment battre les Gryffondors. A 10 heures toute l'école était venu assister au dernier match de Quidditch de la saison. La voix de Colin résonnait au loin.
- Bienvenue au dernier match de Quidditch de l'année. Ce match verra s'affronter les Gryffondors contre les Serpentards. Aujourd'hui nous avons la visite d'un sélectionneur des canons de Chudley. Il va donc vous regarder jouer et sélectionner les meilleurs. Maintenant, accueillons les membres de l'équipe de Gryffondor : En tant que capitaine et attrapeur, Harry Potter – des cris de joies s'élevèrent des tribunes de Serdaigle, Gryffondor et Poufsouffe – puis un super alignement de filles en tant que poursuiveuses, Ginny Weasley, Demzela (je sais plus son nom de famille) et Szarlotka Guip, puis nos batteur, Ritchie (sais plus son nom de famille) et Johnny Depp (j'innove, parce que je sais plus le nom du deuxième batteur) puis notre gardien Ronald Weasley ! Maintenant l'équipe de Serpentard, dit il avec moins d'enthousiasme, Pansy Parkinson, en tant que Gardienne et Capitaine, ces deux batteurs Crabbe et Goyle, Sébastien Kuttler, Nicolas Starck et Anne – Laure Picquet en que poursuiveur et finalement en tant qu'attrapeur Laurène Houlmann. Maintenant que le meilleur gagne !
Les Serpentards parurent un peu surpris qu'un sélectionneur d'une équipe nationale fasse son apparition à Poudlard, mais finalement ça ne les arrangeait pas trop vu la tête qu'ils faisaient. Harry pensa alors que les Serpentards ne pourraient pas mettre leur plan en action, maintenant qu'il y avait quelqu'un d'important dans les tribunes. Madame Bibine lança alors les deux cognards et le vif d'or, puis enfin le souaffle. Quand le souaffle fut à sa hauteur, Ginny s'élança immédiatement, prit possession de la balle et se démarqua des Serpentards qui s'étaient immédiatement lancés à sa poursuite. Ginny effectua une formidable feinte de Pofskoff (je crois que ça s'écris comme ça je suis pas sûre), puis passa le souaffle à Demzela qui elle même passa à Szarlotka qui marqua un formidable but, ce qui provoqua des cris de joies de la part des Gryffondors.
- Et 10 – 0 en faveur de Gryffondor ! annonça Colin à travers le microphone
Pendant ce moment là, Harry ne vit aucun signe de vie du vif d'or, il se contenta alors de regarder les filles évoluer sur le terrain. Il souriait car son équipe se débrouillait encore mieux qu'à l'entraînement de la veille. A ce moment là Colin annonça que c'était Anne – Laure qui avait pris possession du souffle mais c'était pris un cognard en pleine tête de la part de Goyle. Demzela récupéra alors le souaffle le passa à Szarlotka qui malheureusement se le fit prendre par Sébastien. Il fonçait à présent droit vers les buts, lança le souaffle, et Ron réussi à le contrer avec facilité. Il lança alors le souaffle à Ginny qui le passa à Szarlotka qui le passa à Demzela qui le repassa à Ginny.
- Et Ginny se dirige vers les buts, allez Ginny ! dit Colin
- S'il vous plait Mr Crivey, veuillez rester neutre !
- Désolé professeur, Ginny tire et elle... ELLE MARQUE ! ! ! ! ! 20 – 0 pour Gryffondor dit Colin à moitié en train de crier.
Pansy fit alors une passe longue à Nicolas qui le passa à Sébastien. Entre temps Anne – Laure était revenue avec une tête énorme. Elle prit alors la batte de Goyle et prit sa tête comme cognard ce qui le fit tomber de son balai.
- Madame Bibine siffle une faute et donne un penalty aux Gryffondor. Je tiens à remercier Picquet pour cette formidable frappe, ça m'évitera de le faire, dit Colin
- Mr Crivey ! entendais t'on dire le professeur Mc Gonagall par le microphone
- Aïe Madame ! Non, s'il vous plait Madame rendez moi le micro ! Je le referais plus je vous le promet ! dit Colin à travers le micro
Dans les tribunes tout le monde était écroulé de rire en entendant Colin se débattre avec le professeur Mc Gonagall.
- Merci professeur. Bon finalement après une brusque interruption... Rappelez moi que après je dois appeler SOS enfants sorciers battus...Aïe Madame ! Vous me faites mal ! C'est bon je continue le commentaire du match...Voilà, donc penalty en faveur de Gryffondor. C'est Ginny qui a l'honneur de tirer ce penalty. Elle se concentre... Fais appel à la foooorce (voix comme Yoda dans Star Wars lol !) !Et elle.. ELLE MA... Oh non ! Elle manque son tir de 2 mètres !
Ce fut alors la déception chez les Gryffondors mais ils se ressaisirent vite. A ce moment là, Harry aperçu le vif d'or juste à côté de Demzela. Il fonça alors vers Demzela à toute vitesse. Ayant compris ce qui se passait, elle s'écarta à toute vitesse et s'empara de son côté du souaffle. Laurène avait également compris que Harry avait vu le vif d'or. Elle fonça en sa direction le colla. Le vif d'or n'était que à quelque mètres encore du bras de Harry. Encore quelques mètres et ils auraient gagner le match. Il donna encore plus de puissance à son éclair de feu. Il entendait des échos du commentaire de Colin. Gryffondor menait 60 à 20. Le vent lui tapait aux oreilles et ne voyait plus que le vif d'or. Encore deux mètres avant la victoire. 70 à 20 en faveur de Gryffondor. Mais Harry n'arrivait pas à semer Laurène. Pourtant elle n'avait que un Nimbus 2001. Un mètre cinquante. Harry tendit son bras aussi loin qu'il put et maintenant à peine cinquante centimètre le séparait du vif d'or. Il arrivait de plus en plus près du vif d'or, dix centimètre, puis 5 puis sa main se referma sur la petite boule or. Harry remonta alors en piqué la main en l'air serrant toujours le vif d'or dans sa main tandis que Madame Bibine sifflait la fin du match.
- GRYFFONDOR GAGNE ! ! ! 220 à 20 ! hurla Colin dans le microphone, sautant presque sur place. BRAVO GRYFFONDOR ! GRYFFONDOR GAGNE LA COUPE DE QUIDDITCH ! !
Dans le stade, tout le monde était content et criait dans tous les sens. Dans les tribunes, le sélectionneur paraissait satisfait et écrivait quelque chose sur un papier tandis que Harry brandissait le trophée pour que tout le monde puisse le voir. Puis après de longues minutes, les élèves partirent des gradin et les deux équipes se trouvèrent face à face attendant le sélectionneur. Ron était devenu tout pâle, ne sachant pas si il allait être sélectionné ou pas. Puis le sélectionneur arriva, la mine réjouie avec le professeur Mc Gonagall et les directeurs des deux maisons, le professeur Krum et le professeur Slughorn. Puis le sélectionneur se mit à parler.
- Je me présente, je suis Bryan Mc Leod, sélectionneur de l'équipe des Canons de Chudley. Tout au long de ce match je vous ai observé et juger et je dois dire que certains d'entre vous ont très bien jouer. Certes il y a eu quelques bavures, mais ça arrive quand on joue au Quidditch, dit il en regardant la poursuiveuse de Serpentard, ainsi que Goyle. Mais venons en aux faits. La sélection. Les sélectionnés sont....Avant de dire les sélectionné, vous avancerez d'un pas, j'aurais quelques mots à vous dire après. Alors, les sélectionnés sont : Ronald Weasley, en tant que gardien, Harry Potter en tant qu'attrapeur, Ginny Weasley en tant que poursuiveuse (et oui, je sais encore eux, mais j'avais pas envie de mettre ces connards de Serpentards surtout que y en a trois que je connais et que c'est des vrai connard : cf. les trois poursuiveurs) et je crois que c'est tout... Ah non, encore Szarlotka Guip en tant que poursuiveuse. Félicitation à toutes et à tous, ceux qui n'ont pas été sélectionnés vous pouvez rejoindre vos camarades.
Ron avait l'air d'être aux anges, il ne réalisait pas encore qu'il était sélectionné dans son équipe préférée. Quant aux autres, ils étaient tout aussi satisfait, d'avoir été sélectionnés. Harry s'imaginait déjà affronter d'autres équipes en coupe du monde. Puis Mc Leod repris la parole.
- Oui, bravo, bravo. D'après ce que votre directeur de maison m'a dit, certaines personnes ont encore une année devant eux. Je pense à vous mesdemoiselles Weasley et Guip. Donc, ce que nous allons faire, c'est que nous garderons encore les deux poursuiveurs que nous avons pour le moment, et dans deux ans, vous rejoindrez l'équipe. Quand à vous messieurs, votre entraînement commencera dès cet été. Vous recevrez encore un hiboux d'ici là pour vous dire quand et ou. Sur ce je vais vous laisser fêter cette bonne nouvelle entre amis et camarades. Bonne après midi !, finit il par dire en s'en allant.
- Au revoir ! dirent ils tous en cœur, le sourire aux lèvres
- Cette sélection ne doit pas vous monter à la tête, dit alors le professeur Mc Gonagall. Il faut aussi penser à réussir vos ASPIC. Ils arrivent bientôt !
- Oui, professeur ne vous inquiétez pas, on va réussir nos examens, dit Harry, le sourire aux lèvres.
Le professeur Mc Gonagall sourit et les regarda s'éloigner du terrain. Quand le quatuor fut arrivé dans la salle commune, tout le monde cria, heureux qu'ils soient arrivés.
- Aaaah ! Voilà le reste de l'équipe ! dit Colin.
Puis Colin se mit sur une table et commença à parler.
- Bienvenue à la fête de la victoire de Gryffondor, organisé par moi et mon frère Dennis, pour honorer nos champions, ainsi que nos quatre sélectionnés ! Bravo à vous ! dit il en applaudissant
- Merci Colin ! Merci Dennis ! Merci à tous ! dit Harry. La victoire ne reviens pas seulement à ceux qui ont été sélectionnés, mais au reste de l'équipe aussi. Mais également à vous tous qui nous avez supporter du début à la fin !
- C'est trop d'honneur, Harry !dit Colin. Maintenant que la fête commence !
Harry se dirigea alors vers Colin avec Ginny et dit au jeune homme.
- Bravo pour ton commentaire quand Picquet à prit la batte à Goyle et lui a foutu dans sa poire, ça m'a fait rigoler. Mais c'était osé de dire ça devant le sélectionneur et le professeur Mc Gonagall.
- Tant pis, ce qui est fait est fait, conclua Colin d'un air satisfait.
Puis il partit avec ses amis dans un coin de la salle commune à faire les zouaves et à animer la fête. Pendant ce temps là, Harry et Ginny avaient rejoints Hermione, Ron et Drago. Tout le monde paraissait satisfait et rigolait de bon cœur.
- Alors, Ron ? Heureux d'être sélectionné ? demanda Harry en souriant
- Je crois que y a pas plus heureux que moi ! Une petite amie géniale, un enfant et une sélection ! Qu'est ce qui peut m'arriver de mieux ! répondit Ron le sourire jusqu'au oreilles
- Que l'enfant soit pire que toi en cours ! répondit Hermione en rigolant
Ron rougit légèrement mais ne dit rien, il se contenta simplement d'embrasser Hermione.
- Et toi Ginny, tu t'attendais à être sélectionnée ? demanda Hermione
- Franchement ? demanda la jeune fille. Non. Je ne m'y attendais pas. Je pensais seulement qu'il allait sélectionner ceux de septième année et pas ceux des autres années. Mais je suis contente !
- Vous savez quoi ? Je crois que vous devriez écrire une lettre à vos parents pour qu'ils sachent que vous avez été sélectionnés, dit Harry
- Ouais, je vais le faire, dit Ron.
- Non, c'est moi qui le fait ! dit Ginny, qui commençait un peu à s'énerver
- Ok, ok, c'est bon tu le fais, mais tu me laisse mettre un mot, dit Ron en ronchonnant.
- Bien sûr ! dit elle en allant dans le dortoir des filles chercher un parchemin.
La salle était bondée et on arrivait presque plus à passer. Ginny dut pousser beaucoup de monde pour qu'elle puisse enfin accéder à son dortoir. Quelques minutes plus tard elle revint avec son parchemin et sa plume.
- Alors... dit elle en s'installant près de Harry.
Salut maman, salut papa,

J'espère que vous allez bien, là bas au Terrier. Moi je vais très bien, je suis contente car j'ai été sélectionnée pour jouer chez les Canons de Chudley. Harry a aussi été sélectionné et une autre fille de la même année que moi a aussi été sélectionnée. C'était géant ! Le sélectionneur était venu nous voir jouer contre les Serpentards en finale de la Coupe de Quidditch ! C'était fantastique ! On a gagné 220 à 20 ! Faut dire que Harry nous a bien entraîné !

Bon je vous laisse, Ron voulais vous dire quelque chose aussi.
Ginny

Salut à tout les deux !

Je suis trop heureux j'ai aussi été sélectionné pour jouer chez les Canons de Chudley ! Harry et moi on devrait recevoir une lettre cette été pour commencer l'entraînement. Ginny et l'autre fille qui ont été sélectionnées vont recevoir leur lettre l'an prochain !

Bon je vous laisse, on est en train de fêter notre sélection et notre victoire.

Ron

La fête dura jusqu'à tard dans la nuit, jusqu'à ce le professeur Krum vienne les rappeler à l'ordre.[/b]

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

- Allons, allons ! La fête a assez durée, vous pourrez toujours continuer demain, mais pas aujourd'hui. Maintenant il faut allez se coucher !Allez au trot !
Tout le monde maugréa contre Krum et monta tout doucement se coucher. Puis pendant que Harry montait, Krum l'interpella.
- Harry ! Viens vite s'il te plait.
Harry parut étonnée que un professeur veuille lui parler à cet heure là. Il se dirigea alors lentement ver Krum et attendit.
- Bravo pour ta sélection. Tu dois sans doute le savoir, je suis toujours dans l'équipe de Bulgarie. Si jamais on se rencontre lors d'un match, donne le meilleur de toi même. Tu es aussi bon que moi, finit il par dire en lui faisant un clin d'œil. Allez va te coucher maintenant.
Harry parut étonné que Krum lui dise ça mais ne montra pas son étonnement. Il monta alors se coucher et vit que Ron dormait déjà. Harry sourit et enfila son pyjama et se mit au lit. Il aurait voulut réfléchir à ce qui venait de ce passer durant cette journée, mais n'y parvint pas, ses paupières se fermant contre son gré. Il dormit alors d'un sommeil lourd et sans rêve et dormit longtemps le lendemain matin.
Le lendemain vers 10 heures, Harry se réveilla et vit que Ron n'était plus dans son lit. La plupart de ses camarades dormaient encore et il descendit lentement les escaliers pour ne pas les réveiller. Dans la salle commune il ne trouva aucune trace de Ron. Puis il vit un morceau de parchemin sur une table écrite de la main de Ron. Elle disait qu'il était parti faire un tour avec Hermione. Il avait dit aussi qu'ils étaient partis vers 9 h 45 et que Ginny dormait encore. Harry brûla le parchemin et décida d'attendre Ginny pour qu'ils puissent aussi faire un tour. Un quart d'heure plus tard, Ginny descendit et alla rejoindre Harry.
- Salut Harry, dit elle en l'embrassant. Ca va, t'a passé une bonne nuit ?
- Oui, très bonne. Ca te dirait d'aller faire un petit tour, rien que nous deux ?
- Bah, ma foi, oui, pourquoi pas ! Mais d'abord on mange quelque chose. J'ai la dalle moi ! dit elle en se massant le ventre
Harry rigola et prit Ginny par la main. Ils mangèrent donc quelques toast et un peu d'œuf sur le plat et sortirent dans le parc. Ce jour là il faisait beau, annonçant ainsi l'arrivée des beaux jours, donc du printemps. Harry s'allongea sur l'herbe encore fraîche tandis que Ginny reposait sa tête sur le ventre à Harry.
- Ta recherche de Horcruxes, elle avance ? demanda alors Ginny après un long moment de silence.
- Oui, ça avance. Il ne me reste plus que Voldemort, Nagini et un objet de Serdaigle. Je pense que l'objet de Serdaigle je pense que je vais m'y mettre cet après midi. Tu pourras m'aider si tu veux, dit Harry
- D'accord, je viendrais t'aider. On s'était arrêter ou l'autre fois ?
- Il me semble qu'on avait arrêter au deuxième étage. On allait le commencer. Pour l'instant on laisse tomber les salles de classes, on cherche seulement les salles qui sont susceptible d'être une salle de trophée.
- Ok, chef ! dit Ginny en rigolant
- Toi tu te porte bien ? Le gamin ne te fait pas trop souffrir ? demanda Harry soudain inquiet
- Non, ça va. Pour l'instant ça va. On est encore tranquilles tant qu'il n'est pas encore sorti ! dit Ginny en se massant le ventre.
- C'est prévu pour quand ?
- Juillet normalement... Si tout va bien, répondit Ginny. Donc dans 5 mois.
- Oh, on a encore le temps...dit Harry
Le temps passa ainsi lentement à parler de tout et de rien jusqu'à ce que l'estomac de Ginny criait famine. Ils se rendirent dans la Grande Salle, mangèrent rapidement et partirent à la recherche des Horcruxes.

Arrivés au deuxième étage, ils regardèrent dans toutes les salles mais ne trouvèrent rien de concret. Ils continuèrent ainsi dans tout le château jusqu'à ce qu'ils aient finis.
- Bon, je crois que c'est fichu dit Ginny. On a fait toutes les salles et on a rien trouver qui pourrait ressembler à une salle de trophée...
- Faut pas s'abattre maintenant. On va regarder les salles de classes et on va bien les examiner, dit Harry aussi abattu que Ginny
- D'accord, allons y... dit Ginny complètement démotivée.
Puis ils repartirent dans toutes les salles de classes. Ils ne trouvèrent rien jusqu'à ce qu'il arrive dans la classe des sortilèges et enchantements. Ginny avait trouvé une porte secrète qui donnait sur un long couloir étroit et sombre.
- Harry vient voir... J'ai trouvé quelque chose...
Harry courut presque et ne vit que du noir...(logique, si c'est un couloir sombre...)
- Allez, on y va... Lumos !
Ginny le suivit alors à travers se long tunnel sans fin
- Fais gaffe ou tu marche Ginny, c'est un peu gluant et tu risques de glisser, dit Harry
- T'inquiète pas pour moi, ça va aller
Puis tout à coup...
- Wouaou ! dirent Harry et Ginny en cœur
- C'est beau ! dit Ginny ! J'ai jamais vu autant de trophée de toute ma vie !
- Allons y. Regarde si tu trouve un objet pouvant appartenir à Serdaigle. Moi je regarde de ce côté
Puis chacun de leur côté ils partirent à la recherche d'un objet appartenant à Serdaigle. Puis finalement au bout de quelques minutes, Harry dit.
- Là c'est bon je l'ai trouver. C'est un petit oiseau en or sur un socle. C'est plutôt pas mal. C'est beau, dommage de le détruire... Destructum !
Puis peu à peu l'oiseau commença lentement à ce désintégrer, comme si on lui avait verser un acide très puissant dessus qui faisait fondre toute sorte de pièces, même le diamant.
- Voilà un de plus de détruit... dit Harry en le regardant se désintégrer.
- Prochaine étape avant Tu – Sais – Qui : Nagini, reprit Ginny
- Le problème c'est que Nagini est toujours avec Voldemort. Si je détruit Nagini, je devrais affronter Voldemort en même temps... Je ferais ça en mai comme ça... Comme ça je passe un peu de temps avec ma chérie, dit Harry en l'embrassant tendrement. Ca te dit d'aller faire un tour dans la salle sur demande ?
- Pourquoi pas, dit elle en souriant avant de l'embrasser à son tour.
Puis tous les deux mains dans la main, ils se dirigèrent vers la salle sur demande. Après quelques minutes de marches, ils arrivèrent au septième étage et après être passé trois fois devant le mur, ils entrèrent dans la salle. A l'intérieur se trouvait un grand lit, et une table en plein milieu. D'un côté de la salle se trouvaient plusieurs fenêtres où on voyait le lac et le soleil disparaître lentement à l'horizon. Ils restèrent un long moment à regarder le coucher de soleil avant de passer à table. Au milieu de la table trônait un grand bol de spaghetti bolognese ( :bave: ). Ils mangèrent donc avec appétit en parlant de tout et de rien, de la fin des cours et des Horcruxes. Le lendemain matin, vers 7 h 00 Harry se leva et réveilla tout doucement Ginny qui dormait à ses côtés.
- Ginny ? dit il doucement
- Mmmh ? répondit elle, en ouvrant un peu les yeux
- C'est l'heure de se lever. Dans une heures on commence les cours...
- Déjà ? Bon allons dans la Grande Salle, finit elle par dire d'une voix encore ensommeillée
Ils s'habillèrent vite fait et descendirent dans la Grande Salle ou ils trouvèrent Ron, Hermione et Drago.
- Alors les amoureux ? demanda Drago une fois que Harry et Ginny s'étaient installés. Vous étiez passé où hier ?
- On est parti se promener le matin et l'après midi on est allés à la recherche du dernier horcruxes avant Nagini et Voldemort. Et le soir on est allés à la salle sur demande. Mais on a juste manger et regarder le ciel c'est tout ! dit Harry en voyant le regard plein de sous entendu de Hermione.
- Mouais, c'est ce qu'on dit ! Je plaisante Harry ! Je sais que vous avez rien fait, dit Hermione en souriant. En parlant de Horcruxes... Vous avez détruit lequel ?
- L'objet de Serdaigle. Un très bel objet si tu veux mon avis. Dommage que Tu – Sais – Qui l'ai pris pour Horcruxes, dit Ginny, en mangeant son toast.
- Et Nagini et Tu – Sais – Qui, tu vas les détruire quand ? demanda Ron
- En Mai, je pense. On verras encore comment on sera avec le temps. Maintenant qu'on a plus nos entraînement de Quidditch, je peux toujours faire un plan d'attaque comme qui dirait, dit Harry
Hermione haussa les épaules, mais ne dit rien et continua à manger. Une demi heure plus tard, ils remontèrent prendre leur affaires pour les différents cours de la journée. Ils commençaient par Défenses contre les Forces du Mal. Ils arrivèrent devant la salle et déjà quelques élèves étaient entré et attendaient le professeur Lupin. La cloche sonna le début du cours, mais toujours pas de professeur Lupin en vue. Dix minutes plus tard, Hermione décida d'aller voir si le professeur Lupin était dans son bureau en train de finir son cours. Elle toqua et pas de réponse. Elle rentra dans le bureau et trouva un Lupin en train de rêver.
- Professeur ? dit Hermione
- Oui ? dit il les yeux rivés vers la fenêtre
- Est ce que vous avez oubliez que vous avez cours avec nous ce matin ?
- Oh, mon dieu ! C'est vrai ! J'ai complètement oublié ! dit il en tombant à moitié à la renverse ( arf, ça m'est déjà arrivé qu'un prof en Nouvelle Zélande oublie de nous faire cours, lol ! Il avait oublié qu'il avait un cours de tourisme avec nous ! Remarque on aurait rien fait avec ou sans lui lol !)
Le professeur Lupin se leva et descendit dans la salle de classe, suivit d'Hermione.
- Bonjour à tous et désolé du retard, j'était en train de rêver et j'avais complètement oublié que j'avais cours avec vous. Je me croyais déjà en vacances ! Bon. Le cours. On va faire la même chose que la dernière fois. Mettez vous par deux et entraînez vous. Je passerais et je vous donnerais des conseils.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 18 : Le bal de la Saint Valentin

Un peu perturbé que le professeur Lupin ait put les oublier, les élèves se mirent lentement au travail. Harry s'était mis avec Hermione et Ron avec Drago.
- Alors, Harry, prêt à ce que je découvre tes souvenirs ? demanda Hermione en rigolant
- Tu crois pouvoir m'avoir aussi facilement ? dit Harry en rigolant à son tour. Bon allez hop, on commence. A toi l'honneur.
- Bon, si c'est à moi l'honneur... 1, 2, 3... Occlumens !
La défense de Harry tenait beaucoup plus longtemps que les autres fois, mais pas assez longtemps pour pouvoir déstabiliser Hermione. Au bout d'une trentaine de seconde, Hermione parvint à briser la défense de son frère.
Elle le vit alors quand il était bébé, face à Voldemort, la lumière verte, lui sur la moto volante avec Hagrid, lui, à l'école du quartier quand il avait malheureusement atterri sur le toit de l'école alors qu'il tentait de fuir la bande à son cousin, la fois ou il avait lâché le boa constrictor sur son cousin, puis sa lettre pour Poudlard que son oncle prenait le plaisir de les brûler, puis quand Hagrid était venu le chercher dans la maison sur le rocher, son affrontement avec Voldemort sous la trappe, Hermione pétrifiée, la chambre des secret ou il avait sauvé Ginny, lorsqu'il avait découvert que Sirius était son parrain, le tournoi des trois sorcier avec la mort de Cédric, puis cette vieille pie de Ombrage qui s'était nommée Grande Inquisitrice de Poudlard, l'AD, la mort de Sirius, puis la mort de Dumbledore quand Harry était en sixième année, son premier baiser avec Ginny, la chambre du chaudron baveur...
A ce moment là Hermione arrêta et vit que Harry était devenu tout rouge. Juste au moment ou Hermione avait arrêté, le professeur Lupin arriva.
- C'est bien, Harry, mais ne lâche pas ta concentration. Ton ennemi ne te préviendra pas quand il te lancera ce sort. Continuez à vous exercer, c'est déjà bien comme ça.
Harry et Hermione avaient sourit puis continuer à s'exercer.
- Bon, maintenant, c'est moi qui te lance le sort. T'es prête ? dit Harry une fois que le professeur Lupin était parti
- Bien sûr ! Vas y, répondit la jeune fille
- 1, 2, 3... Occlumens !
La défense de Hermione était solide, on pouvait difficilement la vaincre. Finalement au bout d'une minute, sa défense se dispersa et Harry put voir dans les souvenirs de Hermione. Il vit alors un petite fille dans une chambre avec un petit garçon et une femme. Il vit la femme prendre Hermione et transplaner. Puis il vit Hermione un peu plus grande, recevoir la lettre pour Poudlard, au moment où elle avait sauté de joie, une autre fois quand elle avait lu tout les livres concernant Harry, puis la fois sous la trappe quand ils avaient jouer aux échecs, puis quand elle avait aperçu dans le miroir le basilic, puis l'évasion de Buck et de Sirius, la S.A.L.E, la fois ou elle avait été invité par Krum au bal, la première fois que Krum l'avait embrasser, puis l'immonde Ombrage, l'AD, l'enterrement de Dumbledore, puis, la fois ou Ron lui demander de sortir avec lui, la fois où il l'avait demander en mariage, puis sa grossesse.
Juste à ce moment là, la cloche sonna, annonçant ainsi la fin du cours.
- Bravo tout le monde vous arrivez déjà bien à vous défendre, mais il faut que vous sachez que votre ennemi ne vous dira pas quand il va attaquer. Donc soyez prudent et toujours prêts à vous protéger. Vous pouvez y aller. A la prochaine fois.
Les élèves sortir alors tout doucement de la salle de classe quand un hibou vola droit sur Ron, percutant le mur de plein fouet, provoquant l'hilarité générale.
- Maudit hibou ! Une fois que j'aurais assez d'argent j'achèterais un nouveau hibou pour les membres de la famille, dit Ron en prenant la lettre de la patte de Errol
- Même à Perçy ? demanda Hermione
- Non, pas à cet idiot de première, rétorqua Ron. Ah ! une lettre de la maison. Errol, viens.
Le hibou assommé reprit lentement ses esprits vola jusqu'à l'épaule de Ron et lui mordilla affectueusement l'oreille.
Cher Ron, chère Ginny et les autres, disait la lettre,

Vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis heureuse que vous soyez sélectionné dans l'équipe des Canons de Chudley. Pour la peine Harry et Hermione peuvent venir à la maison passer les vacances de février. On va fêter ça comme il se doit. Fred et Georges seront là également, et Bill et Fleur ( :banzai: ) seront là également. D'après ce que Bill m'a dit, Fleur est enceinte. (je sais y a beaucoup de personnes qui sont enceinte, mais je travaille avec des produits qu'on donne aux femmes enceintes :fou: )

Bref, au plaisir de vous revoir,

Bisoux,

Maman et Papa

Pendant que Ron avait lu la lettre, ils s'étaient dirigés vers la grande, afin qu'ils puissent prendre leur repas du midi. Entre temps, Ginny les avait rejoints, peu après que Ron ait commencé de lire la lettre.
- Oh non ! Y a Fleurk qui sera là !dit Ginny, un peu en colère. En plus elle est enceinte ! Je parie qu'elle va pas rater l'occasion de m'énerver car elle va croire que j'ai prit trop de poids ! La nourriture de Poudlard fait grossir ! lol !
- Tu crois que moi elle va pas m'énerver aussi a cause de mon ventre ! dit Hermione
- Enfin, on verra bien... conclua Ginny. Allons manger... Allons grossir encore un coup...
Tout le monde rigola un bon coup et s'assirent près de leur camarades.
- On a quoi cette après midi ? demanda Ron
- Libre, dit Hermione. Mais on va réviser un peu, reprit elle en voyant que Ron voulait répliquer
- Je vous rappelle aussi que le bal de la Saint Valentin est dans une semaine, dit Harry
- Déjà ? dit Drago. Je reviens tout de suite !
Puis il parti à toute vitesse vers la table des Serdaigles, demander quelque chose à Isabelle. Puis quelques secondes plus tard, il revint le sourire aux lèvres.
- Ca y est c'est bon je lui ai demander, elle est d'accord pour m'accompagner au bal.
- Pourquoi est ce qu'elle ne serait pas d'accord ? demanda Ginny
- Bah, je sais pas, elle aurait pu changer d'avis ? proposa Drago en guise d'excuse.
Mais elle a pas changer d'avis, c'est l'essentiel ! dit Harry en souriant. Moi je propose qu'on aille faire un tour à Pré au Lard cet après midi, pour vous les filles. Je suppose que les robes que vous avez eu au bal de Noël sont trop serrées, n'est ce pas ?

-
Hermione dut alors avouez que Harry avait raison, elle repoussa donc les révisions au week end. Ils se dépêchèrent alors de manger et se dirigèrent vers Pré au Lard. Drago avait demander à Isabelle si elle avait voulu l'accompagner, proposition qu'elle accepta volontiers. Avant que chacun parte de son côté ils s'étaient tous donnés rendez vous chez Madame Rosmerta deux heures plus tard. Puis chacun partit de son côté, avec sa partenaire choisir la robe de soirée qui lui irait le mieux. De leur côté, Harry et Ginny étaient partis vers chez Honeydukes prendre quelques confiseries et regarder quelques vitrines, avant de trouver, une heure plus tard, un magasin qui vendait des robes de soirées.
- Allez, viens, je crois avoir trouver une robe pour toi, Ginny, dit Harry, en prenant Ginny par la main et l'entraînant dans le magasin.
A l'intérieur du magasin, une robe bleue pailleté trônait en plein milieu du magasin. Les yeux de Ginny pétillaient devant la robe.
- Elle te plait ? demanda Harry
- Bien sûr qu'elle me plait ! On peut vraiment dire que tu as du goût, Harry ! dit elle en lui déposant un baiser sur la joue
- Dans ce cas, je reviens tout de suite, attends moi ici...
Puis, quelque minutes plus tard, Harry revint avec la vendeuse et lui dit.
- Voilà ma copine voudrait bien avoir cette robe. Est ce que ce serait possible de la faire sur mesure ? demanda Harry
- Bien sûr ! dit la vendeuse. Je peut même vous la faire tout de suite ! Mademoiselle, si vous voulez bien vous prendre la peine de me suivre ?
- Bien sûr, dit Ginny
Ginny regarda Harry avec un regard qui voulait lui dire « On a atterri dans un magasin de bourge où quoi ! » Harry dût se retenir de rire, et se contenta simplement de sourire en regardant Ginny s'éloigner avec la vendeuse. Une demi heure plus tard, Ginny revint avec sa robe sur mesure, qui lui allait à merveille. La vendeuse avait même rajouté sa touche personnelle. Un diadème en argent qui scintillait et des gants qui remontaient jusqu'aux coudes (ça fait très chic, lol !) La vendeuse leur ajouta aussi un magnifique costume qui était prévu pour aller avec la robe, pour Harry. C'était un costume Christian Dior (lol ! J'innove !). Harry et Ginny décidèrent donc d'acheter la robe qui coûtait en tout 1 200 Gallions. Ils leur restait donc encore un quart d'heure avant de rejoindre les autres chez Madame Rosmerta. Ils remercièrent la vendeuse et se dirigèrent lentement vers chez Madame Rosmerta.
- Ginny ?
- Oui ?
- Tu peux me promettre quelque chose s'il te plait ? demanda alors Harry
- Bien sûr, dit Ginny
- Est ce que tu peux me promettre de ne montrer ta robe à personne, jusqu'à la semaine prochaine, jusqu'au jour du bal ?
- A vos ordres mon adjudant ! Je ne faillirait pas à ma tâche ! dit Ginny en parlant comme un soldat de l'armée
Tous les deux rigolèrent et, finalement après cinq minutes de marche, ils arrivèrent enfin chez Madame Rosmerta. Drago et Isabelle étaient déjà arrivés, et Isabelle avait un grand paquet à côté d'elle. Ils avaient déjà commander une bièreaubeurre. Harry et Ginny s'installèrent à côté et commandèrent également une bièreaubeurre.
- Salut les amoureux ! dit Harry en souriant. Ca va ?La chasse à la robe était bonne ?
- Très bonne mon cher Potter ! dit Drago en rigolant. Nous avons fait une bonne chasse à un très bon prix ! Et vous ? La chasse était bonne aussi ?
- Très bonne mon cher Malefoy ! Nous avons fait une bonne affaire ! Deux pour le prix d'un !
Harry et Drago rigolèrent de bon cœur, tandis que Isabelle et Ginny se regardèrent bizarrement.
- Je crois qu'ils ont un peu trop fumé... Ils ont fumé quoi à ton avis ? demanda Isabelle
- Je crois qu'ils ont fumé plusieurs arbres... J'ai vu qu'il en manquait dans la forêt interdite, répondit Ginny
Cette fois ci, ce fut au tour de Ginny et Isabelle de partir en fou rire.

Au moment ou tout le monde rigolait, Ron et Hermione entrèrent dans le pub de Madame Rosmerta.
- Je vois qu'on s'amuse comme des fous ici ! dit Hermione, son paquet sous le bras
- Deux bièreaubeurres, s'il vous plait, dit Ron à l'attention de Madame Rosmerta.
- La chasse était bonne Ron ? demanda Harry en séchant les larmes qui coulaient sur ses joues
- Quelle chasse ? répondit Ron
- La chasse à la robe mon vieux ! dit Harry qui recommençait à rigoler
- Ah, oui ! Oui, oui, elle était bonne !
- Oulà, Ron...T'a fumé un arbre là Ron, c'est pas possible autrement ! dit Hermione.
- T'a pas remarqué qu'il manquait plusieurs arbres dans la forêt interdite ? demanda Ginny
- Ah si je me disait bien ! Je me demandait bien où ces arbres étaient passés ! dit alors Hermione en rigolant.
Tout le monde rigola quand le professeur Dumbledore arriva. Il les vit en train de rigoler, commanda vite fait un Whisky pur feu et alla s'installer à sur table.
- Bonjour tout le monde. On rigole bien à ce que je vois, dit Dumbledore.
- Bonjour tonton Albus ! ( :arf: !) dirent Harry et Hermione
- Bonjour Albus ! dirent Ginny, Ron, Drago et Isabelle
- Vous avez fait vos achat pour le bal de la Saint Valentin à ce que je vois, dit Dumbledore
- Oui, on avait un peu trop manger ! dit Ginny... Tiens, en parlant de manger... J'ai faim...
- Encore ! dit Harry
- Remarque moi aussi j'ai faim... dit Hermione, en se grattant la tête
- Toi aussi tu commence à penser qu'à ton estomac ! dit Ron en rigolant
- Moins que toi en tout cas ! dit Hermione en rigolant à son tour.
Puis Harry commanda un plat pour tout le monde et Ginny et Hermione avaient même eu le droit à une double ration de nourriture.
- Au fait, est ce que Voldemort sait que tu es de retour ? demanda Harry
- Non, il n'est pas au courant...Tiens je vais lui faire cette surprise quand tu va aller l'affronter, dit Dumbledore, d'un air satisfait.
- Oui, je me sentirais aussi un peu rassuré... dit Harry, en regardant son plat
Finalement, vers 17 heures tout le monde rentra à Poudlard, le ventre rempli et leur paquet sous le bras. Une fois dans la salle commune, Harry, Hermione, et Ginny allèrent déposer leur paquet dans leur dortoir et rejoignèrent Drago et Ron.
- Alors Ginny, vous avez acheté quoi comme robe ? demanda Ron
- Vous voulez vraiment le savoir ? demanda Ginny
- Oui ! répondirent ils tous en cœur
- Ah, bah vous le saurez pas ! Nananananèreeeuh ! dit elle. Non, sérieusement. Vous le verrez bien au bal la semaine prochaine
Tout le monde parut déçu et ne dit plus rien su ce sujet.
- Tu pense qu'on va recevoir nos lettres quand pour le Quidditch ? demanda Ron
- Je pense d'ici le mois de juillet on devrait les avoir... Au fait Hermione, c'est prévu pour quand ? Aussi pour juillet ? demanda Harry
- Oui dans ces environs là... dit elle après un court moment de réflexion
- Bah dis donc ça en fera pour le mois de juillet. Et le mariage ? continua Harry
- Le 1er août, dit Ron. T'es aussi invité Drago. Et Isabelle aussi.
- Parfait au moins quelque chose qui n'est pas au mois de juillet, plaisanta Harry.
Ils continuèrent à parler ainsi jusqu'à 21 heures, au moment ou Hermione décida qu'il était temps d'aller se coucher.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Le vendredi soir, un portoloin attendait Harry, Ron, Hermione et Ginny dans le bureau du professeur Mc Gonagall.
- Allez, dépêchez vous. Départ dans une minutes ! beugla le professeur Mc Gonagall.
Ils se regroupèrent tous autour du portoloin et mirent une main dessus.
- 30 secondes...
Bientôt, Harry allait revoir le Terrier et il en éprouvait une joie immense.
- 5, 4, 3, 2, 1.... TOP
Harry se sentit tournoyer pendant quelque secondes et atterrir sur quelque chose de dur. Puis, avant qu'il puisse se relever, quelqu'un tomba sur lui.
- Aïe ! dit Harry
- Désolée, dit Hermione.
- Ah, c'est toi.. Je croyais que c'était Ron...
- A cause de quoi ? demanda Hermione qui ne voyait pas de quoi il voulait parler.
- Du poids !
Ils se relevèrent péniblement quand Mrs Weasley arriva.
- Ah ! Mes chéris vous êtes là ! dit elle en les embrassant très fort, les étouffant à moitié. Venez, tout le monde est déjà dans la cuisine.
Quand ils arrivèrent dans la cuisine, Fred et Georges levèrent les bras en même temps et dirent :
- Aaaah ! Voilà nos héros !
- Content de vous voir saint et sauf ! dit Georges
- Bah oui, on est toujours en vie, à notre grand bonheur ! dit Ginny en rigolant. Salut tout le monde !
Apparemment Bill et Fleur n'étaient pas encore arrivé. Voyant que Ginny regardait vers les deux chaises qui étaient vides et le regard interrogateur qu'elle lui lança, Mrs Weasley dit.
- Ils devraient arriver d'ici quelque minutes. Ils m'avaient prévenus qu'ils auraient un peu de retard...
- Ah d'accord.
Ils se mirent tous à table et un quart d'heure plus tard, environ, Bill et Fleur arrivèrent avec douze paquets cadeaux, trois plats et trois un peu plus gros.
- Eh ! C'est noël ! dit Fred en plaisantant
Tout le monde rigola, tandis que Fleur et Bill s'installaient. Ron, Fred et Georges avaient les yeux rivés sur les paquets que Bill et Fleur avaient apporté. Après s'être assuré que tout le monde était bien présent, Mrs Weasley prit la parole.
- Donc, je voulais tout d'abord féliciter Harry, Ginny et Ron pour leur sélection dans l'équipe des Canons de Chudley...
- Quoi ? Ils ont été sélectionnés ! dit Fred, étonné. Alléluia ! Je reviens tout de suite !
- Amen ! Ils ont été sélectionnés ! dit Georges en rigolant. Attends Fred, je dois aussi chercher quelque chose !
Et tout les deux partirent en courant vers leur chambre. Pendant ce temps, tout le monde avait rigolé, et Mrs Weasley tapait nerveusement du pied, un peu mécontente qu'on l'ai interrompu.
- Donc je disais, avant que mes fils ne m'interromps, que je félicitait Harry, Ginny et Ron pour leur sélection chez les Canons de Chudley. Pour cette occasion, j'ai préparer un repas digne de ce nom. Voilà... Je crois que j'ai tout dit...
- Moi j'ai encore quelque chose à dire, dit Fleur dont l'anglais s'était amélioré depuis un an. J'ai donc apporter des cadeaux pour Arry, Ginny, Ron, Hermione, Fred et Georges.
- Mais je n'ai pas été sélectionné, moi ! Je suis même pas dans l'équipe ! protesta Hermione
- On s'en fiche, t'a des cadeaux quand même, plaisanta Ron, ce qui lui value une baffe de la part d'Hermione.
- Mais avant que je vous donne les cadeaux, on attends Fred et Georges...
Quelque minutes plus tard, Fred et Georges étaient revenus avec quelques une de leur inventions. Quelques fusebombes portatifs miniature, et un grand modèle à peu près aussi grand qu'une boule de cristal, ainsi que des pétards mouillés du Dr Flibuste.
- Ah c'est bon vous n'avez pas commencer la fête sans nous... dit Fred. Nous allons nos inventions ce soir quand il fera un peu plus nuit.
- Mais pour l'instant il y a du travail qui nous attends. Nous avons fait une trouvaille avant... dit Georges
- Pas d'invention pour le moment ! intervint Mrs Weasley. Votre invention attendra demain !
- D'accord, d'accord, dit alors Fred.
- Dis moi voir Fred, c'est pas dangereux ce fusebombe portatif aussi grand qu'une boule de cristal ? demanda Hermione
- Ca dépends dans quel sens tu veux dire dangereux ? dit Fred, en esquissant un sourire
- Dans le sens d'un bazooka...
- C'est quoi un bazooka ? demanda Fred
- C'est une arme où on place une mini bombe dedans, tu tires et ça explose, expliqua en gros Hermione
- Je crois que c'est à peu près ça... dit Fred en s'imaginant le bazooka
- Bon ! dit alors Fleur pour changer de sujet. Les cadeaux. Il y en a deux chacun !
- Chouette les cadeaux ! dit alors Georges
Puis, à l'aide de Bill, Fleur donna à chacun son paquet. Une fois que tout le monde avait eu son paquet, Fred et Georges se sont tout de suite ruer dessus pour savoir ce qu'il y avait dedans. Ginny, Ron, Harry et Hermione, prirent alors leur temps pour ouvrir les leurs. Ginny et Ron paraissaient ravis de leur cadeau. Ils avaient tous les deux reçu un nouveau balai. Ils avaient tous les deux reçu un éclair de feu ainsi qu'un nouvel uniforme de Gryffondor. Fred et Georges, eux avait reçu un set de fabrication pour leur farces et un livre sur les milles meilleurs farces jamais faites. Harry, quant à lui, il avait reçu un livre sur toutes les équipes de Quidditch qui ont marqué les siècles ainsi que les joueurs et un paquet de dragée surprises e Bertie Crochue. Hermione, elle, avait reçu un livre de métamorphose animale, moldue et sorcier et un drapeau des canons de Chudley. Pour supporter Ron, Harry et Ginny avait dit Bill.
Tout le monde paraissait ravi des cadeaux et remercièrent du fond du cœur Bill et Fleur. Fred et Georges étaient plongés dans leur lecteur et de temps en temps des éclats de rire sonores se firent entendre. Ron était tout de suite sorti avec son éclair de feu pour l'essayer, Et Ginny l'avait suivi de près. Hermione les regardait et avait mis le drapeau des Canons de Chudley sur son dos. Harry piochait déjà dans son paquet de dragée surprise, réprimant des fois du dégoût, car il tombait des fois sur de la bave de crapaud ou de la crotte de chien (comme dans American Pie 3 ou Stifler mange une crotte de chien. :malade: )

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Vers 21 heures, Fred et Georges avaient sorti leur pétards ainsi que leur fusebombes portatifs. Ils garderons le plus gros pour la fin, avait dit Georges. Ils firent donc exploser leur pétard provoquant un feu d'artifice digne d'une fête nationale. Puis vint le tour des fusebombes portatifs. Ils en avaient des petits et des moyens, d'où sortait de chaque fusebombes une tête de lion plus ou moins grosse selon la taille du fusebombe.
 Maintenant, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, voici le bouquet final ! Dit Georges. Ginny, Ron, Harry, à vous l'honneur de l'ouvrir., termina t'il en leur tendant la grosse boite.
Ginny prit la boite et à l'aide de Ron et de Harry, elle l'ouvrit et des milliers de petites étincelles rouges et or s'envolèrent dans le ciel pour former les mots suivant :
A Harry, Ginny et Ron, Bravo pour votre sélections chez les Canons de Chudley !
La famille Weasley

Le message resta au moins pendant deux minutes dans les airs, puis après, chaque lettre se transforma en petits oiseaux rouges et or virevoltant dans tous les sens. Un oiseau vint même se poser sur l'épaule de Harry et lui mordilla gentiment l'oreille. Les oiseaux restèrent encore un petit moment puis explosèrent provoquant ainsi un feu d'artifice, aussi fort qu'un tir de bazooka. Tout le monde avait applaudit Fred et Georges, qui paraissaient très fiers de leur invention. Il était près de 23 heures quand le feu d'artifice s'arrêta, et que Mrs Weasley décide qu'il était temps d'aller se coucher. Tout le monde maugréa un peu mais monta tout de même se coucher. Mrs Weasley avait laisse Harry dormir avec Ginny et Ron avec Hermione. Harry et Ginny auraient voulu encore discuter un peu de leur soirée, mais leur paupière se fermèrent contre leur gré.
Le lendemain matin un soleil resplendissant laissait filtrer quelques un de ses rayons dans le Terrier, apportant ainsi une agréable chaleur, malgré que dehors il faisait froid. Une odeur de bacon grillé s'ajoutait à cette douce chaleur, provoquant un véritable sentiment d'être en vacances. Quand tout à coup tout le monde fut réveillé par un cri strident qui provenait de la cuisine. Pris de panique, Ginny descendit les marches sans réfléchir et se dirigea vers la cuisine et fut paralyser en un rien de temps. Puis elle se ressaisit et remonta vite fait dans sa chambre pour chercher Harry.
 Harry ! Harry ! Dépêche toi ! dit Ginny en le secouant comme un prunier.
 Hé ! C'est bon j'arrive ! Qu'est ce qu'il y a !
 Tiens prends ta baguette, tu en aura besoin !
En bas on entendait une voix glaciale et doucereuse qui disait...
 Harry ? Harry, viens ici
Le sang de Harry se glaca alors et sentit sa cicatrice brûler. Alerté par le bruit, Ron, Hermione, Fred et Georges étaient arrivé en courant dans la chambre de Ginny.
 Harry ? Y a quelque chose qui ne va pas ? demanda Fred
 Voldemort est là... dit Harry d'une voix neutre en fixant le mur. Je vais de nouveau devoir l'affronter.
 Je viens avec toi ! dit Ron
 Nous aussi ! dirent en même temps Fred et Georges.
 Et nous aussi ! dit Hermione et Ginny
 Non ! protesta Ron. Vous restez ici. Cachez vous et restez y. On vous cherchera quand ce sera fini. Ecrivez une lettre à l'ordre du phénix pour qu'ils soient alertés. Maintenant !
Ginny fit une mine mélangée de dégoût et de désespoir, mais ne dit rien. Elle avait suivi Hermione à la recherche d'une cachette sûre. Pendant ce temps, Voldemort s'approchait tout doucement des escaliers, tandis que Fred et Georges étaient partis chercher quelques marécages pour lui lancer dans la figure. Voldemort montait tout doucement les escaliers en appelant Harry. Harry était tranquillement caché derrière une porte attendant que Voldemort arrive. Fred et Georges étaient de chaque côté de la sortie d'escalier et avaient tendu une sorte de fil invisible de façon à ce que leur ennemi se prenne le mur. De cette façon, Harry pourrait l'attaquer. Mais, Voldemort les avait aperçu mettre le fil et le brisa en un rien de temps.
 Hin hin ! dit Voldemort. Il faut être plus malin dans la vie
 Plus malin, vous dites ? Et ça c'est quoi ! dit Fred énervé en lui lançant un marécage en pleine figure de façon à ce que Voldemort ne puisse pas y échapper.
A ce moment là commença une véritable bataille de marécages ou avaient participé, Fred, Georges, Harry et Ron, quand tout à coup tous les membres de l'ordre du Phénix arrivèrent. Se sentant impuissant, Voldemort partit après avoir dire ces mots.
 Je t'aurais un jour Potter. Tu mourras comme ta sang de bourbre de mère est morte !
Puis il transplana sans dire autre chose. Puis, prit de panique, Fred, Georges, Harry, Ron, Ginny, Hermione, Bill et Fleur descendirent les escaliers pour savoir ce qui étaient arrivé à Mrs Weasley. Ils la trouvèrent en plein milieu de la cuisine, allongée, stupéfixiée. Fred la déstupéfixia ( je sais c'est vachement français) et guetta les moindres signes provenant de sa mère. Finalement, lentement, mais sûrement, Mrs Weasley se releva regardant autour d'elle et vit toute la famille Weasley ainsi que Harry et Hermione.
 Ah ! Mes enfants ! Vous êtes là ! Vous n'êtes pas blessés au moins ? demanda Mrs Weasley, anxieuse
 Non, ça va, maman, ne t'inquiète pas. Tout va bien, dit Georges
 Vous êtes sûr ?
 Mais oui ! dirent ils tous en cœur
 Bon, alors allons manger .
 OUAIS ! ! ! ! dit alors Ginny
Tout le monde rigolant et alla se mettre à table. Puis peu à peu, tout le monde parla de ce qui venait de se passer, de Quidditch, du bal et des farces. Puis peu après le petit déjeuner, on vit Fred et Georges plongés dans leur lecture des 1000 meilleures farces et attrapes jamais faites. Mrs Weasley les regarda en souriant.
 Je ne les ait jamais vu lire autant, avoua Mrs Weasley à Fleur. C'est un très bon cadeau que tu leur à fait.
 C'est vrai... Bill m'avait dit que si je voulais leur acheter un livre, autant que se soit un livre sur les farces et attrapes, dit Fleur en souriant.
 Eh ! Regarde George ! Nous aussi on est dedans ! disait Fred dans le salon.
 Ou ça ? Quelle page ? demanda vivement Georges

Toute la famille s'approcha alors de Fred et l'écouta.
 Ecoutez ça une fois... dit Fred.
Fred et Georges Weasley de Loutry Ste Chaspoule mérite la deux centième place pour avoir fabriquer des fausses baguettes magique. En effet celles ci se transforme en animal une fois qu'on les a utilisé trop souvent. Ce produit est à vendre chez Weasley Farces et Attrapes sur le chemin de traverse à Londres au prix modique de 3 Gallions.

 Ca doit être Verpey qui leur a soufflé ça... Il leur a sans doute envoyer une de nos baguette ensorcelée, dit Georges, les yeux pétillants de bonheur
Les yeux pétillants de bonheur, Fred et Georges regardaient dans le vide, tandis que Mrs Weasley pleurait presque de joie. Bill regardait ses frères, tout en souriant... Fleur prit alors la parole.
 Pour fêter ça, je vous invite tous au restaurant ce soir !
 C'est vrai ? dit Fred
 Mais oui !dit Fleur en souriant
 J'ai déjà faim d'avance !dit Georges
Peu à peu la vie au Terrier reprit normalement. Fred et Georges étaient occupés à lire leur livre, tandis que Ron et Hermione étaient partis se promener un peu dans Loutry Ste Chaspoule. Bill et Fleur parlaient de tout et de rien avec Mrs Weasley, alors que Harry et Ginny étaient dehors à profiter un peu du soleil.
 C'est quand de nouveau le bal ? demanda Ginny
 Demain. A 18 heures. Je pense qu'on ira à Poudlard vers midi pour que Hermione et toi vous ayez le temps de vous préparer.
 D'après toi, qu'est ce que les autres vont dire à cause de ma robe ? dit alors Ginny, un peu inquiète que sa robe soit la plus belle de la soirée.
 Je sais pas... Mais je suis sûr, tu ne seras pas la seule à avoir une belle robe. Hermione en aura aussi une belle. Tu peux me faire confiance, dit Harry en souriant. Et puis ne regarde pas les serpentards, ils ne savent pas ce que c'est la beauté, ajouta t'il devinant la pensée de son amie
Tous les deux sourirent alors et continuèrent à marcher un peu dans le jardin. Plus tard, dans la soirée, une fois que Mr Weasley était rentré du travail, ils se dirigèrent tous vers un petit restaurant à l'allure farceuse et pleine de surprise. Fred et Georges avaient eu le droit de choisir leur restaurant et ils avaient choisi celui là parce qu0il « pourrait leur donner des idées pour faire des meilleures farces » avait ajouté Georges.
Le lendemain matin, Harry s'était levé de bonne heure et avait commencer à mettre les affaires dont il avait besoin pour le bal ainsi que les affaires de Ginny. Quelques heures plus tard, aux alentours de 10 heures, Hermione, Ron et Ginny se levèrent et descendirent prendre leur petit déjeuner. Harry était déjà à table et lisait un exemplaire de la gazette du sorcier.
 Déjà levé ? plaisanta Hermione
Harry rigola et ajouta
 Bah oui ! Vous êtes prêts pour ce soir ?
 Bien sûr qu'on est prêt ! assura Ron en tapant sur l'épaule à Harry
Une demi heure plus tard, après avoir pris leur petit déjeuner, ils sortirent tous dans le jardin afin de le dégnomer. Harry et Ron firent alors un concours de celui qui lançait le gnome le plus loin. Finalement il fut difficile de les départager, car ils lançaient tous les deux aussi loin. Ginny et Hermione les regardait en supportant chacun de Harry et Ron. La partie de dégnomage prit fin quand Mrs Weasley les appela pour manger. Une heure plus tard, après s'être lavé, préparer et manger, ils partirent à Poudlard à l'aide d'un portoloin en forme de casserole. Au bout de quelque minutes ils atterrirent dans le bureau du professeur Mc Gonagall, les quatre fers en l'air.
 Ah ! Vous êtes là... dit le professeur Mc Gonagall en levant les yeux de ses papiers. Mr Malefoy vous avait chercher. Il m'a demandé de vous prévenir qu'il serait chez son amie... Mlle Wallace il me semble. Il reviendra aussi juste pour aujourd'hui.
 Merci de nous avoir prévenus professeur, dit Harry en se massant la tête
 Je suppose que vous repartez demain matin ?
 Oui, professeur, dit Ginny.
 En passant le bal commence à 18 heures précises, ajouta la directrice avant de les laisser partir se préparer.
Puis ils se dirigèrent tous vers la salle commune, où ils rencontrèrent en chemin Seamus et une Parvati toute souriante qui sautillait presque sur place.
 Joyeuse Saint Valentin ! avait dit Parvati en faisant la bise à Harry, Ron, Ginny et Hermione
 Joyeuse Saint Valentin Parvati ! dit Ginny
Parvati sautait presque sur place, c'était à peine si elle voulait prendre quelqu'un et danser avec lui en plein milieu du couloir. Harry, et le reste du groupe prit congé de Seamus et Parvati, avant de rigoler plus loin.
 Moi j'te l'dis ! L'amour rends fou ! dit Ginny en rigolant
Une fois dans la salle commune, ils trouvèrent Drago en train de discuter avec Dean et Lavande. Ils s'installèrent avec eux et commencèrent à parler de tout et de rien. Le temps passa rapidement et les filles ne virent pas le temps passer. Quand Harry regarda sa montre il était déjà 17 heures.
 Les filles faudrait peut être que vous alliez vous préparer ! Le bal commence dans une heure !
 Déjà ! sursauta Hermione. J'y vais !
 Moi aussi ! dirent alors Ginny et Lavande en même temps.
Drago, Dean, Harry et Ron regardèrent les filles se dépêcher de monter les escaliers et reprirent leur conversation.
 Je comprends pas pourquoi les filles ont besoin de tellement de temps pour se préparer ! lâcha Dean
 Je crois qu'on ne saura jamais vraiment... dit Drago
Une demi heure plus tard les garçons montèrent dans leur dortoir pour se changer. Ron avait le même costume qu'au bal de noël, Drago s'était acheté un nouveau costume qui lui allait très bien. Harry mis alors son costume à queue de pie et Ron lui dit :
 On dirait un véritable anglais comme ça.
 C'est normal Ron... Je suis anglais ! Et je speak angliche very well(prononcé à la française) ! dit Harry en rigolant
Tout le monde rigola et un quart d'heure plus tard ils attendaient tous leur partenaires dans la salle commune. Quelques minutes plus tard, Lavande était descendue dans sa robe violette, suivit de Hermione dans sa robe bleu vert. Mais pas le moindre signe de Ginny. Hermione se dirigea vers Ron et dit à Harry en voyant son regard.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

 Elle n'ose pas descendre, dit Hermione
 Pourquoi ? demanda Harry
 A mon avis elle a peur que tout le monde la regarde, parce qu'elle a une belle robe.
 Tu veux pas essayer de la convaincre de descendre s'il te plait ? Je n'ai pas le droit d'aller dans vos dortoirs...demanda Harry le regard plaintif.
 T'inquiète pas, je vais la faire descendre attendez moi ici.
 Moi je vais y aller, car Isabelle m'attends sûrement, dit Drago en se dirigeant vers le portrait de la grosse dame.
Quelques minutes plus tard, Hermione redescendit, cette fois ci avec Ginny. Il n'y avait plus personne dans la salle commune à part Harry et Ron. Quand ils virent Ginny descendre ils ne purent s'empêcher de la regarder avec des yeux ronds. Ron murmura même un « Wouaou ! »
 Si elle n'avait pas été ma sœur je te l'aurais piquer tout de suite ! chuchota Ron à Harry
Harry sourit et se leva tout de suite et dit à Ginny
 Tu vois c'est pas si dramatique !
 Oui, mais c'est pas toi qu'on regarde avec des yeux ronds
 Si justement ! Même tout le temps ! plaisanta Harry. Aller, viens on y va. Ne t'inquiète pas je suis à côté de toi
Ils sortirent tous les quatre de la salle commune, Ron et Hermione en tête et se dirigèrent vers la Grande Salle. Dans les couloirs seul les retardataires couraient encore vers la Grande Salle, ne prêtant pour le moment aucune attention à Harry et Ginny. Deux minutes avant 18 heures le quatuor se trouvait devant les portes de la Grande Salle. Tous les élèves de Poudlard se trouvaient déjà devant les portes en attendant impatiemment qu'elles s'ouvrent.

Au fur et à mesure que les secondes passaient, l'exitation du commencement du bal de la Saint Valentin se faisait ressentir derrière les portes de la Grande Salle. Puis à 18 heures, les portes de la Grande Salle s'ouvrirent lentement comme par enchantement. A l'arrivée de Harry et Ginny, tous les regards s'étaient posés sur eux. Tous, aussi nombreux soient ils, avaient les yeux écarquillés. Tellement gênée, Ginny essayait de cacher son visage, mais ne trouvant aucun endroit ou le fourrer, elle fut contraite d'avoir la tête haute. Harry, qui avait vu que Ginny s sentait gênée, l'avait pris dans ses bras en essayan de faire baisser la tension qu'avait la jeune fille. Remarquant que tous le monde les regardait, Harry dit:
- Quoi? Qu'est ce qu'il y a? On est pas des bêtes de zoo! Regardez les portes sont ouvertes!
A ce moment là tous les regards se tournèrent vers la porte. En effet, la porte de la Grande Salle étaient ouvertes, laissant place à une salle magnifiquement redécorée pour la Saint Valentin. Les élèves entrèrent lentement dans la salle les yeux ébahi (je sais pas si ça se dit...). Harry et Ginny terminèrent le cortège, en prenant bien le temps de contempler la salle. Si c'était la première fois que l'on venait à Poudlard, personne n'aurait pus dire qu'il s'agissait de la Grande Salle, tellement elle avait changer. Des ballons rose ou rouge en forme de coeur flottaient dans les airs, des bougies dégageant un parfum enivrant. Des tables étaient positionnés autour de la piste de danse et étaient en forme de cœur (je sais, je vois des cœurs partout mais bon...)
Tous les couples prirent alors place autour des tables. Pendant ce temps, les Bizarr Sister's avaient joué un air entraînant, incitant ainsi tout le monde à prendre part au bal. Le professeur Mc Gonagall était assise, comme à son habitude, à la chaise du milieu. A côté d'elle, se trouvait Hagrid et le professeur Dumbledore. Rusard, lui, comme à son habitude, était près d'une porte derrière la table des professeurs et tenait Miss Teigne dans ses bras.
- Bienvenue au bal de la Saint Valentin, dit elle après quelques minutes d'attente. Je ne vais pas vous faire languir, que le bal commence!

Tout le monde semblait ravie que le bal soit enfin ouvert qu'ils ne portèrent plus vraiment d'attention sur la robe de Ginny. Ron, lui avait prit la main de Hermione et l'avait entraîné sur la piste de danse, comme un vieil habitué. Ces talents en danse devenaient excellent, ce qui n'avait pas échapper aux yeux de Hermione qui ne pouvait s'empêcher de sourire.
Harry, quand à lui, décida de se montrer galant. Il se positionna devant Ginny, se courbant légèrement et en tendant sa main.
- Mademoiselle Weasley? Me feriez vous l'honneur de m'accorder cette danse?
- Non... dit elle d'un regard faussement sérieux
- Et puis je me permettre de vous demander pourquoi? Dit Harry, le sourire au coin des lèvres
- Parce que je ne vois pas l'utilité de me poser la question, puisque la réponse aurait été oui dans tous les cas! Répondit Ginny, souriant à son tour
- Alors pourquoi m'a tu dis non? Plaisanta Harry
Ginny ne dit rien et se contenta simplement de sourire. Elle se leva alors et prit la main tendue de Harry et tout les deux rejoignirent la piste de danse, qui était déjà bien remplie. A ce moment là, un slow toucha à sa fin et un air endiablé fit suite au slow. Harry et Ginny se laissèrent aller, oubliant tous leur problème, oubliant même que Ginny était enceinte.
Après une dizaine de morceaux auquel ils avaient prit par et s'être déchaîner, Harry et Ginny décidèrent d'aller se restaurer un moment. Il s'assirent à l'une des tables prévues à cet effet, sur le côté de la salle. Ils furent bientôt rejoint par Ron et Hermione. A peine eut il poser son derrière sur le banc, Ron dit:
- Comment on fait pour commander? Je meurs de faim!
- Parle pour toi! Je pourrais manger 2 mammouth entier! Ajouta Hermione
- Tellement que ça! Plaisanta Harry
- C'est vrai, moi aussi je pourrais manger deux mammouth... dit Ginny d'un ton tout à fait innocent.
- Mon dieu, qu'est ce que ça peut être des ventres des fois les filles! Murmura Harry à l'oreille de Ron
Ce dernier sourit en regardant un peu partout sur la table s'il n'y avait pas quelque chose d'intéressant à manger.
- Qu'est ce que tu viens de dire? Demanda Ginny
- Oh rien une connerie... dit Harry
- Comme d'habitude quoi... dit Hermione
- Quoi? Moi je dit des conneries! Tu peux me dire une seule fois ou j'ai dit des conneries? Plaisanta Harry
Hermione réfléchit un moment, mais ne réussit à ne trouver rien de vraiment de très convaincant.
- Ah! Tu vois! Bon... On mange?
- Oui, je crois que c'est une bonne idée... conclua Ron.
Puis peu à peu, leurs assiettes se remplirent de mets divers, et les conversations reprirent lentement. Puis après avoir s'être bien rempli l'estomac et étancher leur soif, les deux couples retournèrent danser chacun de leur côté. Au moment ou ils étaient retournés sur la piste de danse, un air endiablé fit place à un slow. Harry prit Ginny dans ses bras la serrant tout doucement pour ne pas lui faire de mal. Il aimait tellement Ginny qu'il irait même jusqu'à mourir pour elle. Mais il n'osait pas le lui dire. Il se disait qu'elle était encore jeune et insouciante pour comprendre.
Il se laissa alors enivrer par le parfum de Ginny. Il ne pensait plus à rien. Il profitait de cette danse avec Ginny. Au bout de quelques minutes, la chanson s'arrêta, pour laisser parler le professeur Mc Gonagall.
- Chers élèves. Je sais que vous allez être déçus, mais le bal de la Saint Valentin est terminer... Mais avant...
Le reste de sa phrase fut étouffé par le brouhaha des élèves qui râlaient. La directrice attendit un moment que le silence soit de nouveau rétabli, puis repris la parole.
- Mais avant, sachez qu'il y a encore un petit quelque chose pour tous les couples. Nous avons exceptionnellement eu recours aux magasins de Farces et Attrape Weasley, cette année.
Harry et Ginny se regardèrent d'un air bizarre, se demandant si le coup n'allait pas être foireux.
- Connaissant Fred et Georges, ça va sûrement être quelque chose de complètement foireux... dit Ginny
Harry haussa les épaules, attendant de savoir ce que la directrice avait choisi cette année.
- Et bien, d'après ce que j'ai entendu, ça vient de sortir, spécialement pour la Saint Valentin... Ce sont des petits anges qui chantent des chansons...
Hermione fut quelque peu rassurée, s'attendant à quelque chose de pire. Mais Ginny la prévint tout de même.
- Je préfère te prévenir, Hermione. Méfie toi quand même de ces petits anges... Souviens toi du télescope que tu avait reçu en pleine figure...
- Ah oui... le télescope... le fameux télescope..., dit Hermione, la mine maussade à l'évocation de ce souvenir cuisant...
- Mais rassurés vous... d'après ce qu'on dit, il ne sont pas dangereux, ajouta le professeur Mc Gonagall
- Vous faites bien de souligner le "d'après ce qu'on dit", professeur, dit Ginny d'une façon que la directrice l'entende.
La directrice sourit, et regarda Ginny.
- Vous avez raison... Mais je vais vous laisser découvrir ces petites créatures...
Peu à peu, d'on ne sait trop ou, des petits anges s'étaient mis à voleter dans tous les sens à la recherche du couple pour qui, ils avaient un message... Soudain, sans qu'ils ne sachent d'où il vienne, une de ces créature vint se poster devant Harry et Ginny.
- Monsieur Harry Potter et Ginny Weasley? Demanda t'il d'un ton enjoué
- Oui, c'est bien nous répondit Harry après avoir regardé furtivement Ginny.
- J'ai un message pour vous de la part de Monsieur et Monsieur Weasley...
- Vas y crache le morceau, qu'on sache au moins ce que c'est... lâcha Ginny
- C'est bon, c'est bon! Dis le petit ange... Ou sont les paroles... continua t'il en cherchant un morceau de parchemin sous les regard impatients de Harry et Ginny. Ah! Les voilà...
Ce fut un merveilleux match
Celui de deux victoires
L'une pour une coupe
L'autre pour un cœur
Comment ne pas empêcher
Que l'amour s'installe
Entre une gueule d'ange
Et un héros aux yeux
Si vert
Que l'on croirait voir
Un crapaud
Voilà... termina la créature volante
- Un crapaud c'est ça? Répéta Harry, vexé
- Oui, monsieur, c'est bien ce qui est marqué...
Mais avant que Harry n'ai put en faire quoique ce soit, l'ange était déjà parti, aussi vite qu'il était venu.
- Un crapaud... Tss... Tu va voir de quel bois je me chauffes! Maugréa Harry. La prochaine fois que je vois tes frères, je leur enfonce l'un de ses super télescope dans la tête! Toi, ça va! Gueule d'ange! Mais moi! Crapaud! Ah lala...
- Calme toi Harry... commença Ginny
- Mais je suis calme justement! Dit Harry
Mais avant que Ginny ne puisse dire un mot, la directrice reprit la parole.
- Voilà je pense que tout les couples ont eu leur message, il est à présent temps d'aller ce coucher. Bonne nuit!
Tout le monde maugréant contre la directrice, se dirigeait lentement vers les portes de la Grande Salle.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 19:

Le lendemain matin, le soleil inonda de lumière (logique) la pièce commune de la salle commune. Les rares personnes debout étaient celle qui avaient quitté le bal plus tôt que les autres. Harry était encore dans un demi sommeil lorsqu'une voix féminine le tira de force hors du lit.
- Harry ! disait cette voix. Harry réveille toi !
- Mmmmh...dit il en retournant sa tête, pour voir qui lui parlait. Quoi !
- Réveille toi ! On doit réviser pour nos ASPIC ! disait la voix
- J'aime pas les ASPICs... Pas bon... beurk ! ! ! lâcha Harry encore embrumé, trop fatigué pour comprendre qu'il devait réviser
- Harry ? Les ASPICs ça se mange pas... C'est un diplôme...
- Pfff...
Puis Harry se leva à contrecœur, tandis que Hermione allait réveiller Ron et Drago.
Après quelques minutes de rébellion intensive, ils finirent par se lever et descendre dans la salle commune avec tous leurs livres. A ce moment là, Hermione leur dit :
- Je pense qu'on sera mieux dans la bibliothèque
Cette annonce fut suivi d'un vague mouvement de protestation puis ils se mirent en route. Au bout de quelques minutes, alors que la bibliothèque venait à peine d'ouvrir, le petit groupe alla s'installer derrière une rangée de livre à la lueur de la chandelle.
A un certain moment, dans les environs de 10 heures du matin, Peeves était entré dans la bibliothèque malgré qu'il n'avait pas le droit d'y pénétré. Il s'était lentement approché du petit groupe qui était en plein dans leurs révisions. Il se positionna juste au dessus de lampe qui était au dessus d'Hermione et la renversa juste sur le livre d'arithmancie de Hermione qui prit aussitôt feu.
- Hihihi ! Mais voilà que le petit Potti, Grange, Waselby et Moulfy ne vont plus pouvoir réviser ! Hi hihi ! dit Peeves d'une voix mauvaise
- Ouuuh ! Peeves ! dit Hermione folle de rage Aquamenti !
Attirée par le bruit, Mme Pince arriva en courant.
- Peeves ! Je t'avais pourtant dis de ne pas venir à la bibliothèque !
- Gnihihi ! rigola une dernière fois Peeves avant de partir
- Ouuh ! Je l'aurais un jour ! dit Mme Pince en s'éloignant
- Réparo ! murmura Hermione, et ce qui avait été brûlé réapparut immédiatement comme si rien ne s'était produit Bon venez on va manger un peu...
Cette proposition fut accepté à l'unanimité. En même pas deux minutes tout le monde fut dehors, prêt à prendre le petit déjeuner.
- Au fait pourquoi on a attendu si longtemps pour manger ? demanda Ron

Mais Hermione ne daigna pas répondre. Au lieu de ça, elle continua à marcher férocement vers la Grande Salle, les livres dans ses bras. Ron regarda Harry et Drago d'un regard interrogateur. Les deux garçons haussèrent des épaule. Ils savait très bien que Peeves mettait toujours Hermione en rogne.
Mais Peeves ne s'était pas seulement arrêté à brûler le livre d'arithmancie de Hermione. Il s'était caché derrière d'une statue et avait attendu que le petit groupe soit passé devant lui. Tout d'un coup, sans que personne ne comprenne ce qui s'était passée, Peeves était rentré dans le corps de Hermione. Elle se figea sur place, le regard sans expression. Elle laissa tomber ses livres et tendit ses bras droit devant. A présent, elle marchait comme un robot...Harry, Ron et Drago se regardèrent sans comprendre. Harry prit les livre d'Hermione et partit à sa poursuite.
- Hermione attends !hurla t'il
Hermione ne répondait pas. Elle continuait à marcher droit devant sans prendre garde aux autres élèves qui arrivaient en contre sens. Si les autres élèves ne s'étaient pas écarté à temps, ils auraient tous foncés dans Hermione. Le bruit avait couru que Hermione était tel qu'un zombie et tout le monde s'était précipité pour voir le spectacle.
- Il faut l'emmener chez Mme Pomfresh. Elle saura ce qu'il faut faire, dit Harry. Allez oust ! C'est pas un zoo ici ! dit il aux autres élèves.
A ce moment là, Ginny les avait rejoint. Elle regarda Hermione et se tourna vers Harry pour savoir ce qui s'était passé avec Hermione.
- On va bientôt le savoir. On va l'amener à l'infirmerie.
Ginny acquiesça et prit Hermione par l'un des bras et tout le petit groupe se dirigea vers l'infirmerie sous les rires des Serpentards. Harry dut se retenir de ne pas leur mettre un coup de poing dans leur tête.
Quand Mme Pomfresh vit l'état d'Hermione elle ne put se retenir de faire un bon en arrière.
- Madame Pomfresh, est ce que vous pouvez nous dire ce qu'elle a ? Elle est bizarre depuis qu'on es sortis de la bibliothèque
- Je vais essayer de savoir ce qu'elle a...Miss Potter, est ce que vous m'entendez ?
- Non, dit elle lentement
Elle donna une légère claque à Hermione qui resta figée comme un arbre et sans aucune réaction. L'infirmière recommença mais un peu plus fort, mais toujours aucune réaction.
- Je suis désolée je ne peux rien faire pour vous. Allez donc voir le professeur Dumbledore. Lui saura quoi faire. Je vais prévenir le professeur Mc Gonagall de votre absence.
Harry et les autres acquiescèrent et se dirigèrent vers la sortie. Ils marchèrent dans la brise fraîche du mois de février pour aller chez Madame Rosmerta. Quelques minutes plus tard et après avoir Hermione de force, ils y arrivèrent enfin.
- Bonjour, dit Ginny, toute essoufflée. Est ce que le professeur Dumbledore est là ?
- Non, je suis désolée il n'est pas là, je suis désolée, répondit elle, son regard fixant celui de Hermione
- Décidément, Hermione fait peur à tout le monde ! dit Ginny après qu'ils furent sortis. Bon on fait quoi maintenant ? Dumbledore est nulle part dans les environs.
- Il est sans doute au QG de l'ordre ! On va transplaner, dit Harry. Ron tu prends Hermione, et moi je prends Ginny. Drago, bah t'a le droit de transplaner tout seul.
Quelques secondes plus tard, ils se trouvèrent entre le 11 et le 13.
- Euh... commença Drago. Il est ou le 12 ?
- Concentre toi et imagine que le 12 soit là, dit Harry d'une voix pressée.
Quelques secondes plus tard ils entrèrent dans la maison et posèrent Hermione sur le canapé.
- Professeur Dumbledore ? dit Harry
Pas de réponse
- Professeur Dumbledore ? répéta Ron. On a besoin de votre aide !
Quelques minutes plus tard, le professeur Dumbledore descendit les escaliers d'un pas incertain et les yeux encore embrumés.
- Mais que fait vous là jeunes gens ? demanda t'il
- Hermione es bizarre. On est allé voir Mme Pomfresh mais elle n'a pas pu nous dire ce qu'elle avait, alors elle nous a conseiller d'aller vous voir, résuma Drago.
- Et le professeur Mc Gonagall est elle au courant que vous êtes ici ?
- Oui elle est au courant. Madame Pomfresh nous a dit qu'elle s'occupait de prévenir la directrice, expliqua Harry
- D'accord, ou est elle ?
- Madame Pomfresh ? demanda Ron
- Non, Hermione... dit Dumbledore n levant les yeux au plafond
- Ah, ok... Dans le salon... En espérant qu'elle y est toujours... dit Ron
Une fois que le professeur Dumbledore fut arrivé dans le salon il vit Hermione droite comme un piquet, les bras tendus devant elle, les jambes tendues devant elle, et le regard vidé de toute expression. Dumbledore fit le tour de la petite table qui se trouvait devant Hermione et commença par passer sa main devant les yeux de la jeune femme. Toujours aucune réaction. Il prit alors son pouls. Apparemment il battait toujours à un rythme régulier. Le professeur Dumbledore prit alors sa baguette et prononça quelques formules incompréhensibles et peu à peu, un corps immatériel se dissocia du corps d'Hermione. Peu à peu, la jeune femme reprit ses esprits.
- Peeves... dit calmement Dumbledore. Pourquoi à tu pris possession de cette jeune fille ?
- Gnihihi ! répondit Peeves en faisant une pirouette sur lui même.
- Bon, si tu ne veux pas me répondre, je vais devoir te ratatiner... dit Dumbledore sans méchanceté
A ce moment là, Peeves redevint sérieux et manqua de tomber à la renverse.
- Alors peut tu m'expliquer pourquoi as tu pris possession de cette jeune fille
- Pour m'amuser, dit il d'un sourire mauvais.
A ce moment là Dumbledore leva sa baguette et jeta un sort sur Peeves qui disparu tout de suite.
- Ou es il professeur ? demanda Drago en regardant un peu partout autour de lui
- Oh... Simplement renvoyé à Poudlard...
- On arrive à faire ça d'un simple coup de baguette magique ? demanda Ron stupéfait
- Seulement avec les fantômes, dit il avec un sourire. Ou alliez vous lorsque Hermione a été en transe ?
- A la grande salle, on allait manger notre petit déjeuner, dit Harry
- Avec vos livres ?
- On a réviser pour nos ASPIC
- Très bien, très bien. Eh bien allons manger ! dit Dumbledore
Ils se mirent tous à table et Dumbledore fit apparaître plusieurs mets succulents. Après avoir bien manger, ils retournèrent à Poudlard, continuer de réviser.

La nouvelle que Hermione avait été possédée par Peeves avait fait le tour de Poudlard en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. A présent, partout ou allait Hermione, des rires s'élevaient dans les rangs surtout ceux des Serpentards. Hermione avait préféré continuer à réviser dans les dortoirs des filles de la tour de Gryffondor tandis que les autres étaient allés dans le parc, profiter des premiers rayons de soleil. Il faisait plutôt bon pour une fin de mois de février.
Pendant un moment, Harry crut apercevoir le ministre de la magie, Rufus Scrimgeour accompagné de Dolorès Ombrage. Tous les premières et deuxièmes avaient du avoir des échos de ce qui s'était passé pendant le temps ou Ombrage avait pris le poste de Grande Inquisitrice de Poudlard.
Harry pensa alors avoir rêvé et ne fit pas part de ses impressions à Ron, Drago et Ginny. Il préféra plutôt prendre la main de Ginny et de continuer à contempler le ciel bleu ou quelque nuages venaient briser l'agréable chaleur du soleil qui leur caressait le visage.
Cependant au repas du soir, il revit Rufus Scrimgeour et Dolorès Ombrage à la table des professeurs. Il n'avait pas rêvé. C'était bien eux qui étaient passé dans le parc, un peu plus tôt dans l'après midi. Que pouvaient il bien faire à Poudlard?
- Regardez, dit simplement Harry à Ron, Drago et Ginny. Cette vieille pie est de retour.
- Mais pourquoi le ministre n'est pas avec Percy? Demanda Ron
- Alors ça je n'en ai pas la moindre idée, dit honnêtement Harry
- Regardez voir comment Ombrage Firenze? Dit Ginny avec un sourire.
En effet, Ombrage regardait Firenze du coin de l'œil. Les quatre amis savaient très bien qu'il y avait bien une chose que Ombrage ne supportait pas, et bien c'était les hybrides.
- Apparemment, elle ne s'est toujours pas remise de la fois ou Hermione et moi on l'a emmener dans la forêt et que les centaures l'ont emmenés, plaisanta Harry
Cela allait de soit puisque à chaque fois que Firenze faisait un pas pouvant ressembler à des pas d'un troupeau de centaures, elle tournait la tête et regardait férocement vers Firenze. Apparemment, elle n'était pas très contente non plus quand elle vit ce jour là, que le professeur Trelawney était descendu de sa tour pour venir manger avec les autres. Ce qui avait un peu surpris Drago qui ne l'avait pas remarqué, quand elle mangeait avec les autres professeurs.
Puis tout à coup, le ministre et Ombrage s'étaient levés. En se levant le ministre avait chuchoter quelques mots dans l'oreille de la directrice, qui ne semblait pas ravie du tout.
Le ministre et la sous secrétaire d'état longeaient à présent la table des Gryffondor. Tout ceux qui avaient connu Ombrage la dévisageaient d'un air sévère. Mais Ombrage ne pouvait rien faire car elle ne faisait pas partie de l'école. Puis ils s'arrêtèrent devant Harry, Ron, Ginny et Drago. Ombrage lança un regard noir à Drago, ancien membre de la brigade inquisitoriale. Drago soutenait son regard et il n'était pas près de lâcher le morceau. Apparemment elle ne lui pardonnerait jamais d'avoir rejoins le camp de Dumbledore que celui du ministère.
- Potter, est ce que ce serait possible de vous parler un instant? Demanda Rufus Scrimgeour
- Je crains que cela ne va pas être possible, dit Harry d'un air sombre.
- Et pourquoi cela? Intervint Ombrage.
- Je croyais que vous aviez un cerveau? Dit il simplement. Si c'est pour me demander de rejoindre vos rang pour montrer le bon exemple, il est hors de question que je le fasse.
- Vraiment voyez vous? Dit Ombrage avec un rire diabolique
- Laissez. Je crois que c'est inutile d'insister. A ce que je vois, vous êtes l'homme de Dumbledore jusqu'au bout... Même après sa mort, constata le ministre.
- Au moins je suis sur que vous voyez encore clair... dit Harry
Pendant la conversation, Harry avait pris soin de cacher sa main. Il avait encore la cicatrice sur le dos de sa main. Apparemment Ombrage n'avait pas remarqué que ce dernier n'avait pas mis sa main sur la table depuis le début de leur conversation.
- Bon je crois que nous n'avons plus rien à nous dire, dit le ministre.
- Ravie de vous l'entendre dire, lâcha Ginny.
Le ministre regarda attentivement la jeune fille, et ne dit rien pendant un instant. Puis après une courte réflexion il dit.
- Vous devez être la fille Weasley? Celle qui a été enlevée par le basilic il y a 5 ans? Votre père travaille au ministère c'est ça?
- Ravie qu'on se souvienne de moi comme étant celle qui a été enlevée par le basilic, dit elle plus pour elle même que pour les autres. Oui notre père, à Ronald et à moi, travaille au ministère.
Ombrage poussa un grognement sonore en entendant le ministre se souvenir du nom de Ginny.
- Oh! Dolorès! Allez m'attendre dehors je vous rejoins dans quelques minutes.
- Hum hum... dit elle.
Mais le ministre ne semblait pas y prêter attention. Il avait recommencer à parler avec Ginny sur le père de celle ci, Arthur Weasley.
- Hum, hum, reprit Ombrage.
- Quoi encore! Dit le ministre dont la voix était moins calme à présent.
- Il me semblait vous avoir prévenu que les Weasley n'étaient pas digne du monde des sorciers. Leur frères sont des calamités. Fred et Georges Weasley. Il me semble vous avoir dit qu'ils avaient quitté le système scolaire avant la fin même de leur année... dit elle avec un sourire mauvais
- Quand on voit qui Fudge a envoyer pour reprendre les choses en main, il est étonnant que tout le monde soit encore en vie, dit le ministre froidement. Maintenant vous allez m'attendre gentiment devant la porte jusqu'à ce que j'arrive si vous ne voulez pas perdre leur emploi! Continua t'il plus férocement
Ombrage lança un regard noir au ministre ainsi qu'au quatre amis. Puis elle se dirigea vers la porte d'entrée et attendit en fixant des yeux le ministre, jusqu'à ce qu'il arrive.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Quelques minutes plus tard, ils furent enfin débarrassés du ministre, le groupe se remit à ses occupations.
- Punaise! Qu'est ce qu'il peut être assommant à la longue! Lança Ginny, non sans être contente de s'être enfin débarrassée d'un poussière qui devenait un peu trop gênante...
Tout le monde rigola de bon cœur et continua à manger. Quelques longues minutes plus tard, le petit groupe se redirigea vers la salle commune afin que Harry, Ron, Drago et Hermione puisse continuer leur révisions (puisque Hermione insistait tellement) pour leurs ASPIC. Ron avait l'air très enthousiasmé par le fait de devoir réviser.
- Explique moi Hermione pourquoi on doit réviser alors qu'une magnifique après midi se prépare! Pourquoi ne pas simplement annuler les révisions et faire un tour dans le parc! Demanda Ron un peu énervé.
- Parce que je te ferais légèrement remarqué que l'examen est dans 4 mois et que 4 mois ça passe vite! Alors si tu voudrais ne serait ce que pendant ces quatre mois oublier un peu le beau temps, on pourrais réviser! Et puis après quand on aura passé nos examens nous aurons tout le loisir de flâner dehors et d'écouter les oiseaux chanter! Lui répondit sèchement Hermione
- Mais qui te parle d'aller écouter les oiseaux chanter! Commença Ron... Quoique y a de ça aussi. C'est tellement mignon les oiseaux quand ça chante! Hein Harry!
- Depuis quand tu te préoccupe de savoir si les oiseaux chantent bien! Plaisanta Harry! Je croyais que tu te préoccupait plus de ton estomac! Je plaisante!
- Haha, très drôle, répondit Ron. Depuis un certain moment je ne me préoccupe que du bonheur de Hermione!
- Et bien si tu veux me faire plaisir, tu ferais mieux de te mettre au travail si tu ne veux pas subir ma colère!
Finalement, ils se mirent tous au travail. Ginny était assise près du feu et lisait un livre qui s'appelait "Le guiness des records des sorciers". En même temps elle caressait Arnold sont boursouflet violet.
La soirée était bien avancée lorsque Harry vint tirer Ginny de son sommeil. Une agréable chaleur, provenant de la chemin, se faisait sentir dans toute la salle commune. Quand la jeune fille fut réveillée, la salle commune était presque vide.
- Qu'est ce qui ce passe? Ou est ce que je suis? Demanda t'elle
- Dans la salle commune. Tu ne te souviens pas? Répondit Harry
- Ah si... Ou sont les autres?
- Ils sont déjà partis manger. Je leur ait dit que je les rejoindrait une fois que je t'aurais réveillé, dit Harry avec douceur, tout en caressant la joue de Ginny
- Ils sont partis il y a combien de temps?
- Une demi heure environ
- Qu'est ce qu'on attends alors pour y aller? Demanda Ginny. Je commence légèrement à être affamée.
Harry souria et ouis, tous les deux, main dans la main, ils descendirent dans la Grande Salle ou les attendaient avec impatience leur amis.
- Eh bien vous en avez mis du temps pour venir! Plaisanta Drago. On se demande ce que vous avez fait!
- Voyons Drago, on ne se serait pas permis! Rigola Harry! Pas maintenant en tout cas.
Tout le monde rigola et se mit à parler de tout et de rien, tout en se régalant
Quelques jours plus tard, les vacances étant finis, les cours reprirent normalement. A présent, on entendait de moins en moins Ron dire qu'il avait faim où bien qu'il en avait marre de réviser. Il savait a présent que ça ne lui servait à rien de pester contre Hermione, car d'une manière ou d'une autre elle gagnerait.
A la fin de la semaine de cours qui suivait les vacances de février, la plupart des élèves de 7ème et 5ème années étaient sur les rotules. Tous les professeur leur avait donnés une montagne de devoir. Harry lui même ne trouvait plus les moyen de faire des recherches pour l'AD. Alors c'est Hermione qui s'en chargeait vu qu'elle avait toujours fini avant les autres.
Un soir que Hermione était partie à la bibliothèque, Ron chuchota à l'oreille de Harry.
- Punaise, je ne sait pas comment elle fait pour terminer ses devoirs et toujours avoir du temps libre après!
- Moi je sais... ce qu'elle dirait en tout cas... Elle dirait qu'il suffirait simplement de bien nous organiser dans nos devoir, et comme ça nous n'auront pas de retard et nous aurons toujours du temps libre pour faire ce que nous voulons!
- Tu sais quoi? Commença Ron
- Non je sais pas mais je vais savoir... continua Harry.
- C'est dingue comme des fois tu peut être comme Hermione!
- Je te ferais remarquer qu'elle est ma sœur tout de même! Et puis à force d'être avec elle pendant 7 ans, je commence à bien la connaître, plaisanta Harry.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 20:

Le temps devenait de plus en plus clément et une douce chaleur entrait à présent dans le château. Les jours de mauvais temps étaient passés, les hirondelles chantaient, annonçant ainsi le retour du printemps. Ron aurait tant voulu sortir jouer une partie de Quidditch avec Harry et Drago, mais Hermione l'avait retenu pour qu'ils puissent discuter...
Harry et Ginny étaient allongés dans le par cet regardaient le ciel sans nuage. Drago les avait quitté quelques instants auparavant pour rejoindre Isabelle. Pourtant quelque chose tracassait Harry. Et Ginny l'avait senti.
- Qu'est ce qu'il ne va pas Harry?
- Je sens que le moment ou je devrait battre Voldemort est proche.
- Ta cicatrice te fais de nouveau mal? Demanda la jeune fille, inquiète.
- Non, ne t'inquiète pas pour ça. C'est juste un pressentiment, dit Harry en souriant.
Ils parlèrent tranquillement quand soudain une voix s'éleva derrière eux.
- Tiens tiens, mais c'est le petit Pottly et Waselby qui profitent de leur derniers instant ensemble. Comme c'est touchant!
Harry se retourna brutalement pour voir qui se trouvait derrière lui. C'était Pansy Parkinson accompagné de Crabbe, Goyle et de certains autres Serpentards.
- Tiens ça fait longtemps qu'on n'a pas vu ta face de bulldog! Ricana Harry
- Ne m'appelle pas comme ça! Murmura t'elle entre ces dents.
- Et pourquoi donc? Ca te va tellement bien ce surnom, dit Ginny, esquissant un sourire
- Toi, espèce de traître à ton sang, tu ferais mieux de te la fermer si tu ne veux pas que je te lance à un sort!
- Tu touche à un seul cheveux de Ginny, tu va le payer très cher! Dit Harry, le plus calmement possible
Sans s'en rendre compte, il avait déjà sorti sa baguette et l'avait pointé en direction de Pansy.
- Oho! Regardez moi ça les gars! Pottly défend sa petite amie! Ricana Pansy
- J'imagine que tu n'aurais pas fais la même chose s'il s'agissait de quelqu'un que tu apprécie énormément, dit lentement Harry
- Mes amis sont capables de se défendre tous seuls! Ils sont assez grands! Dit Pansy.
- Et s'il s'agissait de ton petit ami... Par exemple si c'était Drago... Tout en imaginant bien sur qu'il soit resté chez vous, chez les cochontards!
Pansy ouvrit la bouche mais aucun son ne sorti. Aussi muette qu'une carpe... Puis peu à peu son teint était devenu de plus en plus rouge et elle sorti sa baguette.
- Tu vas me le payer, Potter. Tu vas mourir comme ta sang de bourbe de mère est morte.
- Ah bon? Cette phrase ne vient pas de toi. Elle vient de Voldemort!
- Comment oses tu prononcer le nom de Seigneur des Ténèbres en face de moi! Hurla Pansy
- Parce que je sais que ça te fais plaisir que je prononce le nom de Voldemort.
Cette fois c'en était trop pour Pansy. Elle chargea...
- Petrificus totalus!
- Protego! Fit Harry.
Puis sans crier garde, Pansy se tourna vers Ginny et hurla:
- STUPEFIX!!!
- NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN!!!!!!!!
Alarmée par les cris, le professeur Mc Gonagall, accompagnée de Krum arrivèrent dans le parc. Voyant Ginny stupéfixiée, la directrice plaqua sa main devant sa bouche.
- Oh mon dieu! Que c'est il passé? Expliquez vous!
- C'est lui qui a commencer Professeur! Dit Pansy avant que Harry ne puisse dire quoique ce soit.
La directrice et Krum regardèrent Harry un instant.
- Est ce vrai? Demanda Krum
- Vraiment professeur, vous croyez que j'aurais attaqué ma propre petite amie?
- Non, bien sur que non. C'est évident.
- Mademoiselle Parkinson, ajouta la directrice. Veuillez nous suivre... Nous allons voir le directeur de votre maison.
Puis d'un sortilège informulé, la directrice réanima Ginny. Harry la prit alors dans ses bras et la ramena dans la salle commune.
- Alors pas trop secouée?
- Non, ça va, ne t'inquiète pas, dit la jeune fille en souriant.
Quand elle les vit rentrer dans la salle commune, Hermione se leva directement et alla à leur rencontre.
- Que c'est il passé?
- On s'est fait attaqué pas Pansy Parkinson. Ginny a reçu un stupefix de pleine face, résuma Harry
- Tu es sur que ça va Ginny? Demanda Ron
- Bien sur que je vais bien!
- Je préfèrerais quand même que tu aille voir Madame Pomfresh pour savoir si vraiment tu n'a rien... Tu sais... pour l'enfant, dit Harry
- Oui bien sur...
L'après midi était déjà bien avancée quand Ginny fut autorisée à sortir de l'infirmerie. Harry, Ron, Hermione, Drago et Isabelle l'avaient attendu tout le temps ou elle était à l'infirmerie. Ils s'étaient même privés de manger. Ce qui était un exploit pour Ron.
- Alors? demandèrent ils tous en même temps
- C'est je n'ai rien. Et le bébé non plus, dit elle en souriant.
- Alors c'est bon... On peut aller manger maintenant! Dit Ron sur un ton de plaisanterie.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Chapitre 21: L'affrontement final

Les jours suivant s'écoulèrent paisiblement, dans le parc de Poudlard. Le stress des examens se faisait, à présent, déjà sentir. Les élèves se précipitaient dans les couloirs à la recherche de dernières informations pouvant leur être utile pour leur BUSEs ou leurs ASPICs. On les voyait souvent courir entre leur salles de cours et la bibliothèque.
Harry, lui se souciait plutôt du comment allait il réussir à vaincre Voldemort et son serpent Nagini. Personne à Poudlard ne se doutait que Harry allait bientôt affronter, une sixième et dernière fois, le Seigneur des Ténèbres. Hermione avait abandonné les livres de cours pour se lancer dans les livres pouvant être utile pour Harry lors de son combat contre Voldemort.
- Tu vas aller te battre contre lui quand? Demanda Ron, curieux de savoir quelle allait être la réponse de Harry.
- Je pense d'ici la fin de la semaine. Ou fin de la semaine prochaine... dit Harry d'un air songeur.
Puis il commença à tourner en rond dans la salle commune. On voyait bien que son combat avec Voldemort le tourmentait.
- Mais ne tourne pas en rond comme ça! Tout va bien se passer! On va tout faire pour que tu ressortes vivant de ce duel, tenta Hermione
- Facile à dire! Trouve les, toi, les sorts qui vont me permettre de sortir indemne de ce combat! Protesta Harry
- Viens Harry, on va se promener un peu dans le parc, proposa Ginny. Je voudrais quand même profiter un peu de Harry, le temps qu'il est encore vivant!
- Ah, parce que toi aussi tu pense que je vais mourir!
- Non, ce n'est pas ça, tu sais très bien que pour moi, tout ce qui pourrait me rendre heureuse c'est que tu revienne vivant et que tu puisses regarder grandir ton enfant... Notre enfant. Si tu ne gagne pas ce combat pour moi, bats toi pour lui. Dans l'espoir que tu puisse le voir, rien qu'une seule fois dans ta vie. Tu vas me promettre une chose Harry. Tu va gagner ce combat. Pour ton enfant... et pour moi.
Harry sourit. Il avait écouter Ginny, et ce qu'elle avait dit lui avait redonner un peu plus confiance en lui.
- Et puis pense à ta sœur. A mon frère. A Drago... Je pense que eux aussi tu a envie de les revoir et eux aussi ont envie de te revoir vivant, autant que moi j'ai envie de te revoir vivant, poursuivit la jeune fille.
Harry la serra alors dans ses bras et dit.
- Allez viens, on va se promener un peu dans le parc, dit il en souriant.
Puis, main dans la main, ils sortirent de la salle commune, laissant Drago, Ron et Hermione. Ron s'apprêtais à se lever lorsque Harry et Ginny passèrent le portrait de la grosse dame, mais Hermione l'en avait empêché.
- Laisse les passer un moment ensemble. C'est peu être les derniers instants qu'ils passeront ensemble, alors mieux vaut les laisser entre eux.
- Mais...
- Il n'y a pas de "mais" Ron. Laisse les tout simplement tous les deux. Promet moi que tu vas les laisser tranquille?
- Promis, dit Ron d'un ton résigné.
Harry et Ginny étaient tous les deux allongés sur l'herbe, l'un contre l'autre. Pendant un moment, ils ne dirent rien, ils écoutaient simplement les oiseaux chanter. Au bout d'un moment Harry dit:
- Merci...
- Merci pourquoi? Demanda Ginny en levant la tête pour mieux regarder Harry.
- Pour ce que tu a dit avant. Ca m'a redonner du courage. Et puis excuse moi si je me suis montré un peu trop brusque dans la façon dont je t'ai répondu. Je voulais pas te répondre comme ça. Ca ma échapper.
- C'est pas grave, ça peut arriver à tout le monde, dit elle en souriant. Je pense que j'aurais réagis de la même manière si c'était à moi que ça arrivait.
- En tout cas, soit contente que ça ne t'arrive pas. En tout cas, ce sera bientôt qu'un mauvais souvenir... Si je gagne bien sûr...
- Mais ne t'inquiète pas tu va gagner. Je suis sûre que Hermione a fait appel au professeur Dumbledore et qu'il est en ce moment même dans la salle commune de Gryffondor en train de les aider à trouver de nouveaux sorts. Et puis je ne pense pas que Dumbledore te lâche comme ça dans la nature. Il va sûrement vouloir t'accompagner. Et puis je pense que Drago et Ron vont vouloir venir aussi.
- Tu crois vraiment qu'ils vont vouloir venir? Pourtant. Dans la prophétie il y avait marqué que "l'un des deux tuera l'autre", poursuivit Harry
- Oui, mais je suppose que ça a été marqué nul part que tu avait le droit d'être accompagné! Ah, si seulement je pouvais venir.
- Non, je veux pas que tu vienne. Même si tu n'attendais pas cet enfant, je ne pense pas que je t'aurais laisser venir avec moi. C'est trop dangereux. Et puis c'est mon combat. Pas le tien. Ajouta t'il en déposant un baiser sur son front.
Le reste de la semaine se passa relativement bien, mis à part le fait que quelques éclats de voix se faisaient entendre par ci par là au sujet du combat avec Voldemort, la nouvelle ne mis donc pas longtemps pour se propager dans toute l'école. Le vendredi soir, dans la Grande Salle, alors que les 5 amis étaient en train de manger, le professeur Mc Gonagall se dirigea vers Harry et posa sa main sur son épaule.
- Bon courage Potter, vous en aurez besoin. J'espère sincèrement que vous réussiriez à battre Vous Savez Qui. Vous pouvez le faire, j'ai confiance en vous. Vos parents auraient été fier de vous, de tout ce que vous avez déjà fait. Tâchez de nous revenir vivant, dit elle en souriant légèrement.
De fil en aiguille, tous les professeurs s'étaient diriger vers Harry lui souhaitant bonne chance pour le lendemain. Puis vint le tour de Dumbledore.
- Je me suis permis de venir te voir Harry. Je voulais m'assurer que tout allait bien. Tu pars à quel heure?
- Environ 14 heures... dit il d'une voix stressée.
- Bien, bien. Alors, je voulais te souhaiter bon courage, mais ça je crois que tous tes professeurs te l'ont déjà dit. Je sais que tu vas y arriver, j'ai confiance en toi. Bats toi jusqu'au bout, même si tu penses qu'il n'y a plus d'espoir, bats toi quand même jusqu'au bout. Tu verras, au bout, une belle récompense t'attendra.

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Une fois que le professeur Dumbledore fut parti, Ginny se tourna vers Harry et lui demanda d'un air interrogateur:
- Qu'est ce qu'il voulait dire par "une belle récompense t'attendra"?
Harry haussa des épaules et recommença à manger sans faim. Harry se sentait un peu comme à son premier match de Quidditch, mais ce qu'il ressentait à ce moment précis était encre plus fort que tout. "Tuer ou se faire tuer", telle était la phrase qu'il ne cessait de se redire en boucle depuis le moment ou il avait eu vent de cette prophétie.
- Et si on faisait une partie de Quidditch? Proposa Ron
- Oui, pourquoi pas, ça me détendra un peu, ça me fera oublier un peu cette prophétie et ce maudit duel, répondit Harry.
Quelques instants plus tard, Harry, Ron, Drago, Isabelle, Ginny et Hermione s'étaient retrouvés sur le terrain de Quidditch, avec les balles que Harry avait acheté, alors qu'ils étaient au chemin de traverse, il y a quelques mois. Hermione et Ginny étaient restées dans les gradins à regarder le match évoluer. Harry s'était mis avec Ron, et Drago avec Isabelle. Isabelle s'était révélée une excellente joueuse de quidditch et avait marqué plusieurs but d'affilé. Le match dura deux bonnes heures jusqu'à ce que, exténué Ron avait demander d'arrêter le jeu.
La soirée se passa en silence. Hermione, Ron, Ginny et Drago essayaient par tous les moyens de remonter le moral à Harry, mais aucun des stratagèmes mis en place n'avait réussi à aboutir. Ils durent donc renoncer à tout espoir de lui remonter le moral. C'est alors que Ron lui avait annoncer qu'il l'accompagnerait dans son combat avec Voldemort. Cette proposition fut tout de suite suivie par Drago.
- Mais... C'est mon combat! Je ne vois pas pourquoi vous devriez m'accompagner! Toi, Drago, Voldemort te recherche et il n'aura aucune hésitation à te tuer! Et puis toi aussi Ron! Pense à Hermione!
- Si c'est son choix, je veux bien qu'il y aille, à condition qu'il revienne en un seul morceau, dit Hermione en esquissant un sourire.
- Bien alors, c'est décidé, je viens avec toi, dit Ron, plus déterminé que jamais.
- Et puis moi, c'est pas grave, si je dois mourir, autant mourir dignement en ayant combattu que de mourir sans avoir rien fait pour, si tu vois ce que je veux dire. Et puis je voudrais essayer de faire comprendre à Voldemort ou est le bon côté.
Harry ne sut pas quoi dire, devant cet élan de générosité. Eux, au moins, ne le laissait pas tomber et il voyait donc là une grande preuve d'amitié. N'importe qui n'aurait sans doute pas fait la même chose que ce que venait de faire Drago et Ron.
- Nous aussi on aurait voulu t'accompagner, mais nous sommes quelque peu indisposer pour un petit moment encore, dit Hermione
- Et puis Ginny connaît déjà ma réponse, dit Harry en souriant bêtement.
La conversation dura jusqu'à tard dans la nuit, jusqu'au moment ou Hermione décida qu'il était temps d'aller se coucher, malgré les grognements intempestifs de Ron.
Puis tout d'un coup Harry eut froid. Il y avait un air glacial à geler les entrailles. Il se trouvait en plein milieu d'un grand manoir, qui devait sûrement être celui des Jedusor. Un rire aigu se fit entendre. Harry eut soudain très mal à la tête, à l'endroit de sa cicatrice.
- Bientôt, très bientôt, je le sens. Le jeune Potter va venir avec ses amis et là je les tuerait tout les trois. Il va périr comme sa sang de bourbe de mère est morte!
Puis il ria bruyamment. Son rire résonnait dans les oreilles de Harry. Sans s'en rendre compte, il hurlait et bougeait dans tous les sens, malgré le fait que tous ceux présents dans la salle commune tentait de le calmer.
- Harry! Harry! Réveille toi! Dit Ron
Harry ouvrit brusquement les yeux. Tout était flou autour de lui, il ne distinguait que de vagues silhouette autour de son lit à baldaquin. Il se hata de mettre ses lunettes. Sa repiration était encore haletante, comme s'il avait couru pendant une dizaine de kilomètres.
- Tu rêvait de Tu Sais Qui? Demanda timidement Seamus
Harry hocha brièvement de la tête, sa respiration était encore trop saccadée pour pouvoir dire quoique ce soit. Après un silence d'une trentaine de seconde, Ron reprit la parole.
- Je ne sais pas si c'est une bonne idée d'aller combattre Tu Sais Qui. Il serait sans doute plus prudent de rester ici.
- Ron, commença lentement Harry. Il faudra tôt ou tard l'affronter que je le veuille ou non. Mon destin me rattrapera bien assez vite, crois moi. Alors s'il faut combattre Voldemort, autant le faire maintenant, comme ça on en parle plus...
- Ne prends pas pour acquis que tu battra Voldemort, dit Drago. J'ai vu ses pratiques. Il est très fort. Il n'hésitera pas à te réduire en bouillie.
- Je ne sous – estime pas la force de Voldemort. Je sais qu'il n'a pas de pitié. Mais c'est lui qui a fait de moi ce que je suis san que je n'ai eu mon mot a dire. Franchement. Je vous le demande à tous dans cette pièce. Entre la célébrité et le fait d'avoir vos parents, qu'est ce que vous choisiriez? Dit Harry
Tous, peu à peu, répondirent, timidement, qu'ils préfèraient avoir leur parents que la célébrité. Puis, tout d'un coup, après un court instant Seamus prit la parole.
- Je veux bien venir t'aider à combattre Voldemort. Plus grand sera le nombre et plus la victoire sera facile! Qu'est ce que vous en dites les gars?
Puis, tout le monde se décida alors de venir aider Harry. Le jeune homme sourit et accepta tout de même que ses camarades l'accompagnent. Soudain, une idée traversa Ron.
- Vous avez encore les pièces que Hermione avait fabriqué lors de sa cinquième année? Ils peuvent nous être utile, cette fois encore!
- Oui, bien sûr, on doit avoir ça encore, répondit Dean, qui avait déjà commencer à fouiller dans sa valise à la recherche de la petite pièce.
Peu après, tout le monde avait retrouver sa pièce.
- Alors... Il faut que je me souvienne comment ça marche... commença Ron
- C'est over simple, en fait, reprit Harry. Tu veux faire passer quel message?
- Bah que tous les membres de l'AD se retrouvent demain devant la Grande Salle pour t'aider à combattre Tu Sais qui!
Harry, fit tourner quelques fois la pièce sur elle même et quelques seconde plus tard le message avait été envoyer.
- Voilà, c'est envoyer, maintenant on peut retourner se coucher. Profiter des quelques heures de sommeil qui nous séparent du moment ou on va assister soit à la chute de Vodemort ou à ma mort... Mais je ne pourrais me résigner à mourir.
Le lendemain à 14 heures, tous les anciens membres de l'AD étaient devant la Grande Salle, près à partir, n'attendant que les instructions de Harry.
- Alors, vous le savez sans doute, aujourd'hui, le sort de tout le monde sorcier est entre nos mains. On a pas le droit de les décevoir. A l'heure qu'il est, tout le monde doit déjà être au courant que, nous tous, allons combattre Voldemort. Quoiqu'il en soit, il appartient à moi seul de combattre Voldemort. Vous pourrez m'aider à combattre les mangemorts et à neutraliser le serpent Nagini. Si vous avez un problème, quel qu'il soit, envoyez une lumière rouge. Voilà c'est tous ce que j'ai à dire. En route, et bonne chance.
Hermione et Ginny étaient restées à l'écart, mais avaient tout de même écouter le discours du jeune homme. Harry et Ron se dirigèrent vers les deux jeunes filles (Isabelle avait décider d'accompagner le groupe).
- Revenez nous vivant, dit Ginny en souriant faiblement. Une larme coula alors sur sa joue.
- Ne t'inquiète pas ma puce, tout ira bien,Sèche tes larmes, je reviendrait bientôt. Si tout va bien, ce soir tout sera fini.
Puis il l'a pris dans ses bras, tentant ainsi de la consoler.
- Je ne pourrais pas me résoudre à vivre sans toi Harry. Je t'aime. Je t'aime de tout mon cour, de toute mon âme.
- Moi aussi je t'aime. Tiens prends ça, dit il en lui tendant un collier ou l'on pouvait voir une petite photo de Ginny et Harry en train de s'embrasser. Garde ceci près de ton cœur. Sache que jamais je ne t'abandonerait, je serait toujours avec toi.
Puis il l'embrassa tendrement avant de partir, d'accomplir son destin.

Le chemin était boueux et tout était sombre. Il faisait froid. Un froid pénétrant, qui allait jusqu'aux entrailles. Tout le monde était sur ces gardes, au cas ou une attaque de mangemort survenait. Au loin, une colline. Et sur cette colline, une grande maison délabrée. Pas une seule lumière brulait dans la maison.
- Tu es sûr que c'est là, dit silencieusement Ron
- Oui bien sûr. Maintenant tais toi et avance.
Il se passa près de cinq minutes sans qu'on entende rien d'autre que la respiration de ceux qui étaient présents ainsi que le bruit de leur pas. Ils entrèrent alors dsn la maison. Pas un bruit. Tout était calme. Harry fit quelques signes de la main pour dire à ceux qui l'accompagnaient de se cacher et de le défendre en cas d'attaque de mangemort. Puis, suivit de Ron et Drago, il monta les escaliers, lentement. Il regarda dans la première pièce. Pas de trace de serpent. Rien. Seul un silence angoissant se prolongeait. Derrière lui se trouvait Drago et Ron. Tous les autres étaient restés au res-de-chaussé, prêts à intervenir. Harry fit alors signe à Drago et Ron de le suivre vers la seconde pièce. Là, une masse informe près d'un fauteuil était allongé, sans doute en train de dormir. Du fait du manque de lumière, on ne pouvait distinguer les formes précises de ce qui se trouvait sur le sol.
Silencieusement, Harry s'avança. Ce qu'il pensait s'était révélé vrai. C'était bien le serpent à Voldemort. Mais il y avait une chose à laquelle il ne s'était pas attendu. Tout d'un coup, un feu surgit de la cheminée, éclairant toute la pièce. Un rire sonore se fit entendre sur le fauteil. Apparement Harry n'était pas seulement avec le serpent dans cette pièce. Il y avait quelqu'un d'autre. Harry connaissait bien ce rire c'était celui de Voldemort.
- Alors Potter. Comme ça tu es venu ! Tu es tombé droit dans mon piège !
Puis Voldemort rigola une nouvelle fois. Pendant qu'il avait parlé, d'autres personnes étaient arrivées. Les mangemorts. Harry les avait reconnu grace à leur casque noir.
- Vous avez vu, mes amis. Le jeune Potter est venu avec ses amis ! Comme c'est aimable à lui !
- Tiens, tiens le jeune Malefoy, avait déclarer un mangemort.
- Ah tiens, Malefoy fils est revenu ! dit le Seigneur des Ténèbre en se levant. Et Weasley junior. Comme c'est aimable à vous ! Maintenant que les trois amis sont réunis, je vais pouvoir vous réduire en bouilli !
- Pas aussi facilement que vous le pensez ! répondit Harry d'un ton froid.
Tout à coup, tous les camarades des trois amis surgiren dans l'encadrement de la porte. Des sorts fusèrent de partout, touchant les uns et les autres. Harry profita de la pagaille générale pour tuer le serpent.
- NNNNNNNNNNNAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !!!!! Nagini ! Potter !!!! Tu vas devoir le payer de ta vie ! hurla Voldemort. AVADA KEDAVRA !!!!
Une lumière verte frola la joue de Harry. Dans sa tête, la même phrase ne cessait de se répéter. « L'un des deux devra mourir » L'amour que lui portait Ginny le rendait un peu plus fort. Il n'avait qu'une envie. En finir une fois pour toute avec Voldemort et retrouver Ginny.
- ENDOLORIS ! hurla Harry
Mais le sort fut arrêté sans peine par Voldemort. Le combat faisait rage dans toute la salle. En même pas deux minutes, la salle s'était transformée en champ de bataille. Certains tentaient encore de résister à une victoire totale des mangemorts et de Voldemort. Tout à coup un sort toucha Voldemort en plein dos. Celui-ci s'écroula par terre. Le bruit du combat diminuait de plus en plus pour regarder Voldemort.
- Qui à lancer le sort, Et quel sort ? Demanda Harry
- Moi, dit une voix timide, qui devait être celle de Neville. J'ai lancé un Pétrificus Totalus.
- Mmmh, bien ! Bon, je vais pouvoir l'achever.
- NAAAAAAN ! Tu n'oserais pas faire ça ! Experlliarmus ! hurla un mangemort
- Avada Kedavra ! dit Harry.
Le mangemort s'écroula par terre. Il était mort avant d'avoir touché le sol.
- D'autres volontaires pour se faire tuer ?
Les autres mangemorts restèrent silencieux, en lançant des regards noirs. Puis Harry tua Voldemort. C'était la fin de la terreur de Voldemort. Ils pouvaient enfin vivre en paix.
Puis tous ensemble, ils retournèrent au château. Hermione, Ginny et Isabelle attendaient leurs hommes devant la Grande Salle. Hermione et Ginny sautèrent au cou de Harry etRon.
- Harry ? commença Ginny
- Oui ? répondit le jeune homme
- Où est ta cicatrice ?

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

Nombre de messages : 104 Age : 36 Date d'inscription : 11/06/2007

REMERCIEMENT :

Alors, je voudrais remercier toutes les personnes qui m'ont permis de pouvoir terminer ce livre. Il y a déjà ma mère qui m'a motivé pour m'avoir donné la motivation pour écrire, qui m'a donné certains mots de vocabulaire. Ensuite, je voulais aussi remercier tous les lecteurs de JeuxVideo.com pour m'avoir suivi durant cette aventure qui a duré 1 an et demi. Comme quoi, écrire un livre ça prends du temps ! Merci d'être resté fidèles tout au long, malgré qu'il y ait eu des petits crétins qui sont venus pourrir quelaue peu cette fic.
Et puis je voudrais aussi remercier mes deux meilleures amies, malgré qu'elles n'aiment pas Harry Potter de m'avoir encourager à continuer et de m'avoir demander d'écrire d'autres livres. Car elle m'ont certifier vouloir acheter le livre que j'écrirais après celui là !
Et puis je voulais aussi remercier mon frère, car lui aussi m'a aider à trouver des idées quand je n'avait pas eu d'inspiration !

Bref, tous ça pour dire MERCI à tous ceux que j'aime et à tous ceux aui m'ont suivi jusqu'à la fin.

» Harry Potter et les Horcruxes (Commentaires)
» Harry Potter et La Chasse Aux Horcruxes
» Harry potter et le combat mortel